Eva En Uniforme - 2
Ricci sort avec nous et nous accompagne. Je lui dis :
Pour un rendez-vous manqué, vous ne trouvez pas que cest cher payé, Monsieur ?
Deux rendez-vous, Éva. Et cest parce que je taime bien.
Ah ouais, qui aime bien châtie bien, nest-ce pas ?
Voilà. Dans un mois, tu seras clean. Je te surveillerai et si tu touches à la coke, je moccuperai de ten faire passer le goût.
Cest bête mais ça mémeut. Cet homme se préoccupe vraiment de moi.
Il ajoute :
Jai trouvé très bien ce que tu as fait pour Marcel. Dans un mois, tu continueras. Ce qui ne mempêchera pas de te fesser dans latelier si tu nes pas polie.
Ou simplement si vous avez envie.
Il rigole :
Oui, les camarades adorent ça. Ils séchangent les photos de tes fesses quand tu faisais Fanny.
Oh ! Cest mignon, ils collectionnent mes fesses !
Je lui dis :
Marie-Charlotte ne peut pas me blairer. Elle va être cruelle avec moi et sa nièce aussi, jen suis sûre.
La nièce, non, je la connais et Marie-Charlotte ne te déteste pas. Elle trouve, comme moi, que tu dois avoir un minimum de discipline. Elle va sûrement te donner des punitions, mais, bon ce ne sera pas ta première fessée
Et tu ne garderas pas longtemps les traces, promis.
Il vient avec nous à la maison et nous oblige à lui donner le peu de coke quon avait. Il embarque aussi tout lalcool.
Chapitre 2 - Éva, bonne à tout faire.
Xavier et moi, on fait une petite valise et puis on retourne devant la grande maison. À 11 h, je sonne. Un homme dune quarantaine dannées vient nous ouvrir. Il me dit :
Bonjour
Jai la gorge tellement serrée que pas un mot ne sort !
Xavier ne dit rien non plus, bien sûr.
Vous venez pour les places de domestiques ?
Ouiii
Msieur.
Entrez et détendez-vous, on ne va pas vous manger.
Jai une terrible envie de faire pipi.
Il nous fait entrer dans le salon en expliquant :
Marie-Charlotte, cest un couple pour la place de domestiques.
Ah, oui, ils sont à fond dans leur putain de jeux de rôle.
Il quitte la pièce.
Elle est assise sur le canapé avec le Black qui a lair de bien samuser. Elle dit à Xavier :
Allez vous présenter au jardiner, il est près du tennis.
Euh, oui Madame.
On reste à trois. Elle me dit :
Vous êtes là pour la place de bonne à tout faire ?
Oui, Madame.
Vous avez des références ?
Cest-à-dire
Oui ou non ?
Non, car
Car vous avez été renvoyée de votre précédente place. Pourquoi ?
Je suis trop stressée. Je ne vais jamais trouver une raison.
Il y a un long silence, elle attend.
Mais
Cest que
Monsieur voulait me rejoindre dans ma chambre et moi, je ne voulais pas.
Elle sourit :
Vous ne vouliez pas ? Cest surprenant, parce que vous avez vraiment lair dêtre le genre de petite bonniche quun patron baise sur un coin de table ! Bon, admettons. Vous vous appelez comment ?
Éva, Madame.
Bien
Éva, cest un nom qui convient pour une bonne. Déshabillez-vous.
Jenlève mon jean, mon tee-shirt et ma culotte
Elle se lève, mexamine, puis fait quelques commentaires :
Vous avez des très petits seins.
Elle pince les bouts, mais juste ce quil faut. Je commence tout de suite à me tortiller un peu.
Elle me dit :
Et vous êtes très sensible !
Puis elle caresse mes fesses, en disant :
Beau cul de Black.
Est-ce quelle va examiner mes dents ?
Non. Elle me tend un genre de cache-poussière sans manches qui se boutonne par devant en disant :
Voilà ce que vous mettrez pour nettoyer.
Il est en nylon et dun affreux rose. En plus, il a déjà été porté, par Carmen sans doute, car il sent la transpiration.
Je prends ma culotte pour la remettre, mais elle me dit :
Pas de culotte.
Jenfile le tablier. Elle me montre des vieilles sandales usagées,
Mettez ça, aussi !
Elle les a trouvées dans une poubelle ?
Marie-Charlotte mexamine, soupire et dit :
Je vous prends à mon service.
Merci, Madame.
Première règle de savoir-vivre à lusage des domestiques : quand vous attendez quon vous demande quelque chose ou quon vous donne un ordre, vous ne devez pas être là, les bras ballants à regarder autour de vous. Vous devez croiser les mains sur votre bas ventre, tête baissée. Vous ne devez jamais regarder vos Maîtres ou les invités, mais le bout de vos pieds. Cest clair ?
