La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°773)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode N°760) - Un bordel suisse (1/2)
Je crois que le temps sest arrêté. Voilà maintenant plus dune demi-heure que moi et ce jeune esclave blond nous nous roulons des pelles sous le regard attentif de Karl. Son sarcasme est sans limite, sans cesse Il nous humilie, nous ridiculise, ses railleries nous rabaissent toujours un peu plus.
- Deux chiennes, vous nêtes rien dautres que deux grosses salopes insatiables, que deux putes affamées de sexe.
Impossible de contredire celui qui nous accable, furieusement nos langues senroulent, nous bavons, gémissons de plaisir. Je bande terriblement, ma queue se frotte contre celle de mon compagnon dinfortune. Lui aussi est raide. Nous sommes tous deux pris dune furieuse excitation, impossible même de nous contrôler. Paradoxalement, avec nos verges dressées au zénith, nous ressemblons à deux étalons près à pratiquer une saillie...
- Votre plaisir a assez duré les chiennes, prosternez-vous à mes pieds et remerciez-moi de vous avoir laissé vous baiser !
En levrette, nous nous plaçons et jentends soudainement lesclave blond déclamer :
- Daignez accepter toute ma gratitude Vénéré Maître, je vous remercie humblement pour tout ce que vous faites pour moi.
Je reçois une claque sur mon cul tendu, Karl men assène une seconde :
- Et toi la chienne, quattends-tu pour me remercier !
Je balbutie, tente de redire cette maudite phrase que je nai retenu que partiellement. Les coups tombent à chaque erreur de ma part, jusquà ce que je parvienne enfin à la prononcer impeccablement.
- Tu vois quand tu veux salope
Un autre ordre tombe, sec, avec autorité
- Debout !
Nous sommes conduits dans une salle de bain pour une douche, mais pas nimporte quelle douche, au jet avec un tuyau darrosage.
- Mains sur la tête les chiennes, cuisses écartées, interdiction de bouger.
Je résiste tant bien que mal, mieux que mon congénère qui lui relève lune de ses jambes pour protéger ses burnes. Karl exige, ordonne, menace :
- Tu veux que je te dérouille ! lance-t-il.
Le jeune esclave se ressaisit et soffre, par peur de représailles bien pénibles, un bien dur traitement que lui impose son Maître insistant.
- La nature ta pourvu dune paire de couilles, alors que tu ne le mérites pas. Tes burnes pendantes entres tes cuisses te sont parfaitement inutiles, tu le sais bien salope
Dois-je te rappeler quelles ne sont là que pour être maltraitées ?
Malgré ce jet puissant éclaboussant son bas ventre, le jeune esclave se remet à bander terriblement, ces mots humiliants, comme sils étaient vérité, lont de nouveau excité cruellement
La douche se termine, nous nous séchons rapidement et dès lors que nous avons replacés nos colliers autour du cou, tous deux, sommes entrainés, enchainés, debout, dun pas rapide, dans un long couloir. Nous descendons quelques marches en ciment brut, et nous nous retrouvons dans un simple garage. Ludo est là, devant le coffre ouvert dune voiture.
- Allez les chiennes, dans le coffre. Nous vous emmenons au boulot !
La voiture recule doucement puis démarre en trombe. Secoués dans ce coffre, nous nous cramponnons tant bien que mal pendant tout le long trajet, un très long voyage sur des routes sinueuses. Enfin, le véhicule sarrête, le moteur se coupe, on nous laisse cogiter dans ce coffre encore un long moment. Parfois la main du jeune esclave me caresse les fesses, je sursaute à chaque fois ne sachant pas si je dois me laisser faire et lorsque celui-ci me pose de délicats petits baisers sur la nuque, je me mets à bander tel un cerf en rut.
- Voilà la marchandise, 2 belles putains ! Lance Karl
Aveuglé par la luminosité, je distingue mal celle qui se saisit de mes couilles. Je suis extirpé du véhicule ainsi. Karl lui fait sortir son esclave du coffre en lattrapant par son collier. Nous voilà en pleine nature, dans un alpage suisse, avec devant nous un immense chalet de montagne. La main tenant mes burnes se desserre, sitôt après je reçois une injonction :
- Retourne-toi, penche-toi en avant, écarte tes fesses et montre-moi ton trou du cul, la salope !
Cette femme semble pour le moins déterminée. Sa voix autoritaire ne laisse place à aucune possibilité de désobéissance. Jexécute et à peine suis-je installé, quun doigt, puis deux me pénètre brutalement.
- Trou déjà bien dilaté, très souple, avec une bonne humidité ambiante ! constate la Dominante.
Ces doigts au fond de mon cul me fouillant allègrement et ces mots me font triquer à mort. Cest une immense sensation excitante de bonheur que de se sentir une simple marchandise, un simple objet, cela me procure une érection hors norme !
- Belle marchandise, je prends
, dicte toujours sévèrement la Domina
Cest au tour du jeune esclave appartenant à Karl, de subir laffront, une fouille intime en règle, en pleine nature, telle que celle que je viens de subir. Son cul a lui aussi retenu lattention de cette Dominante.
Je constate que les mâles bandent tranquillement chacun dans leur coin mais aucun ne se masturbe, ce qui comme pour moi, doit leur être interdit. Les femelles quant à elle, ont pour la plupart leur cyprine qui dégouline sur leurs cuisses, alors que personne ne les touche et quelles ne se caressent pas, non plus. Tous, mâles comme femelles semblent en un état dexcitation tranquille qui est dû, je suppose, par le fait dêtre considéré comme du bétail sexuel, ce qui est aussi leur raison de leur présence, ici. Je ne dépareille donc pas en arrivant dans cet enclos avec ma forte érection qui parait donc toute normale et naturelle
Une heure peut-être vient de passer, et nous voilà tous contraints de sortir de cet enclos, tous à quatre pattes, en file indienne, le nez dans le cul de celui ou celle qui nous précède.
- Couche-toi à plat dos ici ! la pute, mordonne-t-elle sévèrement
Je mexécute en bandant fort encore
(A suivre
)
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