La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°757)
soumise dans une cabane - (hors-série)
Ça y est, le jour tant attendu est enfin arrivé. Pourtant me direz-vous, il ny a rien damusant à rester là, plantée au froid à attendre un train qui a plus dune demi-heure de retard. Oui, sûrement mais je nattends pas nimporte quel train, jattends celui où il y a mon MAITRE. Depuis le temps que jattendais ce moment, je vais enfin le revoir et de plus, Il accepte de venir chez moi. Daller se perdre dans mes montagnes, de découvrir mon monde, mon environnement, de partager ainsi une partie de ma passion
Ce que je ressens est très spécial. Je voudrais que le temps passe plus vite. Pour que ce fichu train régional arrive enfin, même si je my attendais, il a neigé. Alors toutes les grandes lignes sont en retards. Mais en même temps, jai limpression de ne pas voir le temps passé. Je me refais la liste dans ma tête, non ça va, je crois que je nai rien oublié et je pense, je pense à Vous, à ce que Vous me ferez, à ce que Vous penserez de mon refuge, de ma vallée et de ces gens pittoresques. Mes yeux regardent sans voir, les gens qui mentourent et jattends, patiemment et à la fois impatiemment, et ce train qui narrive pas
Enfin, jentends le sifflement du train sur les rails bien avant de le voir. Puis il apparaît, fidèle à lui-même rouge et blanc avec sa puissant locomotive au nez disgracieux. Le givre qui sest formé sur les fils produit des étincelles bleues et vertes. Et enfin, il sarrête dans un fort couinement des freins. Un flot de touristes, de skieurs du dimanche ou de jeunes du coin en sortent. La station de ski sur le versant Sud rend notre coin très populaire en hiver. Je ne men plaindrais pas sans ça la vallée serait déjà mort, faute de travail. Enfin derrière un groupe dAnglais, je vous vois, vous mon Maître.
Vous navez pas changé, toujours ces même yeux bleus qui donnent limpression que Vous lisez en nous comme dans un journal, toujours cette aura qui Vous entoure et qui me donne envie de maplatir au sol, ce sourire aux lèvres remplis de tendresse et damour.
Dailleurs en parlant de neige, elle a recommencé à tomber, ce qui signifie que je devrais mettre les chaînes et que je devrais Vous imposer un arrêt en plus. Les portes de mon WW transporteur claque, cest un vieux bus, et ces 4 roues motrices sont plus que nécessaires par ici, en hiver comme en été. Vous Vous retournez vers moi et Vous me dites.
- « Alors petite chienne on est contente de retrouver son Maître ? Oui, je le lis dans tes yeux, viens ici que je contrôle que tu ma bien obéis. »
Je me retourne vers Vous, baisse la tête devant Votre regard. Je sens Votre main se poser tranquillement sur le dos de mon crâne, lautre passe sous ma veste, puis sous ma polaire et mon t-shirt pour remonter sur ma poitrine. Elle y rencontre mes seins libres de tout soutien. Vous ne dites rien, mais je sens lautre main devenir plus caressante. Puis, cest vers ma chatte que Vous descendez pour contrôler aussi que je ne porte rien. Vous madressez un sourire satisfait et Vous sortez de Votre poche un collier de cuir simple sans anneau. Je Vous adresse un regard surpris et Vous mexpliquez que cest à cause du froid et du fer, Vous ne vouliez pas que ça me brûle la peau. Je Vous souris, Vous êtes si attentionné, si attentif. Comment ne pourrais-je pas avoir lenvie de me donner à fond, de Vous appartenir, de Vous apporter du plaisir, de Vous satisfaire
Avec Votre accord, je démarre et je me lance sur la route blanche.
