La Cabane Du Pécheur .
Enfin les vacances ! Un soleil radieux pour nous accompagner en cette troisième semaine daoût. Comme à notre habitude nous parcourons les côtes, cette année la Vendée et ses superbes plages
vêtue léger c'est aussi un moment propice pour quelques petits moments sympas à observer les regards coquins et prendre plaisir à exhiber mes jolies formes. La voiture comme souvent, mais aussi le bord de mer sans compter bien d'autre petites situations excitantes dont nous avons le secret.
Nous avons nos petites habitudes durant nos vacances. Grasse matinée, petit déjeuner copieux
ballades ou activités avant le dîner puis sieste avant visite de la région. Bon... sieste c'est surtout mon époux, moi bien souvent je profite de sa sieste pour aller me balader aux alentours et découvrir le coin.
Cest un peu plus tôt en passant dans la journée que j'avais remarqué sur ce pan de falaise, ces quelques cabanes de pêcheurs qui se fondent dans le paysage à merveille. Ces petits cubes suspendus au-dessus de l'eau mont toujours attirés. Leurs côté rustique, leurs accès par une longue passerelle et leurs filets suspendus dans le vide. Toutes ont un charme différent mais toutes se fondent dans le décor à merveille. Voilà quelques années que je les admire sur nos côtes : subissant les marées, donnant une vision différente suivant le niveau de la mer.
C'est par une splendide après-midi que je me suis mise en tête de les approcher. Comme à son habitude mon mari sinstallait dans son transat, son journal à la main vers 13 h
moi j'enfilais une petite jupe en Jeans et mes claquettes pour partir me promener. 13h/ 16h, c'est bien souvent son horaire. Cela me laisse le temps de découvrir les boutiques ou jolis lieux du coin. La chaleur est intense cette après-midi-là. Un petit débardeur à bretelles et ma petite jupe me suffisent ! Rien de plus pour profiter pleinement de ma ballade avec un petit côté osé que j'aime tant. Monsieur ny prête du reste plus attention depuis des lustres ! Pour ma part, en vacances
loin de chez moi ne connaissant personne, j'en !
Je méloigne donc, alors que mon mari ne relève même pas la tête, plongé dans les résultats sportifs de son journal préféré.
L'endroit est calme. Seul un couple est installé sur une table de pique-nique. J'enjambe la grosse chaîne qui délimite la petite place perdue dans la nature. Javance jusquau bord de la jetée délimitée par de gros rochers en contrebas. Je surplombe l'eau de deux mètres environ. La vue est splendide ! Une eau calme, presque plate à l'exception de quelques petites vagues qui viennent clapoter sur les rochers. Je massoies un moment sur un banc face à ce spectacle que seule la nature peut nous offrir. Irrémédiablement, mon regard est attiré vers la gauche et cette ligné de petites cabanes surplombant locéan de plusieurs mètres
jadore ! Des couleurs naturelles allant du gris au marron les rendant toutes différentes les unes des autres sans pour autant déranger l'endroit si naturel. Elles se fondent tout simplement dans le panorama. Je ne peux alors résister à tenter den approcher une. La première est à peine à trente mètres de moi et le petit chemin qui se dessine dans les herbes doit y mener.
Quelques minutes plus tard le spectacle est grandiose ! Derrière les herbes l'océan a rongé la verdure
tout un lopin de terre a disparu formant une petite plage de quelques mètres carrés. L'érosion s'est même faite sous les arbres mettant leurs racines à nues. Pour accéder à cette petite plage il faut passer une marche d'un mètre environ de dénivelé mais cela ne marrête pas, trop désireuse dapprocher ce superbe endroit.
Quel calme, quelle beauté
pour peu on se croirait sur une île déserte ! Le soleil me brûle la peau, pas un soupçon de vent, abritée que je suis dans ce petit trou de sable. C'est paradisiaque !!! Quelques instants à admirer le panorama, en faire quelques photos également, pour souvenir
Dommage que mon mari ne mait pas accompagné ! Il aurait pu au minimum me faire quelques bons clichés, voire bien plus, l'endroit étant propice
Je bidouille quelques instants sur mon mobile cherchant le mode retardateur photo. Quelques images perso devant ce sublime endroit me feront un souvenir de plus. Durant 20 minutes je passe mon temps à mettre en équilibre mon portable ici et là avec l'espoir dobtenir quelques jolies photos. Assise près des racines, debout, la cabane me surplombant
je ne manque jamais dimagination dans ces cas-là ! Puis, de fil en aiguille, lidée d'avancer vers cette cabane m'envahit. D'ordinaire les passerelles sont fermées par une barrière et là
celle-ci non ! Rien
une longue passerelle délabrée certes mais aucune barrière à l'entrée. Le seul souci qui me saute aux yeux, c'est la visibilité ! Étant la première cabane, en traversant cette passerelle, je serai à vue de la petite digue d'où je suis arrivée. Seul le bord de celle-ci est protégé par les arbres
Je reprenais mon petit jeu posant mon téléphone contre un arbre et me réalisant quelques photos sur le bord de la passerelle.
