Mon Amant
- Je ny arrive pas, désolé !
- Ce nest pas grave, cétait bien car même, jai pris du plaisir.
- Je ne peux pas faire ce que tu me demandes, je te respecte trop, tu es ma femme, la mère de notre .
- Mais ce nest quun jeu, une façon de pimenter nos ébats. Je ne te demande pas de me passer à tabas, de me gifler ou de minsulter, je voulais juste que tu accompagnes tes pénétrations avec des petites fessées et quelques mots crus.
- Ton fantasme me met mal à laise, je ne suis pas capable dagir ainsi envers toi, les mots crus ça passe encore, mais les fessées, même pour le jeu, je ne peux pas !
- Dommage, mais
je comprends.
- Tu ne mas toujours pas raconté précisément ce quil sest passé entre Gilles et toi lorsque tu tes retrouvée seule avec lui dans la chambre lors de notre weekend échangiste chez eux. Il ta pris de la sorte ? ça ta plu et tu en redemandes cest ça ?
- Disons quil ma fait lamour différemment, cétait,
. comment dire
. Une relation à la recherche de plaisirs sexuels intenses.
- Lorsque vous nous avez rejoints et que nous nous sommes retrouvés tous les quatre, je lai trouvé assez brusque envers toi lors de vos ébats, te maintenir la tête en te tirant par les cheveux, cétait tout de même limite
.
- Tu sais, moi ça ne ma pas déplu, il ne me faisait pas mal, cest sa façon de faire
. Tu as bien vu après, la façon dont il prenait sa femme,
il ne la pas ménagé non plu.
- Houai, il est assez sauvage, tu ne mas pas répondu, cétait comment avec lui lorsque vous étiez que tous les deux dans la chambre ?
- Pareil
- Quoi pareil ?
- Il ma un peu bousculé
- Cest-à-dire ?
- Il a été assez sauvage dans ses gestes, à la limite du brutal.
- Ça ta plu ?
- Oui, assez.
Je ne pouvais pas entrer dans les détails, jétais incapable de lui avouer que Gilles mavait lier les poignets pour me faire lamour, incapable de lui expliquer que la fellation que jai entamée sest rapidement transformée en une baise déchainée de sa part dans ma bouche.
- Cest pour ça que depuis tu me demandes de te faire lamour de la sorte
- Oui.
- Bon, on verra, mais je ne te promets rien
Tu penses quils ont apprécié autant que nous ces deux jours de débauches que nous avons vécus ensemble ?
- Je ne sais pas, je mattendais à un signe de leur part, mais ça fait maintenant trois semaines et toujours pas de « coucou ». Je ne pense pas quils souhaitent renouveler cette rencontre.
- Houai, dommage !
- Tu as aimé hein ! jai bien vu à quel point tu prenais ton pied avec Carole, tu étais déchainé, et elle, elle nétait jamais rassasiée ! Jai bien cru quelle allait tépuiser !
- Oui, javoue, cétait vraiment excitant, vraiment bon
..
- Il faut se faire une raison, si ils nont pas répondu à notre texto de la semaine dernière, cest quils ne veulent pas nous revoir.
- Oui, je sais, jai compris, mais ce nest pas grave, nous trouverons bien dautres partenaires de jeux et pour ça je te fais confiance ma petite Isa
Cela faisait maintenant plus dun mois que nous navions pas de nouvelle de Gilles et Carole, il était clair que nous nentendrons plus jamais parler deux. Plus jamais, jusquà ce lundi après-midi ou jai reçu un texto provenant de Gilles.
« Bonjour Isa, jespère que tu vas bien, je suis en déplacement sur Marseille pour le boulot les 13 et 14 septembre, mais si tu le souhaites, je peux être là dès le lundi après-midi, et comme je sais que le lundi cest ton jour de repos, nous pourrions passer laprès-midi ensemble, rien que nous deux.
