L'Amour En Monospace

Sandrine faisait la vaisselle dans le gite rural de Lozère en compagnie de son mari Reynald, chargé de l'essuyage. Dans la pièce d'à côté, les rires du reste de la famille, des cousins et leur marmaille s'ajoutant à leurs propres s, fusaient en cascade. L'idée de louer un grand gite pour réunir la famille pendant deux semaines de vacances avait germé dans la tête de Reynald, et Sandrine ne s'y était pas opposée. Mais voilà : au bout d'une semaine, les premières tensions étaient apparues, inhérentes à la vie en promiscuité. Sandrine, grande blonde au corps filiforme, archétype de la quadra dynamique, affichait une mine de plus en plus renfrognée, et Reynald, tout en essuyant les verres, s'en inquiéta :
- Qu'est-ce qui se passe, chérie ? On dirait que quelque chose te chiffonne.
- J'en ai ras le bol de cette vie ici. Supporter tout ce monde, j'en peux plus.
- Mais enfin ! Tu savais ce qui nous attendait et tu avais donné ton accord.
- Je sais, mais j'en ai marre quand même. On ne peut même plus être tranquille. Même la nuit, il faut faire attention à ne pas faire de bruit.
- Tu veux dire... qu'on ne peut plus avoir de vie intime ?
- Comment veux-tu faire ? Il y a toujours quelqu'un dans nos pattes. Je rêve de vacances en couple. Rien que nous deux.

Reynald comprit la raison de la mauvaise humeur de son épouse. Elle n'avait pas fait l'amour depuis plusieurs jours. Sous ses dehors un peu froids, Sandrine possédait une libido puissante qu'il fallait constamment satisfaire sous peine de représailles diverses et variées. Mais elle ne l'avait jamais admis, pratiquant une sorte de déni et évoquant souvent des éléments extérieurs pour expliquer son insatisfaction passagère, car Reynald, sportif accompli, osseux et musculeux, avait toujours rempli ses devoirs conjugaux avec conscience et plaisir. Sandrine était une amoureuse tellement enthousiaste, et son corps tellement attrayant et brûlant, qu'il n'avait pas besoin de se forcer pour lui rendre un hommage régulier et répondre ainsi à la demande, fût-elle muette.

On se trouvait donc aujourd'hui exactement dans ce cas de figure : Sandrine avait une forte envie de baiser, mais ne le disait pas explicitement.
- Ecoute, si tu veux, cet après-midi, on prend la voiture et on s'échappe. On fera l'amour en pleine nature, je sais que tu aimes ça.
- Ah non, pas en pleine nature. La dernière fois, je me suis ramassée une tique. Pas envie de me chopper la maladie de Lyme pour satisfaire ton appétit de gros cochon.
- On ne va quand même pas aller à l'hôtel ? Il n'y en a pas un à 30 km à la ronde.
- Evidemment. Bravo pour ton choix, on est vraiment bien ici...
- Bon, ne t'énerve pas, on va trouver une solution. On part en voiture cet après-midi et on avisera, d'accord ?
Sandrine ne répondit pas, ce qui valait approbation. Et à peine la vaisselle achevée, le couple prétexta une course à la pharmacie dans la ville la plus proche pour s'échapper, avant même que leurs cohabitants aient pu protester. Sandrine avait troqué son short et son tee shirt pour une robe légère lui arrivant à mi-cuisses, si bien qu'en prenant possession du siège avant, ses longues jambes étaient presque entièrement découvertes. Reynald se sentit déjà durcir. "Elle est chaude comme la braise, ça va être un festival", se dit-il.