Après une bonne demi-heure de conduite. Je gare enfin la voiture. Nous nous retrouvons devant un chemin forestier qui grimpe. Je sors et Vous apporte Vos raquettes, quant à moi, je sors mes skis et enfile mes peaux de phoque. Jatt Votre sac et Vous demande lautorisation den porter une bonne partie. Vous me souriez dun air conspirateur et me sortez une boite que je peux porter. Le reste Vous Vous savez en assez bonne forme pour le porter. Je la range, Vous aide à enfiler les raquettes. Je Vous prêtes une paire de guêtre et nous partons. Cest durant environ 1 heure que nous arpentons la forêt. La neige ne tombe que très peu à labri des épicéas. Je Vous propose une pause où je Vous offre une tasse de thé chaud tirée de mon thermo et une barre chocolatée énergisante. Vous semblez profiter de la balade, mais néanmoins Votre souffle se fait un peu plus cours. Faux dire quon est quand même bien plus haut en altitude que ce dont Vous avez lhabitude dans votre si belle région du Beaujolais
- A quel distance de la cabane, somme-nous ma petite chienne ? Votre voix brise le silence qui sétait installé.
- A une cinquantaine de mètres Maître, elle est juste derrière cette bosse enneigée.
- Bien, alors enlève-moi tout ça, aller je veux te voir le buste nu à marcher dans la neige. De plus, comme il neige il ne fait pas si froid, pour une cinquantaine de mètres ça ne devrait pas poser de problème. Marcher ainsi, devrait te faire dresser tes tétons de chienne.
- Oui, Maître.
Ce fut la seule chose que jai été capable de dire et je me suis prestement déshabillée du haut de la ceinture. Et cest le buste nu que jai fait les derniers mètres jusque à la modeste cabane qui abrite mes retraites. Elle se situe dans une clairière, loin de tout mais sur la route pour un 5000 m assez connu, ce qui fait quil y ait assez de passage si jamais un problème survenait. Je ne peux bien sûr pas y habiter tout le temps, il ny a ni internet, ni eau courante, ni électricité. Elle est autonome avec un panneau solaire et une génératrice, leau est puisée à une source pas loin, et leau chaude est tirée du solaire, ce qui convient bien pour la vaisselle et une ou deux douches.
Je stoppe devant la porte, Vous louvre et Vous cède la place. Vous entrez en me lançant de ne venir que quand jaurais tout rangé (peau, ski, raquette) et que Vous me voulez en tenue de chienne. Puis Vous pénétrer dans le chalet délicieusement chauffé au feu de bois, mais pas de cheminée juste un grand fourneau. Pendant que je mactive sur lextérieur pour tout ranger, Vous faite le tour du chalet. Une cuisine, une grande table pour manger, un seul fauteuil, ainsi que la salle de bain, voilà en quoi consiste le rez-de-chaussée. Et par une échelle, on atteint la mezzanine constituée dun grand dortoir séparé en trois par des petites cloisons. Il y a des matelas partout pour accueillir du monde, mais aussi un lit deux places. Deux fenêtres, donnant sur le Mont-Blanc et une lucarne sont les seules ouvertures de la pièce. Vous redescendez Vous asseoir sur le fauteuil, jentre quelques minutes plus tard complètement nue, comme exigé.
Vous me caresser la tête, nous restons un long moment-là, sans bouger, au chaud, Votre esprit semble être ailleurs, Vous réfléchissez. Quant à moi, comme souvent en Votre compagnie je me laisse submerger par le sentiment de bien être que je ressens dêtre à Vous, dêtre à Vos côtés. Vos mains restent cependant un peu froides. Je Vous demande lautorisation de parler ce que Vous maccorder dun petit hochement de tête. Je Vous propose de Vous préparer un chocolat chaud. Car après tout, on est en Suisse et après la neige cest le meilleur remède. Vous me faite un signe de tête et je file à 4 pattes le plus vite possible pour Vous contenter. Quand je reviens portant précieusement le chocolat ainsi que des biscuits, je Vous trouve dans la même position quavant à une seule exception près. Vous avez sortis Votre sexe. Il ne présente quun début dérection, mais Il est déjà si beau, il me donne tellement envie. Je magenouille entre Vos jambes, dans le but de Vous faire une fellation, mais Vous ne men donnez pas lautorisation.
- Que veux-tu ma chienne ? Cest ma bite que tu veux ? Tu ten crois digne ? Tu nas même pas demandé correctement. Tu crois peut être que je la donne à nimporte qui ?
