Fille Au Pair (Chapitre 4 / 6)
Les suites de mon année espagnole.
Pour les fêtes de fin dannée, je retourne passer une dizaine de jours chez mes parents. Jarrive avec plein de cadeaux dans mes bagages pour combler tous ceux qui me sont chers de petits présents achetés à leur intention.
Dès mon retour à Barcelone, je retrouve mes habitudes au sein de la famille. Le matin, pour ne pas perdre trop de temps, je prends mon petit déjeuner dans mon studio avant de partir à mes cours. Je fais souvent le trajet avec Luis qui poursuit ses études dans la même faculté que moi mais dans une branche différente. La littérature ibérique me passionne de plus en plus et nos professeurs nous font découvrir des auteurs qui sont quasiment inconnus en France.
Après la partie de jambes en lair avec Luis le lendemain de lanniversaire des jumeaux, nous navons pas reparlé de cet épisode. Nos relations restent sur le plan dune franche camaraderie. De leur côté, Felipe et Francesco ne sont plus venus me relancer dans mon studio. Mais certaines allusions faites par Carmela à mon intention, je suis de plus en plus persuadée que ces coquins ont vendu la mèche
Cest vrai aussi quils sont très complices avec leur grande sur.
Il nempêche que je suis très intriguée davoir découvert dans la chambre de Luis cette glace sans tain qui donne dans la chambre des parents. Sil veut, il peut les espionner dans leur intimité. Pour en avoir le cur net, jen parle à Carmela qui est au courant mais elle me dit que ses parents savent et quun rideau opaque empêche la vision et elle mentraine dans cette chambre.
Je découvre un véritable écrin précieux où les miroirs alternent avec des tentures de velours le long des murs. Le lit à baldaquin est immense, il fait largement plus deux mètres
et les parties de mur qui restent à découvert sont décorées de peintures licencieuses où je retrouve la patte de Monica. Serait-elle libertine ?
Ensuite Carmela mentraine dans sa chambre que je nai jamais vue jusquà présent.
Au bout de quelques instants elle sapproche de moi et menlace doucement mais fermement en cherchant mes lèvres que je ne lui refuse pas. Sa langue fouille aussitôt ma bouche et nous échangeons une série de baiser torrides qui ont vite fait de me faire mouiller le fond de mon string. Carmela remonte larrière de ma jupe et palpe mes fesses nues pour se saisir du cordon du string. Elle le fait bouger ce qui a le don de mexciter encore davantage.
Je ne suis pas contre une joute lesbienne, je suis bisexuelle vous le savez déjà, alors, je vais profiter du beau corps de Carmela. Plus grande que moi, elle a de belles rondeurs : une poitrine opulente et des fesses bien galbées sous une taille fine et souple bien cambrée. Dune main jouvre le devant de sa robe boutonnée du haut en bas et je pars à la recherche des deux trésors cachés dans son soutif. La robe glisse sur le sol et Carmela se trouve devant moi dans toute sa splendeur de fille du soleil. Sa peau uniformément mate, sans trace de vêtement, que je connais bien me subjugue. Je mouille de plus en plus !
Mais au fait, qui va conquérir lautre ? Il me semble que cest ma compagne qui a commencé le jeu ! Elle dégrafe ma jupe, fait passer mon sweatshirt par-dessus me tête et je me retrouve en string devant elle. Nous défaisons nos derniers vêtements et, enlacées, nous nous affalons sur le lit, tête-bêche, moi sur le dos et Carmela qui me domine. Jai sous les yeux son abricot tout lisse (elle sest fait épiler depuis lété) bien fendu où pointe déjà un filet de mouille. Ses globes fessiers ouverts par la pose laissent voir ses orifices et je découvre dans son anus un joli petit Plug dont lextrémité apparente est ornée dun prisme coloré.
- Vas-y, fais le bouger, çà mexcite de me faire lécher la chatte avec un jouet dans mon cul.
Aussitôt, je sors le Plug de ses fesses et je commence des va-et-vient de plus en plus rapides.
- Oh oui ! Comme çà ! Cest bon ! Continue !
Et là, Carmela mexplique que le soir du réveillon du Nouvel an, elle était en train de baiser avec une fille quand le copain de celle-ci était arrivé et, alors quelles étaient toutes les deux en 69, le gars lavait sodomisée. Peu habituée à être prise par derrière, elle avait eu un peu mal mais après sa jouissance avait été démentielle au point que pour habi son anus à être ouvert, elle avait acheté ce Plug. En même temps je mapplique à bien lui lécher son abricot. De son côté, elle men fait autant et je sens quelle a introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Si bien que nous ne tardons pas à jouir presque en même temps.
