Sur Le Sling
Expérimenter des choses parfois inouïes. Depuis un an je suis ouvertement gay, après des années de mariage, ou j'ai refoulé au plus profond de moi. J'ai osé annoncer à ma femme que je partais pour vivre ma sexualité. Elle m'a dit pervers, obsédé par le sexe, ne penser qu'à mon plaisir, aller à ma perte pour le cul. J'ai tout entendu. Mais j'ai foncé. Malgré ma cinquantaine vers des expériences de plus en plus insensées.
Actif j'étais et je pensais rester. Et bien non j'ai voulu franchir le pas, et je ne le regrette pas. Je m'amuse deux fois plus. Au pieux je faisais l'amour pépère à ma femme. Aujourd'hui je m'éclate dans des parties de jambes en l'air interminables et jouissives au possible. Et je ratt le temps perdu et tout ce que je n'ai pas exploré dans ma jeunesse. J'adore limer et faire couiner un mec. Et je peux vous dire que je m'éclate avec des mecs de tout age. Les minets ce n'est pas mon truc. Bien que j'avoue avoir vécus au sauna de bons moments avec deux ou trois. Mais souvent ils ne savent pas ce qu'ils veulent, ou du moins ils accordent une importance capitale à la sculpture du corps. Moi ce qui mintéresse, soyons francs, c'est leur petit cul. Leur petite gueule d'amour n'a pas d'importance. Je recherche du consommable, pas du mec qui ne sait pas ce qu'il veut. Et souvent dans les annonces sur internet on les sent compliqués. C'est une constatation. Les mecs mariés bi , par contre savent ce qu'ils veulent.
Passer un bon moment et un bon échange viril dans une cabine. Pas de question, pas de blabla, de l'action. Et moi j'avoue que c'est ce que je recherche, car je ne suis pas un Apollon. Je suis style bear poilu du torse et du dos, et je m'aime naturel. Juste le sexe rasé. J'ai 50 174 95 kilos, donc un peu dembonpoint. On m'a toujours dit qu'il valait mieux faire envie que pitié. Donc je ne suis pas complexé. Crane dégarni, donc je ne suis pas dans les critères de la beauté.
J'ai un faible néanmoins pour les mecs de 28 à 45 ans. Ils sont ouverts et parmi les bi mariés ou en couple que je vois, il y en a plusieurs qui s'offrent intégralement. Je les initie comme j'ai envie. Pour moi que du soft, pas de violence, ni d'actes crades. De la volupté et du plaisir. Des caresses et des coups de reins. Le décor est planté et résume bien la période actuelle de ma vie.
Voila quinze jours je suis allé au sauna dans une ville de province auprès de laquelle j'habite: Orléans. J'adore l'ambiance, je m'y sens bien. Les patrons sont sympas et le climat est sain. En ce lundi aprem il n'y a pas foule. Quelques échanges manuels dans le hammam. Cela commence tout doux mais j'avais un rendez-vous avec Rémi et il n'est pas là. Il a du avoir un contretemps.
Il n'y a pas beaucoup de monde et je fais le tour des couloirs puis me réfugie dans la backroom du fond. Je suis debout seul dans le noir et j'attends. Oh je n'attends pas très longtemps puisque je distingue une silhouette dans l'obscurité.
Le mec m'a capté et il arrive vers moi. Sa main se fait baladeuse, elle se fixe par dessus la serviette qui cache mon anatomie. La réaction est quasi immédiate puisque je bandais à demi en attendant. Dans ce type d'endroit on est toujours à laffût, et les chuintements qui proviennent de l'écran qui diffuse un film de boules dans la cabine à proximité, ne font qu'amplifier le phénomène. La main trouve le passage pour accéder directement à mon sexe en écartant les pans de la serviette.
Je fais face au mec dans la lumière de l'écran et j'avoue être un peu décontenancé. Pour moi il a pas loin de 70 ans si toutefois il ne les a pas. Sa bite est énorme en calibre et c'est ce qui fait que je suis scotché.
«Baises moi» me dit-il.
Il est déjà dans le sling et me présente son trou. Et moi qui bandait à fond, je débande au moment ou j'enfile la capote. Ma tête refuse, il n'est pas à mon goût. J'ai jamais fait ça avec un mec âgé comme lui. Ce n'est pas possible.
Il se redresse et comprends la situation et me propose d'inverser les rôles. «Tu veux ma queue, c'est ça?»
«Je ne sais pas, ta bite est énorme , j'ai jamais pris un tel calibre»
«Tu verras je sais y faire, tu vas aimé salope» me balance t'il.
Je n'ai jamais été sur un sling et la situation commence à me titiller. De plus sa bite n'y est pas étrangère. Je grimpe sur l'assise de cuir en attrapant les chaînes qui la maintienne suspendue.
Que du plaisir une chaleur intérieure menvahis. Mais comme c'est bon. Et le voilà qu'il commence à me balancer pour aller et venir en moi.
«C'est bon , ma salope, tu l'aimes ma bite? Elle te fait de l'effet»
Ce que je ressens est trop bon. Jamais je n'aurais cru qu'un tel engin m'apporte que du bonheur. Ce type me lime en douceur et en profondeur, sans rien brusquer, et je vois sa queue qui entre et ressort. Et je me mets à couiner tellement j'aime le sentir me pénétrer comme ça.
«Vas y, fais entendre à tout le monde que tu prends ton pieds, en tout cas ton cul est bien serré et j'adore le fourrer»
Et le cadencement continu, comme ça de longue minutes. Du pur bonheur, je lui dit de gicler, de se finir. Je le sens maintenant vaciller et il vient s'allonger sur moi dans un rauque qui me laisse deviner que c'est l'assaut final. Il donne deux, trois coup de reins, puis reste quelques secondes sur moi.
«Tu m'as vidées les couilles, c'était trop bon, je pensais pas jouir si vite aujourd'hui» me lâche t-il au moment ou il se redresse. Il me semble sonné. Moi je sens mon trou se libérer et se relâcher. Sans douleur quelconque. Jatt deux chaînes et me redresse pour descendre de cette assise de fortune. Je n'ai qu'un regret: que la porte ne soit pas restée ouverte pour qu'un mec soit venu se faire sucer pendant que je me faisais sodomiser. Peut être une autre fois, qui sait?
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