Lingerie Fine Lingerie Coquine 1
LINGERIE FINE lingerie coquine
Lili est étrangement distraite depuis quelque temps. Là, je descends de voiture devant la porte de mon garage et je remarque que ma trentenaire a coincé dans le bas de la fenêtre de notre chambre à coucher, au premier étage, un chiffon rouge difforme. Elle a oublié cet objet vraiment peu décoratif au cours de sa chasse perpétuelle aux poussières. Second signe de distraction, Lili ne mattend pas comme dhabitude sur le seuil de la porte dentrée. Cest une première. Mais elle na pas complètement oublié que je rentre pour mon repas de midi avant de retourner au travail jusquà dix-sept heures trente, car , debout devant la porte principale, jentends sa voix :
- Entre, chéri ! Jai relevé le courrier et je nai pas fermé à clé. Pousse.
Je pousse la porte, me retrouve dans le vestibule, au pied de lescalier; la voix de Lili vient de létage, je lève les yeux et je suis surpris.
Ma femme en haut de lescalier tourne lentement sur elle-même, quasi nue ! Voilà pourquoi elle nest pas venue maccueillir, elle sexhibe, tout à fait exceptionnellement, sur le palier, en pleine lumière,dans une tenue peu commune dans une rue ou même dans une allée de jardin. Montée sur talons hauts, Lili est vêtue dun petit soutien gorge à balconnets dont dépassent au milieu des aréoles larges de nourrice, entre autres chairs bronzées, les deux tétins bruns quelle caresse dun index mouillé entre ses lèvres. A la taille le porte jarretelles glisse ses bretelles sous un mini string et soutient deux bas assortis, à couture bien visible du haut en bas de ses longues jambes et terminés par une large bordure de dentelle. collée à la cuisse élégante. La blancheur des tissus et dentelles met en évidence le bronzage acquis sous le soleil de nos dernières vacances, dans la douleur stoïquement assumée
- Alors, quen dis-tu ? Me lance-t-elle avec un sourire rayonnant relevé par un rouge à lèvres agressif et un maquillage très voyant
Avant de commenter, je veux examiner de plus près, je gravis une marche.
- Non, reste en bas. Regarde bien et dis-moi si je te plais.
En réalité, je suis estomaqué. Jamais Lili ne sest montrée aussi aguicheuse, je tombe des nues devant le spectacle offert. Ma femme est naturellement belle, cest ce qui ma attiré en premier lorsque je lai vue pour la première fois. Les artifices minuscules dont elle sest parée aujourdhui sortent vraiment de lordinaire, ne ressemblent pas à ce quelle ma montré jusquà aujourdhui. Quelle mouche la piquée ? Cest surprenant mais intéressant ! Elle simpatiente pourtant elle continue à pivoter et à faire rouler ses hanches et ses fesses pratiquement dénudées, alourdies par la grossesse récente à laquelle nous devons le bonheur de quatre mois quest notre fille Anne.
-Jattends ta réponse. Alors, ma surprise te fait-elle plaisir ? Me trouves-tu désirable ou non? Jai fait ça pour toi. Dis, mon amour, tu aimes, ça te donne envie ?
Malgré mon étonnement, je réussis à cacher mon trouble et à répondre,
- Euh ! Mais, ma chérie, tu es toujours magnifique, admirable et désirable, tu le sais.
- Vraiment , Sois sincère, je serais si désolée de te déplaire. Jure-moi que tu nes pas offusqué. Est-ce que je texcite, comme ça ? Ça te fait de leffet ? Oui, là où tu regardes; oui, dans ton pantalon? Hum ? Tu as perdu ta langue ?
- Ma coquine ! . Si tu tes donné autant de mal pour me séduire, tu as réussi ton coup. Nue aussi tu provoquerais un raidissement en cet endroit, tu me connais. Eh ! Oui, je taime quelle que soit la présentation. Jadore le contenu avant tout, cependant voilà un contenant audacieux et agréable à observer Merci pour cette tentative heureuse de renouvellement
- Je suis ravie dentendre ton avis. Javais un peu peur de te choquer. Jai eu une idée extravagante pour réveiller un peu ta libido.
- Ma libido ? Quest-ce quelle a ma libido ? Aurais-tu à te plaindre dune baisse de régime, de moins dactivité amoureuse de ton époux ? Mais ma libido se porte bien me semble-t-il.
