Chez Maîtresse W...
Bonjour, je me présente à vous comme « vache vavient »
Je suis attiré par la soumission depuis quelques années, et je viens enfin de trouver une Maîtresse avec qui javais pu avoir de longs échanges virtuels, permettant de mieux nous connaître, pour créer un climat de confiance, propice à lexpression de ma condition. Le temps passait, et un jour, je fus convié à un séjour en sa demeure, en son donjon pour des instants qui mexcitaient autant quils mangoissaient
Le vendredi soir donc, je garais ma voiture près dune maison en pierre, plutôt grande au premier abord. Je frappais trois coups rapprochés, puis deux coups plus espacés à la porte, code pour annoncer mon arrivée. Quelle ne fut pas ma surprise de voir, derrière la porte qui souvrait, un homme dune trentaine d années, entièrement nu avec un collier autour du cou sur lequel on pouvait voir un anneau, mais sans rien accroché dessus. Je devinais tout suite que ce garçon, clairement soumis lui aussi, faisait partie du cheptel de ma Maîtresse. Je nétais pas pris en traître, puisque cette dernière mavait bien expliqué que je ne serais pas son soumis attitré, quelle considérait le bdsm dans le partage. Passées ces premières pensées, je me décidais à rentrer dans la maison, curieusement mon ouvreur ne disait pas un mot, et se contenta de me faire signe de le suivre. Nous traversâmes quelques pièces, puis une autre porte souvrit sur un vaste espace, sur lequel il y avait une table, et surtout un mot posé dessus. Jentrais, sur un nouveau signe, puis la porte se referma, me faisant comprendre que le mot déposé métait destiné. Je prenais en main la feuille pour y lire :
« Bonjour, vache vavient
Cest Maîtresse Wendy qui técrit ces mots, pour te faire comprendre que tu es proche de vivre ce qui te marquera pour longtemps, si toutefois tu vas au bout de tes désirs les plus profonds. Si tu as peur, si tu nas pas confiance, si tu doutes de ta sécurité, tu peux faire demi tour, et repartir comme tu es venu
Si tu te sens prêt, alors mets toi entièrement nu, puis à genoux, mains derrière la tête dans le cercle tracé à la craie de lautre côté de la pièce.
Javais lu, mais je navais pas besoin de réfléchir, tant ma Maîtresse avait su frapper pile au but en me nommant de la sorte. Elle savait combien jétais sensible au pouvoir humiliant des mots, ce qui était pour moi comme une drogue mentale, une addiction même parfois. Mais je ne voulais pas mégarer dans des pensées profondes, je me contentais dobéir, de me mettre nu et de me placer comme exigé. Le temps passait, chaque minute plus intense que la précédente, encore plus quand jentendis des pas et que je vis la porte devant moi souvrir. Elle était la, irréelle, cétait ma Maîtresse, Maîtresse Wendy. Trois pas derrière elle, celui que je pouvais nommer soumis saturne désormais. Sans dire un mot, Maîtresse claqua des doigts et me fit comprendre que je devais la suivre à quatre pattes, comme ordonné. Dans cette position inconfortable, je parvins jusquau donjon, pièce magique autant quinquiétante, que je ne saurais trop décrire, tant jétais obnubilé par mes mouvements et lenvie forte de bien faire.
Maîtresse stoppa sa marche, puis en claquant à nouveau des doigts dit :
-saturne, à quatre pattes comme vavient !
Saturne sexécuta, prestement ! Puis vient ce monologue :
-vavient, depuis le temps que nous nous parlons, je sais ton désir, celui dêtre vache. Cela tombe bien, jaime ce que représente lanimalisation dans la soumission. Au moment où je te parle, tu nes plus que cela à mes yeux, désormais ta queue sera un pis, désormais, tu ne te masturberas plus, tu ne feras que te traire lorsque je ten donnerais lordre
.Comme tu le vois, saturne nous accompagne et comme je veux légalité entre vous, il va devenir vache, tout comme toi.
-A vos ordres, Maîtresse !