Il avait déjà son idée. D'abord, trouver un coin tranquille. Sandrine avait l'amour bruyant et il fallait qu'elle puisse s'exprimer sans entraves, d'où le problème au gite rural. Ensuite, il suffirait d'ouvrir la cinquième porte de la 5008 familiale, d'étendre la couverture qu'il avait subrepticement subtilisée dans une armoire, et l'ensemble offrirait un nid d'amour parfait. L'expérience n'avait encore jamais été tentée et cela apporterait un piment supplémentaire.
- Où m'emmènes-tu ? interrogea Sandrine.
- Dans un endroit où nous serons tranquilles et où tu ne craindras pas d'attr des tiques, répondit Reynald.
A quelques kilomètres du gîte, il s'engagea dans une "draille" caillouteuse en faisant attention à ce qu'il ne s'agisse pas d'un chemin de randonnée et aboutit à une sorte de clairière isolée de Dieu et des hommes.
Le soleil tapait dur mais l'air était délicieusement frais.
- Voilà, on sera très bien ici, dit-il, avant de descendre, d'ouvrir la cinquième porte et d'étaler la couverture dans le vaste coffre, sans même rabattre le siège arrière.
Quand elle vit l'installation, Sandrine parut se détendre :
- Chéri, c'est génial et ça va me rappeler notre jeunesse...

Le couple s'enlaça, s'embrassa, se frotta, debout contre la voiture. Sandrine vérifia l'érection de son mari, déjà bien avancée et s'accroupit pour lui baisser son short et son slip. Ils étaient à peine arrivés qu'elle lui taillait déjà une pipe, d'une bouche vorace, en le regardant d'en bas, droit dans les yeux, comme si elle voulait lui signifier qu'elle le tenait à sa merci. Reynald s'en méfiait. Il avait parfois prématurément éjaculé dans ce genre de circonstance, tant Sandrine était ardente à la succion, et il fallait garder des réserves pour la combler en cet après-midi de liberté. Il se mit nu et invita Sandrine à s'asseoir à côté de lui sur le bord du coffre. Sa main gagna son entre-cuisses, ô surprise dépourvue de culotte. Avant de partir, Sandrine s'était mise à l'aise et le doigt de Reynald rencontra une fente humide qu'il se mit à explorer, à écarter et à préparer à une introduction invasive. Il était doté en effet d'une queue fine et d'une longueur inusitée, qui n'avait pas été pour rien dans la séduction exercée quelques années auparavant auprès de la jeune fille déjà chaude qu'était Sandrine. Reynald était alors réputé auprès de la gent féminine pour ses qualités de baiseur, la longueur de son pénis lui permettant de visiter des régions jusqu'alors inexplorées. Mais Sandrine, une fois qu'elle lui avait mis le grappin dessus, ne l'avait plus lâché.

Précisément, celle-ci branlait ledit pénis pendant que son mari lui chatouillait le clito, tous deux assis à l'intérieur du hayon. Puis elle se mit entièrement nue à son tour, c'est à dire qu'elle se débarrassa simplement de sa robe, étant ennemie du soutif en vacances, mais aussi de ses sandales.
Reynald exigeait en effet qu'elle fût pieds nus, sans quoi elle n'était pas vraiment nue. Puis elle s'allongea de tout son long dans le hayon, cala ses pieds sur les deux montants, très ouverte, très disponible. Reynald choisit de débuter par un cuni dont il savait que son épouse raffolait. Il considéra d'abord la croupe largement offerte à lui. La position particulière de Sandrine, jambes très écartées et pieds calés en haut du hayon, avait eu pour effet de provoquer une passionnante rétroversion de son bassin , qui offrait à la fois la fente et l'anus à sa langue. Il passait de l'une à l'autre en prenant son temps, titillant ici, fouillant là, sous l'oeil captivé de Sandrine, la nuque inconfortablement dressée pour observer le travail de son mâle. Ses gémissements tenaient parfois du miaulement quand la langue avait touché un point particulièrement sensible. Debout en appui sur ses mains, le groin en action, le soleil tapant sur son dos et ses fesses nus, Reynald savourait ce moment exquis où son épouse se préparait à l'amour avec fièvre. Elle voulait baiser ? Il allait la baiser, et durement, à s'en faire mal aux couilles. Mais il allait d'abord la faire languir, pour la punir de sa mauvaise humeur...

