Curiosité ... 1Ère Partie
Je suis sur le balcon avec en face de moi un panorama imprenable sur la Méditerranée, et la plage pleine de monde en ce tout début d'après-midi.
- Papa, je peux aller à la plage avec Justine ?
- D'abord, tu déballes et ranges tes affaires, ensuite si ta mère est d'accord, c'est ok pour moi !
Mes parents ont réservé une suite dans un hôtel de luxe de la côte d'azur. Avec ce balcon qui fait toute la longueur de l'appartement, Il y a un séjour qui sépare deux chambres à coucher à grands lits, avec chacune une salle de bains. Je trouve ma mère affairée dans la chambre qu'elle a choisie.
- Maman, je peux aller à la plage avec Justine ? ... Papa est d'accord !
- Quand tu auras rangé tes affaires !
- Merci maman !
De ma chambre, j'appelle Justine. C'est la fille des meilleurs amis de mes parents, avec qui nous allons passer, dans ce même hôtel, nos vacances. Nous avons le même âge. C'est aussi ma meilleure amie, nous partageons tout, sans tabou. Nous sommes dans le même lycée ... Enfin étions ! ... Comme je n'ai pas bien travaillé cette année, pour l'année du bac, ils ont décidé de me mettre en pension à la rentrée ... Dans une école de curé !
- Juju ...! C'est Emy (je m'appelle Emilie, mais entre nous, nous nous appelons par des diminutifs) On va à la plage ! ... (un vide, elle doit demander à ses parents) ok ! ... Alors on se retrouve dans trente minutes dans le hall ... Il faut que je vide et range ma valise avant !
Physiquement, Justine et moi sommes à peu près semblables : grandes, menues, avec de petits seins. Brunes. Justine a les cheveux longs, moi courts. Ses yeux sont verts, les miens sont marron.
Mes affaires rangées, je mets mon maillot de bain. Un bikini noir qui couvre bien, enfile par-dessus une tunique de plage. Puis je passe dans la chambre de ma mère pour l'avertir que je descends rejoindre Justine.
Je la trouve "en petite tenue" en train d'embrasser d'une bouche goulue mon père en caleçon.
Bien sûr, comme a son habitude, Justine est en retard. Je m'assieds sur un canapé et regarde les gens aller et venir pour passer le temps. Plus particulièrement les garçons de mon âge.
Je n'ai pas de "petit ami" attitré, ce qui à l'air de rassurer mes parents. Ce qu'ils ne savent pas, par contre, c'est qu'il m'arrive de flirter avec ceux qui me plaisent lors des fêtes. Même qu'un soir ou la boisson m'avait désinhibé, je m'étais laissé mettre la main dans la culotte pour le laisser me masturber. J'étais super chaude et très excitée ce soir-là ! Et s'il n'avait pas juté dans son pantalon, à peine je touchais sa queue, allez savoir comment cela se serait fini ! ... Du coup, je suis encore vierge ! Pas comme Justine, qui depuis qu'elle a "vu le loup" et c'est faite déflorer, ouvre facilement la bouche et les cuisses dès qu'un garçon lui plait !
J'étais perdue dans mes pensées érotiques, quand Juju arrive vêtue d'un combi-short :
- On y va Emy ! ... Tu es sexy dans cette tunique !
Son compliment me fait plaisir surtout venant d'une très belle fille comme elle. Qui, avec son corps parfait à tous les garçons du lycée après elle ... Jusqu'aux vrais hommes qui se retournent sur elle avec des yeux gourmands. Il faut dire qu'elle fait plus que son âge, qu'elle n'hésite jamais à s'exhiber, la pudeur n'étant pas quelque chose qui l'étouffe.
Pour exemple, l'été précédent, nous étions chez eux au bord de la piscine. Elle est venue nous rejoindre, vêtue d'un topless transparent, sans soutif, et d'un slip bikini très minimaliste qui ne cachait pas grand chose de son intimité. Mon père, gêné, avait détourné les yeux, et le sien, en grondant, l'avait illico renvoyé se changer !
Sur la plage privée de l'hôtel, nous déposons nos serviettes sur le sable, quittons nos après-bains.
Nous faisons les fofolles un bon bout de temps dans l'eau, puis regagnons nos draps de bain sur la plage. La fatigue du voyage et de la baignade aidant, nous nous assoupissons.
Des éclats de voix me font émerger de ma léthargie. Je m'assois, et machinalement mon regard se porte sur Justine allongée sur le ventre, bras sous la tête, qui a bien sombré dans les bras de Morphée.
oh la la ! ... La ficelle de son string est rentrée dans le sillon rose de sa chatte et laisse deviner ses grosses lèvres. Troublée par ce que je vois, je détourne mon regard.