- Pardon Maître, murmurais-je, rouge de honte. Je Vous supplie de bien maccorder le droit de Vous faire jouir. Je Vous supplie de laisser Votre chienne Vous donner du plaisir. Je Vous supplie Maître Vénéré daccorder à Votre chienne le droit, lhonneur de Vous prendre en bouche. Je Vous supplie de lutiliser pour faire ce quelle désir le plus au monde, Vous servir, Vous appartenir, Vous satisfaire, Vous donner du plaisir
- Très bien, voila qui est bien demandé, cest bon
Aller prends la, petite chienne et amuse toi bien.
- Merci Maître
Je me penchais alors vers son sexe qui cétait bien redressé. Je sais que mon Maître adore les supplications, et même si je ne suis pas douée avec les mots, jessaie de maméliorer pour le satisfaire au mieux. Ma langue se posa sur le bout de son gland au moment où il prit une gorgé de chocolat. Je descendis ma bouche doucement le long de sa verge, je mappliquais à Lui faire des vas et viens profond, jenserrais son pénis de mes lèvres et Lui continuait à boire tranquillement comme si de rien nétait. Le seul signe de plaisir qui émanait de Lui était son sexe qui durcissait de plus en plus dans ma bouche. Une partie de moi appréciait cette sensation de se sentir comme inutile comme insignifiante, car malgré le plaisir que je mappliquais à Lui donner Il ne semblait pas prendre en compte ma présence. Mais une autre partie de moi était presque jalouse de la tasse de chocolat qui Le monopolisait plus que moi.
Sans aucun signe avant-coureur mise à part quelques soubresauts de Votre verge tendue à son maximum Vous Vous mîtes à éjaculer dans ma bouche en de longs jets saccadés. Je me dépêchais de récolter toute cette semence. Je me sentais fière, mais je regardais la tête baissée. Javais rempli en partie mon rôle. Je Vous avais amené du plaisir. Jétais heureuse et très excitée. Si excitée que ma mouille coulait sur mes cuisses. Vous me fîtes lever, et nous nous dirigeâmes vers la table, Vous my étendez et Vous minterdisez de bouger. Je sens que ça va être dure, car en alpinisme lorsque des cordes me retiennent je peux me laisser aller, je peux bouger, mais là, cest par ma simple volonté quil faudra que je minterdise les mouvements. Vous promenez Vos mains le long de mon corps, Vous me caressez les épaules, le front, les joues, les bras, le haut de la poitrine, Vous Vous attardez longtemps sur celle-ci, Vous lenserrez, létirez, la claquez, la caressez. Chaque mouvement de Vos mains mexcite encore plus. Vos mains descendent le long de mes côtes, fond le tour du nombril, et caressent lintérieur de mes cuisses. Je suis trempée dexcitation.
Cest tellement bon, je voudrais que Vous arrêtiez, ou que Vous me preniez, mon bas-ventre trop réceptif à envie dêtre possédé mais cette attente est une douce . Je veux bouger des hanches, mais je ne vais pas risquer de commettre vos ordres par encore une faute aujourdhui. Puis, oh bonheur ! Un de Vos doigts caresse mes lèvres humides, il se glisse dans ma fente, sattarde sur mon clitoris dressé. Ce doigt me pénètre et fait des vas et viens, bientôt rejoint par un autre doigt puis encore un. Jai déjà 4 doigts dans ma chatte et le pouce de Votre autre main toujours en train de caresser mon clitoris. Cest bon, trop bon. Vous glissez alors Votre dernier doigt. Et Votre main tente de sinfiltrer aussi. Elle ne passe pas totalement en entier, mais une grande partie est déjà dedans. Vous me fistez ainsi avec tant de bonheur que je ressens une excitation extrême qui suffit amplement à lubrifier cette large pénétration qui me remplit. Vos petits mouvements des doigts sont si bons. Vous faites pivoter doucement votre poing en moi que jai envie de jouir, et jouir encore.
