La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°768)

soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°752) -

Alors que j'étais dans la position exigée par Le Maître Vénéré, je pouvais entendre une plume glisser sur du papier dans un silence absolu où seule sa plume dans un petit bruit de grattage faisait comprendre le travail d’écriture de Monsieur le Marquis d’Evans. Le Maître, écrivait-il une nouvelle de ses magnifiques histoires de Domination/soumission ? Pouvait-il se servir de moi, simple soumise, pour s'inspirer ? En tout cas cela faisait déjà de très longues minutes qu’il s’était attelé à sa prose que je comprenais rapide et sans ratures, à croire que les idées dans la narration du Maître fusaient dans son esprit. Quant à ma position d’attente, elle devenait de plus en plus douloureuse. En effet, je sentais les muscles de mes cuisses et de mes épaules exprimer leur mécontentement. Alors pour occulter cette douleur constante, je me concentrais au maximum sur le bruit que faisait la plume. Au bout d'un certain moment, Le Maître arrêta d'écrire et repoussa un peu Son fauteuil. Je compris qu’il levait les yeux et je pouvais sentir son regard glisser sur ma peau. J'étais tellement excitée que j'étais certaine que Le Maître pouvait voir ma cyprine s'écouler de ma chatte.

- Cypris MDE, viens à moi !, approche petite chienne en chaleur, m'ordonna Le Maître de sa voix de Dominant.

Je me redressai le plus vite possible et m'approchai du Maître en quadrupédie tout en contournant le bureau. Je pris une démarche féline en dodelinant mon fessier tout en avançant à quatre pattes. Le Maître de son fauteuil avait suivi le moindre de mes gestes. Je m'arrêtai devant Le Maître Vénéré dans la même position sans bouger. Il tendit le bras et me caressa les cheveux avec une douceur très appréciée.

- Tu es tellement belle, Cypris MDE. J'ai tout le temps envie de te prendre dans tous tes orifices, de te faire sentir Ma grosse et noble Verge dans ta bouche de salope, dans ta chatte de chienne et dans ton cul de putain si tentant.

Lèves la tête et regarde l'effet que tu as sur le Dominant et Mâle que je suis.

J'obéis et leva mon regard vers l'entrejambes du Maître. Une bosse énorme était visible. Je ne pus m'empêcher de me lécher les lèvres doucement en voyant le « problème» du Noble. Alors que mon regard était toujours posé sur cette partie de l'anatomie du Maître, Celui-ci fit glisser sa main sur son torse et la mit sur son entrejambes. Il commença à se caresser à travers ses vêtements. Je ne pouvais détacher mon regard de cette main dont je ne rêvais que de prendre la place avec tout ce que Le Maître voulait de moi.

- Arrête de mordiller ta lèvre inférieure ainsi, Cypris MDE. D'ailleurs tu vas utiliser cette bouche si docile d'une meilleure manière.

En prononçant ces mots, Le Maître se leva et détacha sa ceinture ce qui fit tomber son pantalon bien bas sur ses chevilles. Je pus observer qu'aucuns sous-vêtements n'entravaient son épais sexe dur et déjà dressé au zénith. Le Dominant se rassit devant moi et claqua des doigts sans un autre mot. Je m'avançai donc et me mis à genoux entre ses jambes. Je léchai la bite du Maître de part en part avant de la prendre complètement en bouche. Je masturbais ce que je n'arrivais à prendre à la base de sa hampe mais aussi ses couilles. Je mis tout mon cœur à la tâche à les lécher aussi et me régalais ensuite de Son sucre d’orge. Je levais les yeux vers Le Maître. Ses yeux étaient fermés dans le but de profiter pleinement de cette gâterie. Je me redressais sur les genoux pour positionner ma poitrine à hauteur de la verge du Noble Maître à qui j'appartenais corps et âme et je retirai de ma bouche celle-ci couverte de ma salive. Je me saisis de ma poitrine autour de Sa verge et je commençai à lui prodiguer une branlette espagnole. Je compressais mes seins de façon à ce que Le Maître ressente le bien être que je voulais lui donner comme plaisir. A chaque monter de la Noble queue entre mes seins, je tirais ma langue de façon à ce que celle-ci touche le méat urinaire du Maître de son gland violacé.
Je continuais mes caresses pendant un moment avant de reprendre la bite au plus profond de ma gorge. Je fis plusieurs gorges profondes au Maître puis j'accélérai. Le résultat ne se fit pas trop attendre, tant cela excitait Monsieur le Marquis d’Evans.

- Je vais venir, Ma salope ! Avale toute Ma noble semence, m'ordonna Le Maître.

Je continuais à sucer cette verge avec une avidité débordante d’envie à lui procurer un orgasme puissant, un plaisir jouissif maximum quand je sentis le corps du Dominant se tendre, quelques secondes plus tard Sa noble semence aspergea ma bouche par de longues saccades et ma gorge se remplit en de longs et grand jets de sperme chaud, alors qu’il comprimait fermement mon visage contre son bas-ventre. Je nettoyai la verge du Maître avec une grande application, passant ma langue dans chaque repli autour du gland, sur celui-ci et sur la hampe jusqu’à sa base afin de ne laisser aucune trace et d’avaler tout son savoureux nectar. Puis, je me remis en position d'attente entre ses jambes. Ma cyprine s'écoulait de ma chatte et inondait mes cuisses, j'écartais donc un peu plus les jambes en espérant que mon excitation se calmerait.

- Lève-toi et couche-toi sur le côté du bureau en levrette ! Je vais baiser ce qui m'appartient et je veux t'entendre crier comme tu l'as fait avec le Doc. Réponds-moi : ordonna-t-il en me fessant.
- Oui Maître Vénéré, je ferais tout ce que vous exigerez de moi ! J'aime être remplie par votre grosse et Noble verge, je me sens privilégié quand vous faîtes de moi votre chienne.
- Bien tu aimes ça, salope ! Alors ne te retiens pas ! Je veux que tout le Château sache ce que je te fais !

Le Maître n'avait pas terminé sa phrase qu'il s'enfonça jusqu'à la garde dans ma chatte toute luisante de mouille. Un cri de bonheur m'échappa en sentant la verge du Maître entrer en moi.

- Accroche toi Ma chienne-salope, je vais te faire crier jusqu'à ce que tu n'aies plus de voix et s'il le faut je ferai venir Walter.
Lui qui rêve de te besogner comme un forcené et sans ménagement. Je suis sûr que cela te plairait en plus, Ma salope, ajouta-t-il en tirant d'un coup sur ma queue de cheval.
- Oui Maître ! criais-je déjà de plaisirs...

(A suivre ...)

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