La lecture de ce message ma mise dans un état dexcitation auquel est venu sassocier un sentiment dangoisse. Je ne savais quoi répondre à une telle proposition, jétais partagée entre le désir de vivre à nouveaux des moments intenses avec ce partenaire de jeu et la retenu imposée à une femme mariée qui ne veut pas faire de mal à son époux. Je ne voulais pas me lavouer immédiatement, mais je savais que la balance penchait du côté du plaisir. Jai mis quelques heures pour prendre ma décision, mais vous lavez deviné, je me suis dirigée sur le chemin du plaisir.
« Je vais bien, et je suis heureuse de savoir que lon va pouvoir se revoir. Ok pour une rencontre lundi après-midi. Tiens-moi au courant du lieu de notre rendez-vous. Bises, Isa »
Je nétais pas fière de ce que je mapprêtais à faire vis-à-vis de Jean. Jespère que vous ne me jugerai pas. Pour ma défense, je dirai que cest la nature humaine qui la emporté, et je suis convaincu que nombreux sont celles et ceux qui comprendront ce message.
Les jours qui me séparaient de ce rendez-vous coquin étaient rempli dun mélange difficilement descriptible : je vivais en étant liée à une certaine angoisse, sur laquelle le désir, limpatience et lexcitation prenaient le dessus. Je me suis surprise à me caresser le sexe en toute discrétion, telle une jeune fille encore pucelle qui fantasme et qui rêve de découvrir la définition du mot sexualité.
Le lundi matin, vers 11h, jai reçu un nouveau texto provenant de Gilles :
« Coucou ma belle, je suis en gare à Lyon, je mapprête à prendre ma correspondance, je devrais être sur Marseille vers 13h. Je nous ai réservé une chambre à lhôtel, voici ladresse et le code de la chambre 31 [..]. Je compte sur toi pour my attendre, tenue sexy exigée. A tout à lheure. Bises, Gilles »
Ma réponse :
« Ok, à tout à lheure, bises, Isa »
Tenue sexy exigée ! Je nétais pas ment partie la dessus, mais bon
.
12h, je mapprête à partir en direction de cet hôtel. Mon cur bat la chamade, mes mains tremblent sur le volant. Je suis excitée, impatiente. Sur place, très peu de voitures sont garées sur le parking de cet hôtel. Une fois garée, javance à pied en direction de lentrée, il est à peine 12h45, jespère ne croiser personne, je suis mal à laise, jai honte de ce que pourrait penser quelquun qui croiserait mon regard, jai limpression que sur mon visage il est inscrit en gros caractère : « je viens prendre une chambre pour une après-midi de débauche ». Ouf, personne à laccueil, je cherche les indications me permettant de me diriger vers la chambre 31. Je tape le code, jentre, je respire mieux, je suis soulagée, je nai plus quà attendre.
Comme dans la plupart de ces hôtels, dans la chambre, il y a un grand lit double au-dessus duquel il est superposé un lit simple à la perpendiculaire. La salle de bain est étroite mais assez lumineuse. Je minstalle, je mallonge sur le lit, jallume la télé pour patienter. Je choisi une chaine au hasard, je narrive pas à me concentrer sur ce que je vois et ce que jentends, mon esprit reste perturbé, je suis excitée mais aussi très angoissée. Je sais que Gilles naura aucune retenu sur ces actes, mais au fond de moi, sans oser me lavouer, je crois bien que cest ce que jattends de lui.
Brusquement, alors que je reste évadée dans mes pensées, mon téléphone bipe, cest un texto, de Gilles :
« Désolé Isa, je suis à peine dans le taxi, le train a pris du retard, daprès le chauffeur je suis là dici 20 minutes. Bises, Gilles »
Cest effectivement au bout dune vingtaine de minute que lon toque à la porte de la chambre. Jouvre, jaccueille Gilles avec un large sourire.
- Ouaou, tu es magnifique, vraiment sexy, tout ce que jaime ! Merci !
- Je suis contente que ça te plaise.
- Viens, approche toi, je ne peux plus attendre !
Il ma serré dans ses bas, nous nous sommes embrassés langoureusement, puis une de ses mains est venu se fixer sur ma nuque alors que son autre main sest posée sur mes fesses pour les masser, les caresser, avant de les écraser entre ses doigts une après lautre. Suite à ce câlin en guise de bonjour, il a décollé ses lèvres des miennes pour me décrire ce que je percevais déjà très bien contre mon bas ventre :
- Tu mexcites tellement,
je bande tellement dur que jen ai presque mal au sexe !