Vous mautorisez enfin à me laisser aller, mais Vous mordonnez de crier mon orgasme, de bouger, de vivre pleinement ma jouissance que vous moffrez. Je me mets aussitôt à jouir, puis des cris commencent à sélever. Je finis par jouir sur Votre main dans de gros soubresauts. Vous me faite lécher mes doigts, mais je nai pas honte, je me sens juste bien et comblée ...
Je ferme les yeux dépuisement, je voudrais dormir. Mais je sais que Vous, mon Maître, avez dautre projet pour moi ce soir. Alors je me force à rester éveillée. Vous me faîtes redresser, et Vous mexpliquez que Vous avez faim. Aussitôt je me précipite dans la cuisine. Je ne peux que Vous cuisiner vraiment simplement. Car ici, la simplicité est de mise. Le temps de sortir prendre les légumes dans la cave que je rentre gelée. En effet, il a cessé de neiger, le ciel séclaircit alors le temps se rafraîchit encore un peu plus. Je commence par me réjouir car cela signifie que demain il fera beau. Pourtant toutes les traces de chamois que jai vu dans la neige descendent et ils ne le font que si une grosse tempête se prépare. Mais le ciel est de plus en plus bleu
Alors donc, jai dû me tromper, les signes de la nature que la montagne nous adresse ne trompe pourtant pas ...
La soupe est vite prête suivie dun excellent fromage suisse accompagné de vin aussi de la région. Et en dessert, une fondue au chocolat Vous attend. Il me fallait Vous faire découvrir les produis régionaux. Jai passé la soirée à genoux devant Vous. Vous me dictez régulièrement des positions que je devais prendre et tenir jusquà ce que Vous me fassiez changer de position. Parfois elles étaient simples, dautres douloureuses, dautres encore demandaient une grande musculature. Mes muscles me tiraient, je sentais trembler, javais envie de me laisser aller au repos. Mais Vous continuez à me donner des ordres. Jusquà ce que je me retrouve dans lincapacité à tenir la dernière position imposée. Je tombe. Vous Vous levez, et Vous Vous approchez de moi. Vous me faites lever, et me positionnez sur la table pour que tout mon dos, et mes fesses Vous soient facilement accessible. Puis Vous prenez la boite que Vous mavez fait porter. Vous louvrez tout près de ma tête. Mais de manière à ce que je ne voie pas ce quelle contient. Bientôt je sens une paire de menottes qui encercle froidement mes poignets. Vous me les étirez sous la table et passez une autre paire de menottes sur les liens centraux et le tout accroché à mes chevilles. Ensuite Vous sortez un foulard que Vous me posez sur mes yeux. Puis Vous sortez différents objets que Vous entreposez sur mon dos. Jen frisonne, je sens le froid car je ne connais pas la nature exacte de ces objets même si jai quelques doutes sur leur utilisation. Votre main chaude me caresse le dos, les épaules, elle se glisse dans mes cheveux pour reprendre le chemin inverse et sarrête sur mes fesses. Vous Vous penchez par-dessus moi et me murmurer :
- Tu es tombée, tu nas pas tenu, tu mas désobéis salope. Tu mérites une punition. Mais surtout pas un mot, à part si cest pour faire un remerciement
Puis Vous Vous redressez dans la foulée Vous prenez un objet de mon dos que Vous menfoncez sans préambule mais doucement dans lanus. Cest un plug mais il ne fut pas gigantesque mais néanmoins je le sentis fortement, il me remplit amplement, étant encore assez étroite. Puis ce fut le deuxième objet que Vous utilisez pour me caresser les épaules, le dos, les fesses jusquà la cuisse. Je sentis les lanières de cuir me caresser. Puis tout dun coup, Vous avez complètement arrêté tout contact quel quil soit avec mon corps. Je ne Vous sentais pas, je ne Vous voyais pas, je ne vous entendais pas. Je ne peux pas dire si Vous mavez fait attendre longtemps, mais jai eu limpression que le temps sétirait à léternité. Je Vous savais pas loin, mais sans la sensation de Votre présence, je me sentais perdue. Enfin pour mon plus grand plaisir le premier coup sabattit sur mes fesses, la douleur était vive. Mais je Vous fis un remerciement sincère. Les coups senchaînaient tout comme mes remerciements, je ne comptais pas car je savais que Vous men donnerez le nombre exact que je méritais. Mon dos, mes épaules, mes fesses et mes cuisses y passèrent. Ma peau me cuisait, mais lenvie de Vous faire plaisir, de passer ma faute surpassait tout. Je ne sais durant combien de temps dura la punition, mais une fois que vous en avez eu assez de me fouetter, Vous me retournez et cest avec douceur que Vous pénétrez en moi. La sensation était combinée pour la première fois avec un plug. Je me sentais comme prise en double. Je finis par jouir sur Vos ordres dun autre puissant orgasme au moment où Vous laissez exploser Votre semence. Vous restez avec Votre Vit encore dur en coït profond un long moment avant de Vous retirer. Jétais laminée, épuisée, Vous me tirez aux toilettes pour un rapide lavage alors que je mendormis presque. Puis avec un dernier effort je me tirai par léchelle dans la mezzanine ou Vous mattacher aux pieds dun des lits pour la nuit. Là sans plus autre conscience du monde alentours je mendormis comme une masse, toujours plugée.
