Le Goût Des Autres.
Nous sommes tous uniques, sur ce point, je ne vous apprendrais rien. Une multitude de petits détails font que chaque être a ses propres caractéristiques, sa signature, en quelque sorte. Couleur de peau, odeurs corporelles, pilosité, couleur dyeux, taille... autant de combinaisons possibles, sans même évoquer lintelligence, le caractère, la démarche, les expressions du visage, le timbre de voix. Déjà quun simple regard en dit beaucoup...
Pour avoir déshabillé un vaste panel dhommes, il en va de même en ce qui concerne leurs organes sexuels. La forme, la teinte et la taille de leur verge, bien sûr, comme le volume de leurs bourses ou leur aspect les différencient sans lombre dun doute, même en les classant par famille !
Jen arrive, au travers de ces quelques lignes, au fait de détailler une de ces caractéristiques qui me tient vraiment à cur : leur goût. Non pas le goût de leur peau ni de leur sexe, mais le goût de leur semence. Car outre la façon quun homme râle et crie (parfois) pour exprimer tout son plaisir au moment de lorgasme, chaque éjaculation livre, en plus de la façon dont elle quitte le corps de son producteur, la subtilité des saveurs intime du mâle qui vient de nous confier son intimité.
La fellation est un tout, direz-vous. Elle commence lorsquil y a agrément et connivence entre deux êtres pas toujours du sexe opposé, puisque je suis bien un homme. Les corps qui se rapprochent, une main inquisitrice qui part à la rencontre de lentrejambe pour en évaluer le potentiel, les odeurs corporelles... autant de faits qui nous mettent en condition. Mais que ce soit à genoux aux pieds de son partenaire, allongé entre ses jambes ou encore penché sur lui dans lexiguïté de lhabitacle dune voiture, linstant gagne en fébrilité lorsque la braguette souvre et quen dégageant les sous-vêtements, le sexe tant convoité se révèle.
Le premier impact est purement visuel et de celui-ci naît le désir den connaître davantage.
Doù me vient ce besoin compulsif ? Je ne saurais vous le dire de manière précise, mais il est clair que cela a commencé à ladolescence. Mes multiples masturbations étaient très souvent peuplées de grosses et belles verges coulissant entre mes lèvres avant dy déverser de puissantes giclées de sperme. Ce sperme avait dans mes fantasmes un goût puissant et enivrant qui ne manquait pas de déclencher ma propre jouissance.
Mais à part les douches collectives assorties de quelques masturbations entre collègues de dortoirs, je navais encore jamais vu dadulte jouir en expulsant sa semence. Jusquau jour où avec un ami, nous étions rentrés dans un cinéma diffusant des films pornographiques. Le scénario nous intéressait peu et nous regardions les deux actrices enchainer les scènes avec une gourmandise insoupçonnée à notre jeune âge. Du livre porno, nous passions au film. Les actes sexuels se révélaient être bien plus mouvementés que les images publiées dans ma litérature. Il me tardait de passer à lacte.
Je me souviens clairement dune scène qui ma immédiatement donné envie de remplacer la jeune femme, même si ces femmes elles-même me mettaient dans tous les états. Celle-ci sucer un homme grisonnant au sexe monstrueux, y prenant de toute évidence beaucoup de plaisir.
Des questions se bousculaient dans mon cortex dadolescent : Pourquoi ce plaisir ne serait-il réservé quaux femmes ? Quel goût peut donc avoir le sperme ? Comment vais-je réagir si un mec est sur le point de décharger ? Aurais-je le courage daffronter mes envies ? Où et avec qui porrais-je essayer ?
Il était évident quil me fallait tenter cette expérience et des deux côtés de la barrière. Très souvent, limage de cette grosse verge déchargeant un tel flot de sperme ma porté jusquà lorgasme : je laurai, un jour. Je laurai !
Assez jeune, jai rencontré le plaisir de faire lamour avec une fille un peu plus âgée que moi, ainsi que celui de jouir entre ses lèvres. Elle aimait beaucoup moffrir cette caresse, ce qui suscité beaucoup de questions intéressées de ma part. Elle ne pouvait concevoir de ne pas aller jusquau bout de mon plaisir et de le consommer. Intéressantes expériences qui me permettaient enfin de me si ; ses compliments sur mes mensurations et le volume de mes éjaculations étaient plutôt élogieux. Sa bouche parfumée de mes sucs sécrasant contre la mienne moffrait un petit échantillon de ma saveur. Mais cet amour de vacance sest terminé après quelques jours et mes envies de mâles sont rapidement revenues.