Comment aurai-je pu y penser ! Je gesticulais tentant de me faire quelques selfies sympa lorsquune voix grave m'a interpellé ! Un homme occupait la cabane
J'ai sursauté, comme surprise en flagrant délit ! Honteuse, gênée, je m'empressais de ramasser mon téléphone alors que le type avançait sur la passerelle.
"Nayez pas peur allons je ne vous chasse pas ! Profitez-en !"
Ces quelques mots faisaient retomber quelque peu la tension
C'est vrai
Je ne faisais rien de mal ! Pourquoi cette panique ? J'ai néanmoins ramassé mon mobile posé au pied de l'arbre avant de regarder et faire face au type.
Nous échangeons quelques mots. Il m'observait depuis de longues minutes et finit par me réaliser quelques photos en toute sympathie. Je ris timidement comme pour cacher la gêne qui sempare de moi. La cabane, héritée de père en fils, appartient à sa famille depuis des générations
Son torse luisant, poilu gris, me trouble... plutôt bien foutu le mec et souriant
Je finis par lui tendre mon téléphone en lui disant que j'adorais l'endroit !
Quelques minutes suffisent à me mettre en confiance et je prends la pose au pied de l'arbre et m'enhardis de minutes en minutes me montrant souriante et certainement plus sexy. Gentiment le type a réalisé plusieurs photos de moi, avec un large sourire, laissant supposer quil appréciait les poses qui honnêtement et évidement restaient correctes ! Je l'ai vu stopper, regardant autour de nous comme à la recherche de quelques choses. C'est alors quil ma proposé d'avancer visiter la cabane et en faire quelques-unes à l'intérieur
Une boule m'est remontée dans la gorge m'obligeant à déglutir
Accepter de misoler avec cet homme, au vu de sa façon de me regarder, nétait ment pas sans risques ! Ceci dit, plutôt bel homme
Un mari qui devait à l'instant même dormir à poings fermés
J'étais sortie sans dessous pour mon plaisir
Au pire j'allais passer un moment sexe avec cet inconnu plutôt pas mal et sans risque loin de mes bases
J'acceptais donc et lui emboitais le pas sur cette petite passerelle pas très stable. Un couple sur la jetée nous regardait mais nous pouvions nous aussi être un couple ! Il ny avait donc pas de quoi salarmer.
Une fois devant cette cabane ou sur la partie la plus avancée, j'étais soufflée par le panorama. L'air frais iodé me brûlait le visage
la mer à perte de vue, quelques chalutiers au loin, un spectacle grandiose lorsque lon surplombe ainsi locéan ne serait-ce que de quelques mètres! Je sentais le type qui ne me lâchait pas du regard et plutôt admiratif.
Jétais entrée dà peine un mètre, je regardais autour de moi à la découverte dun endroit qui depuis toujours m intriguait, jen avais omis mon inconnu qui pourtant était le propriétaire des lieux ! Il était là, assis sur la table face à moi, les pieds sur une chaise. Le soleil, pénétrant par la seule ouverture quétait la porte, faisait briller son torse bronzé
sa petite chaîne en or méblouissait. Linstant était pesant, nos regards se croisaient, comme interrogateur, à la recherche de laccord de lautre
jamais je navais connu pareil moment. Comme si nous savions tous les deux comment allait finir cette visite... Perdue dans mes pensées je lui ai tourné le dos retournant jusque la rambarde de protection au bord du vide. Je regardais limmensité, les mains posées sur la barrière, me délectant du courant dair frais qui me caressait le visage. Je me dressais face à locéan, respirant à plein poumon, profitant de ce moment de plénitude. Linstant a duré une éternité ! Aucun mot, aucun bruit, si ce nest le doux son des petites vagues venant heurter les pieds de la cabane.