Oui, Madame...
Les larmes aux yeux, les joues brûlantes de honte, oui, pour de vrai, je me mets dans la position quelle souhaite.
Une jeune fille entre dans la pièce en disant :
Je viens voir la nouvelle bonne.
Moi, je nose pas bouger. Elle vient devant moi et dit :
Bonjour.
Bonjour, Mademoiselle.
Elle tourne autour de moi, flatte ma croupe en disant :
Pas mal
Madame soupire :
Cette fille na aucune manière, Alix. Dis, tu veux bien lui montrer où est le matériel de nettoyage ? Quelle récure le hall dentrée.
Oui. Viens avec moi, petite.
Elle me montre où tout se trouve :
Tu dois récurer à genoux avec une brosse.
Je prends tout le matériel, brosse, raclette, seaux, savon et je vais dans le grand hall.
Je savonne, brosse, rince
Le sol est assez gras, donc ce nest pas facile.
Alix vient voir régulièrement et elle trouve chaque fois une trace, quelle me montre du bout de son pied pour que je frotte à nouveau !
Quand jai presque tout nettoyé, elle vient une nouvelle fois vérifier.
Elle me dit :
Ce carrelage doit étinceler !
En disant ça, elle renverse le seau deau sale en mordonnant :
Recommence !!
Je recommence ! Je nai plus les larmes aux yeux, je pleure carrément en frottant le carrelage !
Elle revient voir une heure plus tard. Elle ne dit rien, ce qui est mieux pour moi ! Marie-Charlotte passe aussi, en regardant à peine
hautaine, dédaigneuse !
Ensuite, je dois faire la lessive.
Alix vient me contrôler avec son frère Carl. Je lui dis :
Bonjour, Monsieur.
Bonjour, petite.
Il demande à sur :
Elle nemploie pas la machine à laver ?
Non, on a pensé quun peu dexercice lui ferait du bien. Tas vu ses fesses ?
À moi :
Tourne-toi.
Je le fais. Il rigole et dit :
Cest vrai quelle a une belle paire de fesses !
Il me donne une bonne claque sur le cul en disant :
Allez, frotte Éva.
Je nai pas lhabitude de travailler physiquement, jai mal aux genoux et aux épaules. Ce cache-poussière en nylon est hermétique, jai chaud et je transpire. Et pour finir, jai soif et je dois aller aux toilettes !
Quand elle revient, je viens de finir la lessive. Je lui demande :
Mademoiselle Alix, je pourrais aller aux toilettes, sil vous plaît ?
Quand vous aurez nettoyé le sol de la buanderie. Vous avez mis de leau partout, souillon ! Allez, prenez une serpillière et épongez à genoux !
Souillon !!! Ce ne sera que la 3ème fois, aujourdhui, quon me dit ça.
« Madame » Marie-Charlotte vient voir. Elle me regarde éponger à 4 pattes et dit à Alix :
Bien, bien... Cest la place dune servante. Surtout, fais-toi obéir !
Ten fais pas, je sais comment la faire marcher droit !
Pour montrer comment elle me traite, elle me donne un coup de pied dans les fesses, en disant :
Allez, frotte un peu plus fort !
Madame éclate de rire et dit :
Jadore ta façon de parler aux domestiques !
Rien narrive par hasard, jai fait des conneries, je le paie. Les rendez-vous oubliés, bien sûr, mais surtout, picoler autant avec Xavier et être passés à la coke. Je devrais remercier le Seigneur dêtre à genoux, occupée à récurer. Mais je nirai quand même pas jusque-là.
Le soir, ils mangent dehors. Je me retrouve seule avec Xavier.
Je lui raconte ma journée et lui, la sienne avec le jardinier.
On va se coucher dans la minuscule chambre de bonne. Moi sur le sommier, lui sur le matelas par terre, sinon il me réveille.
Le lendemain à 7 h du matin, une sonnerie stridente me réveille !
Où suis-je ? Oooh, non ! Cest un univers parallèle dans lequel je suis bonne à tout faire !
Je métire, jai mal partout à cause des efforts physiques dhier. Le ménage, quelle horreur !
Il me faudrait une douche pour me réveiller, mais il ny a même pas un lavabo dans cette chambre minuscule !
Pourtant, jen ai vraiment besoin.
Lhygiène na pas lair dêtre le souci principal de la maison. Ici, on soigne son apparence, mais cest tout !
Xavier est aussi déboussolé que moi, couché par terre. Pourtant il me dit :
Hier, lalcool et le reste ne mont pas manqué.
Cest vrai, moi non plus, mais ce nest que le premier jour « clean ».
Je remets laffreux cache-poussière rose.
