Un Mariage En Famille

Le mariage d’Eugénie ma sœur cadette est une réussite autant en ambiance que pour ce petit couple bien assorti, loin de la maison nous avons réservés une chambre dans l’hôtel où se passe le repas
Il l’es aussi pour moi et pour Noémie ma petite amie considérée par la famille comme ma fiancée, en ce moment elle danse avec mon oncle qui la fait virevolter autour de lui mais aussi sur lui, sa petite robe se soulève a la limite de la décence, j’adore voir les regards pesant des mâles sur ses formes sexy, une poitrine généreuse sans être forte ,une taille de guêpe et un p’tit cul a faire dresser n’importe quelle bite dans son caleçon, les yeux expressifs de l’oncle en disent long sur ses pensées du moment
Noémie je l’ai connue vierge mais tout de suite il n’y a eu aucun tabous pour parler de sexe et surtout le pratiquer
Elle revient vers moi essoufflée mais avec un regard que je connais bien, il s’est certainement passé quelque chose sur la piste

- Ça va Noémie ?
- Oui …excuse moi, je fonce aux toilettes
- Je t’attends …

Elle revient plus apaisée mais toujours avec une expression canaille dans les yeux

- Hé bien dit donc ton tonton quel dragueur
- Je sais, il a une sacrée réputation, Il t’a manqué de respect ? si c’est le cas je vais aller lui dire deux mots
- N’en fais rien
- Que c’est-il passé alors ?
- Il s’amusait à me faire rouler sur son ventre
- Rien de grave !
- Mais en bas du ventre … j’ai senti … son érection, une sacrée érection entre parenthèse
- Le salaud il est connu pour ça dans la famille, je vais l’engueuler
- Ne fais pas ça j’te dis, je suis aussi fautive que lui… je me frottais sciemment dessus... si je suis partie aux WC en catastrophe c’est que mon slip était archi mouillé d’ailleurs prend le discrètement dans ta main et met le dans ta poche, je l’ai ôté sinon il risquait de tacher ma robe
- Tu veux dire que tu n’as rien dessous ?
- Absolument rien …
- Je peux toucher ?
- Cochon ! viens par ici …là, derrière ces piliers

Blottie contre moi je passe une main sous cette petite robe évasée, j’entre vite en contact avec son abricot aux poils courts, les lèvres ne sont pas collées car de la mouille continue à suinter, Noémie tressaille preuve de sa grande excitation je dois absolument la baiser rapidement sinon elle va couler toute la soirée, a regret je retire les deux doigts que j’avais enfoncés, discrètement je les porte a ma bouche pour en déguster la saveur iodée

- Tu vois ? je ne t’ai pas menti, j’ai très envie chéri
- Allons baiser entre deux voitures, après je t’enfoncerais un mouchoir en papier dans le vagin pour qu’il pompe le maximum de sperme
- Tu crois qu’il avait envie de moi ton oncle ?
- Il t’aurait volontiers défoncée contre un mur si cela avait été possible
- Alors il est réputé pour en avoir une grosse ?
- D’après certaines femmes de la famille il est monté comme un âne
- Serais tu jaloux si je me montrais en public
- Je ne serais pas contre un peu d'exhibe, j’aimerais montrer ton corps a tous les hommes tellement je te trouve belle
- C’est justement un de mes fantasmes
- Nous allons y penser, mais pas ici, pas devant la famille, appuis-toi contre ce quatre-quatre, accroche toi a mon cou et relève une jambe
- Baisse ton pantalon sinon tu va avoir une auréole autour de la braguette tellement je suis en eau
- J’aime quand tu te lâche ainsi … je vais te l’enfoncer d’un coup …Rraaaaahhhhhhhhaaaaaaa
- Chuuuuuuuuut ! pas si fort sinon nous allons avoir des spectateurs !
- Ce ne serait pas pour te déplaire hein petite chaudasse !
- Oooooooohhhhh que je te sens bien chéri, cogne tout au fond de ma connasse
- C’est moi ou l’oncle que tu sens ?
- Toi avec la queue de ton oncle ! va-y-va-y-va-y ! Oooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii !
- Prend ça dans la chagatte ! Rrooohhhhooooooooooooouuuuuuuuiiiiiiiiii !
- Aaah ça fait du bien !
- Ne resserre pas les jambes je vais t’enfoncer un tampon de papier
- Je vais faire pipi avant, écarte toi je pisse debout !

