La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°771)

Marion au Château –

La route entre Brest et le Domaine du Maître était longue. Elle ne m'aida pas à m'apaiser. J'étais tellement impatiente de Le rencontrer enfin... Et en même temps je sentais l'appréhension me gagner. Passer du virtuel au réel était quelque chose que j'attendais depuis si longtemps ! Plus qu’un rêve, c’était un aboutissement dans mon sinueux chemin de la soumission. Mais être à l'abri dernière un écran est nettement plus rassurant que d'être face au Maître réellement. Une fois que je serais au Château, plus de marche arrière possible. Plus encore qu'en virtuel, je Lui livrerai mon corps qui Lui appartient. Et Il pourra en disposer comme bon Lui semble. Le temps d'un week-end au Château, la mère au foyer que je suis n'existera plus. Pendant 48 heures, je Lui appartiendrai totalement dans ce réel, plus encore que durant ces trois années de virtuel. Après une longue route entrecoupée des indispensables pauses relaxantes, j'arrive enfin au joli petit village de Beaujeu. Plus que 5 kilomètres et j'arriverai au fameux Domaine du Maître, au si légendaire Château de la Noble Famille des Evans. Je regarde l'heure. Comme à mon habitude, j'ai une demi-heure d'avance. Je mets donc dans le lecteur CD de ma voiture un nocturne de Chopin pour essayer de me détendre et de faire le vide. Lorsque je remets le moteur en route, je suis calme, limite sereine. Quoi que le Maître décidera de m'imposer, je sais qu'Il ne me fera rien de mal (gravement cela s'entend, j'espère bien ressentir un minimum de douleur...). Et j'ai volontairement consenti à être Sienne en mon âme et conscience et en étant saine d’esprit. C'est même moi qui Lui ai demandé de bien vouloir se charger de mon éducation.

J'arrive enfin à destination. Le Maître m'avait envoyé des photos de Son Château, mais une fois devant celui-ci, on ne peut que se sentir humble devant une telle bâtisse ancestrale. Elle est vraiment impressionnante, flanquée dans un très grand espace fleuri et verdoyant d’un immense parc entretenu et d’une dense forêt en toile de fond que j’aperçois derrière le Château.

.. Obéissante aux ordres que le Maître avait pris soin de me faire parvenir par mail la veille, je descendis de ma voiture habillée d'une courte robe noire arrivant tout juste à la limite de mes fesses, ne recouvrant mes seins que d'une bande de dentelle et ne cachant absolument rien de mes tétons pointant déjà d'excitation. Bien sûr je n'avais aucuns sous-vêtements en dessous. Juste une paire de bas noir auto fixant et une paire d'escarpins à talons sages. Toujours suivant Ses ordres, mon cul portait un plug et ma chatte des boules de geisha à picots. La grille du Château étant grande ouverte, je me mis à traverser le parc et arriva en bas du perron sans trouver âme qui vive. Puis je gravis doucement avec appréhension les marches du Château, oui bien lentement par crainte, essayant d'apaiser les palpitations rapides de mon coeur impatient. Je fis tinter la cloche et baissa immédiatement les yeux. J’attendis ainsi la tête baissée de longues minutes sans savoir quoi faire quand la porte s'ouvrit brusquement et une voix féminine m'interpela en étant tout de suite très directe, ce qui me mettait déjà dans l’ambiance si je puis dire !:

- Ah voilà la nouvelle chienne de Monsieur le Marquis. A partir de maintenant, tu n'as plus le droit à la parole, jusqu'à ce que le Maître lui-même t'autorise à t'exprimer. En attendant pas un mot, pas un son. As-tu compris, chienne ?

J'eus la tentation de lui répondre, mais me ravisais rapidement, me rappelant que Seul le Maître pourrait m'autoriser à parler. Je sentis cependant une gifle tombée. Relativement légère mais bien sentie quand même.

- Tu as ouvert la bouche pour parler. La claque n'était pas sévère, tu as su te retenir, ceci n'était qu'un avertissement. Je suis Marie, la cuisinière. Monsieur le Marquis te recevra dans une demi-heure. Pour le moment, tu me suis en silence.

