La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°774)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode précédent N°773) - Un bordel suisse (2/2)
Je mexécute en bandant fort encore
Je monte sur une espèce de petite table rembourrée et couverte dun skaï noir.
- Ton cul tout au bord de cette table et relève les cuisses, la chienne! me dicte-t-elle encore.
A peine suis-je installé dans la position requise, que mes hanches, mes cuisses relevées et mes mollets sont pris dans un carcan formé par des planches de bois posées les unes sur les autres avec des trous plus ou moins larges, permettant demprisonner mes jambes et ma taille. Cette construction ingénieuse mempêche tout mouvement de bassin et de mes membres inférieurs mais aussi de voir ce qui se passe derrière cette haute cloison de bois laissant sans doute, mes fesses bien exposées et maintenues largement écartées. Mais ma captivité ne sarrête pas là, la vieille dominante menferme le cou et les bras dans un autre carcan me contraignant et me clouant à limmobilisme parfait. Un bandeau mest ensuite posé sur les yeux.
- Je te prédis lextase la chienne, que tu le veuilles ou non, tu vas en prendre plein ton cul, espèce de grosse salope ! Que de bites affamées ce soir vont te prendre dans ton trou de catin, tu en as de la chance ! me lance celle qui ma séquestrée.
Au même moment, elle matt les deux mamelons, les pinces et les tire sauvagement à men faire hurler et bander instantanément. Deux pinces japonaises mordantes viennent remplacer ces doigts, la chainettes les reliant entre elles se tend et semble être accrochée à lun des panneaux de bois enserrant mon cou. Et comme si la douleur nétait pas suffisante, une corde me noue les couilles et ma nouille tendue à lextrême. Mon paquet est relevé, soigneusement étiré, solidement attaché, laissant ma marge anale bien dégagée. La posture devient terriblement pénible tout autant que follement jouissive.
Heureusement on me laisse là, couché en chien de fusil. Les yeux mi-clos, je me repasse le film de cette soirée et nuitée, mon addiction sexuelle à la soumission totale et masochiste nest plus à démontrer. Je suis dans la compulsion, la dépendance, narrivant plus à résister à mes envies toujours plus hard. Jaime me faire démonter, besogner, défoncer, emboiter, bafouer, humilier, tel un besoin quasi maladif.
- Bouffe et nettoie correctement, bâtard !
Je reconnais la voix de Karl. Mes lobes fessiers sont plus largement écartés, je moffre en levrette en jetant un regard rapide sur celui obligé. Le jeune esclave blond de Karl est là, derrière moi, entre mes cuisses, sa bouche rivée sur mon anus meurtri, sa langue cueillant le surplus de foutre dégoulinant de mes entrailles. Son corps est terriblement zébré. Cet anulingus me remet sur pied, je moffre en fermant de nouveau les yeux tout en gémissant tapageusement. Une main me saisit la bite, je suis raide, mon gland décalotté et bien humide. De longs et doux vas et viens sur ma hampe turgescente me font rapidement décoller. Javale difficilement ma salive, je soupire et respire longuement. Mes jambes vibres et trembles, mon échine frissonne. Je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps, même si cette masturbation est douce et très lente. Je menflamme encore, la langue du jeune esclave me pénètre largement. Oh que cest bon !
- Pitié Monsieur, je vais
.
Mais cette main rivée à ma bite accélère le rythme. Mon corps tout entier palpite et flageole. Je maffole, magite, me trémousse, mépouvante, ce nest plus possible
- Pitié, pitié, je vais jouir Monsieur !
Je tressaille et vacille encore tentant de contenir mon éjaculation.
- Vas-y crache Ma pute, là, maintenant, je ty autorise...
Cette voix
oui cette voix
et cet orgasme au même instant. Je décharge longuement, vigoureusement en rouvrant les yeux et en me retournant.
- Oh Maître
Maître vénéré, vous êtes ici!
Monsieur le Marquis me regarde silencieusement, ses yeux bleus captivent les miens. Je suis tellement heureux, tellement bien
- Quattends-tu pour me remercier Ma chienne ?
Je me ressaisis immédiatement.
- Oh Merci Maître, merci Vénéré Maître
La main de Monsieur le Marquis sapproche de mes lèvres, je lui baise délicatement les doigts
- Tu tes bien donné ma pute, tu méritais dêtre récompensé
Je mapprête à remercier encore, lorsque le Maître matt par ma chevelure, je suis contraint de me relever. Sans douceur, je suis poussé contre langle dun mur.
- Mains sur la tête, cuisses écartées
Lordre tombe sèchement
- Cambre ton cul de chienne, grosse salope
Je mexécute sans comprendre. Pourquoi une telle agressivité verbale après tant de douceur ? Je ne tarde pas à connaitre les raisons de cette ardeur. Dun coup dun seul, je suis éperonné et empalé. Debout, je me fais enculer sauvagement par le Maître
- Une autre récompense Ma salope ! Me dicte le Maître déjà haletant.
Je me donne, moffre, mécarte, vas et viens sur cette Noble queue qui me perfore et me transperce. Des coups de butoirs puissants, violents, énergiques et dominants.
- Cest la vingt-sixième queue que tu prends dans ton cul de lope, en moins de douze heures. Te rends-tu comptes Mon chien, un peu plus de deux queues par heures
Je navais pas compté
mais peu importe, celle qui me laboure le cul, à linstant même, est celle qui me donne le plus de plaisir, le plus de bonheur. Elle me rappelle, à chaque coup de reins, ce que je suis, pour qui je suis
et combien il bon dêtre un esclave MDE.
(A suivre
)
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