Je me réveillai en sursaut. Un peu étonnée, ma première pensée fut que Vous êtes un expert car malgré la correction au fouet dhier, je ne ressentais quasi aucune douleur. Ensuite un regard par la fenêtre mindiqua que le soleil nétait pas encore levé, mais que les animaux avaient plus raison que les hommes, la tempête semblait se lever ! Un grésillement retentis et je bondis, cétait la radio, ça devait être ça qui ma réveillée. Sans me lever complètement, je la pris et baissa le son pour ne pas Vous réveiller. Néanmoins jécoutais très attentivement. Jappris rapidement que cétait trois cordées (enfin je crois) qui étaient partis faire lascension du Mont-Blanc et qui sétaient fait prendre dans la tempête. Pour une raison que je ne connaissais pas encore, ils leur semblaient impossible de redescendre. Mon cerveau se mit en branle très rapidement. Ma radio était branchée sur les ondes courtes, ça signifiait que les montagnards ne devaient pas être très loin du refuge lequel je me trouvais avec mon Maître. Je me redresse alors à 4 pattes, je Vous vois couché sur le lit, Vous dormez encore.
Je ne sais comment réagir. Je ne peux laisser ces hommes dehors surtout que la neige semble continuer à tomber de plus en plus intensément. Et en même temps je ne peux les inviter sans Votre autorisation mais je me refuse de Vous réveiller et je sais que je dois décider vite, sinon ils risqueraient de sortir de la portée des ondes courtes de ma radio. Je me lève, détache ma laisse, att la radio et descend dun étage. Je me mets de leau à chauffer, rallume le feu en attendant quils arrêtent de parler et libèrent la fréquence. Enfin je parviens à les contacter. Ils me répondent rapidement et heureusement quils sont équipés dun GPS. Je nai plus quà leur donner la longitude et la latitude de la cabane refuge pour quils puissent la trouver et se mettre au plus vite à labri de la tempête qui ne tardera pas à suivre après les fortes chutes de neige. Voila cest fait, je leur ai donné les bonnes coordonnées. Ils ont encore une bonne heure de marche car le vent et la neige ralentissent énormément leur progression, mais au moins ils savent où aller pour se mettre à labri des intempéries meurtrières de la montagne. Je frissonne en pensant à la chance quils ont eut. La priorité de sauver des vies est plus quun devoir. Si ma radio était réglée sur un autre canal, si je métais pas réveillée
La montagne, si belle et pourtant tellement impardonnable, naurait fait quune bouché deux. Les souvenirs remontent, tous chez nous ont perdu des amis, collèges lors davalanches, et moi personnellement, jy ai laissé des jeunes perdus, dans ces faces blanches, prisonniers dune terrible tempête de neige
La préparation dun grand déjeuner et dun énorme pot de café, ces gestes quotidiens me calment lentement. Je me faut maintenant Vous avertir de larrivée de ces hommes perdus et encordés dans le froid. Un regard sur la pendule qui indique 6h30 pourtant la tempête donne limpression dêtre encore plus tôt. Je remonte à létage, Vous dormez encore. Je ne sais comment my prendre pour Vous tirez des bras de Morphée. Je magenouille, me penche, murmure Votre nom, heureusement pour moi Vous remuez un peu, lodeur du café, les bruits que jai fait auparavant ont déjà dû Vous réveiller. Vos yeux papillonnent et Vous me jetez un regard interrogateur. Ce regarde me fait fondre, Vos yeux dun bleu azur, si beaux, si Dominants à la fois me font vraiment craquer. Tout autre Maître se serait directement énervé, mais vous mon Maître vous me laissez le bénéfice du doute.