Contre toute attente, une chaleur inattendue envie mon bas-ventre. Pour calmer cette émotion que je ne comprends pas a la vue de ce sexe de fille qui en plus est celui de ma meilleure amie, je me lève, et retourne dans l'eau pensant que la fraicheur me fera le plus grand bien. Mais mon esprit dérive sur ce que j'ai aperçu et des picotements gagne mon sexe.
Que se passe-t-il ? Pourquoi de voir la chatte de Juju me fait tant d'effet. J'essaye de penser à autre chose, mais je ne peux pas ! .... Sa chatte ... épilée ... certainement si douce que je me demande comment je me sentirait à la toucher.
Pour chasser mes pensées indécentes, je plonge, je nage, je m'intéresse aux gens qui jouent. Puis un long moment après, me sentant calmée, je reviens sur la plage.
Quand j'arrive, c'est pire ! Elle est sur le dos, toujours endormie, un bras replié sur ses yeux, l'autre sur son ventre. Cuisses ouvertes en grand, la jambe droite pliée et remontée vers le haut. Avec ses mouvements, son maillot, trop petit est relâché, tiré sur le côté, il ne couvre plus rien ! ... Elle exhibe ainsi les lèvres gonflées de son sexe imberbe.
Il y avait plusieurs personnes autour de nous, dont bien sur des hommes qui lorgnaient sur Justine et ce qu'elle montrait inconsciemment, alors je la secoue.
- Juju réveille-toi !
- Quoi !? ... Comment !? ... Qu'est-ce qu'il y a ... Me dit-elle toute engourdie par son sommeil.
- Tu as ton bidule à l'air !
- Mon bidule !?
Elle baisse les yeux sur son entrejambe
- Oh merde ! ... Putain ! ... Et ces enfoirés qui se rincent l'il ! Dit-elle tout haut
- Viens, on rentre Emy ! ... Rajoute-t-elle vexée, en se rajustant et en se rhabillant.
En rentrant à l'hôtel, je dis a Justine que je monte me doucher. Elle me répond qu'elle va faire pareil et que l'on se retrouvera au repas. N'étant pas du même coté nous prenons chacune un ascenseur différent.
Dans ma chambre, je trouve une note de mes parents qui m'indique qu'ils boivent l'apéro chez les parents de Juju et que je les rejoigne des que je suis prête.
Sous la douche, la vision du sexe de Juju m'obsède ... Et m'enflamme.
En me savonnant, mes mains glissent sur mes seins, les massent, mes tétons sont durs, je joue un peu avec pendant que ma main droite descend.
Quand mon doigt touche mon clito, je frémit de plaisir et ne peut retenir un gémissement, je doit m'appuyer de l'autre main contre la paroi pour me soutenir. Je suis mouillée, et pas que d'eau. Il faut que je me calme, je ne peux pas descendre comme ça, sinon ma culotte ne sera vite qu'un chiffon mouillé ! Surtout avec l'image de Juju en face de moi me rappelant l'épisode de la plage.
Pour retrouver un certain calme en dessous de la ceinture, je ne vois qu'une façon. Que je sais imparable pour la pratiquer bien souvent quand je me douche ... Dos au mur, j'ajuste la pression du pommeau de douche. Je commence par mes cuisses, à l'extérieur puis à l'intérieur en remontant vers mon intimité.
Penchée en avant, j'écarte d'une main mes lèvres pour que ma vulve soit en contact direct avec l'eau.
Ma main qui ouvrait ma vulve pince maintenant mes tétons entre pouce et index, les étires doucement, les tords. En même temps, je fais de lents mouvements de rotation avec la douchette qui est maintenant presque au contact de mes lèvres ... L'eau stimule mes nymphes, inonde mon vagin, tout en frappant mon bouton.
Cambrée, tremblante, les yeux révulsés, la bouche ouverte, cherchant du souffle, je sens ma jouissance arriver rapidement, brutalement ... Puis la délivrance ... Somptueuse ! Mon corps se casse en deux, mes genoux lâchent ... Et l'orgasme me submerge, puissant, ravageur.
L'image de l'abricot de Juju, avec cette ficelle et ce mini bout de tissu qui ne cachait plus rien m'a fait venir en un temps record !
J'ai jouis longuement, en râlant. Épuisée, je me laisse glisser le long de la paroi pour m'asseoir, reprendre mon souffle et mes esprits ... Heureusement que j'étais seule dans l'appart' !