Un jet bruyant et dru luit dans le clair de lune, sitôt la dernière goutte tombée entre ses pieds je passe délicatement un papier sur ses lèvres maculées de foutre et de mouille, le second je le presse pour en faire un bouchon que j’insère dans son col vaginal

- Merci chéri !
- Essaie de ne pas le perdre dans la salle !
- Quand allons nous faire de l’exhibe ?
- Demain après midi, sitôt le repas terminé nous irons sur la plage
- Je n’ai pas de maillot !
- Tu garderas cette robe sans culotte
- Raconte-moi ce que tu me feras faire …
- Tu seras assise en appuis sur les coudes, les genoux repliés que tu ouvriras au passage d’un mec
- OooohhOoooui ! je le ferais bander comme un porc !
- Arrête de fantasmer sinon le bouchon de ta chatte ne va pas te tenir longtemps au sec !
- Si ton oncle m’invite encore à danser je refuse ?
- Que non ! mais ne vous faites pas remarquer …et dit lui bien que je suis au courant, je ne veux pas passer pour un pauvre cocu
- D’accord chéri

L’oncle était à l’affut guettant notre retour, je laisse Noémie s’assoir au bout d’une table isolée, moi je file vers le bar d’où je peux suivre la suite, ‘il’ approche et s’assied a coté de ma chérie, très vite une main disparait sous la nappe tandis qu’ il approche sa tête pour lui parler a l’oreille, Noémie sourie en me regardant puis elle lui répond de la même manière, il opine du chef et tire une main de ma fiancée sous la nappe, celle-ci se laisse faire et très vite ouvre la bouche d’étonnement, elle veux retirer sa main mais il l’oblige a rester .

. aux mouvements du bras elle doit le branler, Noémie ouvre une nouvelle fois la bouche et se mord la lèvre inférieure, cette fois c’est elle qui se fait toucher
Le tonton jette de fréquents regards autour d’eux craignant sans doute d’être découverts, a nouveau il s’adresse à Noémie et la laisse repartir en titubant tandis qu’il range son ‘matériel’ dans son pantalon

- Ça va mon amour ?
- Wooouuuh ! donne-moi vite un mouchoir, j’en ai plein les doigts
- Il a déchargé ?
- Regarde comme ils sont poissés …. Quelle queue, je n’en faisais pas le tour
- Il t’a doigtée ?
- Un peu, mon tampon est repoussé dans mon vagin je vais aller a la chambre me laver
- T’y vas seule ?
- Il va me suivre …
- Tu crois ?
- Il m’a dit que ‘popaul’ c’est le surnom qu’il donne a sa bite, que popaul aimerais bien faire la connaissance de ma minette, je lui ai répondu que je ne te cachais rien
- Et ?
- Il s’en moque, et m’a demandé de m’éclipser a la moindre occasion, il me surveille …
- Va-y
- Quoi ?
- Va-y, ne referme pas la porte, je me glisserais dans la salle de bain a l’entrée
- Mais chéri il va me baiser !
- Je veux voir ça, tu n’en a pas envie ?
- Si …..
- Alors contente-toi
- A tout à l’heure chéri, je tremble de partout
- Je serais là, embrasse-moi …Mmmmuuuuuummmmm !

Noémie file d’un pas décidé vers le couloir qui mène aux chambres, l’oncle ne tarde pas a lui emboiter le pas en surveillant ses arrières, j’en fais autant, une boule a l’estomac et une demi-érection dans le slip ….
J’entends murmurer dans la chambre dont la porte est restée entrebâillée

- Je vais laisser allumer seulement dans la salle de bain
- Tu as honte de te montrer nue ?
- Je préfère la pénombre
- Donc tu es d’accord pour que je te fasse l’amour ?
- Pas l’amour, cette formule est destinée seulement a mon fiancé, baisez moi vite fait
- Tu seras sur la longue liste de mes conquêtes dans la famille, seule la mère de Jim n’y est pas passée,
- Pourquoi ?
- Je la respecte et puis j’ai trop peur que mon frère me fasse la peau s’il l’apprenait !
- Vous tirez sur la fermeture de ma robe ?
- Mmmuuuuummm, je vais enfin voir ce corps de rêve, tourne toi …reste ainsi le temps que je palpe tes seins … Hoooouuuuaaaa du béton, à présent au tour de tes fesses … quelle raie sublime, tu ne porte jamais de culotte ?
- Si mais vous me l’avez faite trop mouiller en dansant
- Il ne fallait pas t’appuyer sur mon zob, tu veux que je me frotte sur ton cul ???
- Oui … mais n’enfoncez pas votre grosse verge car j’ai un tampon
- T’as tes ours ?
- Non c’est un mouchoir pour empêcher ma sève de couler entre mes cuisses
- Je vais te l’enlever avec les dents allonge toi sur le lit

Le temps qu’elle se présente comme il lui a dit j’ai le loisir d’apercevoir sa manthule qui bringuebale de droite a gauche, je frémis a la pensée qu’elle va prendre ce chibre dans le ventre
Noémie jette un bref coup d’œil dans ma direction avant de se positionner afin que je perde rien du spectacle qui va suivre, elle attend appuyée sur les coudes, les talons calés au bord de la couche, les genoux béants, la chatte entrebâillée et luisante offerte au regard lubrique de son tourmenteur qui vient se mettre a genoux a dix centimètres de la fissure odorante qu’il hume a grandes inspirations, elle me jette un nouveau regard désespéré en réalisant qu’elle va certainement déguster a l’intromission de la verge

