La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°769)

Pauline au Château - (suite de l'épisode N°765) -

De façon simultanée, le trio jouit. Walter admire ce spectacle, il aimerait lui aussi y participer mais reste en retrait laissant les deux grands Maitres dominer la jeune chienne. Après s’être déversés en de puissants râles dans les trous respectifs de la salope, les Maitres se retirent, et décident par échanger leur place profitant de la position dans laquelle est installée la chienne salope. Le Médecin prend possession de sa bouche, tandis que Monsieur le Marquis l’assène de coups de reins puissants et virils en défonçant la chatte de Pauline, en la besognant à grands coups de boutoir cadencés. A cet ensemble, le Maitre ordonne à Walter de se munir d’une badine et de frapper le ventre et seins de la chienne, afin de lui ôter toute sensation agréable, et que son envie de jouir lui passe. Or cela est loin de donner l’effet escompter, en effet, la soumise se tortille sous les coups de badine, et de par les vibrations de son corps, le Maitre comprend qu’une fois de plus, elle est au bord de la jouissance. Il décide donc de la punir en se retirant immédiatement. Son ami comprend rapidement la volonté de Monsieur le Marquis et se retire également, laissant la chienne dans un état d’excitation proche de la jouissance, mais la privant ainsi de plus de sensations, afin de lui apprendre la frustration. Le Noble retire les boules Quies de la jeune salope et prend la parole d’une voix claire et forte :

- Merci mon ami, pour ton inspection sur cette jeune chienne lubrique. Je vais dès à présent prendre son éducation en main. Walter peux-tu raccompagner mon ami dans une de nos chambres, et qu’il choisisse la soumise la plus attirante pour lui qui sera le satisfaire. Je suis désolée mon ami, mais cette salope ingrate et désobéissante, est loin de mériter une nouvelle jouissance. Au contraire une punition lui sera imposée dès l’heure qui suit pour toutes les fautes qu’elle n’a cessé d’accumuler depuis son arrivée à la gare.



Les mots choisis par le Maitre n’ont qu’un but piquer à vif l’orgueil de sa nouvelle chienne, afin de l’humilier, et de la rabaisser, en la considérant indigne de recevoir un ami du Maitre. Il souhaite aussi la rabaisser en lui rappelant que son comportement est loin d’être celui attendu d’entre ces murs. Le Médecin comprenant vite le but de cette discussion décide lui aussi d’ajouter une couche afin de l’humilier encore plus cette jeune chienne à éduquer...

- Je te remercie Edouard, de bien vouloir me prêter une autre de tes chiennes qui sera contenir sa jouissance lorsque je la baiserai, et qui n’aura nul envie de te désobéir. Je ne souhaite plus avoir à faire à cette espèce de petite chienne qui se dit « soumise », alors qu’elle est incapable de suivre un ordre simple : ne pas jouir. Elle est juste bonne à baiser cette salope, et encore…

A ces mots, il crache à la figure de la jeune salope, la rabaissant davantage, il salue son ami, un sourire aux lèvres et suit le Majordome hors de la pièce. Monsieur le Marquis se retrouve donc seul, avec sa nouvelle recrue. Il pense à comment il va procéder pour lui ôter son fichu orgueil. Il l’observe attentivement et prend le temps de réfléchir. Une idée lui parvient, oui, cela devrait suffire à cette salope à ravaler son orgueil et de la faire plier totalement. Il décide de la tenir informer d’une partie de son idée. Pour cela, il la détache, l’agenouille à ses pieds, lui ôte son bandeau. Reconnaissant le Maitre devant elle, elle baisse son regard. Il la laisse ainsi, quelques instants dans le silence total, puis place deux doigts sous mon menton, afin de la transpercer du regard. Le contact visuel établi, lui imposant Sa Domination, le Maitre se décide à briser enfin ce silence de plomb.

- Objet, tu m’as fait honte.
- Maitre, je… accuse-t-elle en baissant les yeux au sol.
- Silence, et regarde-moi, je l’exige.

La jeune chienne rétablit le contact visuel, et ce qu’elle perçoit dans le regard du Maitre, la chagrine.
Elle découvre Sa colère, Sa déception.

- Avant de perdre mon temps à t’éduquer, je vais te poser une question, à laquelle tu vas avoir droit à 3 minutes de réflexion. Tu me feras savoir ta réponse par deux seuls moyens. Si elle est affirmative, tu te prosternes à mes pieds, bras en avant, front au sol, cul cambré, et tu patientes Mon bon vouloir. Si ta réponse est négative, tu te lèves, ôte le collier, tes habits te seront rendus et tu quitteras ce Château, sans plus jamais entendre parler de Moi. A présent, je veux savoir si tu as bien compris ce que j’attends de toi, Pauline. Répond par un hochement de la tête.

La chienne hoche la tête en signe de compréhension.

- Bien, à présent voici la question : Pauline, es-tu prête à te plier à Mon monde, impliquant un respect et une obéissance totale à l’ensemble des Dominants auxquels tu seras prêtés ?

Pauline prend un temps de réflexion, elle aime être dominée cela va de soi, elle aime combler le Maitre à qui elle appartient, mais combler d’autres Dominants reviendrait à se prosterner en tant que chienne lubrique face à un ensemble de personnes, qui sauront r d’elle, mais aussi la respecter en tant que soumise. Elle s’imagine, user et r, obéissante aux différents ordres qui lui sauront donnés lors d’une soirée D/s que le Maitre organise souvent. Cette image lui procure du plaisir, elle sent sa chatte s’humidifier à nouveau, et tandis que les minutes passent …

- Il te reste plus que 30 secondes...

A ces mots, Pauline décide d’allonger ses bras devant elle, son front plaqué contre le carrelage froid de la pièce, et elle tend son cul sans pudeur, s’offrant ainsi au Maitre. Ce dernier est satisfait de cette attitude, il n’en avait pas douté qu’elle souhaiterait rester. Il décide de la négliger, de la faire amplement patienter. Il l’abandonne donc ainsi, dans cette posture, vacant à Ses préoccupations. Il rejoint un salon dans la pièce d’à-côté, sort Son téléphone de Sa poche et active la caméra située dans la pièce où il abandonné Sa petite chienne.
Il est satisfait de constater que cette dernière n’a pas bougé, elle est toujours cul tendu, là où il la laissé. Il décide de l’humilier davantage. Il envoie un texto à Marie, la cuisinière, lui suggérant de passer dans la pièce afin de la châtier. La cuisinière bien que débordée ne résiste pas à l’appel d’un cul tendu qui ne demande qu’à être châtié. Après avoir donné ses derniers ordres, elle se précipite dans la pièce en question, et trouve l’esclave, front au sol, bras en avant et cul tendu. Elle l’observe quelques instants, remarque un feutre rouge posé sur une table, elle s’en empare et inscrit sur le haut de ses fesses avec une flèche vers le bas : « Trous en libre-service ». Ravie de son idée, elle décide d’y ajouter quelques marques. Munie d’une cravache, elle frappe avec force ce cul tendu, ne faisant pas état du corps endoloris de la chienne de par cette position contraignante. Le cul zébré, elle décide d’humilier encore plus cette salope, en lui posant diverses pinces à linge sur ses lèvres intimes qui paraissent bien trempée de cyprine…

(A suivre ...)

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