Donjons Et Dragons - 5
Depuis plusieurs jours, je suis me suis soumise sexuellement à une sorcière qui prend plaisir à transformer mon corps à ses envies, rendant mes attributs génitaux toujours plus désirables à chaque séance de domination. Moi qui souhaitais seulement devenir une dame de la cour du château où jétais paysanne, je suis devenue son jouet sexuel
- Comprends, petite chienne. Si je te laisse en liberté imagine toutes les catastrophes que tu pourrais produire ? Jai besoin de garder un il sur toi à présent que tu es devenue ce que tu es. Jespère que tu es encore en mesure de comprendre pourquoi je fais ça.
Jai passé la nuit dans une petite cage à lapin. Ma Maitresse my avait enfermée parce que daprès elle je ne pouvais plus retenir mes pulsions sexuelles. A lentendre, je naurais plus aucune retenue et je me soumettrais à nimporte qui, dès lors que cette personne me demanderait explicitement que je me mette en 4 pour son plaisir.
Je me réveillais donc ce matin-là le corps endolori, le coup en laisse, à peine vêtue dun uniforme de soubrette tâché du sperme de Niel, suite à nos ébats dhier dans la salle à manger. Jouvrais à peine les yeux que je voyais ma Maitresse sapprocher de ma cage. Jétais encore allongée, elle est me dominait de toute sa hauteur. Javais appris à la craindre, à avoir peur delle. Dun geste délicat, elle ouvrit la porte de la cage, me demandant de sortir. Je compris alors que la cage navait jamais été verrouillée, et que javais de moi-même décidé dy rester toute la nuit. Jai perdu énormément de facultés intellectuelles, cela ne faisait plus lombre dun doute.
- Petite soumise, maintenant que tu nes plus autonome, je vais devoir prendre soin de toi. En tant quobjet sexuel, tu vas officiellement devenir un meuble et quitter ton humanité. La cérémonie aura lieu dans quelques jours. En attendant je vais te préparer pour que tu sois parfaite.
Sur ce, elle sassit sur le bord de son lit et écarta les cuisses.
Ma Maitresse appréciait ses caresses, et elle se mit très rapidement à gémir, le souffle court, mhypnotisant de ses yeux qui ne me quittaient pas. Je ne pouvais plus me libérer, cétait comme ça. Je ne quitterais pas lodeur enivrante qui sortaient de ses lèvres avant quelle nait jouit, plusieurs fois. Je ne marrêterais pas tant quelle souhaiterait que je continue. Durant ces longues minutes, elle marmonnait parfois des formules magiques, mais jétais trop bête à présent pour les comprendre.
Elle commença à haleter, sécrasant sur le lit pendant que je fourrais ma langue dans son vagin à la recherche de son plaisir. Je sentais son emprise mentale se renforcer, progressivement, jusquà lexplosion. Elle me noya cet orgasme fulgurant, qui dura plusieurs minutes. Si je perdais mon humanité, je gagnais ce pouvoir.
Une fois remise de ses émotions, ma Maitresse se leva pour shabiller. Elle avait toujours des tenues très chics et sensuelles, avec de petits décolletés et des bijoux. Pendant quelle se maquillait pour sortir, elle sadressa à moi, toujours à genoux, en train de lécher le sol pour le laver des dommages collatéraux de mon devoir matinal.
- Chère soumise, est-ce que tu pourrais retirer tous tes vêtements sil te plait ?
Je la regardais, interloquée, puis je mexécutai. Pour ce que mon petit costume de soubrette cachait, après tout..
- Mh.. Parfait. Ça devrait suffire, dit-elle dun ton satisfait. Essaye ça à présent.
Elle jeta dans ma direction une tunique un peu sale quelle avait probablement soutirée à une servante.
Et là, soudain, je ressenti comme un énorme picotement sur les parties de mon corps couvertes. Je la regardai, paniquée, retirant prestement le bout de tissu à lorigine de la douleur. La tunique restait dans ma main, et je compris quelle commencé à prendre feu.
- Les objets sexuels ne shabillent pas, ils restent nus, petite chienne. Cest dans lordre naturel des choses, tu comprends ?