- Non, mon amour. Tu as été formidable hier au coucher. Mais pourquoi ne pas pimenter un peu nos sentiments et nos rapports. Ne tinquiète pas, tu es parfait dans ton rôle de mari.
- Mon rôle de mari ? Je suis toujours disposé à le jouer à fond et au fond de toi ! Jarrive pour te montrer ma réaction au piment. Prépare-toi à bénéficier du retour sur investissement. Mais que vois-je en approchant ?
- Va doucement et découvre ce que tu ne remarquais pas den bas. Approche et touche sil le faut. Lulu, lapprentie de Claudie ma coiffeuse, prépare son CAP. Je lui prête ma tête pour son entraînement, elle vient de me peigner : La petite est douée et me peigne gratuitement. Elle sexerce aussi aux soins du visage et du corps et, ce matin, jai osé sortir des sentiers battus : jai accepté un maquillage appuyé et moins discret. De plus, mais puis-je le dire ? Dis, tu ne te fâcheras pas, au moins ?
- Pourquoi me fâcherais-je ? Allez parle, tu es trop belle pour me contrarier; jai autre chose en tête.
- Tu vois mon string ?
- Oui, bien sûr ? Il est un peu petit et révèle effectivement les formes de ta vulve, se creuse et marque ta fente. Ah ! A mi vulve il disparaît même entre tes lèvres, tu parais encore plus nue que nue avec la ficelle qui écarte tes grandes lèvres pour se loger entre elles. Ça doit frotter sur ton clitoris déjà si sensible non ?
- Cest tout ce que tu remarques. Regarde mieux.
Lili passe un doigt sous le triangle étroit censé cacher son pubis et minterroge du regard avec un peu de gêne:
- Là, tu vois ?
- Ah ! Mais il ny a plus rien à voir. Sinon un mont chauve. Si ; tes si jolies bouclettes, tes friselis, envolés partis. Ho ! Ho ! Ton ventre ressemble à celui de notre petite Anne.
- Cest bien ce que je craignais, tu napprécies pas. Mais tu verras, quand nous ferons lamour tu ne pourras plus blesser ton gland sur un poil mal placé en travers de ta route. Et ça repousse, tu verras grandir les nouveaux si tu insistes. Mon maquillage nest-il pas outrancier ? Lulu se fait la main, ne domine pas encore le sujet. Ça fait peut-être un peu pute ? Oui ? Non ?
- Ce nest pas très discret et cest si contraire à tes habitudes. Pute ? Tu as sans doute raison, cest très voyant, criard, au bord de la provocation. Bof, de la fantaisie parfois cest bon, ça agrémente ou , comme tu le dis, ça pimente les relations dans un couple heureux.
- Tu le penses aussi ? Ouf ! Tout ne peut pas être parfait du premier coup. Men veux-tu davoir permis à Lulu de sentraîner ?
- Que non ; puisque ton accoutrement et lépaisseur de la couche de crèmes, de pommades et dautres ingrédients autour des yeux te confèrent un charme nouveau et terriblement émoustillant. Je me sens gonfler et tu vas en profiter sans attendre. Ah, ce string si indiscret, comme il me fait bander. Mais, mais, .. il se divise en deux dans létroitesse de ton sexe. Mon doigt sépare les deux bandelettes et touche ton puits damour tout humide et brûlant
- Arrête, cesse de remuer ton doigt dans mon vagin. Pas maintenant, sil te plaît; le repas est prêt et refroidirait. Attends ce soir, ta patience sera récompensée.
- Tu me demandes limpossible. Après avoir allumé le feu, tu fuis ? Le repas se réchauffera plus vite que ne pourrait baisser lintensité de mes envies. Viens dans la chambre et éteins naturellement lincendie que tu as propagé dans mon sang.
- Ce nest pas raisonnable.
- Où est le problème ? Cest vrai, je navais jamais vu cet ensemble blanc. Cest sans doute très cher ? Si je labîme, je ten offrirai un autre, naie pas peur. Plutôt noir ou rouge, ce sera moins salissant.
- Je ne sais pas ce que cela vaut, cest un cadeau !