Marie m'ordonna de me mettre à quatre pattes Je sentis sur mon cou un collier large se refermer et j’entendis l’ordre de la suivre prestement.
Sans regarder ses regards moqueurs, je me doutais bien que je devais avoir l'air ridicule, n'ayant pas l'habitude de cet exercice. Surtout que Marie avançait d'un bon pas et je trébuchais sans cesse. Elle me mena à travers d'innombrables couloirs, faisant exprès me semblait-il d'emprunter de nombreux escaliers à monter ou à descendre. Régulièrement pour me faire accélérer le mouvement ou simplement pour le plaisir certainement, j'avais le droit à quelques coups de martinet sur la croupe, martinet qui était apparu comme par magie, tant j'étais concentrée sur ma marche en quadrupédie. On s'arrêta au bout de ce qui me semblait une éternité dans une petite pièce où trônait une table en son centre. Elle m'y fit prendre appuis dans le sens de la largeur, m'attachant les mains et les chevilles aux quatre pieds de la table, me retrouvant ainsi écartelée, le cul et la chatte relevés et accessibles à qui les voudrait, ma courte robe ne protégeant plus aucun orifice. J’attendis encore un long moment quand une personne entra, que je ne vis pas étant tournée dos à la porte. Marie qui s'était tenue jusque-là en silence dans mon champ de vision, en disparut et j'entendis la porte se refermer derrière elle.

Une main baladeuse commença à me caresser la croupe avec une légèreté digne d'une plume, me chatouillant, me faisant m'agiter autant que mes liens me le permettaient. Je sentis une claque sur ma fesse droite et ne pus m'empêcher de pousser un cri. Alors un bâillon força ma bouche et je sentis successivement une série de 10 claques sur mon cul bien senties. Puis les caresses reprirent. La main, dont je ne savais toujours pas à qui elle appartenait, commença à jouer avec le plug enfoncé dans mes entrailles. Cela me tiraillait mais habituée par les exercices que le Maître exigeait que je fasse tous les jours, je ne ressentais pas de réelles douleurs mais plutôt petit à petit des ondes de plaisir. Jusqu'à ce que j'entende le bruit d'une fermeture éclair que je supposais d’une braguette et le gland de l'homme qui se tenait derrière moi qui s'efforçait de trouver un passage au côté du plug.
Quand il trouva un passage, il s’enfonça sans préambule d’un coup puissant et profond entre mes chairs intimes. Malgré le bâillon, je ne pus empêcher un gémissement sourd qui me valut à nouveau une série de 10 claques sur le cul, administrées de telle manière qu'à chaque fois je sentais plus précisément le plug et la queue enfoncés en moi. À la fin de cette punition, l'homme ne bougeait toujours pas en moi, bien planté profondément, il me remplissait complètement. Tout d’un coup, il se retira d'un coup sec (je me mordis l'intérieur des joues au sang pour ne laisser échapper aucun son) l'homme me dit:

- Tu as de la chance Chienne, je n'ai pas le droit d'en faire plus, le Maître veut se charger de t'élargir Lui-même ton petit cul de chienne. Mais cependant tu vas me prouver que tu peux être une bonne chienne pour le Maître et me nettoyer ma belle queue correctement.

A ces mots, je sentis le bâillon tombé, et entendit l'homme faire le tour de la table pour se mettre la queue face à ma bouche. Je sortis donc la langue et commença à lui nettoyer consciencieusement le sexe qui n’avait pas débandé, ce qui parait logique car il n’avait pas éjaculé dans ma chatte. Puis sans prévenir, il fit pression sur ma mâchoire pour en forcer l'ouverture et me baisa la bouche longuement, fougueusement. On sentait qu'il retenait son plaisir pour faire durer la séance. L'homme dont je ne connaissais pas le nom, n'y mettais aucune douceur, s'enfonçant jusqu'au plus profond de ma gorge, aimant y rester immobile jusqu'à ce que des larmes d' coule sur mes joues, avant de reprendre un mouvement de va et vient d'une force et d'une puissance que je n'avais jamais connu. Quand, enfin il s'immobilisa au fond de ma gorge afin d'y déverser un flot de sperme épais par de longues saccades dans les râles sans fin et tout en me maintenant la tête contre son bas-ventre en empoignant mes cheveux. Je ne pouvais qu'avaler et je m'étouffais presque. Mais prise d'une intuition, je me mis en devoir immédiatement de le lécher avant qu'il ne me le demande afin de le nettoyer.
Pendant ce temps il étirait son bras afin de passer ses doigts entre mes cuisses qui je le sentais, dégoulinaient de mouille. Il enfonça le bout de trois doigts dans ma chatte, me provoquant des frissons. Il se retira alors de ma bouche et me fit sucer ses doigts.

