Claire 1 : La Rencontre
Le récit que je vous livre aujourd'hui est bien réel ; c'est celui de ma rencontre avec celle qui a changé ma vie et ma façon de vivre ma sexualité.
Nous sommes en plein dans le premier confinement. Commerce de première nécessité, mon magasin accueillait le public. Milieu d'après-midi, une jolie blonde rentra pour acheter 2 petites choses pour sa mère. Même avec le masque, la ressemblance était frappante et je sus tout de suite à qui j'avais affaire.
Des années avant, je croisais régulièrement cette jeune femme sans qu'elle n ait jamais un regard pour moi. Déjà très jolie bien que rondelette mais froide et hautaine, elle me semblait inaccessible. Vingt ans plus tard, elle était devenu une femme mature incroyablement sensuelle. Plus de kilo superflus, une voix douce et apaisante, elle n'était ni froide, ni hautaine (elle m'expliquera plus tard que sa fonction de l'époque l'obligeait à une attitude détachée). Ne voulant plus la quitter, au bout de seulement quelques minutes, je lui proposais le poste à pourvoir dans le magasin. Sans emploi depuis quelques jours, elle accepta de m'apporter un CV ; comme quoi les choses sont parfois bien faites.
Moins de cinq jours plus tard , elle signait son contrat avec le patron.
De mon coté, j'étais empêtré dans un mariage compliqué à la vie sexuelle quasi inexistante. Je sens vos regards blasés. Vous vous dites « encore une histoire de cul au boulot » ou bien « il n est pas aller la chercher bien loin sa maitresse ». c est un poil plus compliqué et je vous promets que je ne vous cacherai rien.
Notre relation a d'abord été amicale. Même si depuis le début je rêvais de me la faire, de son coté elle était avec quelqu'un et fidèle. Nous sommes donc devenus amis. Nous parlions beaucoup ; de nos vies, de nos couples ou des problèmes au boulot. Le virage s est amorcé un jour où, entrant dans la salle de repos je vis Claire (ce sera sont nom pour ce récit) en larmes. Laissant de coté tout respect vis à vis des règles qui sont sensées régir les rapports supérieur, employée, je la pris dans mes bras pour la réconforter ; comme je le ferais pour mes amis.
Ce fut le point de départ d'un changement radical dans sa façon d'être au quotidien dans le boulot et avec moi. Ses tenues se sont faites plus sexy, ses postures plus provocantes, nos discussions moins sages. Très souvent sa jupe courte remontait ne masquant plus rien du haut de ses bas ; son décolleté s entre baillait sur sa poitrine laissant deviner son soutien gorge. Tout cela quand elle était sûre que moi seul pourrais en profiter. Elle me rendait dingue. Mes douches du matin s'éternisaient pour me laisser le temps de bien me branler en pensant à son corps superbe et son visage d'ange pas si sage que ça.
Il est peut être temps de vous présenter Claire. Blonde aux verts, 1m73, une taille fine, un 95C entêtant, un petit cul rebondi et des jambes magnifiques. Tres sportive, à 45 ans, elle a encore de quoi rendre jalouse beaucoup de midinette. Elle a cette classe naturelle et le souci de ne jamais sortir de chez elle sans être apprêtée et élégante. Un régal pour les yeux.
Un matin Claire arrive et m annonce comme si de rien était qu'elle avait rompu avec son mec. Tout espoir n'était donc pas perdu.
Quelques semaines « à se tourner autour » plus tard, je me programmais une soirée Finale de Championnat de France dans un pub voisin. Claire me proposa d'enfin m'offrir le pot pour fêter son embauche en CDI. Je lui répondais :
ok mais quand je sors je fais très attention à mon allure. Je suis curieux de voir si tu seras au niveau.
Elle me parut mi vexée, mi joueuse.
La débauche enfin, rendez vous fut donné à 20h au pub. Comme il se doit, j arrivai quelques minutes en avance. Je lui indiquais par SMS que je m'étais installé sur la terrasse arrière. Ce qui me permettrait de bien profiter de son entrée dans l'établissement. Tout ce que l'on peut dire c'est que je ne fut pas déçu. Ses cheveux flottaient sur ses épaules laissées nues par sa robe courte à bretelle. Pas beaucoup de place pour un soutien gorge. Ses jambes paraissaient encore plus longues ainsi montées sur ces talons.
Très amusé, je la vis s'assoir à ma table un poil gênée par cette toute récente popularité. De mon côté, ma queue manquait de place dans mon pantalon.