Il ma fallu attendre encore pour oser me lancer à mon tour. Javais guère plus de 19 ans et je venais davouer à cet homme dâge mûr mon désir de sucer et davaler son sperme, dévoilant mon impatience à mettre un goût sur mes fantasmes.
La texture de ce nud gorgé de sang, le grain de sa peau au contact des lèvres, puis de la langue qui en lèche la surface et en découvre les moindres détails. Collé contre son palais ce bonbon délicieusement spongieux et du plat de la langue lécher le frein pour en découvrir les petits vaisseaux sanguins qui parcourent cette zone. Les saveurs récupérées en léchant la base de la couronne, avant de revenir vers le frein et de remonter darder le méat gluant de pré-sperme. Un homme mouille, je lapprenais. Ce pré-sperme clair a un goût très doux.
Mes lèvres qui cèdent au fur et à mesure quelles descendent à lassaut de sa longue et épaisse hampe, repoussant le prépuce qui sétire dans un mouvement de coulisse. Lurètre gonflé qui se démarque, les veines gorgées qui se dessinent le long de la hampe, autant de détails que je navais imaginé et qui soudain caressent les lèvres, pendant que le gland écrase la langue en gagnant la gorge.
Sucer est tout simplement naturel et il ne ma pas été très difficile de trouver mes marques, malgré ses dimensions assez... exceptionnelles. Stéphane me parlait tendrement et me donnant quelques directives, répétant que je le suçais très bien, quil me la confiera encore et encore.
Soudain, son nud enfle et sous mes doigts, une vibration remonte sa hampe. Instantanément, un liquide tiède asperge mon palais et mirradie de ses puissantes saveurs. Sans prendre le temps de réfléchir, javale sa semence et déjà un autre jet me parvient. Des années de fantasmes mavaient finalement bien préparé : aucun mouvement de recul, aucune nausée. Mieux encore, je prends véritablement plaisir à lentendre crier en remplissant ma bouche de sa jouissance. Jai eu limpression de grandir, de réussir un examen. Le mélange contrastant dacidité avec un zeste de sel est presque astringent. La texture collante se précipite dans toute la bouche comme pour diffuser sa saveur plus longtemps.
Je le suce encore un moment, la bouche collante, satisfait de ma performance, de ma victoire sur ce gros sexe autant que sur ma timidité. Je recommençais cette nuit-là, recueillant de nouveau son sperme pendant que ses doigts préparaient mon anus à la suite logique. Je ne lui résistais pas lorsquil prit ma virginité anale un peu plus tard. Comment un sexe aussi gros, aussi impressionnant, pouvait-il me faire autant de bien ?
Sortant de chez lui, jétais partagé entre le fait davoir atteint et même dépassé mes objectifs et celui davoir commis un acte réprouvé par la morale. Mon derrière se remit bien plus rapidement que mon esprit de cette expérience interdite. En effet, je venais de mettre un grand coup de canif dans la toile de mon éducation judéo-chrétienne. Le plus délicat à accepter était davoir pris un réel plaisir avec (et sur)... la queue dun homme ! Étais-je sur le point de devenir homo ? Et si cela sapprenait ? Il me semblait porter un écriteau sur mon front arborant en capitales la mention «Je me suis fait enculer par un mec !».
Néanmoins, quelques jours plus tard, je sonnais de nouveau à sa porte. Pendant quelques semaines, il fut mon mentor, moffrant son membre à sucer jusquà ce quil explose. Du moins en préliminaires, car ensuite, il prenait mes reins en juste récompense. Ces deux plaisirs, pourtant si différents, étaient très complémentaires et jappréciais ces deux actes. Lorsquil jouissait dans mon ventre, je navais que quelques va-et-vient à faire sur ma verge pour partir à mon tour, de plus en plus fort dailleurs à chaque fois. Je me libérais mentalement, jétais prêt pour la suite. Quun homme éjacule en moi était acquis et cela naffectait absolument plus ma conscience. Dautant plus que la plupart du temps, javais encore le goût de son foutre dans ma bouche lorsquil me remplissait copieusement le rectum.
