La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°770)

Pauline au Château - (suite de l'épisode précédent N°769) -

Marie la cuisinière admire son œuvre, cette image l’excite ! Alors, elle se place devant la jeune salope, place sa main derrière les cheveux de la chienne afin de lui plaquer la tête tout en soulevant sa propre robe, et plaque les lèvres de la salope sur son intimité déjà fortement trempée. Cette dernière comprend vite ce qui est attendu d’elle, aussi elle fait jouer de sa langue entre les lèvres intimes et bien développées de la Dominante. Monsieur Le Marquis suivant la scène par caméra, est curieux de voir la réaction de Sa cuisinière. Jusqu’à présent, cette chienne n’avait encore eu aucune relation avec une femme, à sa connaissance… Connaissant Marie depuis longtemps, et son amour pour les cunnilingus et son côté lesbienne, Il saura très vite, si cette chienne à un éventuel potentiel pour cela ou si elle va devoir suivre bon nombre de séances pratiques au saphisme. Cependant, Il sait, bien qu’Il n’ait pas pris l’occasion de la tester, que cette chienne aime les fellations, elle aime donner du plaisir à un homme, alors que peut-être cela sera-t-il pareil pour une femme… Il remarque que Marie perd patience, elle semble distraite, cela est mauvais signe… Marie repousse la jeune salope, lui assène quelques virulentes gifles qui volent avec des insultes dégradantes, puis lui ordonne de reprendre sa position. Le cul à nouveau tendu, Marie reprend le marqueur rouge et inscrit sur le bas du dos de l’esclave : « Ignorante sur le sexe féminin ». Déçu, Monsieur le Marquis comprend que cette chienne a encore beaucoup à apprendre… Marie fait un signe à la caméra, et s’empresse de rejoindre ses cuisines.

Monsieur le Marquis décide de passer à la suite du programme. Il rejoint Sa chienne salope, toujours en levrette, et la relève par les cheveux. Il accroche une laisse à l’anneau du collier, et ignore le regard de Sa chienne. Oui, Il a remarqué les larmes coulant sur ses joues, mais Il veut lui montrer que cela ne l’affecte pas et qu’Il est toujours en colère contre elle.

Il la promène jusqu’au dehors des murs du Château, où la petite chienne prend panique, alors d’une voix calme, Il la rassure lui expliquant qu’une punition l’attend, et non un abandon. Rassurée, elle semble plus sereine, et suit le Maitre docilement, sur les gravillons. Un échafaud, qu’elle n’avait pas remarqué à son arrivée, est présent au bord de l’allée, un pilori posé à la verticale, à une hauteur d’1,20 mètre, trône sur celui-ci. Rapidement, elle comprend le châtiment qui l’attend, et avec une grande volonté, elle souhaite s’y plier. Les heures passées dans ce Château, au pied du Maitre, à subir Ses différents ordres lui ont fait comprendre qui elle est, ce qu’elle est et pour qui elle est. Cette marche vers sa punition, et le fait d’avoir cru à un abandon de la part du Maitre, l’ont fait réfléchir sur ce qu’elle ressent, et sur son comportement indigne de la soumise qu’elle croyait être et qui se doit, c’est sa conclusion à sa réflexion, d’être avant toute chose obéissante, docile et motivée à cela pour la seule raison d‘être une véritable soumise, à savoir la pleine satisfaction du Maître. Instinctivement, elle se positionne en levrette au pied du Maitre, ravale ses larmes, et s’exprime d’une voix forte quand Monsieur le Marquis lui donne l’autorisation de parler :

- Maitre, j’accepte Votre châtiment, je souhaite devenir une bonne soumise obéissante dont Vous seriez fier, et pour cela, je suis prête à me plier à toutes Vos exigences, à tous Vos ordres, et je serais également docile à tous ceux à qui Vous daignerez m’offrir. Maitre, je suis Votre, mon corps et mon âme, je Vous en fais don. Je ne souhaite qu’apprendre à Vous satisfaire et à Vous servir, c’est ma seule raison d’être à Vos Nobles pieds. Maitre, je Vous présente mes excuses, et je Vous prie de prendre le temps de me corriger et de m’éduquer selon Votre Volonté. Je Vous en prie, j’ai besoin de Votre aide pour parvenir à celle dont Vous serez fier de promener sans honte, sans peur qu’elle fasse un faux pas.
Je souhaite devenir Votre marionnette, être dépossédée de mes pensées, de mes réflexions, pour m’en remettre qu’à Votre jugement, qui sera juste et bon.

Monsieur le Marquis garde le silence, intrigué. Il est fier des paroles prononcées par Sa petite chienne, mais cela le surprend. Il doit avouer qu’il ne s’attendait pas à cela. Quand Il l’a vu se jeter à Ses pieds, il s’attendait à ce qu’elle le supplie de ne pas la laisser là. Plutôt satisfait de ce qu’Il vient d’entendre, Il ne souhaite pas pour autant lui alléger sa peine, au contraire, cela ne fait qu’augmenter la durée de sa punition, afin de connaitre les véritables motivations de Sa jeune chienne. Cachant Sa joie, Monsieur le Marquis décide de prendre la parole, maîtrisant parfaitement ses émotions en conservant Sa froideur, Son charisme naturel et Sa colère intérieure, afin de ne rien laisser transparaitre, et ainsi, humiliée et rabaissée davantage cette chienne, qui ne mérite que cela après toutes ses fautes cumulées.