Ce que je comprenais maintenant, cest quelle venait de me jeter à nouveau un sort qui minterdisait de porter des vêtements ! Je devrais rester totalement nue pour le restant de mes jours ! Malgré la grande tension sexuelle de ces dernières heures, cette nouvelle mattristait un peu, sans que je puisse comprendre pourquoi. Une larme coula sur mes joues, reflets de ma vie davant, de quand jétais encore humaine.
La sorcière remarqua ma détresse. Elle sagenouilla face à moi, avec son maquillage, ses beaux habits, ses bijoux. Face à elle, je ressemblais effectivement à une trainée, dépossédée dhumanité et bonne à sucer nimporte quel organe sexuel à ma portée.
- Ne sois pas triste. Cest ton destin. Tu es née pour servir. Les habits, ce nest pas pour toi.
Elle sécha ma larme dun revers de main.
- Tu dois rendre fière ta maitresse. Exposer ton corps, le mettre en valeur. Ma cyprine te rendra plus belle encore de jours en jours. Et plus obéissante. Et tu seras heureuse de me servir.
Elle se tut quelques instants avant de reprendre.
- Japprécie que nous ayons pu mettre ça au clair avant que tu nait même plus conscience de toi-même.
Savoir que jétais vouée à devenir une coquille vide bonne à servir sexuellement sans éprouver dautre forme de besoin que dobéir était réconfortant, dans ma position. Ces dernières onces dhumanité me pesaient.
Obéissante, je retournais dans ma cage. Jattendis ainsi plusieurs heures, ayant loccasion de madonner plusieurs fois à une masturbation rendue dautant plus facile que je navais plus besoin de passer de main sous ma culotte pour le faire.
Ma Maitresse revint plus tard dans la journée. Elle ouvrit la cage et récupéra la laisse en mordonna lordre de la suivre.
- Ce soir, petite trainée, tu vas servir danimation pour une petite soirée que jai organisée. Tu commences à avoir une certaine popularité au sein de la cour, et je ne voudrais surtout décevoir mes invités. Jespère que je nai pas besoin de te demander si tu as compris.
Javais compris, et la suivi dans les couloirs. Je gardais la tête droite, toujours en laisse derrière elle, même quand je croisais des visages que javais déjà vu les jours précédents.
Nous étions en plein milieu dun couloir quand nous passâmes alors devant une personne que je connaissais très bien, puisquil sagissait dun de mes meilleurs amis, lorsque jétais encore à travailler dans les champs. Je ne savais pas ce que ce dernier faisait là, mais il me reconnut tout de suite. Je ne pouvais pas décevoir ma maitresse maintenant alors que je continuai de regarder devant moi. Mon dieu. Ma réputation dans tout le village était foutu.
Il avait la vingtaine, comme moi. Cétait un brun plutôt bien bâti, et très gentil et dune aide toujours précieuse.
Ma Maitresse vu le regard du jeune homme. Elle comprit ce quil se passait, et sadressa à lui :
- Vous êtes intéressé par une location ? Je cherche à rentabiliser son entretien, parce que cette petite pute est assez encombrante.
Mon ami était complétement tétanisé, ne sachant pas quoi penser de la situation. Nous avions passé des années à jouer ensemble depuis notre adolescence, nous étions plutôt complices, et il me voyait à présent en laisse et nue, à sa merci, devant lui.
- Je
Il me regardait avec insistance. Mes yeux fixaient le vague, tel un épouvantail. Je jouais à la coquille vide. Je voyais bien quil louchait sur ma poitrine qui avait pris plusieurs bonnets depuis notre dernière rencontre.
- Nait pas peur, mon jeune homme.
Ce nétait pas totalement vrai, javais été plutôt e et contrainte, mais ce nétait pas le moment de la contredire.
- Cest vrai, Lilly ? demanda-t-il en sadressant à moi. Puis se tournant vers ma propriétaire : ça veut dire que je peux toucher ?
Jétais parfaitement humiliée. Je sentais son regard plein denvie, une envie que je navais jamais vu avant chez lui. Ma maitresse acquiesça dun signe de tête. Il fit un pas vers moi, me passa une main sur le visage.
- Tu es devenue tellement belle, Lily..
Ses mains parcouraient mon corps immobile. Je ne pouvais plus éviter son regard, alors je plongeai mes yeux dans les siens. Il semblait à présent tellement plus intelligent que moi. Tellement plus maitre de lui-même. En le voyant, je comprenais à quel point jétais descendue bas. Je lui souris, parce que je voulais faire plaisir à ma maitresse.