Mais un seul homme ne pouvait faire base, cest pour cela que je retournais dans ce parc ; mais cette fois, pas question de rester bêtement dans ma voiture. Il y avait un bosquet en bordure du parking, éclairé par un lampadaire situé à une quinzaine de mètres. Des hommes y entraient, dautres en repartaient... prenant mon courage à deux mains, je tentais ma chance. Trois hommes y patientaient, leurs mains malaxant sans gêne leur propre entrejambe au travers de leur pantalon. Japprochais du plus jeune, qui sans hésiter ouvrit son pantalon pour exhiber un sexe assez long, mais bien moins imposant que celui de Stéphane.
Aussitôt accroupis à ses pieds, je le pris directement entre mes lèvres et fût surpris du peu de volume quil y occupait. Son goût dhomme nétait pas désagréable. Je le suçais avec entrain en cajolant ses couilles pendantes, lorsque je remarquais quun des deux autres mâles sétait avancé. De sa main dépassait un gland vraiment très gros, pour ne pas dire monstrueux. Ma main saisit cette hampe pour le branler en continuant ma pipe, bien décidé à faire jouir mon partenaire.
Le jeunot ne tarda pas, au moment où il posa sa main sur mon épaule, il éjacula, remplissant ma bouche dès le premier jet, au point de me surprendre. Cramponné à lautre verge, javalais cette salve assez salée, mais la même dose remplaça la précédente, submergeant également mon esprit affolé par une telle quantité. Lorsque la troisième giclée me parvint, je navais pas encore avalé et son sperme, assez liquide, sécoulait par la commissure de mes lèvres. Jeus à peine le temps de déglutir avant une quatrième, légèrement moins abondante. Une certaine acidité prit le dessus, rendant son breuvage presque désagréable. Ses jambes tremblaient ; une cinquième salve, puis une sixième et dernière firent copieusement déborder ma bouche.
Sans un mot, il se retira et fila en refermant son pantalon, me laissant avec son sperme maculant mon Tee-shirt et mon menton. Outre le puissant goût de mâle, je bénéficiais désormais de lodeur de son foutre. Lautre homme encore contenu dans ma main présenta instantanément son superbe nud devant moi. Lorsque je repris mon branle, lhomme me demanda en chuchotant de le sucer aussi. Sans prendre le temps de réfléchir et sensiblement grisé par la situation, je le présentais à mes lèvres. Sa main glissée derrière ma nuque, il força contre mes lèvres maculées et gluantes de foutre. Son imposant bout se déforma pour quil puisse me pénétrer, tant il était renflé.
Une fois dans ma bouche, il reprit sa forme initiale. Je le subissais plus que je ne le suçais. Continuant de le branler, jarrivais toutefois à faire coulisser mes lèvres sur quelques centimètres. À en croire ses encouragements, il appréciait, cela me motiva à lui donner le meilleur de moi-même. Quelques minutes suffirent pour quil se contracte, le bassin tendu vers moi. Son gland presque dans ma gorge, il maspergea les amygdales de deux ou trois grosses giclées avant de simmobiliser, comme sil venait de tomber en panne. Lorsquil eut récupéré, il pinça sa hampe pour en extraire les dernières gouttes, puis sortit de ma bouche en raclant contre mes dents. Il promena son nud à plusieurs reprises contre mes lèvres grasses. Le contact agréablement chaud de sa chair molle contre ma peau fut plutôt agréable. Puis il se rhabilla, me remercia et disparut.
Le troisième homme nétait plus là lorsque je me redressai. Souillé et surpris, je venais de comprendre quen plus de ne pas tous avoir le même goût, certains disposaient de grosses réserves et quil fallait mattendre à devoir faire face à déventuels... Tsunamis. Quimporte. Je voulais sucer ? Eh bien il me fallait assumer. Il était clair que je nallais pas marrêter à cela, jaimais trop ce quil venait de se passer. Par contre, ce premier sexe de taille modeste ne mavait pas vraiment donné beaucoup de plaisir à le sucer...
Environ quinze jours plus tard, entre deux averses, je croisais un beau mec dune trentaine dannées, arpentant comme moi les allées de ce fameux parc. Son pantalon de cuir présentant une belle proéminence sur le devant de sa personne, je mapprochais de lui et nous fîmes quelques pas en discutant. Une demi-heure plus tard, nous roulions dans sa 2 CV verte pour nous isoler dans un petit chemin. Sur la banquette arrière, la pluie battant la capote, ses vingt centimètres trouvaient un certain réconfort entre mes lèvres que lhabitacle de sa voiture était loin de nous offrir.