- Un cadeau ? Oh ! Quelquun te fait des cadeaux de ce genre. Tiens, jaurais cru que ce type de cadeaux était réservé aux maris. Il faudra que jy pense, je naurai plus à me creuser la tête en certaines circonstances. Un string pratique, avec ouverture pour laisser passer le petit oiseau, hé, hé : « Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux », un soutien gorge qui ressemble plus à un présentoir quà un soutien réel, un porte jarretelle pour marquer la minceur de la taille et maintenir les bas sans plis. Jaurais dû y penser depuis longtemps ! Je retiendrai la leçon
- Tu as raison. Merci de ten rendre enfin compte ! Ne fais pas cette tête, ce nest pas ce que tu soupçonnes. Mon amie Claudie en vend dans son salon. Cest Lulu, lapprentie, qui ma offert cet échantillon gratuit de la part de sa patronne, pour me remercier du service que je leur rends. Voilà de quoi texpliquer la valeur sentimentale que jattache à ce lot de lingerie intime. Ce soir je retirerai tout ça et tu feras de moi, tout ce que tu voudras, mon cher mari.
- Au diable le retard. Je ne peux plus repousser à plus tard ou à ce soir le moment de te prouver mon ardeur amoureuse. Nous aurons vite fait denlever tout de suite ces quelques millimètres carrés de lingerie fine. Tourne-toi, je sais retirer les agrafes, tu me las appris. Vite, plus de soutif, plus de porte jarretelles. Maintenant la double surprise, permets-moi de baisser le string, appuie tes mains sur mes épaules., laisse-moi faire.
- Grand fou ! Chéri, ne caresse pas trop fort mon pubis; le feu du rasoir de Lulu rend cette région très sensible.
- Hé ! Il faut souffrir pour être belle. Sous mes doigts je découvre la douceur soyeuse de ta peau, là devant et aussi, là dessous, sur la vulve, et sur les fesses. Ca me pousse à un jeu de mots éculé mais si adapté, tu as « la peau lisse au cul » mon amour. Je t adore.
- Tu vois que tu changes davis, cela témeut et tamuse. Pouvais-je espérer mieux ? Non, je ne regrette rien. Reste le problème de mes bas.
- Lève un pied, je roule le bas blanc, lautre pied.
- Tu triches, tu me fourres un doigt quand je suis en déséquilibre sur une jambe. Ohhh!
- Cest tellement tentant de voir bâiller ta moule. Dis que mon doigt te blesse; Lulu na quand même pas fourré son rasoir ou son fer à friser dans ton sexe pour sentraîner à mieux servir ses clientes? Elle serait déjà lesbienne ? Donnerais-tu dans ce genre daventures, tu minquiètes.
- Quel idiot tu fais. Oh! Non ! Chéri, cest trop bon. Cesse de baratter ma cramouille ou je vais pisser sur ta main. Non, cest trop bon. Oh !
- Ce nest jamais trop bon. Ne traînons plus. Allons au lit
- Mais, ma coiffure ? A peine réalisée, elle sera foutue.
- Réfléchis, tu nes pas obligée de te coucher sur le dos. Je peux te foutre sans détruire ce bel agencement . La couche de spray garantit la solidité de la construction capillaire si précieuse. Dailleurs si je te prends en levrette ta coiffure ne souffrira pas. Si je me couche sur le dos, tu menfourcheras sans défaire le montage auquel tu tiens tant; debout, que tu me montres ton nombril ou ton cul. Ensuite mains au mur, prise par derrière tu jouiras mais ta coiffure ne sera pas tellement secouée; debout encore, enfilée par devant ou de côté,une jambe en lair, accrochée des deux bras à moi, ou à la rambarde, tu ne risqueras pas de te dépeigner. Et puis, quelle importance, même cheveux dépeignes, ce soir je taimerai toujours aussi fort.
- Puisque tu le veux. On serait peut-être mieux au salon, sur le canapé ou sur le tapis ou encore sur la table basse
- Peu importe le lieu, pourvu quon ait livresse ! Choisis lendroit et lordre des positions, je me sens disposé à accomplir des prouesses.
- Voilà la preuve que ma surprise paie. Jaurais dû attendre le soir pour la dévoiler. Le temps presse, tu vas bâcler louvrage, cest dommage. Va, assieds-toi dans ton fauteuil pour une fellation rapide, ça te permettra peut-être dattendre ton retour du travail pour des exploits de qualité.
- Trop tard, ma belle. A genoux là. Viens, suce-moi. On verra la suite après. Prends-moi en bouche et mâche consciencieusement : « Lappétit vient en mangeant. » Lèche, suce, à toi dagir et de compléter ton entreprise de séduction.
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