Je Vous explique dune petite voix, la tête et les yeux baissés, la situation mais Vous ne me répondez pas. Puis Vous prononcez simplement ces quelques mots :
- Fais-moi jouir avec ta bouche ma petite chienne, pendant que je réfléchis. Et noublie pas applique toi !
Je Vous prends tendrement en bouche, je mapplique, je voudrais par cette caresse Vous faire ressentir tout mon Amour, toute ma Reconnaissance. Ma tête montait et descendait avec un rythme adéquat et enfin jeu limmense honneur de recevoir Votre semence, je savais que cela allait être le seul déjeuner que jaurais. Puis toute en Vous gardant en bouche, toute en Vous nettoyant de ma langue, Vous me dites :
- Ecoute moi ma chienne, tu as bien fait de porter secours à ces 3 cordées, on ne laisse pas les gens sans aide quand ils sagit de sauver des hommes dun mort certaine. Javais prévu de mamuser avec toi toute la journée, de tutiliser comme bon me semble. Et je refuse de ne pas pouvoir le faire. Tu resteras ici ainsi, Je les recevrai, leur parlerai et selon comme je tappellerai, tu sauras comment tu devras descendre !
Je savais que Vous nétiez pas en colère contre moi, Vous le Grand Humaniste Philanthrope, mais que vous désirez tirer parti de la situation et je sais que je peux Vous faire confiance pour préserver ma santé physique et mentale. Et quoi quil doit se passer Vous serez là pour me soutenir. Alors je hochai la tête en silence. Et Votre main toujours à la même place se fit plus caressante. Nous sommes restés ainsi un long moment, moi à genoux aux pieds de Votre lit et Vous couché sur le dos Votre bras replié derrière la tête et lautre main me caressant le cou, le dos, mes seins, sattardant sur mes tétons...
Des voix dhommes raisonnaient dans le silence de laube, Vous Vous levez et Vous Vous habillez pour descendre au rez-de-chaussée, tandis que je reste là selon Vos ordres, totalement immobile. Puis le bruit des skis posés contre le bois, les voix masculines qui se plaignent, dautre qui rient du bonheur de trouver refuge. Jessaie de compter le nombre de voix mais impossible. Je sais quil y a 3 cordées. Mais étant donné quune cordée peut-être de 2 à 5 personnes, cest un peu vague comme information. Je Vous entends les accueillir chaleureusement, les réconforter moralement. Je reconnais en Vous lhomme qui a toujours su mettre en valeur les lois de lhospitalité dans Votre Château
Je calcule 9 ou 10 personnes que Vous saluez lun après lautre. Puis ce sont les bruits dun chaleureux petit déjeuner animé qui me parvient. Bientôt les voix semblèrent séteindre tout dun coup et la seule qui continua encore à retentir fut la Votre, mais je narrivais pas à comprendre de quoi il en retournait. Puis un appel fort retentit, suivit dun claquement de Vos doigts, les mots que Vous utilisez veulent tout dire et minforment comment je dois descendre :
- Chienne, à mes pieds, tout de suite.
Je descendis alors au rez-de-chaussée la tête basse, nue et collier au cou, javançai à 4 pattes entre les 10 hommes qui me dévoraient du regard jusquà ce que je me retrouve à genoux devant Vos pieds
(A suivre
)
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