Ma langue navait de cesse de senrouler autour de son très beau gland lisse et spongieux, mes doigts malaxant une paire de bourses à faire pâlir de honte un taureau. Il ne fut pas long à expulser sa jouissance. Son sperme claquait puissamment contre mon palais sans quaucune goutte ne se perdît en dépit de violence de ses jets. Une semence crémeuse à la saveur plutôt sucrée nappait mes muqueuses. Jen gardais en bouche et pris plaisir à en engluer ma langue pour en découvrir quelques notes camphrées.
À son tour, il me suça un bon moment, mais je ne désirais pas jouir dans sa bouche. Son sexe, un peu moins épais que celui de Stéphane ma seule référence étalon à lépoque, reprit assez vite toute sa verve. Jeus soudain très envie de le sentir en moi, mon ventre le réclamait et lhomme me plaisait énormément. Très mal installé sur cette banquette, je réussis toutefois à le chevaucher, bien déterminé à trouver un moyen de laccueillir.
Agrippé au siège avant, pour me délester quelque peu, je sentais clairement son nud aller et venir en moi, cétait parfait. La tête dans les étoiles autant que dans la capote de sa deudeuche, son gland pourtant bien présent gonfla encore lorsquil déchargea en me tirant par les hanches pour mieux se planter en moi, provoquant ma propre jouissance sans que jeusse besoin de stimulation externe. Il était le deuxième à me sodomiser et franchement, cela me fit un bien fou. Si je commençais à vraiment apprécier cette pratique, jaimais surtout le fait de pouvoir me donner à un homme bien membré. Le sentir prendre du plaisir et lui permettre de jouir en moi mélectrisait.
Lorsquil me déposait à ma voiture, son sperme sécoulant de mon anus me rappelait lintensité du moment que je venais de vivre. Je trouvais cette sensation des plus agréable, cela nétait quune continuité. Je constatais, non sans men étonner, que javais besoin du sperme de mes amants. Si jadorais le recueillir en bouche pour en savourer les saveurs et la texture, la sodomie mapportait également tout un lot de sensations fort agréables, dont linsémination faisait partie. Au plus fort de cette étreinte, quun homme jouisse en mon sein me donnait un petit plus, comme sil me remplissait de son énergie.
Jai bien compris que le sexe des hommes, à condition quil soit suffisamment imposant, pouvait réellement me faire tourner la tête et même perdre mon objectivité. Plaisir cérébral que de pouvoir jouer avec leur virilité, de les sentir glisser dans ma bouche distendue et de sentir leur gland mécarteler les reins. Le délicieux frottement de leurs hampes allant et venant langoureusement dans mon fondement mélectrisait au point de remonter le long de ma colonne vertébrale et de déclencher de véritables orages de plaisir. Cet orgasme navait rien de commun avec celui connu en tant quactif, je navais pas à aller le chercher : il venait à moi comme par magie, à condition dêtre assez longuement pris et que la douceur soit au rendez-vous. Une telle jouissance nétait pas moins riche que celle rencontrée avec une femme, mais tellement différente, et... le sperme en plus.
Je navais aucune difficulté avec les jeunes filles, qui dailleurs, entre mes expériences sur la découverte des mâles, restaient ma priorité ! Leur corps parfait, leur petite chatte au goût si délicieux, la douceur de leur peau, sans oublier leur poitrine, retenaient toute mon attention. Au contraire, il me semblait plus facile de comprendre leur ressenti et dêtre ainsi plus à leur écoute. Malgré cela, jéprouvais très régulièrement le besoin de tailler une bonne pipe et de déguster cette semence si surprenante par ses diversités gustatives et sa texture.
Ma jeunesse et mon physique me donnaient lavantage sur beaucoup de mecs. Jinspirais confiance, me disait-on régulièrement. Je venais draguer toujours bien habillé et fraîchement lavé, cela me semblait si évident. 1,80 mètre, viril malgré mon jeune âge, assez baraqué, plutôt bien membré... Très sensible également aux odeurs et disposant dune bonne intuition, je sélectionnais rapidement les hommes susceptibles de me convenir. Les 30/40 ans avaient de loin ma préférence.
Javançais dans mes critères et nhésitais plus à préciser ce que je recherchais lorsque la question métait posée : une bien grosse ! Il y a les menteurs prétentieux, prêts à tout pour se faire sucer par un petit jeune. Ils se prétendent bien montés, mais en réalité, ne dépassent souvent pas la moyenne, quand ils y parviennent. Puis il y a les modestes, qui disent ne pas avoir à se plaindre. Ceux-là sont très souvent les mieux lotis.