On va dans la cuisine et jessaie de comprendre comment fonctionne la bouilloire électrique.
À 7 h 30, on sonne, un homme apporte du pain et des croissants.
Il me caresse les fesses en disant :
Tes la nouvelle bonne ?
Euh... oui, Monsieur.
Tes plus mignonne que lautre !
Il regarde Xavier :
Et toi, tes le nouveau domestique ?
Euh
oui.
Tout en lui parlant, il me caresse les fesses avec une totale désinvolture !
Il me dit :
Penche-toi sur la table, petite.
Mais
Il ny a pas de « mais », Madame est au courant. Je fais des prix.
Alors
je me penche sur la table. Il remonte le cache-poussière et fait « Fffwwwwiiiiii ». Ça, cest un homme qui siffle en voyant un beau derrière de fille.
Il sexclame :
Tas un super cul, toi !
Puis il se tourne vers Xavier :
Tu la tires parfois ?
Xavier fait le petit malheureux en répondant :
Cest rare quelle soit daccord et pourtant, je suis son mari.
Parce que tu ne sais pas y faire, petit ! Regarde comme elle obéit bien avec moi. Un ordre et elle est là, les fesses à lair à attendre que je lenfile.
Il me glisse sa main entre mes cuisses, puis ajoute :
Et elle mouille ! Je vais lui faire sa fête à ton cul. Oh, mais, ça ne te dérange pas que je baise ta femme ?
Non, Monsieur.
Le boulanger me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
Écarte bien tes jambes.
Il me pénètre aussitôt
Ooooh, il est bien monté le boulanger et il baise bien. Cest la première chose agréable qui marrive depuis que je suis bonne à tout faire. Évidemment, ça ne dure pas longtemps : il est rapide, mais moi aussi. Je jouis juste avant lui.
Il se retire, puis me claque à nouveau les fesses en disant :
Super petite, cétait très agréable.
Pour moi aussi, Msieur.
Il sen va en disant :
Salut les s, à demain.
Bon, il me laisse un cadeau en partant, une chatte pleine de sperme. Xavier vient aussitôt méponger le sexe avec des kleenex, pendant que je déballe le pain et les croissants quil a apportés.
Je suis affamée, mais je nose pas manger ! Xavier non plus. Il attend lheure daller chez le jardinier.
À 8 heures Monsieur et Madame descendent. Elle est en chemise de nuit transparente.
On voit nettement ses seins qui bougent quand elle marche !
Grégoire a juste un tee-shirt et ses... couilles dépassent !
Je dis :
Bonjour Madame, bonjour Monsieur.
Pas de réponses ! Ils parlent entre eux.
Leur neveu Carl arrive aussi. Lui me dit bonjour :
Salut Éva.
Et il me donne une claque sur les fesses. Encore !
Aie ! Bonjour Monsieur Carl.
Jai fait du café et du thé. Je vais vite mettre ça à table.
Quand ils ont fini de déjeuner, Madame me demande :
Vous avez mangé des croissants, Éva ?
Non, Madame.
Vous aurez toujours ce que nous laissons ! Et seulement quand je vous le dirai !
Oui Madame, mais...
Madame hausse le ton :
Vous devez apprendre à ne pas « répondre », sauf si on vous pose une question. Dailleurs, il y a un mot que je vous interdis de prononcer dorénavant, cest « mais ». Si je vous entends encore une fois dire « mais », vous serez punie.
Sa petite tirade fait rire les deux hommes.
Quand ils ont fini de déjeuner, Madame me dit :
Maintenant, vous pouvez manger ce qui reste dans nos assiettes.
Merci, Madame.
Monsieur et Carl ont laissé un demi-croissant. Quant à Madame, elle a mis un croissant presque entier dans son café au lait avec un kleenex utilisé. Elle y a même planté le cure-dents quelle a utilisé, en disant :
Voici votre pitance, Éva !
Le mot est bien choisi !
Je regarde ses restes, un peu dégoûtée.
Il y a un problème, Éva ?
Je dis sans réfléchir :
Non, Madame, mais...
Ouch ! Jai dit « mais » !
Bon, je vais vous guérir de dire « mais »...
Elle se lève, me prend par une oreille et me traîne derrière elle, jusque dans la cuisine... Courbée en deux, je crie :
Aaaaiiiee ! Pardon Madame... Aiiie, mon oreille !
Elle me lâche et je me frotte loreille en gémissant !
Monsieur et Carl sont venus assister au spectacle...
Xavier qui était assis se lève immédiatement.
Madame dit :
Jai préparé ça, à votre intention, Éva !
Sur lévier, elle déballe un petit savon bon marché. Elle le passe sous leau et le fait bien mousser. Elle dit :
Ouvrez la bouche, Éva !
