Eva En Uniforme - 1
Chapitre 1 - Qui est Éva ?
Tôt le matin, encore dans un demi-sommeil, je repense assez souvent au feuilleton « Rude awakening » (dur réveil). Les premières images sont chaque fois les mêmes : une jolie brune (Sherilynn Fenn) se réveille dans une chambre quelle ne connaît pas, le poignet attaché par une paire de menottes à un des barreaux du lit. Elle secoue la tête en levant les yeux au ciel, genre « Mais quest-ce que jai encore fait ? »
Cest tout moi, ça
Juillet 1980
Je suis dans ma chambre et dans mon lit. À côté de moi, par terre sur un matelas, il y a mon mari. Monsieur dort sur le sol, parce que sinon, il me réveille en se retournant. Nempêche, je me disais déjà : « Mais quest-ce que jai encore fait ! » Oh, je men souviens très bien. Jai participé à un gangbang en tant que seul élément féminin. Mon mari était présent, mais il y avait aussi neuf hommes, des travailleurs du bâtiment.
Vous voyez, je suis croyante et je pense que je ne me conduis pas trop mal dans lensemble. Mon tempérament mamène à me faire culbuter à droite à gauche par des Messieurs, mais je suis sûre que ça ne déplaît pas au Seigneur. Par contre, un gangbang, cest-à-dire se faire baiser par 9 mecs, 10 si on compte mon mari, ça me semble un peu limite. Allons Éva, un gangbang ! Comment suis-je arrivée là ?
Je repense à Éva jeune fille, honteuse que sa mère soit une servante et tirant le diable par la queue (oui, déjà). Obligée de voler quelquefois, un maquillage ou un joli pull. Elle a des pensées récurrentes, qui ont un rapport avec un film, genre « 1.000 et 1 nuit », dans lequel une esclave était menacée du fouet.
Quant à lÉva de la période Cap dAgde, il y a du pour et du contre. Cétait seulement il y a deux mois, je me revois marchant nue dans la galerie marchande du village naturiste, puis toujours aussi nue, servant les clients dans le bar « Chez Lucien ». Ça, cest le côté « pour », car jai beaucoup aimé.
Éva au Cap dAntibes, ça me plaît beaucoup. Je découvre le luxe. Je mange des mangoustes (langoustes !). Je me revois émergeant de la piscine avec mon petit maillot blanc devenu complètement transparent la vendeuse mavait prévenue, mais je ne lavais pas écouté ou alors, jai trouvé lidée marrante.
Éva mariée, cest pas mal non plus. Par exemple, ma nuit de noces. Xavier étant bourré, je pars en chasse et je ramène le barman de lhôtel. Cest lui qui a remplacé le jeune marié et ma dépucelée à côté de mon mari. Dépucelée, cest une image, mon minou ayant déjà vu le loup et même toute la meute
pour ne pas dire aussi les meutes des alentours. Lors de ma nuit de noces, je me suis rendu compte que mon mari aimait me voir baisée par un homme, ou deux
ou même dix en ce qui concerne hier.
Éva période « public relation », cest maintenant. Mon beau père ma engagée dans sa société « Fragrance de Provence. » Je ne gagne pas beaucoup dargent, environ 10.000 francs (un peu moins de 2000 ) par mois, mais je nai aucun frais. Le travail est délicat, mais il ne me prend que 2 ou 3 h tous les deux jours. Je suis chargé des relations avec Ricci, le délégué syndical. Par moment, ça se passe bien, à dautres
disons nettement moins bien pour mes fesses. La partie suivante de mon travail de « public relation », cest de rencontrer des gros clients, souvent étrangers. Il sagit de leur montrer la ville et de les accompagner dans de bons restaurants et même en boîtes, sils ont envie de samuser.
Éva !
Oui la Voix ?
(Cest ma Voix intérieure qui intervient chaque fois quelle pense que je dois être rappelée à lordre.)
Tu noublies rien ?
Attends
je leur montre la ville, on va manger, on va en boîte
Ah, oui, tu as raison !
