La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°760)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode N°756) - Entre les mains de deux Dominants pervers -
Sous le regard, les sarcasmes, les railleries des deux Dominants, pendant de longues minutes encore, le jeune soumis prénommé Loïs et moi, continuons à nous embrasser presque fougueusement, avec une certaine excitation provoquée par lobéissance mais aussi par nos pelles sensuelles que nous nous roulons.
- Ludo, regarde-les, ces deux putes ! Il y a cinq minutes encore, elles ne se connaissaient pas et là devant nous, elles baisent en se roulant des pelles bien baveuses et en bandant fermement ! affirme Karl
- Même pas des chiennes lubriques, bien pire que ça ! lui répond Ludo
Ce denier sest accroupi près de nous et se saisit de nos couilles. La pression est telle que chacun de nous deux stoppons nos activités.
- Qui vous a dit darrêter les salopes ! Je veux voir vous rouler un bon patin ! ordonne-t-il
Nos lèvres se sont de nouveau rapprochées, nos langues sentrecroisent, parfois lun ou lautre sursaute et étouffe un gémissement douloureux. Un lien court est venu nouer nos couilles entre-elles, de telle sorte que nos bites érigées restent l'une près de l'autre, presque collées ensemble.
- Mettez les mains sur la tête les deux salopes et laissez toujours vos lèvres en contact, toi Endymion MDE, enfourne ta langue dans la petite bouche de ce petit bâtard de Loïs ! dicte Karl.
Loïs sursaute, Il vient de recevoir un coup de badine magistral sur son fessier. Dieu merci, il na pas refermé ses mâchoires sur mon appendice buccal. Le second coup est encore plus brutal, Loïs tremble mais résiste encore. Je sens même sa queue frémir contre la mienne, comme sil bandait plus fortement encore, ce qui me fait aisément deviné quil est, lui aussi, un véritable masochiste. Dix coups intenses lui sont assénés et Loïs a bien résisté, sans presque broncher, se contentant de trembloter et de gémir doucement.
- Ces deux-là sont de vrais masos, regarde Karl, leurs nouilles nont pas dégonflé, au contraire même on dirait quelles ont pris un plus beau volume ! affirme Ludo
- Des catins, rien que des catins ! lui répond Karl puis il reprend à notre attention
- Allez à quatre pattes les salopes, cul contre cul !
Loïs et moi restons circonspects. Comment faire alors que nous nous trouvons face à face, burnes attachées entre-elles, par un lien très court ?
- Quest-ce quil y a les putes ? Nai-je pas été suffisamment clair ? Un refus dobéissance ? reprend Karl vicieusement, faisant croire quil na pas compris la problématique du moment.
Les deux Dominants sesclaffent, un rire très sonore !
- Oh mes mignons, vous craignez peut-être pour vos petites couilles
Dépêchez-vous dobéir avant que
Ludo na pas fini sa phrase, nous comprenons que de gré ou de force nous devons prendre la posture indiquée. A nous de gérer la difficulté. Nous nous contorsionnons de manière grotesque et humiliante, tordons nos membres et muscles dans tous les sens, tirons sur nos burnes, pour parvenir enfin dans la posture requise, après multiples efforts.
- Et bien, il vous en a fallu du temps ! reprend Ludo
Tout dun coup, je sens un doigt sur lequel est posé du gel sintroduire et pénétrer mon anus profondément. Peu après ce doigt est remplacé par un double gode enfoncé dans nos deux culs respectifs.
- Allez les chiennes, empalez-vous bien, lun et lautre, lun avec lautre, travaillez vos trous de lope, cest un bon conseil que je vous donne, remuer hanches et bassins pour vous pénétrer intensément.
Loïs et moi nous nous empalons en cadence, par des vas et viens réguliers, nous nous pénétrons jusquà ce que nos fessiers entrent en contact, puis nous nous dégageons lentement en tirant sur nos couilles et recommençons. Ludo sest assis sur une chaise, juste devant mon visage. Il vient de sortir une paire de pinces japonaises, de la poche de son pantalon. Il me les pose, la morsure est vive et je ne peux retenir un cri, quune paire de gifles fait aussitôt cesser. Je me retrouve devant son slip déformé par sa queue en pleine érection. Je respire son odeur de mâle, une odeur âcre, où se mêlent des parfums de transpiration et durine
- Quest-ce que tu attends pour me lécher salope ! me lance Ludo.
Je cesse de mactiver sur cet objet qui me darde le cul et je passe juste avec ma langue, mais sans lécher, le contour de sa bite et de ses couilles. Ludo se laisse faire en poussant quelques soupirs de satisfaction. Avec mes dents, et avec précaution, je fais peu à peu descendre son slip. Quelques poils bruns apparaissent dabord. Je les hume et lui lèche le pubis. Puis la base de sa queue se révèle, je tire encore sur le tissu et sa bite magistrale sen échappe. Je lavale jusquaux couilles et imprime avec ma bouche un vif mouvement de va et vient, ce qui contribue à rendre plus sensible la morsure des pinces. Alors, pour diminuer la douleur, je mattarde parfois sur son gland ou son prépuce. Une nouvelle gifle minterrompt.
- Ne tai pas déjà dit que lorsque tu me pompais, tu devais avoir tes yeux dans les miens.
- Pardon Monsieur !