Jai été sortie de ce doux moment par le craquement du plancher qui me signalait que mon inconnu bougeait. Dressée face à la mer je nai pas esquissé le moindre geste. Attentive au moindre mouvement je lai senti arriver derrière moi. Sa main sur ma hanche
son souffle dans ma nuque
un petit baiser déposé dans mon cou
Ce petit murmure à mon oreille me disant que jétais magnifique
Je me tendais de plus belle, acceptant sa présence en inclinant la tête pour lui permettre de poursuivre ses doux baisers. Je fondais sous sa tendresse sans me soucier
cambrée, jacceptais ses baisers tout en me régalant de la pression que je ressentais sur mes fesses. Une main sur mon ventre glissait sous mon débardeur et remontait jusqu'à atteindre mon sein nu. Je me cambrais de plus belle pivotant dun quart de tour, accueillant ses lèvres brulantes pour un long baiser comme sil sagissait dun amant de longue date. Je fermais les yeux mabandonnant à ce doux baiser tandis quil me malaxait un sein. Je ne lai en rien repoussé bien au contraire, ce type mattirait ! Lambiance, mon bien être
je dirais même que javais limpression de le connaître depuis toujours
je me cambrais sous ses mains, ondulais au rythme de ses caresses. Un instant face à lui, il ma soulevé du sol en me tenant par les hanches
mes jambes se sont enroulées autour de son corps tandis que nos langues se liaient à nouveau pour une danse sensuelle. Les mains sous mes fesses, il est entré pas à pas dans la cabane sans jamais que nos lèvres ne se séparent
me déposant les fesses sur la table, nos regards se sont cherchés un instant. Le soleil sur sa peau bronzée lui dessinait un torse parfait ! Je mattardais à le caresser, lembrasser
mon débardeur est alors remonté rapidement ! Dans lélan, je levais les bras lui permettant de men débarrasser
ses mains, son regard se perdaient sur ma poitrine durcie par le désir. Je bombais le torse tout en lui caressant le cuir chevelu, laccompagnant ainsi dans lexploration de mes seins fièrement dressés. Quel plaisir de le sentir saffoler, sexciter
ses gestes perdaient de leur douceur, je laccompagnais avec plaisir sur son nuage nommé désir ! Le point de non-retour était atteint lorsque sa main se perdit entre mes cuisses ! Ma vulve nue et trempée eu raison de nos derniers moments de lucidité. Ce doigt qui glissait entre mes lèvres
je ne pus retenir un soupir magique tout en écartant les cuisses lui offrant mon minou baveux à la moindre de ses envies. Allongée sur la table les compas en lair et ouverts jai alors eu droit à de terribles baisers sur les cuisses
dans lintérieur des cuisses, accompagnés de coups de langue qui me faisaient vibrer de bonheur
deux voire trois doigts faisaient par moment irruption dans mon vagin
Aussi vite et fort que léclair ! Je rugissais sous ses assauts au point sûrement de lui griffer les épaules ! Lorsqu'enfin il ma laissé respirer, je me suis redressée
il dégrafait son short en jeans
lenvie était trop forte
je me suis relevée le saisissant par la ceinture
accroupie au sol, jai dégrafé pression par pression, envieuse de découvrir si le reste de mon inconnu était aussi beau que ce que jen avais vu !
Consommable, il létait ! Je baissais le Jeans et le caleçon en un geste et une jolie queue de taille moyenne et courbée me sautait aux yeux ! Il tendait le ventre impatient de se sentir dans ma bouche, je le fixais tout en masturbant doucement cette douceur
son regard, sa bouche entrouverte
il mimplorait ! Tombée à genoux à ses pieds, je lui offrais quelques coups de langue rageurs avant de le prendre en bouche.
Ses râles, ses soupirs et ses compliments concernant la façon de lui offrir cette fellation me rendaient folle au point de me déchaîner sur sa verge. A genoux, je le masturbais avec frénésie lui aspirant le gland que je sentais grossir entre mes lèvres. Plus rien ne pouvait marrêter, ce type me comblait de plaisir en tous points. Je mattaquais à ses bourses, les malaxant pendant que sa bite me pilonnait la bouche sous ses râles de mâle en transe
A ce stade, il aurait pu se vider en moi que jy aurais pris du plaisir, heureusement ce ne fut pas le cas ! Lorsquil ma saisi le bras, me relevant, jai bien compris quil était en surchauffe. Je nétais pas mieux ! Je navais quune envie, celle de le sentir me baiser avec vigueur. Repoussée contre la table, il sest débarrassé de son short et ma saisi les cuisses, jai basculé sur le dos les jambes maintenues en lair ! Mon heure était enfin arrivée.