- Humm, c'est bien tu es une bonne chienne salope. Et qui plus est, une vraie chienne en chaleur ! Tu devrais plaire au Maître. Je vais te mener jusqu'à une autre pièce. Tu devras me suivre à quatre pattes comme la chienne que tu es et attendre le Maître près de la porte en position. Bien sûr, tu ne dois toujours prononcer aucune parole, aucun son. Sache par ailleurs que tu viens de servir de vide-couille au Majordome du Maître, je me prénomme Walter. N'oublie pas ce nom ! Si tu restes ici, tu seras amenée à me servir de nombreuses fois, selon les volontés du Maître de ces lieux.

Le Majordome me détacha les poignets et les chevilles. Je me mis aussitôt à quatre pattes, prête à le suivre. Walter entama une marche soutenue que j'avais du mal à suivre à cause d'un début d'engourdissement dans les poignets, du à leur attachement récent. Nous arrivâmes devant une pièce dont la porte était ouverte, mais non éclairée. Je ne pouvais distinguer ni ses dimensions ni ce qui la composait. Le Majordome me fit plonger dans la pièce d'un petit coup de pied appliqué sur mon cul rendu sensible par le plug et la double pénétration. Je me recroquevillais rapidement, la porte se refermant subitement sur moi. La pièce entièrement plongée dans le noir, je cherchais à tâtons la porte pour me positionner à ses côtés afin de me tenir dans la position exigée. J'attendis ce qui me sembla être une éternité. Je commençais à vaciller, prête à somnoler, les genoux douloureux. Quand j'entendis des pas derrière la porte. Je me remis vite d'aplomb, droite, les mains dans le dos, la tête et les yeux baissés. Mon coeur s'accéléra, j'allais enfin rencontrer le Maître... Lorsque la porte s'ouvrit je me sentis devenir humide et un courant électrique me parcourut. Je mourrai d'envie de relever la tête et de Le regarder enfin en vrai. Mais je savais que je n'en avais aucun droit. Et je n'avais aucun moyen en fait d'être sûre que c'était Lui. L'homme, au vu des chaussures que je voyais, n'avait pour le moment prononcé aucun mot. Il restait là à m'observer. Puis, il se déplaça dans la pièce et ouvrit les rideaux qui laissèrent entrer la lumière d'un soleil d'été de fin de journée par de très hautes fenêtres. J'osai à peine respirer.

L'homme revint devant moi. Une main se posa sur ma tête qui glissa sur mes cheveux en même temps qu'Il faisait le tour de moi. Sa main caressa mes épaules. Il saisit mes cheveux d'une main me forçant à me relever avec douceur mais fermeté. Je gardais les yeux et la tête baissés. D'un geste rapide, Il fit craquer le fin tissu et la dentelle de ma robe qui tomba à terre, me laissant aussi nue qu'au premier jour. Ses mains explorèrent mon corps, traçant le contour de mon visage, de mes épaules, soupesant, malaxant mes seins, pinçant, étirant, vrillant mes tétons, provoquant chez moi un léger frémissement des lèvres sous la douleur mais essayant de rester stoïque. Il passa sur mon ventre, provoquant des frissons et des décharges électriques dans tout mon corps. Sa main descendit jusqu'à ma chatte et claqua l'intérieur de mes cuisses, me faisant comprendre d'écarter les cuisses. Ce que je fis au maximum de ce qui m'était possible. Il commença à tracer des cercles autour de mon petit bouton rose en s'en approchant de plus en plus mais sans jamais vraiment le toucher. Ma respiration s'accélérait mais je n'avais encore laissé échapper aucun son. Il continuait ses cercles, tour à tour s'éloignant et s'approchant sans jamais toucher ce petit bout de chaire qui palpitait, ce qui me faisait énormément couler ma cyprine. Quittant ce terrain de jeu, l'homme que je n'avais toujours pas regardé mais dont j'étais persuadé qu'il s'agissait du Maître, commença à effleurer mes lèvres puis sans prévenir les pinça et les étira douloureusement, provoquant chez moi un sursaut dû à la surprise et à la douleur. Douleur accentuée par le fait de m'avoir mordu l'intérieur des joues jusqu'au sang afin de ne pas laisser échapper de cris.