Nous nous rhabillons rapidement. Il était temps car au rez de chaussée, nous entendons Monica qui parle avec ses deux fils et sinquiète de ne pas nous voir. Nous descendons aussitôt. Je suis surprise lorsque Monica me dit en riant :
- Alors Sidonie, après Luis, cest Carmela qui te met dans son lit !
Alors que toute rougissante (çà marrive), je baisse la tête, elle ajoute :
-Ne ten fais pas, çà devait arriver. Ils sont aussi coquins quErnesto et moi. Viens dans ma chambre, je vais te montrer des choses.
Dès que nous arrivons dans la chambre parentale que je connais déjà, Monica sort de son décolleté un petite clé au bout dune chainette et elle ouvre une commode en bois précieux. Quelle nest pas ma surprise de découvrir dans les tiroirs quelle ouvre successivement tout un assortiment de lingeries coquines, des cravaches et fouets de diverses sortes, des entraves, baillons et autres poires dangoisse. En fouillant dans tous ces objets Monica me demande soudain :
- As-tu déjà gouté à la cravache, as-tu déjà été fouettée ?
- Oui, jai reçu la cravache plusieurs fois quand jétais en Angleterre.
- Et alors ?
- Alors quoi ?
- Dis-moi ce que tu ressentais ! ça ne devait pas te laisser indifférente !
Et là je commence à raconter comment Mme Maria ou Guido fouettaient les employées du restaurant quand il y avait eu de la casse et comment moi, javais découvert que cela me faisait beaucoup deffet. Bref je lui ai raconté toutes mes aventures sexuelles de mon séjour londonien.
Pendant tout le temps où je raconte mon histoire Monica narrête pas de croiser et décroiser se jambes gainées de bas fins et presque translucides que jentends crisser sous sa jupe. De mon côté, jai une fois de plus le fond de mon string complètement trempé, tant les évocations et lambiance de luxure qui règne dans la chambre mont émoustillée. Monica me dit soudain :
- Je suis sure que tu es aussi mouillée que moi. Va fermer la porte !
Le temps daller jusquà la porte et de revenir près du lit, je découvre Monica, la jupe troussée sur ses reins, les fesses barrées par le cordon dun string blanc qui tranche sur sa peau mate. Elle moffre une vision sur son fessier largement fendu qui achève de mettre le feu à ma libido.
- Viens me lécher la chatte, je ruisselle, après je ten ferai autant.
- Oh oui, jai envie de vous donner du plaisir !
- Mais tu peux me tutoyer ! Vas y, lèche-moi bien à fond !
Je mapproche et je darde ma langue entre les cuisses de Monica pour laper la cyprine qui sécoule lentement de sa chatte. Je menhardis à titiller sa rondelle avec un doigt qui y entre avec grande facilité. Quelques allers-retours et Monica jouit :
- Coquine, tu mas bien eue ! Tu sais, mon cul en a vu passer des belles queues ! Jadore çà !
- Moi aussi, jaime bien ! Cest Guido, le fils de la patronne du restaurant à Londres qui ma initiée.
- Viens, à mon tour de te faire jouir !
En disant cela, Monica me couche sur le dos, retire mon string qui est bon à tordre tant il est mouillé et commence à lécher ma chatte où je la sens introduire un gode pour mieux me faire jouir.
- Oh oui, cest bon prend moi le cul !
- Ne tinquiète pas mal belle, il va servir ton cul !
Et elle entreprend de me sodomiser tout en léchant ma cyprine, ce qui ne tarde pas à me faire partir dans une jouissance démentielle que jexprime bruyamment. Nous nous relevons, mettons de lordre dans nos vêtements mais au moment où je veux récupérer mon string, Monica me dit :
- Confisqué ! Il va aller enrichir la collection dErnesto.
Jétais bel et bien tombée dans une famille de libertins et les deux jumeaux avaient de qui tenir pour venir ensemble me demander de leur faire une fellation.
Trois semaines passent. Il ny a rien de particulier. Chacun vaque à ses occupations habituelles. Ernesto part chaque matin dassez bonne heure à lusine où il travaille comme chercheur, les jumeaux partent pour le lycée vers 7 h 45 et selon mes horaires, je me rends à luniversité en bus ou avec Carmela dans sa voiture. Je croise peu Luis que je ne rencontre quau repas du soir. De son côté Monica partage son temps entre la maison, son atelier et des sorties les après-midi.
En revenant de luniversité le jeudi en fin daprès midi, je trouve posé sur le palier un colis assez volumineux mais relativement léger. Il est accompagné dune enveloppe à mon nom, glissée sous le ruban qui noue le paquet.
Jouvre aussitôt lenveloppe écrite de la main de Monica :
- Sois prête avec ces vêtements samedi à 11 heures. Je viendrai te chercher.