Il sest écarté pour passer derrière moi, dans mon dos, il a posé ses mains sur mes hanches puis ma poussé pour me diriger vers léchelle en acier qui sert à accéder au lit simple superposé. Une fois devant cette échelle il me dit :
- Att le haut de léchelle et garde bien tes mains fixées dessus.
Je me trouvais debout, face à ce lit, le nez à seulement quelques centimètres des barreaux de cette échelle, les bras tendus vers le haut. Gilles toujours derrière moi, collé à moi, en a profité pour balader ses mains sur mon corps, on aurait pu croire à une fouille au corps exercée par un agent de la police qui palpe dans les moindres recoins avec insistance. La caresse était agréable, je prenais beaucoup de plaisir sur ces préliminaires. Mes épaules et mon dos étant assez dénudés, Gilles a pu y déposer quelques baisers humides tout en massant mes seins de façon assez sensuelle par-dessus les tissus de mon haut. Sans aucun mot, il a retiré mon haut puis mon soutien-gorge avant demprisonner à nouveau mes deux globes dans ses mains. Jadorais sa façon de mordiller la chair de mon coup tout en me caressant la poitrine avec ses mains, je frissonnais de plaisir, il sy prenait merveilleusement bien. Ses mains mont ensuite libéré pour descendre sur mes hanches, au niveau de la fermeture éclair de ma jupe. Toujours en baladant ses lèvres sur mes épaules, il a baissé la fermeture de ma jupe pour me la faire glisser sur mes pieds. Sans me laisser le temps de soulever une jambe pour pouvoir lenlever entièrement, il a enchainé en baissant mon string sur mes cuisses bien au-dessus de mes genoux labandonnant ainsi. Une chaleur incroyable envahissait mon bas ventre, mon humidité vaginale sécoulait de plus en plus abondamment sur mes lèvres intimes. Il sest écarté légèrement sur ma gauche toujours dans mon dos de façon à pouvoir faire descendre sa main droite de ma nuque jusque sur mes fesses avant de glisser lentement son majeur sur ma raie. De sa main gauche, il a tourné ma tête vers lui pour pouvoir placer sa langue dans ma bouche, puis il est venu agiter le bout de son majeur sur mon petit trou avant de le pénétrer légèrement dune longueur de phalange. Après une courte visite, son doigt sest déplacé entre mes lèvres intimes avant datteindre mon clitoris. Ses déplacements, ses mouvements autour de mon petit bouton nétaient pas très aisés du fait que mon string empêchait un écartement convenable de mes jambes, mais Gilles a poursuivi un instant cette caresse sans retirer ce dernier bout de tissus. Il sest écarté, ma libéré de son emprise pour me dire :
- Jai une surprise pour toi, quelque chose qui devrait beaucoup te plaire.
Sur ces mots, je me suis retournée en lâchant cette échelle
- Non, non, je ne tai pas dit que tu pouvais te retourner et lâcher léchelle, gardes tes bras tendu vers le haut et tien bien fermement les montants de léchelle.