Quel moment intense de le sentir bouillant entrer en moi, me prendre, memplir le ventre. Il me limait avec force
son bas ventre claquait sur mes fesses me faisant rugir de plaisir à chaque intrusion
poitrine nue, mes seins bondissaient au rythme de ses coups de reins sous mes gémissements incessants. Jai alors eu un premier orgasme les mains au-dessus de ma tête complètement soumise à ses assauts ! Il mécartelait de la plus belle des manières alternant les coups de queue violents, rapide à modéré
Ce long spasme ma liquéfié !!!
Jétais encore sur ma planète Plaisir, les yeux clos à écouter mon corps vibré, que mon compagnon du moment cherchait à me redresser. Amorphe, je chancelais debout, maintenue par lavant-bras. Ma jupe est tombée au sol, je men débarrassais avec peine du bout du pied. Il m à alors tiré vers le bas, mindiquant de me mettre à genoux sur un vieux tapis de sol. Je mexécutais encore fragile de notre folie
Il était derrière moi, debout. Je mattendais à le voir venir face à moi avec une envie folle de se finir dans ma bouche
mais une main sur mon épaule ma poussé gentiment en avant, me faisant tomber à quatre pattes. Le bougre allait remettre cela, cétait tout à son honneur !
Je me positionnais, écartant les jambes prête pour, pourquoi pas un second orgasme
Mais le type me resserrait les jambes en faisant pression de ses pieds sur mes genoux ! Tête baissée je regardais par-dessous ce quil voulait ! Pour une première cétait peu commun mais jallais de surprise en surprise
debout il me montait comme une jument
les pieds de chaque côté à hauteur de mes genoux, jambes légèrement fléchies il me surplombait
jeu à peine le temps dy penser ! Il me glissait un doigt le long de la raie râlant de me cambrer !
Jétais nue au beau milieu dun endroit qui me faisait rêver, avec un parfait inconnu, à me faire chevaucher comme la dernière des salopes pendant que par-dessus le marché, mon cher mari faisait sa sieste ! Le pire ? Cest que jétais bien et éprouvais une joie peu commune ! Lobéissance à la moindre de ses volontés. Je me cambrais à sa demande, une main sur mon épaule il guidait sa queue me la rampant sur les fesses, au passage grognant que jétais superbe. Cette queue en moi qui allait et venait ma vite comblée de plaisir
de nouveau je me suis mise à crier mon bonheur
il sagrippait à mes cheveux défaits me forçant à me cambrer davantage, à lui offrir mes fesses en labour !!!
Dieu sait sil ma labouré les entrailles ! Je hurlais à chacune de ses impulsions, le rythme ne cessait de monter. Il me baisait avec force et vigueur, butait violemment sur mes fesses et jhurlais mon plaisir parfaitement coincée à son emprise
Lorsqu il sest retiré de mon antre, cest pour à son tour, crier et se vider sur mes fesses
son plaisir chaud ma inondé le bas du dos, me brulant même la nuque
toujours sous son emprise je sentais mes jambes trembler, céder sous des spasmes incontrôlés
Lorsqu il a enfin lâché prise , je me suis littéralement effondrée sur le tapis en position de fétus, haletante le corps encore transpercé de spasmes électrifiant
les genoux endoloris et le dos douloureux tellement jétais restée cambrée de force un long moment. Quelques longues minutes furent nécessaires pour que je reprenne mes esprits. Mon cavalier assis à mes côtés me caressait la cuisse. Je me suis alors tournée vers lui, avec une extrême douceur nos bouches se sont nouées dans un long baiser
Nous nous sommes rhabillés tranquillement avant de sortir éblouis par le soleil
Gérard ma accompagné jusque la route insistant sur le plaisir quil avait eu. Je lui répondais que moi aussi javais adoré notre moment. Il ma tenu un moment la main me disant quil mattendrait les après-midi à venir, me sachant mariée il ne me proposait rien de plus que de prendre du plaisir si lenvie me prenait ! Un dernier baiser avant de rejoindre la route
Jai marché doucement encore sous le charme de cette rencontre , je me frottais un moment les genoux irrités par le tapis de sol. Je messuyais une dernière fois avant de rejoindre mon mari qui sortait à peine dun sommeil bien profond
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