Un "humm" approbateur vint me récompenser et me donna du courage pour la suite. Deux doigts virent s'insérer dans ma chatte encore très lubrifiée d'excitation, commençant un très lent va et vient, rejoint bientôt par un troisième, puis un quatrième et enfin le cinquième doigt. Pendant ce temps la seconde main continuait à jouer avec mes seins, mes tétons, me caressant, me pinçant, parfois même me claquant. J'étais assaillie de mille sensations, ayant du mal à ne pas me laisser aller à gémir. Surtout quand je sentis que la première main essayait de faire rentrer la paume dans ma chatte déjà bien remplie par les boules et les cinq doigts. Une fois le poignet rentré la main fit des va et vient de plus en plus rapide. Un véritable fist ! Je ne contrôlais plus du tout ma respiration, j'étais stimulée de partout ! Lorsque sa seconde main délaissa mes tétons, elle descendit vers mon clitoris, et elle se mit à le pincer et le tirer au moment où la première main sortit d'un coup sec de ma chatte emportant avec elle les boules de geisha. Alors je ne pus m'empêcher de hurler d’un plaisir puissant en laissant éclater ma vive jouissance, et je tombais à genoux prostré aux pieds de l'homme, pleurant doucement, d'émotions d'une part suite à ce gigantisme orgasme, et de honte de n'avoir pas su réprimer mes cris allant ainsi contre l'ordre qui m'avait été donné. L'homme restait immobile et silencieux. Je commençais lentement à reprendre mon souffle lorsque qu'un second orgasme, spontané celui-ci, m'assaillit, alors que penché l’homme me caressait mes lèvres intimes. Je serrais les dents pour ne pas avoir à désobéir une nouvelle fois. L'homme se redressa et se recula et je l’entendis s'asseoir. Une voix s'éleva, que je reconnus pour être celle du Maître.

- Bien, je suis assez fier de toi ! Tu t'es bien retenue quasiment jusqu'à la fin. Mais tu as quand-même crié et je ne me rappelle pas t'avoir autorisée à jouir. Pourtant au début de notre relation je t'avais bien prévenue que, hors autorisation exceptionnelle, tu n'avais aucun droit de jouissance sans mon accord. Tu seras donc punie pour cela. En attendant, viens à moi à quatre pattes, comme une chienne, et lèche ta mouille sur mes doigts. Et je veux que tu me regardes dans les yeux pendant que tu me nettoieras.

J'eus du mal à soutenir Son regard. Il est si intense, si dominateur, si bleu. Je suis partagée entre Son effet hypnotisant et Son effet intimidant, dominant. Mais j'obéis et léchais avec délice Ses doigts souillés. Tout en le nettoyant j'appréhendais la prochaine punition. Je supposais que cela n'avait rien à voir avec les punitions à distance. Lorsque le Maître fût satisfait, il retira brusquement Ses doigts. Il passa une laisse à un anneau situé sur mon collier et tira un coup sec. Je Le suivis donc à quatre pattes jusqu'à une autre salle, assez proche de celle que nous quittions. Dans cette nouvelle pièce se trouvait une immense croix Saint-André. Un "Debout !" accompagné d'une tape sur la nuque me fit me lever, et je me tins tête baissée les mains dans le dos, les jambes légèrement écartées. D'un geste ferme, le Maître m'attacha chaque membre à la croix et je me retrouvais les bras levés en croix et les jambes largement écartées.

- Maintenant je vais te punir ! Je vais d'abord te priver de jouissance, sous peine de 10 coups de fouet à chaque manquement. Et, ce qui te semblera d'abord une bénédiction mais sera vite une , je t'obligerai à jouir. J'ai cru comprendre au travers de nos divers discussions sur Internet, que tu pouvais jouir très vite et très souvent. Mais tu vas découvrir qu'y être obligée peut être douloureux. Durant toute la punition, tu pourras gémir, crier et même supplier je n'en doute pas, autant que tu le souhaiteras. Et pour accen encore tes sensations, tu auras les yeux bandés…

(A suivre …)

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