Je me suis exécutée, sans pouvoir observer ce quil faisait, je lentendais dans mon dos, il se déshabillait, il fouillait ensuite dans son sac de voyage. Il sest approché de moi, il a retiré mon string entièrement me précisant quil préférait que je garde mes chaussures aux pieds car elles étaient très sexy et que de me voir avec, ça lexcitait beaucoup. Il sest collé dans mon dos, son sexe dur sest écrasé contre mes reins, il a déposé quelques baisers humides dans mon coup sans aucun contact de ses mains sur mon corps, javais compris quil y tenait quelque chose, que ses mains nétaient pas libres, même si jimaginais ce que cela pouvait être, je nen avais pas la certitude jusquà ce quil att mes poignets pour me menotter avec de vraies menottes sur le barreau le plus haut de cette échelle métallique. Ses mains ont ensuite glissées dans mon dos, pour finir leurs courses sur mes fesses. Il sest mis à genoux derrière moi, il a déposé des baisers humides sur mes fesses tout en déplaçant ses doigts sur mes cuisses, mes hanches mon ventre. Je nen pouvais plus, lattente était trop longue, une douleur dexcitation semblait transpercer mon sexe, il fallait quil me soulage, quil me remplisse, mais il nen faisait rien, seule sa langue glissait lentement sur chacune de mes fesses à tour de rôle. Lorsquil a cessé ces baisers, jai cru quil allait enfin passer à la vitesse supérieure mais au contraire, il sest éloigné de mon intimité en passant ses mains sur mes cuisses pour descendre jusque sur mes chevilles. Ces caresses étaient suivies de très près par ses baisers qui prenaient exactement le même trajet sur mes jambes. Puis sest en maintenant ses mains sur mes pieds, par-dessus mes chaussures quil a fait glisser sa langue de ma cheville jusquentre mes fesses ou il a pris le temps de sinstaller. Dans un premier temps, son bout de chair humide tourbillonnait sur mon anus, mais ensuite, en écartant au mieux mes fesses avec ses deux mains, il a tenté de me pénétrer le plus profondément possible avec sa langue. Après avoir joué un instant de la sorte avec la partie la plus intime de mon corps, il sest redressé, il sest mis debout derrière moi, il a réuni tous mes cheveux dans sa main pour pouvoir y tirer dessus de façon à faire basculer ma tête en arrière. Il a approché ses lèvres de mon oreille pour me murmurer :
- Tu aimes que quand je tencule avec ma langue ?
Nayant pas obtenu de réponse immédiate de ma part, il a insisté en tirant brusquement sur mes cheveux ce qui a eu pour effet une première réponse de ma part :
- Aie
- Je tai posé une question, je vais te la répéter une seconde fois : Tu aimes quand je tencule avec ma langue ?
Cette fois sans attendre jai répondu :
- Oui
- Tu aimes te faire prendre comme une vraie salope ?
- Oui
- Réponds moi mieux que ça, je ne vais pas me contenter dun simple oui, alors je técoute !
- Oui, oui jaime me faire prendre comme une salope.
- Je nen doutais pas, si tu es là aujourdhui cest bien pour ça nest-ce pas ?
- Oui, aujourdhui je suis là pour ca
Sur ces mots, il a libérer mes cheveux, pour poser ses deux mains sur mes fesses quil a écarté largement. Son sexe a pénétré mon anus dun seul mouvement jusquà ce que ses cuisses se plaquent contre mon derrière. Il est resté ainsi immobile en moi, le temps de saisir mes tétons entre ses doigts tout en maintenant mes seins dans ses pommes de mains. Toujours immobile dans mon anus, je sentais son souffle chaud contre ma nuque avant que ses dents viennent presser le lobe de mon oreille. Il a entamé de lents mouvements de son bassin pour faire des vas et vient tout aussi lent dans mon conduit, il accompagnait ses mouvements par le massage de mes seins sans oublier de tirer autant quil le pouvait sur mes tétons. Cétait à la fois douloureux mais aussi très excitant de se faire martyriser ainsi la pointe des seins pendant la pénétration, il attendait certainement une réaction de ma part pour connaitre la limite à ne pas franchir et cest exactement ce que jai exprimé dans un soupir de plaisir mélangé à la douleur :
- Aie, ça fait mal, mes seins
ça fait mal.
Sur ces mots, il a libéré ma poitrine pour poser ses deux mains sur mes hanches. Dun de ses pieds il a tapoté sur ma chaussure pour me faire comprendre que je devais écarter encore plus mes jambes. Il a ensuite appuyé sur mes reins avec une de ses mains pour que je me cambre au maximum. Une fois la position souhaitée, il a accéléré ses mouvements de vas et vient dans mon conduit et pour accompagner ses mouvements, sa mains droite est venue claquer à plusieurs reprise sur mes fesses, dabord en douceur puis de plus en plus brutalement, sous la chaleur que provoquait ces fessées, je devinais la rougeur de mes fesses. Pour la première fois, un homme me prenait tel que je lai souvent fantasmé, le plaisir et la douleur se mélangeaient à tel point que je ne savais lequel des deux prenait le dessus sur lautre. Contrairement à ce que javais imaginé, il sest retiré de mon conduit avant même davoir joui à lintérieur, il sest écarté un instant, sa respiration était très rythmé.