Cest avec cette catégorie-là que je trouvais les plus belles. Nous trouvions vite un terrain dentente, souvent dans un recoin calme de ce grand parc, véritable vivier homo. Les plus réservés, ceux qui ne font pas ça nimporte où, préféraient souvent la voiture ou un appartement. Les quelques kilomètres à parcourir nous permettaient de nous connaître un peu avant de fauter. Je nhésitais pas à profiter du temps de route pour découvrir ce que cachaient leurs pantalons.
Lorsquun homme me plaisait vraiment et pour peu quil ait du temps, jétais insatiable, capable de prodiguer deux ou trois turluttes sans men lasser. Au point de me demander moi-même si je préférais sucer ou avaler. Certaines queues sont si impressionnantes par leurs dimensions et/ou leur beauté. Dautres sont plus proches des standards, mais libèrent de véritables torrents de foutre, quil en devient ardu de répondre à cette question. Et sucer sans avaler, cest un peu faire les Jeux olympiques en refusant la médaille. Dès les premiers contacts avec leur sexe, jétais capable de savoir si je pouvais leur confier mes fesses ou si jen resterais à les sucer.
Rapidement, je pouvais compter sur quelques réguliers avec lesquels nous trouvions notre bonheur. Ils avaient de trente à cinquante cinq ans, mariés pour la plupart, à la recherche de plaisirs complémentaires. Certains nattendaient que de se faire sucer alors que dautres moffraient le grand jeu, souvent à larrière de leurs voitures, bien souvent sur le capot à la belle saison ou parfois directement chez moi. Il mest arrivé de me retrouver entre deux hommes et de pouvoir réunir mes deux plaisirs en simultané. Jai vécu quelques trio et connu des moments dune grande intensité, surtout lorsque les deux hommes jouissent en même temps des deux côtés ! Curieuse et grisante expérience également que de me retrouver au milieu de cinq hommes tendus soffrant à ma bouche lun après lautre avant de me gorger de leur sperme.
Les sorties de bureau de cadres dynamiques ayant phosphoré toute la journée, soucieux de se détendre avant de rentrer chez eux. Le profil parfait de lhomme propre, entretenu, toujours bien habillé et qui na pas vraiment dhoraires, ni besoin de se justifier à 30 minutes près ! Un beau quinquagénaire, vraiment accro à mes pipes et nhésitant pas à me sauter assez régulièrement, ma même invité à laccompagner un week-end à une sorte de séminaire. Non pas pour participer au meeting, mais bien comme assistant... sexuel.
Nous sommes arrivés le vendredi soir et nous avons passé une soirée très chaude. Si la journée était relax pour moi à partir du petit déjeuner, il passait vers midi par la chambre pour un apéritif, comme il le disait, profitant de ma bouche avant daller retrouver ses collègues pour déjeuner. Mon repas arrivait sur un plateau peu après. Le soir venu, il était encore suffisamment endurant pour assumer une bonne partie de la soirée, qui débutaient en général sous la douche ou dans le bain. Un véritable DSK en puissance. Toujours prêt à se faire sucer ou à en mettre un coup, pourvu que lon soccupait de sa bite ! Je trouvais mon compte dans le fait que son puissant membre remplisse mes deux orifices à plusieures reprises dune dose de sperme assez inhabituelle. La crème de la crème, pourrait-on dire.
Il y a eu également à cet homme aussi marié que timide, macho dans sa culture, qui nallait voir les hommes que pour satisfaire ses besoins non assouvis par Madame. Il ne venait que lorsque ses couilles nen pouvaient plus, restait dans sa voiture sans en sortir, de peur dêtre jugé probablement, mais surtout dêtre reconnu. Nous avions convenus dun endroit où nous rencontrer sans quil ait à safficher. Je passais obligatoirement devant tous les jours pour aller travailler. Lorsque sa voiture y était, cest que monsieur avait besoin.
LItalien parfait, très brun, poilu à la peau mate, bourré de testostérone. Le temps de descendre de ma voiture, son pantalon était déjà à mi-cuisse et son siège presque en couchette. Je navais quà me pencher pour emboucher un gros mandrin de compétition, très brun au gland violacé sentant fort le mâle propre. Il ne tenait jamais très longtemps, comme pressé den finir. Son sperme, très épais, avait un goût très fort, presque âcre, sans pour autant être désagréable. Il était simplement différent, et jappréciais beaucoup recevoir ses quatre ou cinq jets à déguster.