NON ! Je ne bouge pas !
Elle soupire, puis regarde Xavier, en disant :
Toi, cest quoi, ton nom ?
Xa
Xavier, Madame.
Viens la tenir et fermement !
Il me prend solidement sous le bras. Il a de la force, je suis étonnée.
Madame matt par les cheveux et les tire violemment en arrière. Je pousse un « Aaaaiiiiee ! » qui se termine par un « Mmmmfmfff ! » car elle a enfoncé le savon plein de mousse dans ma bouche et mempêche de le recracher avec sa main. Je crie :
Mmmffmf ! Mmmmfff !
Quel horrible goût artificiel !
Je me débats, mais cest inutile, car en plus, Carl matt les mains.
Madame me met en garde :
On va vous dresser, ma petite ! Bientôt, quand je vous en donnerai lordre, vous déballerez le savon et vous le mettrez vous même dans votre bouche !
Le savon me brûle le palais ! De leau savonneuse me coule dans la gorge et me remonte même dans le nez !
On reste comme ça quelques minutes, moi à essayer vainement de cracher le savon. Enfin, elle dit aux deux hommes :
Vous pouvez la lâcher au-dessus de lévier.
Carl enlève sa main, je crache le savon en toussant !
Vous avez compris la leçon, Éva ?
En pleurant, jouvre la bouche pour répondre, quelques bulles de savon sen échappent :
Oui, Madame !
Cest bon ! Vous pouvez vous rincer le gosier, mais seulement trois fois !
Ouf ! Je me rince la bouche... Le goût diminue mais ne disparaît pas !
Quand je me retourne, elle est assise et je vois quelle a glissé sa main sous sa robe de nuit et quelle se caresse !
Elle soulève sa chemise de nuit et me dit :
On va profiter de ce que votre bouche est propre ! Venez me lécher la chatte !
Quoi !? Marie-Charlotte, si distinguée...
Elle ajoute :
Vous préférez sucer un autre savon ?
Non, Madame.
Je me mets à genoux entre ses cuisses, le nez contre ses lèvres.
Si ma bouche est toute propre, sa chatte lest nettement moins.
Je lèche ! Lodeur est un peu forte, par contre, jai tellement le goût du savon dans la bouche que je ne goûte rien dautre.
Me tourmenter la bien excitée, elle jouit assez vite, en plaquant mon visage contre son sexe ! Puis, elle me repousse et me regarde :
Quest-ce quon dit ?
Merci, Madame.
Elle sadresse à Carl :
Cest quoi, cette bosse dans ton pantalon ?
Il sourit :
Cest excitant de voir la bonne te lécher
Vous avez compris, Éva ?
Oui. Je me mets à genoux devant lui. Son sexe se dresse devant mon nez. Il est... grand. Il fait coulisser la peau du prépuce, lodeur me surprend un peu. Le gland est mouillé.
Madame me dit :
Commencez par lui lécher les couilles.
Cest doux, poilu, chaud....
Il me caresse la tête.
Prends-la dans ta bouche.
Je le suce. Il accompagne mes mouvements en me tenant par la nuque. Par moment, son gland est presque entre mes lèvres, puis il senfonce jusquaux amygdales. Dans ce cas, jai le nez dans la toison qui entoure son sexe...
Je sens son membre gonfler dans ma bouche ! Ça y est ! Il me maintient solidement par la nuque et son sexe menvoie des giclées de sperme chaud dans le fond de la gorge ! Je ne peux pas dire que je sois folle de ça, mais à côté du savon, cest délicieux.
Quand il se retire de ma bouche, Madame me montre du sperme qui a coulé par terre :
Vous avez de nouveau sali, cochonne ! Léchez !
Je lape une petite flaque sur le sol...
Quand cest fait, Madame me dit :
Assez joué, vous avez du travail !
Ils quittent la cuisine, sauf Carl qui est resté pour me demander :
Ça ta plu de me lécher la bite, Éva ?
Il ne me laisse pas le temps de répondre mais passe la main entre mes cuisses et met deux doigts dans ma chatte !
Il dit en riant :
Jai la réponse, ma belle !
La suite est ici :
Eva en uniforme. Est ici :
https://www.amazon.fr/Eva-uniforme-II-aventures-dEva-ebook/dp/B01LZV7WG2/ref=zg_bs_6102755031_78
Ici, je parle de mes trois livres avec un petit résumé :
https://leslivresdemia.wordpress.com/2016/10/01/mes-livres/
Je continuerai à publier des histoires gratuitement, ici. Mais de temps en temps, soyez des amours et achetez moi, je ne coûte que 3,50 e. Si vous ne le faites pas, je risque de disparaître
euh
en tant quauteure, bien sûr ! Voilà que je me suis fait peur tout à coup !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!