- Ma Petite chienne, sache que tes belles paroles sont vides de tout sens, sans acte. Tu vas devoir mettre en application tout cela, me prouver ta motivation à progresser à Mes Nobles pieds. Je veux que tu me sois PARFAITEMENT docile et obéissante, et que ta seule et unique préoccupation à partir de maintenant est de ME SATISFAIRE.

Le Maitre accentue ces deux derniers mots afin de marquer l’esprit de la chienne. Il prend un temps de pause, puis reprend d’une voix toute aussi posée :

- Tu vas souffrir durant cette épreuve que je t’impose, tes muscles seront rapidement douloureux. Un esclave viendra t’abreuver toutes les deux heures, avant de t’y amener, je vais t’accorder le droit de te vider la vessie. Tu conserveras le plug, afin de dilater continuellement ton anus. Je t’impose le silence et l’interdiction de jouir, bien évidemment. Tu vas être exposée à l’entrée de Ma demeure, sois digne de la chienne qui sommeille en toi, et laisse s’exprimer, en acceptant toutes les épreuves que tu vas subir.
Lorsqu’une chienne, ou un chien est ainsi exposé à l’extérieur de Mes murs, apprend qu’il s’agit là de la plus grande des humiliations. Mes aïeuls avaient installé ce pilori ainsi, et exposaient les chiennes et chiens qu’ils mettaient en vente, souhaitant simplement s’en débarrasser, prêt même à casser les prix, car les soumis(es) exposées de la sorte ne valaient rien à leur yeux lors des siècles précédant.

Bien que Petite chienne ait gardé sa position de levrette à Ses pieds, Monsieur le Marquis constate la chair de celle-ci frissonner à chacun de Ses mots. Elle est tendue, immobile, et sans doute pétrifiée par le châtiment qui l’attend. Le Maitre décide que le temps des paroles est fini, il tire sur la laisse, et accompagne la petite salope à faire ses besoins après lui avoir retiré son plug. Puis, ensemble, ils montent les marches de l’échafaud. Il lui ôte le collier, la privant ainsi du bonheur de porter les Nobles Initiales du Maitre à son cou. Il place sa tête et ses mains dans le pilori sans ménagement, qu’il referme avec un cadenas, dont la petite clef trouve refuge dans sa poche de pantalon. Ainsi, courbée à quasiment 90°, il écarte les jambes et les cuisses de la chienne, afin qu’elle soit bien offerte à qui voudra bien la prendre par ses orifices anale et vaginale et lie les chevilles à des anneaux placés sur le sol. Il recul d’un pas, et admire Son œuvre : Pauline est nue, bien exhibée, exposée à tous les regards, ses orifices grands ouverts de par ses jambes écartées et prêt à servir quiconque le souhaitera venir la baiser: Dominant(e)s, employés de maison, esclaves méritants… Les inscriptions de Marie sont encore visibles ce qui rend le tout magnifique. Une pancarte est déjà placée en haut du pilori : ‘’Chienne à baiser sans retenue’’. Ainsi, Sa Petite chienne est prête à recevoir sa punition, et ainsi à apprendre à bien se tenir, à devenir obéissante et docile. Cette punition rarement, il l’impose à Ses esclaves, de mémoire, cela doit être la première fois, qu’il est obligé d’en arriver là.
Cette chienne est tombée bien bas, pense-t-il, et voici un châtiment exemplaire lequel, elle se souviendra longtemps. Elle a l’interdiction de jouir bien entendu car chaque orgasme sera sévèrement réprimé par 20 coups de fouets effectués sur place sur sa croupe. Elle est réduite à la condition de trous, de vides couilles et vides chattes : une véritable paillasse, un objet de plaisir, une larve insignifiante, rabaissée à subir mille assauts sexuels. Pour l’instant le Maitre compte la laisser exposée ainsi pendant 24h, puis il jugera de la suite des évènements. Ce soir, une soirée mondaine est organisée au Château, ses Invités vont avoir une bien belle surprise dès leur arrivée au parking. Il assène quelques claques à ce cul tendu, puis ramassant la laisse et le collier, il quitte l’échafaud, abandonnant Sa petite chienne à son sort.

Retournant dans Son salon, Monsieur le Marquis active Son téléphone, répond aux différents mails qui l’attendent, puis décide de se connecter sur la caméra placée à l’entrée du parc. Pouvant la commander, Il pivote la caméra et zoom sur le cul de Sa petite chienne. Ce spectacle l’excite, Il sent Son sexe durcir, il claque des doigts, et une soumise punie au coin du mur s’approche en quadrupédie vers le Maitre. Arrivée à sa hauteur, elle se pose à genou entre les jambes du Maitre, et se saisit du Noble sexe du Maitre qui l’attend dur et tendu. Elle le prend entre ses lèvres, le lèche, le suce, l’enfonce au fond de sa gorge, et produit une fabuleuse fellation au Maitre, comme Il les aime. Le Maitre n’ayant pas quitté des yeux le cul de Sa salope sur la caméra, Il jouit dans un grand râle dans la bouche de la soumise posée à Ses pieds. Plutôt satisfait, Il se lève, claque des doigts, congédiant la soumise à reprendre sa place, au coin, et Il rejoint Son bureau pour finir divers travaux…

(A suivre …)

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