Je reste le regard haut, le visage tout près de son sexe quil mempêche de lécher. Je reprends alors mes vas et viens et mencule de nouveau sur ce gode enfoncer dans les fesses de Loïs. Ludo débande peu à peu. Et lorsque sa bite a repris une mollesse relative, il mordonne :
- Ouvre la bouche, prends ma queue et ne bouge plus.
Je reste parfaitement immobile, je le regarde droit dans les yeux, alors quun liquide doré menvahit
- Avale, avale tout salope, que pas une goutte ne tombe sur le sol !
Je mefforce de maitriser ma respiration et dabsorber la pisse qui sort en jet dru et se répand dans ma gorge.
- Tu as été négligent, il y a de la pisse par terre.
Je présente une fois encore mes plus humbles excuses, mais cette fois-ci Karl sen mêle.
- Tu crois salope que encore longtemps nous allons nous contenter de tes excuses ! Nes-tu point là pour nous obéir strictement ?
- Si Monsieur
- Et pourquoi tu obéis ?
- Parce que je suis une salope Monsieur ! dis-je timidement
- Comment ?
- Parce que je suis une salope Monsieur ! répète-je plus distinctement.
- Tu ne mérites même pas ce qualificatif ! reprend Karl comme désespéré.
Pendant ce court échange, Ludo ma débarrassé le cul de ce gode, et défait le lien maintenant mes couilles liées avec celles de Loïs.
- Sur le dos, ici ! mordonne Karl, maintenant nu, en me désignant dun doigt précis le lieu, les petites flaques de liquide odorant durine.
Je mexécute sans tarder. Après avoir décrassé ses semelles avec ma langue, une fois quelles ont bien écrasé mes seins, ma bite toujours dressée et mes couilles, il sassied sur mon visage.
- Bouffe, salope !
Bien que jétouffe un peu, je mapplique à faire aller et venir ma langue dans la raie de son cul, à lenfoncer le plus possible, tout en mimprégnant une nouvelle fois de ses odeurs excitantes et enivrantes.
Les quelques minutes de repos qui nous sont accordées, nous sont bienfaitrices. Loïs et moi restons allongés sur le sol, côte à côte, silencieux. Sans un seul mot à notre égard, les deux Dominants partent au bout dun certain temps et dès la porte fermée à double tour, Loïs matt la main en me questionne :
- Es-tu déjà allé au bordel dont on nous a parlé ?
- Non jamais, et toi ?
- Moi non plus, mais Karl, mon Maître men a beaucoup parlé !
- Et quest-ce quil ten a dit ?
- Cest un bordel BDSM mixte
des esclaves mâles et femelles y sont emmenés pour
Loïs interrompt subitement sa conversation, Karl, son Maitre, est de retour.
- Allez les putes debout, il est lheure de prendre une douche avant daller travailler, vous allez tapiner grave cet après-midi et une grande partie de la soirée.
En guise de douche, Loïs et moi sommes arrosés au jet de jardin, leau est froide et claque dabord sur nos omoplates, nos dos, nos fesses que nous devons tenir écartées, Karl visant particulièrement nos trous. Puis nous devons nous retourner, leau éclabousse nos visages, nos poitrines. La couche de cire épaisse que jai sur la bite vole en morceau sous la pression du jet, nos couilles sont particulièrement visées. Nous tremblons, grelotons, gémissons, geignons. Karl nous tend un flacon de savon liquide en ordonnant :
- Chacun savonne lautre !
Nous nous lavons mutuellement, noubliant aucune partie de notre anatomie, y compris celle la plus intime. Lexcitation me gagne de nouveau, si bien que, lorsque Loïs introduit son majeur entre mes fesses, je ne peux retenir une subite et belle bandaison. A mon tour dintroduire de me glisser en lui, sa nouille réagit au quart de tour. Jastique son gland, lui récure le mien
Nous sommes à deux doigts de jouir, lorsque le jet, plus puissant encore et toujours aussi froid, déconstruit rapidement nos édifices érigés. Nous nous séchons rapidement, puis partons nus. Nous longeons un long couloir étroit et peu éclairé, et regagnons un garage. Une voiture est là, Ludo aussi, il tient la portière du coffre ouvert.
- Allez les chiennes là-dedans !
Loïs monte le premier, je mapprête à le suivre, lorsque soudainement Ludo matt un bras, me stoppe dans mon élan
- Mains sur le parechoc, écarte les cuisses, cambre tes reins, mordonne-t-il.
A peine ai-je le temps de prendre la position que déjà, je sens la bite brulante de Ludo se coller contre ma pastille. Il me pénètre dun trait, mencule sauvagement, profondément à la hussarde, me pilonne copieusement à grands coups de butoirs. Karl le presse.
- Tu nes pas raisonnable, nous allons être en retard.
- Jen ai pour cinq minutes pas plus
Les coups de reins sont plus que furieux, Ludo me tient dune main par les cheveux, de lautre il claque mes fesses, jhalète, je suffoque, je gémis. Je me sens chienne, une véritable putain, prise nimporte où, dans nimporte quelle position, et surtout lorsque je my attends le moins ! Je bande
Ludo éjacule, minonde le fion copieusement en râlant sévèrement. Il reste ancré en moi quelques secondes encore, puis se dégage, me retourne face à lui. Il sort un feutre Marker de sa poche et ajoute une seconde croix sur ma poitrine. Je comprends alors la signification de ces croix
Combien en aurai-je à la fin de ces vingt-quatre heures de prêt ?
(A suivre
)
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