- Tu m’excite vachement, tu sens bon la femme, je vois le bout de papier je vais t’enfoncer ma langue pointue pour le retirer avant de te brouter le connin et de te baiser comme tu le mérite ! tu ne voudras plus de la quéquette de mon neveu !
- Vous êtes très membré, j’ai peur de souffrir
- Va demander à certaines femmes présentes ce soirs si elles n’aimeraient être a ta place, elles doivent te maudire, et puis si tu avais si peur que ça tu ne mouillerais pas autant ! écarte-toi bien à présent … RRRRhhhhaaaaaaaaaaaaa !
- Hoooooooouuuuuu ! doucement ….
Mmmmuuuuuummmmm, c’est bon …. Ahhhh !
- Te voilà débarrassée de ta serpillère ! elle est à tordre, ça coule entre tes fesses, je vais en boire un peu avant de te faire déguster mon zob

L’oncle lape aussi bruyamment qu’un chien dans sa gamelle d’eau, il se redresse le nez brillant, att sa queue d’une main et de l’autre repousse sans ménagement les genoux ouverts au maximum, cette fois Noémie va y passer, elle ne se préoccupe plus de moi, les yeux grands ouverts braqués sur le membre, elle serre ses seins l’un contre l’autre, ses jambes se replient, la faille est immanquable, son amant plie les genoux pour être a la bonne hauteur, il avance son bassin
Ma fiancée ouvre la bouche sans qu’aucuns sons n’en sortent, ses yeux se ferment dés qu’elle sent le col de sa chatte s’étirer, il grogne parce que ça ne rentre pas assez vite

- Putain t’es serrée comme une pucelle !... Aaaaaaaaahhhhhhhhhhhh ça vient … huuuuummmmm c’est tapissé comme du velours là-dedans !
- Je vais déchirer …
- Ce serait déjà fait, cramponne toi je vais me retirer légèrement pour te la mettre à fond d’une poussée
- Oooohh … Aaaahh … oooooooohhhhh …. Oooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii !!!!
- Rrrrrhhhhhhhooooooooooooooooo !!!!! j’écrase mes couilles sur ton p’tit trou !
- Attend un peu que je me fasse à la grosseur
- Ahah ! y’a du mieux tu me tutoie a présent ?
- C’est si bon que j’en perds les principes, va-y fait moi grimper aux rideaux

Les fesses de l’homme se creusent, les muscles de ses jambes apparaissent en saillie, un va-et vient débute tout en force, puissant comme il est il serait capable de percer un trou dans le matelas avec sa queue, cela n’effraie pas Noémie qui ceinture le mâle de ses jambes, je dois me déplacer pour voir la pénétration, sur le coté, a deux mètres du couple je me branle frénétiquement en voyant le piston luisant de cyprine qui entraine et fait ressortir les chairs a chaque retraits, les seins de ma copines ballotent en tous sens, sa tête dodeline de droite a gauche, complètement en transe je pourrais la pincer qu’elle ne remarquerait même pas ma présence, ce n’est une vulgaire poupée de chiffon qui se fait bourriquer par un âne

- AAh ! T’es là toi ? tu veux la place ?
- Continue …
- Elle est bonne ta nana, c’est la meilleure de la famille
- Ne répète à personne ce qui ce passe ici ce soir
- Soit tranquille… nous pourrions peut être nous revoir un de ces jours ? … ah … je la sens se raidir elle va partir
- ACCÉLÈRE ! …met lui toute ta purée dans la chatte, va-y
- Tu va décharger dans le vide si tu continue à t’astiquer ainsi à la main
- Je lui en remettrais un coup aussitôt que tu seras parti

Noémie décolle du lit, seules les épaules restent appuyées au matelas, elle est soudée au corps de l’oncle qui se raidi lui aussi, les deux amants sont pris de secousses incontrôlables, il décharge interminablement, elle pisse inondant les draps avant de retomber inerte d’un bloc haletante et suante

- Retire toi vite je vais mélanger mon sperme au tient
- C’est toi chéri ?
- Tu t’es bien envoyée en l’air ma salope !
- C’était trop bon, désolée de m’être laissée aller devant toi
- Écarte les cuisses… pouah, ta chatte est méconnaissable
- Fourre ta queue dedans et vide-toi les couilles

Ma verge ne touche pas les bords de cette moule distendue et visqueuse, je ne peux que produire un gargouillis infâme, trois allers retour et je lâche tout, l’oncle qui n’a pas débandé présente son membre maculé des souillures de l’accouplement a la bouche déjà prête à l’accepter, vexé, je ne peux empêcher ma verge de débander et de tomber mollement entre les cuisses elles aussi tapissées d’éclaboussures, il ne me reste plus qu’a contempler le couple continuer a assouvir leur bestialité, car c’est de cela qu’il s’agit, au vu des joues déformées et les larmes qui coule de ses yeux a cause de la gorge profonde qu’il lui fait subir, Noémie est a nouveau sous l’emprise du mâle

- Va faire un tour petit, laisse nous baiser en paix, ta copine t’a oublié ce soir
- Tu ne compte pas dormir ici ?
- Non, mais je reviendrais vous rendre une petite visite demain, son p’tit cul m’attire ….


Désormais l’oncle fait partie de notre vie sexuelle….

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