Il me saisit un sein, tout en continuant de regarder mon visage.
- Holalala
Mon dieu
Il continua son exploration. Les puissantes magies de ma propriétaire revenaient en moi et réchauffaient ma libido avec précipitation. Sil avait envie de moi, je devais le satisfaire. Comme ma Maitresse lavait dit, jétais faite pour ça.
Je ne pouvais plus me retenir et mes mains parcoururent aussi son corps. Sous les yeux de ma Maitresse, je dénouais son pantalon pour prendre en main une verge de belle taille. Je ne me contrôlais plus, cétait finie, jétais perdue. Jallais faire jouir mon meilleur ami sous les yeux de cette sorcière, en prenant du plaisir comme jamais.
- Heu, elle a le droit de faire ça ? demanda-t-il à ma propriétaire. Il comprenait si vite..
- Si tu en as envie, oui, je lui donne lautorisation.
Mes mains passèrent entre ses jambes pour lui malaxer ses testicules. Il me regardait avec son innocence, et énormément de gratitude. Peut-être avait-il eu envie de me baiser depuis des années sans me le dire. Je nétais pas aussi facile, à lépoque.
Je me frottais à présent contre lui, plaçant mon bassin contre le sien. Je voulais quil me pénètre, cétait décidé. Jattrapai sa verge, tendue et chaude, que je plaçai à lentrée de mon vagin. Lui me caressait les fesses avec douceur. Jétais sa pute. Et je prenais mon pied.
Il me pénétra dun coup de rein progressif, puis commença les va et viens. Je gémissais comme une petite pute, parce que je sais que ça lui ferait plaisir. Je navais pas prononcé un seul mot depuis plusieurs jours, seulement des cris de petite chienne, et je commençais même à douter dun sortilège magique mempêchant de mexprimer correctement. Mais en létat je nen avais pas besoin ; un objet sexuel, ça ne parle pas.
Il sactivait, accélérant la cadence, je commençais à être plutôt bruyante. On devait mentendre dans tout le couloir. Maitresse devait être satisfaite, elle qui voulait que je lui fasse une bonne publicité.
Sa verge allait et venait dans entre-jambe, je sentais cette chaleur comme un cadeau quil me faisait. Jétais à bout de souffle, il se débrouillait bien !
Il se retira soudainement, pointant son pénis dans ma direction. Je le pris en main. Il jouit, dans un gémissement grave, expulsant sa purée sur mon ventre et ma poitrine. Ses jets étaient puissants, au point que jen reçu dans la bouche, goûtant à son odeur salée irrésistible.
Ma Maitresse semblait satisfaite également. Et si elle létait, je létais. Son bonheur me rendait heureuse, et en cet instant, je comprenais le cadeau quelle me faisait.
Mon ami se rhabilla et sadressa à ma propriétaire.
- Hé bien, merci Madame ! Lilly est entre de bonnes mains, jai limpression. Si elle se satisfait de sa nouvelle condition, alors tout est parfait.
Il hésita quelques secondes puis rajouta :
- Vous savez, ça fait plusieurs années que javais envie de baiser son corps de salope. Alors une fois.. Cest assez peu, vous voyez ?
Jécoutais mon meilleur ami me traiter de salope en faisant comme si je nexistais pas. Maitresse eu un petit sourire au coin des lèvres parce quelle avait compris. Je devais être trop bête.
- Oui, bien sûr, tu peux revenir pour la baiser. Elle est là pour ça, maintenant. Satisfaire les besoins sexuels de sa propriétaire et de ses nouveaux amis.
- Vous voulez dire que je suis votre ami ?
- Considérons que maintenant quelle ne possède plus dâme et quelle nest plus que bonne à baiser, si tu as besoin à qui parler, vient plutôt me voir, daccord ?
Il sourit, me palpant une dernière fois la poitrine comme si il touchait un vêtement dans un magasin libre-service.
- Merci mademoiselle. Vous faites du bon travail avec cette cochonne. Elle mérite ça.
Puis il séloigna.
Ma conviction que jétais faite pour sucer toute ma vie était renouvelée. Je rendrais fière ma maitresse.
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