Quand il retira son mufle de l'entre-cuisses, il lui imposa de ne pas bouger de sa position parfaite. Il était à la bonne hauteur, debout contre le pare-choc. Il n'avait qu'à s'avancer pour s'enfoncer en elle. Il considéra le corps délicieux qui s'offrait à lui. Sandrine était ce qu'on appelle une fausse maigre. Grande et mince, elle avait aussi de la bonne chair là où il fallait pour faire bander un homme. Notamment son cul, charnu à souhait, des hanches en amphore, un léger renflement au bas du ventre, des seins petits mais ronds et fermes. Elle portait admirablement le jean serré au point d'attirer les regards masculins dès qu'elle se trouvait de dos.
- Alors, tu viens ?
Sandrine s'impatientait et il aimait ça. Il balada son gland sur la fente sans la pénétrer et elle eut un mouvement des hanches pour aller à sa rencontre, mais il se retira.
Elle protesta.
- Alors, viens, quoi ! A quoi tu joues ! J'ai envie !
- Tu as envie de quoi ?
- De toi !
- Mais encore ?
Sandrine se mordit les lèvres. Le gland sur sa fente l'affolait. Elle explosa :
- Baise moi ! Je veux ta bite !
- Tu la veux vraiment ?
- Oui oui oui ! S'il te plait, ta bite, bien profond ! Je la veux !
- D'accord, tu vas l'avoir, mais je veux que tu te lâches vraiment. Que tu baises vraiment !
- Oui oui oui, viens, viens !
Alors, il s'enfonça en elle d'une seule poussée et Sandrine poussa un long râle venu du fond de ses entrailles. Il la percuta avec ardeur, stimulé par le soleil qui lui piquait les fesses. La position était idéale. Son pénis pouvait donner sa pleine mesure dans ce déduit offert et trempé. Les pieds bien calés, Sandrine ripostait de ses hanches en couinant. Le 5008 tanguait sur ses amortisseurs tant le couple mettait du coeur à l'ouvrage. Heureusement qu'il avait actionné le frein à main ! Reynald passa alors à une phase dont il savait qu'elle allait faire jubiler son épouse. Au lieu de procéder à des poussées rectilignes, il se mit à tordre son bassin comme un danseur, à faire aller son pénis dans les recoins de l'intimité de la blonde, facilité en cela par l'extrême humidité du déduit. Comme prévu, Sandrine se laissa gagner par l'exaltation et devint crue dans ses propos. D'un abord froid, pour ne pas dire glacial, dans la ligne de la prof d'économie qu'elle était dans la vie professionnelle, elle se dégelait complètement dans l'amour, comme si l'autre facette de sa personnalité pouvait s'exprimer seulement quand elle commençait à perdre les pédales sous l'effet de l'acte sexuel :
- Allez, vas-y, plus vite, défonce-moi, donne-moi ta pine, mets la bien au fond de ma chatte, ah oui, je baise, je baise...
A ce point, Reynald comprit qu'il devait se retirer sous peine de tout lâcher, ce qui provoqua d'abord la protestation de son épouse :
- Salaud ! Pourquoi tu t'en vas ? J'en veux encore.