Mais lentente la plus complète que jai pu avoir fut avec un amant rencontré lors de lanniversaire de sa sur, une de mes copines de jeu. Jai très vite sympathisé avec son grand frère de 35 ans, jen avais alors 22. À cet âge, il ne fallait pas men promettre. Il est venu de lui-même me rendre visite quelques jours plus tard. Contre toutes attentes, jai eu lhonneur de lui offrir sa première pipe... faite par un homme. Et cela ne lui avait pas déplu.
Les choses se sont alors très vite enchaînées. Une étrange complicité nous rapprochait. De complicité à complémentarité, il ny a quun pas. Et ce pas, nous le franchissions de plus en plus régulièrement sans ambiguïté, même sil savait que je couchais régulièrement avec sa sur. Nous partagions pas mal de points communs comme la musique et nous étions autant libres lun que lautre. Son sexe était une invitation à la débauche, assez grand mais surtout particulièrement gros, surmonté dun gland somptueux. Ses réserves séminales étaient inépuisables et le volume de ses éjaculations me surprenait à chaque fois. Bien que très imposant, je navais pas trop de peine à le sucer de longs moments et le faire jouir avec une rare intensité. Chaque pipe nous unissait davantage et la quantité de sperme quil me cédait à chaque fois me rendait complètement dingue.
Une semaine plus tard, il arrivait dans mon ventre. Encore une chose quil naurait jamais pensé faire à un homme, mais je savais me montrer persuasif. Son énorme sexe venait douvrir une voie qui ne lui sera jamais refusée. Pour qui aime, une étreinte avec un tel calibre est bien plus grisante quun tour de grand huit. Même si ce que nous préférions tous les deux était quil glisse entre mes lèvres, de temps à autre, il ne rechignait pas à me remplir le ventre, ne serait-ce quafin de varier lordinaire, selon sa propre expression. Cela nous prenait nimporte où, nimporte quand et sans aucune retenue. Je mabreuvais de sa semence crémeuse à souhait, à peine salée avec un arrière-goût presque métallique. Il était toujours partant pour moffrir une petite gâterie et ne sarrêtait pas à la promiscuité d'un éventuel public.
Je ne saurai faire une liste des lieux insolites où je lai sucé. Aucun homme ne maura offert autant de sperme que lui, avec un plaisir sans cesse renouvelé. Après lui, jai certes rencontré dautres personnes très intéressantes, mais cétait plus de loccasionnel que du régulier, ou alors quelques semaines et puis sen vont.
Jusquau jour où les choses ont changé. Un terrible accident de voiture me privait de mobilité, je me suis retrouvé paralysé. Même si, dans ce malheur, jai la chance de très bien bouger mes bras et de rester en fauteuil manuel, je ne commande plus mes doigts.
Tous les acquis sont à oublier, anéantis en une poignée de secondes par linsouciance dun irresponsable. La sexualité active est devenue un de mes meilleurs souvenirs et la frustration, une présence de tous les instants : plus dérection sans médicaments, plus déjaculation, plus de préhension, donc plus de masturbation... Mais je ne voulais pas rester sur un échec.
Quelques années plus tard, je passais une annonce sur un site internet. Contre toute attente, je reçus parmi les réponses celle dun gars pas très loin de chez moi. Pas du tout déstabilisé par la situation, il accepta de venir me rencontrer. Comment oublier cet homme moffrant pour la première fois depuis ma mutation un splendide phallus !
Si mes mains paralysées ne me permettaient plus autant de fantaisies quauparavant, quel bonheur de pouvoir de nouveau sucer un homme ! Cette pipe, je lai autant savourée que ma toute première. Ivre de désir, je me suis démené plus dune demi-heure pour lui dérober son plaisir. Sa barre épaisse me distendait délicieusement la mâchoire. Dans un cri rauque, il a déversé en moi sa semence étrangement douce, mautorisant ensuite à le déguster jusquà ce quil ait retrouvé une taille plus conventionnelle.
Cétait donc encore possible... Dautres annonces mont apporté le réconfort escompté et permis de retrouver confiance en moi. Il ny a plus de spontanéité, plus de drague et guère de place au hasard. Internet est mon portail sur mon jardin secret, ce qui encore aujourdhui, me permet de satisfaire ma soif de semence.
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