Je reçus alors une gifle qui me déstabilisa, quavais je fait de mal ?
-Crois tu quune vache parle, vache vavient ? Non, elle meugle, et cest ce que tu feras maintenant sous mes ordres, sauf contre ordre de ma part. Pour dire « oui, Maîtresse » ou « à vos ordres, Maîtresse », ce sera un meuglement long. Pour demander lautorisation de parler, ce sera deux meuglements courts. As tu compris ?
- Mmmeeeeeeuuuh.
Bien, et si tu souhaites pouvoir parler ?
- Meuh, Meuh !
- Parfait, vache vavient, tu mavais évoqué dans tes premiers courriers quil tarrivait de sortir en club gay où tu faisais preuve de tes talents buccaux et manuels. Mets toi en 69 avec vache saturne, vos têtes entre les cuisses de lautre. Vous y êtes ? Allez, je veux vous voir tous les deux vous brouter les couilles, exécution.
Je navais quune idée, obéir, et je commençais à sortir ma langue pour la laisser aller au contact de ces deux boules de belle taille, pendant que vache saturne broutait mes deux sacs à lait, dune façon consciencieuse et en même temps, excitante
Sous leffet du regard de Maîtresse, de cette sensation humide à lentrejambe, je bandais déjà fort bien et je voyais bien quil en était de même pour mon collègue, nos deux cloches de vache qui en plus tintaient, ajoutaient au plaisir de linstant. Le jeu dura trois, quatre, cinq minutes, je ne saurais vous dire exactement. Puis Maîtresse intervint :
- Allez, à quatre pattes, bouffeuses de couilles.
Nous reprîmes notre position initiale. Maîtresse fit quelques pas sur sa gauche jusquà une petite table ou trônaient une foule daccessoires, elle revint avec quelques pinces.
-Histoire dagrémenter la séance, nous dit-elle avec un sourire mêlé à un sadisme jouissif.
Nous eûmes tous deux une pinces sur chaque téton, devant leffet de la douleur lors de la pose, nos deux pis avaient légèrement perdu de leur superbe. Maîtresse qui avait sans doute recherché cet effet, mordonna dembrasser, du bout des lèvres, le beau pis de mon collègue
A la fin de cet ordre, Maîtresse me dit :
- Qu est ce quon dit à sa Maîtresse, après un ordre exprimé ?
Je ne tombais heureusement pas dans le piège :
- mmmmmeeeuuuuuh.
Bien, embrasse comme je tai ordonné. Je mappliquais donc sur ce pis, mais au fond moi, il me semblait tellement incroyable dêtre la, à obéir, à baiser au sens propre une queue, que je me répétais ces mots enivrants :
« je suis un lécheur de couilles, jembrasse un membre »
.Dois je me résoudre à admettre que jaime la bite ? Moi, moi qui me sent vache, moi qui ait du mal à lassumer auprès de ceux qui gravitent autour de moi, pourrais je avouer que les queues mexcitent ? Que je sois sous merde, ou salope, putain ou vache, tout cela était facile, ce nétait que des mots. Si jaime traire les hommes, je vais au delà des mots, mais
.ça me plaît !
Je continuais en même temps, mécaniquement, mes mouvements de bouche. Puis Maîtresse ordonna linversement des rôles, mais vache saturne dut non pas embrasser mais lécher mon pis. Maîtresse voulait voir la salive dessus, la langue tourner autour comme si mon membre était une glace à réchauffer. Le ressenti métait plutôt agréable, même si jétais sans doute plus sensible à lhumiliation de saturne quaux ressentis de sa langue.
Il métait difficile de marracher aux questions intérieures, pour profiter totalement du moment, mais javais cette volonté de lâcher prise. Pouvais je y arriver ? La était le défi, la était le dépassement de soi, pour honorer ma Maîtresse et quelle me façonne comme elle le voulait :
Vache, sous merde lubrique, salope baisant des bites
tout ce dont javais rêvé, tout ce que je vivais maintenant.
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