Vous voyez, il est très important que les clients potentiels passent une très bonne soirée. Dans ce cas, ils seront de bonne humeur le lendemain, ce qui les poussera à signer les contrats.
Éva !!
Quoi encore, la Voix ?
Ça revient à dire que les femmes de tes lecteurs sont des putes !
Ouais, ben, ça se pourrait
Euh, non, cest pour rire, reprenons :
Il est indispensable que ce quon vous donne à sucer soit bien clean, toutes les femmes vous le diront.
Daccord, monter dans la chambre des Messieurs, ça ressemble un peu à faire lescorte. Mais en réalité, cest tout à fait différent. Moi, je suis une « public relation ». Dailleurs, ils ne doivent même pas me payer. Je suis un cadeau de ma société pour ses bons clients. Mais comme je suis performante dans ce job, je veux dire celui qui se passe dans la chambre, il arrive que des Messieurs satisfaits glissent un billet entre mes fesses. Jaccepte uniquement pour ne pas les vexer, bien sûr. Ce qui nempêche pas que je trouve ça mignon. Mettre un billet dans la fente de mes fesses, cest un peu comme si cétait dans une tirelire. Notez que jai aussi une fente un peu plus bas, mais là, ils mettent autre chose. Rien de plus poétique comme je le raconte, nest-ce pas ? Cest au petit matin que je suis le plus en forme pour inventer ce genre de chose. Mais là, je commence à avoir faim. Je sors une jambe de mon lit et je shoote dans les fesses de mon mari qui dort par terre, en disant :
Va faire le petit déjeuner, jai faim.
Oui, ma chérie.
Ce sont les bons côtés du mariage
Je métire
Je dois pisser
Ah, joublie une chose : il y a maintenant Éva, période « agent dartistes ». Je vous explique.
Là, je dois tout de même me décrire, si vous navez pas encore lu le tome I. Je suis blonde, je mesure 1 m 63,5 et jai du 85 B comme de tour de poitrine
Eh ! ne faites pas la grimace ! Jai aussi une paire de fesses à rendre jalouse une Brésilienne de 18 ans qui jouerait au volley toute lannée sur la plage dIpanema. Et dans lensemble, on me dit très séduisante. Donc je plais beaucoup.
Pour faire bref, vu que jai de plus en plus faim, le concierge fait une fixation sur mes fesses. Je nétais dabord pas emballée, mais déplaire à Monsieur Ricci, cest toujours risqué. Donc jarrive dans le petit logement minable de Marcel et là, je vois toute une série de reproductions de toiles dartistes impressionnistes célèbres. On parle de Monet, Caillebotte, Corot, Pissarro, Berthe Morisot et aussi de la montagne Sainte Victoire, des Nymphéas
Il peint aussi, avec beaucoup de talent. Je me suis chargée de lui trouver une galerie qui expose ses dessins et ses peintures. Une dernière chose, parce que je vais sûrement en parler, avant ça, Ricci toujours lui ma obligée à jouer les Fanny, lors dune grande soirée de remise de prix du tournoi de pétanque de la société. Baiser Fanny, ça consiste pour les perdants à embrasser les fesses dune belle fille. Moi, en loccurrence. Marcel a même fait le dessin dune affiche où on me voit soulever ma jupe et présenter mes fesses.
Voilà, pipi, cest fait, le petit déjeuner, aussi.
Jai pris de bonnes résolutions. Baiser, daccord, mais « normalement ». Plus de gangbangs ou de fantaisies aussi inconvenantes.
Les jours suivants sont calmes, pas de rencontre avec Ricci, pas de clients avant la fin de la semaine.
Avec Xavier, on visite un peu la région. Je fais des courses à Cannes. Je gagne pas mal dargent pour le peu que je fais. Notez que je suis très spécialisée. Je ne peux cependant pas faire de folies. Je
mouille pour de jolies chaussures à semelles rouges, mais elles ne sont pas dans mes prix ou alors sur le marché de Vintimille.