Reynald la rassura en lui proposant une autre position. Il s'assit sur le bord de la voiture, et l'invita à venir s'empaler sur lui, face à la nature. Cette idée l'enchanta. Allongé à moitié, coudes sur le plancher et jambes en dehors de la voiture, Reynald présentait sa queue dressée comme un défi, et Sandrine le releva en s'y empalant, ses mains posées sur les cuisses de Reynald, le regard perdu sur le plateau caillouteux. Elle se mit alors à se tortiller et le spectacle de cette croupe somptueuse en mouvement excita tellement Reynald qu'il eut l'impression que son pénis avait encore augmenté de longueur. Impression d'ailleurs corroborée par Sandrine qui laissa échapper une série d'exclamations sonores, comme si le pénis en s'allongeant avait atteint des zones encore plus sensibles de son intimité. Après une série de huit avec sa croupe, ponctuée de commentaires d'une crudité surprenante, elle prit l'initiative d'une nouvelle position encore plus jouissive pour elle. Se hissant à l'intérieur du coffre, accroupie et les mains en appui sur les montants du hayon, la tête de guingois du fait de sa grande taille, elle s'empala à nouveau et fit coulisser le pénis par une série de flexions éprouvantes pour ses cuisses mais terriblement jouissives pour le couple. Cette fois, Reynald ne resta pas passif comme sur la position précédente mais synchronisa ses poussées ascendantes avec celles descendantes de Sandrine, sans risque de la désarçonner puisqu'elle se cramponnait aux montants du coffre. Le spectacle de sa queue coulissant dans le tréfonds de Sandrine à intervalles très courts le mettait en transes. Les gémissements du couple couvraient à peine le clapotis des deux sexes joints alors que la 5008 tanguait de plus en plus sur ses bases. Mais la fatigue et l'inconfort finirent par inciter Sandrine à se détacher de son mâle, tout en entretenant son érection d'une main câline, afin de le préparer à la position suivante.