Ponctuée de quelques verres, la soirée se passa de manière très agréable. Quelques frôlements, sa main posée sur mon bras, des regards un peu trop insistants, nos pieds qui se touchaient parfois sous la table mais rien qui laissait présager la suite de la soirée. Une fois la note réglée, nous sortîmes du bar et décidâmes de fumer une dernière clope sur le trottoir. Je demandais à Claire comment elle était venue et elle me dit qu elle avait pris un taxi et qu'elle allait en appeler un pour le retour.
Je lui indiquais que ma voiture était garée dans la cour du magasin et que je pourrais faire ce petit détour pour lui économiser le prix de la course.
A cet instant Claire vint se blottir contre moi avec le prétexte le plus fallacieux qui soit :
j'en ai marre qu'ils me reluquent, me dis t elle. On va dire que t'es mon mec pour dix minutes.
Je vous rappelle qu'à l'époque j'étais marié ; je décidais donc de presser le pas vers ma voiture, Claire toujours accrochée à mon bras.
Nous arrivâmes vite à la cour mal éclairée qui sert de parking d'appoint au magasin et pendant cette courte marche j'avais décidé de ne pas laisser filer ma chance de me faire une femme pareille.
Quand nous fumes assez proche je plaquais, avec douceur, Claire contre ma voiture et je prenais instantanément possession de sa bouche. Inutile de vous dire que je ne rencontrai aucune résistance.
Nous continuâmes à nous embrasser pendant quelques minutes avant que mes mains partent enfin à la découverte de ses formes, soulevant le bas de sa robe pour fouiller dessous.
Je ne trouvai pas de culotte :
ne cherche pas, j en ai pas mise me glissa t elle à l'oreille. Je savais que je devrais l'enlever à un moment ou à un autre.
Je décidais de vérifier et effectivement mes doigts la pénétrèrent sans difficulté tant elle mouillait.
De mon index gluant je venais lui caresser le clitoris, alternant mouvements circulaires et caresses plus amples, je ne mis pas longtemps à la voir emportée par un orgasme brutal. Je dus la soutenir, ses jambes ne la portant plus.
Une fois revenue à la réalité, elle me fis me poser sur mon capot. En un tour de main je me retrouvait la queue sortie et gobée goulument par cette ogresse. Encore une fois la surprise était totale : Claire était en train de me sucer comme jamais avant je ne l'avais été. Sa technique était parfaite, les coups de langue succêdaient aux gorges profondes, les branlettes rapides aux caresses plus tendres. J'etais en train de vivre la pipe de ma vie.
Je dus sortir de ma torpeur pour lui demander de stopper et la relever.
je vais te baiser ici, contre cette voiture comme le mérite la petite salope que tu es.
Ces mots semblaient l'électriser. Elle chercha nerveusement une capote dans son sac, me l'enfila sur le chibre puis pris une pose super vulgaire ; une mains sur le capot, l autre relevant sa robe elle me regardait droit dans les yeux :
viens me baiser me supplia t elle. Ca fait des semaines que j attends. Viens remplir ta chienne.
Je présentais ma queue à l entrée de sa grotte et elle sembla comme aspirée. Je décidai d' imprimer un rythme soutenu dès le début espérant lui donner un orgasme aussi rapide que le premier. Mes efforts furent vite récompensés ; en moins de deux minutes elle fut emportée par la jouissance.
Je ne lui laissai pas le temps de souffler et je continuais à la bourrer sans retenue en l agrippant fermement par les hanches. La pipe, l'excitation et le risque de se faire surprendre à tout moment faisaient que je sentais que j allais moi aussi juter sans tarder. J accélérais encore la cadence et je remplissais la capote ; la queue bien plantée au fond de sa chate.
Je la relevai bien décidé à lui rendre la pareille. A mon tour je m'accroupissais à ses pieds, mis une jambe sur mon épaule et avançai le visage vers ce bonbon odorant et moite. Je goutai pour la première fois sa mouille, je me délectais de ce nectar. Fouillant chaque pli, plantant ma langue le plus loin possible dans son con, la faisant tourner à l 'intérieur pour plus de résultat.
Une fois satisfait du travail accompli et repu de ce jus intime, je me relevai pour échanger un baiser mélangeant nos deux gouts.
Je la raccompagnai chez elle, la tête pleine de doute et d'envie ; ma main fouillant sous sa jupe dès que possible.
Arrivés au bas de son immeuble, elle me proposa de monter quelques minutes, mais ça c'est déjà une autre histoire.
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