Toutefois, un sentiment de honte m'habite. Comment ai-je pu devenir si excitée à la vue du sexe de Justine. Ce n'est pas la première fois que je la vois nue, et je n'ai jamais ressenti cette émotion. Est-ce sa position impudique qui a éveillé en moi une nature ignorée ?
Qu'est-ce qui se passe ? ... Est-ce que je serais en train de tourner lesbienne ?
Je ne sais pas si je peux en parler à Juju, elle pourrait le prendre mal, et je ne veux pas perdre ma meilleure amie ! En même temps, si je ne peux pas me confier à elle, alors à qui ?
Encore toute hébétée par la violence de l'orgasme, je m'habille avec juste une culotte sous une robe légère, mais sage. J'enfile une paire de sandales et m'empresse de rejoindre mes parents.
Le lendemain, nos parents ont loué un bateau pour aller se baigner et bronzer dans une crique. Moi pour pouvoir parler avec Justine et elle pour être tranquille à se faire draguer par les garçons, sommes pas trop disposées à les accompagner. Devant notre insistance et à mon grand étonnement, car ça ne leur ressemble pas, ils nous autorisent à rester seules.
Après le déjeuner Justine veux passer l'après-midi à la piscine. Peut-être l'endroit idéal pour lui confier ce qui me pèse, puisque nous serons seules. Entre-temps, j'ai décidé de biaiser pour ne pas la choquer et risquer de perdre son amitié.
À la piscine, nous avons trouvé deux transats à l'écart. Une fois installée, je cherche la façon d'aborder le sujet. C'est elle qui m'en donne l'occasion.
- Tu es bien pensive Emy
- Oui ... j'ai quelque chose qui me tourmente.
- Tu veux m'en parler ?
- je veux bien car je ne peux pas le garder pour moi ...
- C'est quoi qui "turlupine" mon Emy
- Voila ! ... Je crois que je suis attirée par les filles ...
J'ai à peine finis ma phrase que Justine les yeux grands ouverts, me fixe, bouche bée, perplexe.
- Tu veux me dire que tu es en train de tourner lesbienne !? Finit-elle par dire.
- Je ne sais pas ce qui se passe, juste avant les vacances, dans le vestiaire du cours de gym j'ai flashé sur Camille et son sexe épilé à la brésilienne. Depuis ce jour, je suis émoustillée par son image. Je n'avais ressentie une telle excitation auparavant ! A tel point que maintenant, quand je me masturbe, je fantasme sur elle, j'ai envie de la toucher, de lui faire l'amour.
Je marque une pause, avant de finir comme pour moi-même :
- En fait, je ne sais pas si c'est juste une lubie ou si je suis enjôlé par cette fille !?
- Oh ... Toi, tu as besoin d'un robinet et de te faire baiser pour te remettre les idées en place ! ... Me dit-elle en riant.
- Je suis contente que ma mouscaille te fasse marrer Juju ... Ça fait plaisir !
- Pardon ma puce ! ... Je voulais dédramatiser ! ... C'est juste que j'ai peine croire que tu sois lesbienne ! Je te connais depuis que nous sommes petites, tu ne m'as jamais montré aucun signe d'attirance pour les filles, bien au contraire !
- Et alors ? ... Tu ne sais pas ! ... Peut-être que je suis un peu tardive dans ce domaine. Peut-être il y a eu un déclencheur ?
Justine prend mes mains dans les siennes avant de me dire :
- Écoute. Parfois, nos hormones nous jouent des tours. j'ai lu un article dans un magazine de fille la dessus, qui disait que des femmes ont des expériences homosexuelles sans être gays surtout pendant leurs années étudiantes. Donc ce que tu ressens en ce moment est tout à fait normal. C'est juste une phase de curiosité sexuelle que tu traverses, croie-moi.
Ses paroles avaient un sens et elles m'ont apaisée, sans toutefois calmer l'envie du sexe à Juju. Pour preuve, dès qu'elle se rallongea sur son transat, mon regard s'est attardé sur la courbe de ses seins, de son mont de vénus, puis sur sa chatte ...
"Donc, ce sont mes hormones qui me travaillent ! ... Merde ! ... Pourquoi moi ? Et pas elle ! Pensais-je" en m'étendant à mon tour.
Alors que nous revenons de nager, tout en me frottant le dos pour me sécher, elle me dit :
- J'ai repensé a ce que tu m'as confié ... Il y a peut-être une façon de savoir si tu es attirée par les filles, ou si c'est simplement une lubie.
- Ah bon ! Tu penses à quoi ?
- Allons dans ma chambre je vais te montrer quelque chose qui peut t'aider
- C'est quoi ?
- Tu verras là-haut ... Fais-moi confiance !
À suivre ...
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