Elle vouait aux attributs de Reynald une véritable vénération qu'elle tentait vainement de dissimuler mais dont l'intéressé était parfaitement conscient. Dès qu'il était nu, ses yeux s'allumaient et il fallait vraiment des circonstances particulières pour qu'elle ne mette pas la main à son entre-jambes afin de le voir prendre la longueur considérable qui lui mettait le feu. Elle était toujours susceptible de lui tailler une pipe, même dans les lieux les plus improbables. En pleine nature, l'exercice était sans risque et Reynald se prêta de bonne grâce à une nouvelle séance de succion doublée de masturbation de Sandrine accroupie, histoire d'entretenir la bandaison de son mâle avant une nouvelle pénétration.
Celle-ci se produisit à nouveau dans le hayon, mais cette fois, Sandrine présentait ses fesses à Reynald debout, le visage tourné vers lui, en attente :
- Allez, viens, enfile-moi, ne me laisse pas refroidir.
Reynald faillit éclater de rire. Elle était chaude bouillante depuis un bon moment et seule sa bite pouvait à terme la calmer après avoir beaucoup donné d'elle-même. Il la pénétra avec facilité, tant elle était humide, et le couple se mit à clapoter à nouveau. Reynald joua à demeurer immobile, laissant Sandrine venir à sa rencontre et imposer son propre rythme. Sa croupe dansait la samba et il se contenta de temps à autre d'un mouvement vif et ascendant pour lui "relever le cul", ce qui provoquait de la part de la grande blonde une exclamation de plaisir. Elle tournait parfois son visage vers lui pour l'encourager à recommencer mais il l'a faisait habilement languir avant de lui asséner une rafale de coups de queue propre à lui faire perdre toute dignité :
- Oui, défonce-moi, mets la moi jusqu'aux couilles !
Elle était tellement mûre qu'il se demanda s'il n'allait pas la sodomiser. La position dans le hayon était en effet éminemment favorable et sa queue fine se prêtait parfaitement à l'exercice.
- J'ai envie de t'enculer, souffla-t-il.
- Oui, fais-le, mais prépare-moi bien avec ta langue et ton doigt.
Alors, il le lança dans un long travail préparatoire afin d'humecter et dilater son anneau. Sandrine s'était cambrée, affichant sa disponibilité et Reynald put s'introduire à petits coups dans la somptueuse croupe offerte, traversant la barrière des sphincters puis occupant le rectum en toute liberté. Alors qu'il la besognait, elle l'interpella en le regardant, la tête de côté :
- Tu es un cochon, un gros cochon, tu me fais faire des trucs... des trucs...
Mais les mouvements de croupe de Sandrine démentait totalement cette pseudo indignation. Elle prenait son pied, c'était clair, et Reynald riposta tout en limant :
- C'est toi la cochonne, c'est toi la baiseuse. Tu l'aimes ma bite, hein ? Tu n'en voudrais pas une autre en même temps, dans ta chatte ? Hein, ça te plairait une double pénétration ? Allez, dis-le que ça te plairait.
- Oui oui, j'aimerais ça...
- Tu voudrais vraiment qu'on te baise à deux ?
- Oui... oui... continue... continue...
Reynald cognait dur et les peaux claquaient. Il poursuivit :
- Tu voudrais qui avec moi, hein ?
- M'en fous. Une belle bite, comme la tienne. Encore... encore...
Reynald pétrissait ses hanches tout en limant de plus belle ce cul profond et continua à l'exciter verbalement :
- Deux bites en même temps, hein, tu aimerais ça, cochonne ! C'est ton fantasme, hein ?
- Oui... oui...
Reynald se sentait de plus en plus survolté, de plus en plus long, et cognait dur dans le rectum béant de Sandrine qui bramait de plus en plus fort dans l'habitacle.
- Et une troisième bite à sucer, hein, ça te plairait aussi ?
- Oui... oui, encore... encore...
- Salope ! Cochonne... tu... ah, je jouis, je jouis !
Et Reynald explosa dans le tréfonds de son épouse qui, sentant le chaud liquide gicler, virevolta de la croupe en serrant ses sphincters, comme pour l'essorer, si bien que le couple eut quelques difficultés à se détacher avant de s'affaler rompu et essoufflé sur la couverture posée dans le hayon.
Après avoir repris un peu ses esprits, Reynald lâcha :
- Eh ben, quelle partie de cul ! Tu t'es vraiment lâchée, c'était génial.
- Gros cochon ! Tu m'as fait dire des choses... euh... insensées.
- Insensées, vraiment ? C'est la femelle qui a parlé en toi.
- Macho ! Emmène-moi plutôt quelque part où je pourrai me laver de toutes tes turpitudes ! J'ai envie d'un bain de siège après tout ce que tu m'a fait subir.
Mais la moue satisfaite de Sandrine démentait l'aigreur de ses propos. Quand elle eut renfilé sa robe sur son corps nu et se fut assise dans la 5008, jambes entrouvertes, tout en elle respirait la femelle au sortir de l'amour, prête à recommencer. Reynald stoppa un peu plus tard auprès d'une petite rivière et le couple, après s'être habitué à l'eau froide, put nettoyer les traces du coït encore chaud. Reynald surprit le regard énamouré de Sandrine sur son pénis mais il se sentait vidé et dans l'incapacité de l'honorer une seconde fois comme visiblement elle l'espérait.
- Bon maintenant, il faut trouver une pharmacie, qu'on puisse rentrer à la maison avec une excuse valable, dit-il.
- Dommage... se contenta de répondre Sandrine.
Beaucoup plus tard, le couple fit son entrée dans le gîte et s'attira les réflexions prévues :
- Eh ben, vous en avez mis du temps.
- On a dû aller à Mende, tout était fermé dans le coin. Mais cette fois, j'ai mes granules, expliqua Sandrine avec un aplomb qui épata Reynald.
L'entourage du couple constata qu'elle avait retrouvé une humeur badine, un sourire rayonnant, de la gaité dans le visage et se dit que, décidément, elle en avait besoin, de ces granules...
Pendant deux jours, Sandrine fut ainsi joyeuse. Mais le troisième jour, elle commença à se renfrogner. Et Reynald dut encaisser à nouveau sa mauvaise humeur :
- J'en ai marre de ce gite. Qu'est-ce qu'on fous ici ? Vivement que ça se termine.
Et Reynald comprit qu'il devrait encore l'emmener prendre l'air...

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