À 15 h, on prend lapéritif sur la terrasse dun bar de la Croisette. Oui, cest tôt pour lapéritif, mais cest celui du midi, on na pas encore mangé. Nous voyons arriver une jolie métisse !
Elle sécrie :
Éva, ma beauté, je suis contente de te voir !
Saluuut Perle !
Cest une
escorte que jai rencontrée lors dun rendez-vous avec des clients.
On sembrasse sur la bouche, normal, on sest déjà embrassé le minou. Je présente Xavier, mon mari.
Je lui propose de boire un verre avec nous. Jaime bien Perle, elle est jolie et elle sent bon. Elle me demande à loreille :
Ton mari sait pour les clients ?
Oui, bien sûr.
Elle dit à Xavier
Ça ne te dérange pas que ta femme soit escort ?
Non, pas du tout, je trouve même ça excitant.
Perle nous explique ce quelle fait là :
Jai rendez-vous avec un gros client. Comme il voulait une fille de plus, pour un ami à lui, je vais à lagence voir qui est disponible pour ce soir. Mais viens, toi. Tu verras ce sera marrant.
Je lui dis :
Faut voir si je lui plairai, je ne suis pas une bimbo.
Arrête, Éva. Tous les hommes sont fous de toi, tu as un cul denfer.
Xavier approuve :
Cest vrai, ma chérie.
Il ajoute, tristement :
Vas-y, je rentrerai de mon côté.
Perle lui dit :
Mais non, je suis sûr quil sera daccord pour que tu viennes voir. Je vais lui téléphoner.
Elle se lève et entre dans le bar.
Xavier est chaud pour nous accompagner, évidemment. Il me dit :
On le fait, hein ?
Oui
Perle revient en disant :
Tout est arrangé. Jai parlé de tes fesses et de ta technique pour faire les feuilles de rose.
Ouch ! Elle a une voix qui porte, les gens sur la terrasse nous regardent.
Jessaie quelle soit plus discrète :
Perle, parle plus bas sil te plaît, on nous écoute.
Elle éclate de rire. Cest une nature, Perle.
Vanter ma technique pour lécher cet endroit-là, ça me gêne.
Dabord une mise au point : ne croyez pas que jaime lécher les trous du cul des mecs, pour parler crûment. Mais en bonne « public relation » il marrive de devoir faire ça pour satisfaire un gros client. En ce qui concerne le cul de Perle, là, je lai léchée pour le plaisir.
Je lui demande tout bas :
Il paie bien ?
Au moins 3000 balles (un peu plus de 500 ).
À peu près le prix des chaussures rouges !
Non, je nai pas oublié mes bonnes résolutions du matin, mais là, il sagit simplement dune petite partie à 4
euh
avec une escorte et sous les yeux de mon mari. Oui, bon, ce nest pas des plus convenable, mais jai très envie de ces chaussures. Elles sont à portée de mains : on me tire et je les ai.
Son bon client habite sur les hauteurs de Cannes.
Cest un gros Brésilien qui sappelle Danilo. Il est très riche, mais sympa quand même, ce qui est rarement le cas. On boit, on va manger dans un très bon restaurant, puis on rentre et on baise. Moi avec Perle, puis avec un Monsieur, puis lautre. Danilo appelle même son garde du corps pour quil participe. Je ne rentre pas dans les détails, parce que cette soirée est simplement le déclencheur de ce qui va se passer ensuite.
On rentre chez nous vers 3 h du matin. Sans même me démaquiller, je me couche et je mendors.
Le lendemain, je me réveille vers 10 h. Je pense tout de suite aux chaussures que je vais acheter cet après-midi.
Ce qui ma réveillée, cest le téléphone. Xavier est allé répondre. Il revient pour me dire :
Grégoire est surexcité. Il a déjà essayé de nous joindre, mais je nai pas entendu. Il veut quon aille immédiatement chez eux.