- Cambre toi un peu plus, je vais te prendre la chatte.
Jai accentué ma position en baissant mon torse le plus bas possible, mais les menottes qui maintenaient mes bras en lair attachés sur léchelle minterdisaient de me cambrer davantage. Layant constaté, Gilles sest empressé de me libérer pour me rattacher immédiatement les poignets un peu plus bas sur léchelle. Jétais donc à léquerre, visiblement, cétait la position dans laquelle il souhaitait me prendre. Tout aussi brusquement que précédemment, son sexe ma transpercé pour venir en buté tout au fond de mon vagin. Une nouvelle série de fessées ont accompagnées ses allers-retours au plus profond de mon ventre, ma jouissance était cette fois assez proche, tout comme la sienne que je devinais par les gémissements de plus en plus bruyant quil émettait. Sans pouvoir réellement expliquer pourquoi, sans comprendre pourquoi, cest à lécoute de ce quil a exprimé pendant ses pénétrations que je nai pu retenir davantage mon passage au septième ciel :
- Putain, quest-ce quelle est bonne ta petite chatte de pute, je vais bien te la remplir
haaaaaa
oui
Sur ce premier acte, nos jouissances ont été parfaitement synchronisées. Il est resté un instant figé en moi avant de sécarter. Son sperme chaud sécoulait le long de mes cuisses. Il ma démenotté et ma proposé daller me nettoyer dans la salle de bain. Après ce brin de toilette bien mérité, je me suis allongée à ses coté, sur le lit, il ma souri avant de minterroger :
- Jean te fait lamour comme ça ?
- Non, jamais
- Je lavais un peu deviné lors de notre dernière rencontre, jai vu quil était plutôt doux dans ses rapports avec les femmes, et toi, ça te plait de faire lamour comme ça ?
- Oui, assez
- Tu as des fantasmes non assouvis que tu aimerais vivre ?
- Oui jai des fantasmes, mais je ne suis pas prête à les réaliser
- Lesquels ?
- Je préfère les garder pour moi, pour le moment.
- Tu as honte den parler ?
- Non,
oui un peu en réalité, ils sont tellement
. cochon, je ne veux pas que tu me prennes pour une
- Salope ?
- Exactement
- Tu le sais, tu las compris, ce que jexprime dans lacte sexuel cest uniquement pour le jeu, pour lexcitation, jespère que tu ne prends pas mal ma façon de te traiter, de te parler ?
- Non, au contraire jaime bien, en revanche si tu devais me parler de la sorte hors contexte de nos jeux sexuels, là je le prendrai mal !
- On est daccord !, allez, sil te plait dis-moi ce qui te fait fantasmer, je te promets de ne pas te juger
- Eh bien, ce quil me fait rêver cest
. Tu sais lorsquil y a plusieurs hommes derrière un mur et que seulement leur sexe sort dun trou de ce mur, jai vu une vidéo ou une fille faisait des fellations sans que les hommes puissent intervenir ou sachent qui agit sur leur sexe, seul leur pénis sort du mur par le trou et ça, ça mexcite beaucoup ! Je fantasme sur le fait de faire une gâterie de ce genre sans savoir qui est lhomme en question et sans que lui sache qui est entrain de lui procurer ce plaisir !
- Ah tu veux parler des Glory Hole !
- Oui, il me semble que cest comme cela que ça se nomme, mais, ce nest quun fantasme, je ne pourrai jamais oser faire ça en vrai, même si lidée mexcite énormément.
- Tu me parles de fellation, du coup
. Tu men donnes envie. Je vais me nettoyer le sexe et je reviens.
Jai passé une merveilleuse après-midi en sa compagnie, je ne regrette en rien cette rencontre que jespère pouvoir renouveler une prochaine fois, très bientôt
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