Je déballe immédiatement le colis. Je découvre en premier un ensemble soutien gorge et string en cuir souple, des escarpins avec des talons démesurés (au moins dix centimètres), une cape en velours et un loup rigide en satin noir qui épouse la forme du nez et le haut du front. Deux orifices permettent de voir. Ensuite, dans une boite plus petite, je découvre des menottes gainées de tissu et une longue laisse de cuir et un collier orné de strass. Dans une autre boite, je trouve deux plugs de taille différentes en silicone de couleur chair et un autre en métal argenté dont lextrémité est pourvue dun ensemble de pierres colorées.
Je suis tellement surprise que jhésite quelques temps avant dessayer les sous vêtements et les chaussures, mais je ne peux bientôt plus résister. Jôte mes habits de ville et jenfile le soutif : il me va parfaitement, remontant les globes de mes seins comme pour les présenter. Le string moule bien le devant de mon sexe et les cordons en cuir partent vers larrière où ils se rejoignent en une torsade qui passe dans mon entrejambe.
Les escarpins sont également à mon pied mais, je suis peu habituée à une telle hauteur de talon si bien que je suis obligée de marcher dans ma chambre pendant quelques temps. Lorsque je passe devant le grand miroir, je vois mes fesses cambrées comme elles ne lont jamais été.
La journée du vendredi passe dans la fébrilité. Je me demande pourquoi Monica a acheté ces objets
Je ne suis pas naïve, les menottes et la laisse me font présager un rôle de soumise, desclave sexuelle certainement.
Je passe une bonne partie du samedi à me pomponner. Après une longue douche tiède, je taille ma toison très courte puis je le mets en forme en ne laissant quune touffe de poils drus large de deux doigts. Les ongles des mains et des pieds sont peint dun rouge vif et en dernier, je maquille discrètement mon visage. Seules mes lèvres sont outrageusement rouges.
Lorsque Monica vient me chercher, je remarque aussitôt quelle porte une cape presque identique à la mienne mais ses vêtements sont cachés. Nous montons aussitôt dans la voiture conduite par Ernesto, les deux femmes installées à larrière.
Nous sortons rapidement de la ville. Monica se tourne vers moi et en me disant de ne pas avoir peur, elle passe sur ma tête une cagoule en satin noir qui maveugle complètement. Ernesto dit à Monica :
- Sidonie ne doit pas voir où nous allons exactement et en plus, il faut quelle ait la surprise des lieux.
Nous reprenons notre route, et après une bonne heure, je sens la voiture ralentir et sengager dans un chemin pentu apparemment étroit et bien entretenu. Dix minutes plus tard, Ernesto arrête la voiture, coupe le moteur et je sens Monica qui maide à descendre. Je pose avec précautions les pieds sur un sol gravillonné. Monica ouvre ma cape, en faisant passer les pans sur mes épaules, puis je sens la laisse se tendre. Javance, toujours aveuglée par la cagoule :
- Ah ! Quelle fille superbe tu nous amène !
Autour de moi, cest un brouhaha de voix qui complimentent Monica et Ernesto. Je sens des mains qui caressent mes épaules, mes seins, mes hanches, le bas de mon dos quand soudain ma cagoule est retirée. Je ne saurai jamais par qui, mais je me trouve devant une assemblée dune douzaine dhommes et de femmes portant tous le même genre de tenue : pour les femmes, une cape longue qui recouvre les vêtements ou plus souvent les sous-vêtements et un loup plus ou moins petit masque le haut du visage. Pour les hommes, cest une sorte de juste au corps uni, noir, fauve ou gris pale.
Guidée par Monica qui tient la laisse, javance au milieu du groupe et nous entrons dans une immense bâtisse ancienne où après avoir traversé une pièce relativement fraiche, nous débouchons dans un grand patio meublé de divans, lits de repos, coussins, poufs de hauteurs diverses.
Vous avez deviné dans quel lieu nous sommes
Nous sommes dans un lieu de luxure où tout est prévu pour une gigantesque partouze. Monica savance vers un homme, un véritable colosse aux épaules larges et à la taille étroite, prise dans une ceinture de satin de couleur vive. Elle sincline devant lui et je comprends que cest notre hôte :
- Voila Maître celle dont je vous ai parlé ! Elle est là pour partager notre fête et selon votre bon plaisir.
Ce dernier sapproche de moi, je sens son regard qui me transperce mais dune voix douce il me dit :
- Naie pas peur mon petit oiseau ! Nous sommes entre gens de bonne compagnie, tu nas rien à craindre.
En disant cela, il me débarrasse des menottes et de la laisse quil donne à Monica.
(A suivre).
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