Putain ! Quelle scie ! Si cest encore parce quil a la gaule, il peut se la mettre sous le bras. Cest vrai après tout, il a beau être mon beau père et mon patron, je suis « public relation », pas son esclave sexuelle. Si cest pour ça, je ne vois pas pourquoi Xavier doit aussi y aller. Je mets vite ce qui me tombe sous la main, un short en jean et un tee-shirt.
On habite la maison des gardiens dans la propriété où se trouve leur maison, celles des
maîtres.
Jentre. Grégoire et Marie-Charlotte mattendent au salon en compagnie de Ricci, le délégué syndical et dun homme, un Noir que je nai jamais vu. Marie-Charlotte est habillée très sexy, ce qui nest pas dans ses habitudes. Elle a une robe tellement décolletée que ça lui met pratiquement les seins à lair. Lhomme que je ne connais pas a le bras autour de sa taille. Sils veulent faire une petite partouze de grand matin, ce sera sans moi. Je nai même pas eu le temps de prendre une douche. Jai encore sur moi les odeurs de la soirée dhier.
Il faut dire quon est rentrés bien « arrangés » hier soir.
Ils ont pourtant lair très sérieux. Je salue tout le monde poliment.
Je veux masseoir, mais Grégoire me dit :
Restez debout tous les deux.
Il est malade ! Je lui dis :
Comme si on était au tribunal, Monsieur ?
Exactement !
Il y a un problème ?
Mon beau-père est en même temps mon patron. Il trouve préférable que je lappelle Monsieur et sa jeune femme na pas raté loccasion pour me dire : « Et moi, tu mappelleras Madame. »
Il me répond :
Non pas un problème, plusieurs.
Il se tourne vers sa femme. Elle me dit :
Tu avais un rendez-vous, hier à 19 h avec Monsieur.
Elle me désigne le Noir qui est à côté delle.
Et du coup, la mémoire me revient !
Oh mon Dieu, oui, je
Elle me coupe :
Monsieur est venu nous parler dun contrat pour vendre nos produits dans sa chaîne de « Black Beauties Shop ». Il ta attendu une heure et puis il a téléphoné. Je suis allée à ta place. Maintenant, excuse-toi après de lui.
Je le regarde et bredouille :
Je suis terriblement désolée, je
I dont speak french.
I am awfully sorry Sir, I was ill. This afternnoon Ill do my very best to satisfy you. (Je suis terriblement désolée, jétais malade. Cet après-midi, je ferai le maximum pour vous satisfaire.)
Il fait la grimace et dit à Marie-Charlotte :
This girl seems to be a slut (cette fille a lair dune souillon).
Non mais dis donc, lAmerloque, on ta pas appris la politesse dans ton ghetto ?
Oui, bon
Comme Grégoire voulait me voir immédiatement, jai juste enfilé un short en jean et un tee-shirt. Et, je sais ou plutôt, je sens que jaurais dû prendre une douche, après avoir baisé avec deux mecs
plus le garde du corps, hier soir.
Le Noir dit à Grégoire (je traduis) :
Je préfère de loin celle-ci.
Il se tourne vers Marie-Charlotte et ils sembrassent
sur la bouche.
Il continue :
Elle est belle, elle sent bon et elle baise trop bien.
Là, je perds 10 cm et comme je mesure 1 m 63 et demi, je vais bientôt pouvoir me cacher dans un trou de souris !
Grégoire lui dit :
Vous pouvez lavoir jusquà ce soir, je marrangerai avec son agence.
Il fait passer sa femme pour une pute
enfin, une escorte, et Marie-Charlotte la snobinarde a lair de trouver ça très amusant. Cest vrai quils fréquentent les clubs libertins
Au tour de Ricci, celui-là me dit :
Et nous, nous avions rendez-vous ce matin à 9 h.
Ça, cest pas vrai ! Je noserais jamais rater un rendez-vous avec lui, il a la main trop leste. Je lui dis :
Je vous jure que non, Monsieur, je
Grégoire me coupe :
Je te lai dit lundi, devant Mathilde.
Oh, putain, jai complètement oublié.
Jessaie de me justifier :
Un oubli
Deux oublis !
Oui, mais même, ce nest pas la fin du monde ! Je fais toujours du mieux que je peux. Les clients sont contents de moi. Vous savez ce nest pas facile.
Grégoire répond :
Cest vrai, Éva. Sil y a une seule chose que tu fais bien, cest baiser. Mais ce quon te demande, en plus, cest daller aux rendez-vous ! Cela peut avoir des conséquences graves si un gros client prend la mouche ! Heureusement, Monsieur Smith, avec qui tu avais rendez-vous, a signé le contrat grâce au dévouement de Marie-Charlotte.
Grâce à son cul, oui.
Cest elle qui prend la parole, toujours serrée de près par le grand Black, qui a mis la main entre ses cuisses. :
Xavier et toi, vous filez un mauvais coton. Daccord, ce que tu fais, tu le fais bien, mais tu as beaucoup de temps libres, et lui aussi. Que vous ayez des plans cul un peu spéciaux, cest ton problème, mais vous commencez à picoler dès le matin et vous vous êtes mis à la coke.
Xavier et moi, on regarde nos pieds
Un client ma donné un peu de coke, ensuite on racheté quelques doses, et hier, chez le Brésilien, il y en avait aussi. Mais on avait décidé darrêter.
Grégoire me dit :
Cest vrai ?
Oui Monsieur, mais je vous jure quon avait décidé de tout stopper.
Marie-Charlotte reprend la parole :
On vous offre une petite cure de désintoxication dun mois. Ça fait un moment que Carmen nous demande daller en Espagne pour vendre une maison quelle a hérité. Tu vas la remplacer et je te garantis que tu vas être sobre et Xavier aussi.
Elle se tourne vers Grégoire qui prend le relais pour me
tourmenter :
Vous avez le choix. Soit vous partez vivre votre vie, soit vous acceptez nos conditions et dans un mois, chacun retrouve son job.
Je nenvisage pas un seul instant de me retrouver seule avec Xavier, qui ne sait pas faire grand-chose. Sans diplômes, je ne pourrai trouver quun boulot de serveuse ou de vendeuse, mais ce serait être la bonniche dun patron ou dune patronne.
Je leur demande :
Quest-ce quon devra faire ?
Cest Grégoire qui va masséner la sentence :
Tu seras la bonne à tout faire, nettoyage, lessive, vaisselle, servir à table. Comme ta mère, tu vois ?
Salaud ! Jen ai les larmes aux yeux.
Marie-Charlotte en remet une couche :
Et à lancienne, Éva. Pas de lave-vaisselle ou de machine à laver, tout à la main ma fille. Et si on nest pas content de ton travail ou si tu nobéis pas bien, on te punira. Quant à Xavier, il taidera le matin et pour servir à table et laprès-midi il sera aux ordres du jardinier.
Je regarde Xavier. Évidemment, lui, il ne sait pas ce que cest, travailler. Néanmoins, il me fait oui de la tête.
Grégoire ajoute :
Ma nièce et mon neveu sont ici pour les vacances. Cest Marie-Charlotte et elle qui vont soccuper de toi. Ma nièce sappelle Alix, elle est intelligente et aime les aventures extrêmes comme de transformer une souillon en une bonne stylée.
Souillon ! Ça fait deux fois. Cest sans doute la Sainte Éva, aujourdhui.
Bon, résumons-nous. Est-ce que je suis prête à faire la bonne et arrêter lalcool et le reste, pour récupérer mon job dans un mois ? Je réponds :
On est daccord.
Tu réponds pour vous deux ?
Oui.
Bon, allez chercher quelques affaires et revenez ici pour 10 heures. Ma nièce recevra les domestiques qui se présenteront.
A suivre.
Il s'agit du début de mon nouveau livre. La semaine prochaine je publierai un long extrait, encore.
Bien-sûr, mon but, c'est de vous donner envie de le lire. Oui, mais il est super bien, il fait rêver, bander, sourire, mouiller... tout quoi!
Je continuerai à publier "Pirates et captives."
"Eva en uniforme" :
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