La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°775)

Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode N°736) –

Monsieur le Marquis constata que la jeune femelle mouillait, la course de l'escargot allait pouvoir commencer. D'un coup de cravache, il fit positionner soumise Emilie sur la barre celle-ci compris qu'elle devait se hisser sur ses pieds pour escalader la barre. Monsieur le Marquis dit alors :

- Tu vois cette barre elle est saupoudrée de talc et je veux que tu glisses dessus ton sexe devra tout nettoyer. Allons-y maintenant, allez avance, Ma petite chienne…

Emilie hésitait, à califourchon sa position était précaire, de plus elle hésitait à s'assoir sur la barre car ce contact direct serait sûrement douloureux entre son sexe et la barre. Le premier coup de cravache sur ses fesses fut le signal du départ, soumise Emilie n'avait plus le choix, elle devait avancer et son sexe frotta sur cette barre, elle avançait ainsi sexe en avant le torse en arrière pour éviter de perdre l'équilibre. Monsieur le Marquis appréciait le spectacle ainsi que les Invités grâce à la vitre sans tain, Mais la jeune soumise devait avancer plus vite, un coup de cravache lui permit de faire accélérer le mouvement. soumise Emilie compris le massage elle devait avancer plus vite quand il restait encore trois mètres à parcourir et son sexe faisait un bruit de succion, ses grandes lèvres épousaient littéralement la barre. Son sexe se couvrait ainsi de talc, elle était en sueur, l'effort était important mais la satisfaction de Monsieur le Marquis devait l'emporter. Le troisième coup de cravache lui imposa de se cambrer son sexe buta encore plus sur la barre. Monsieur le Marquis voulait la voir s'avancer encore plus, il restait maintenant deux mètres, il redoubla donc les coups, cette soumise devait faire l'effort d'aller plus vite. Emilie essaya d'accélérer ses pieds glissaient sur le sol, se tenir sur la pointe n'était pas très aisé, mais elle continua à fournir l'effort nécessaire et elle comprit que son calvaire prendrait fin dès que cette barre serait parcouru.

Le coup de cravache suivant la fit rugir et elle devait finir ce fichu parcours, il lui restait maintenant moins d'un mètre. Son sexe formait une croute remplis de talc, elle allait enfin terminer son calvaire. D'un coup de bassin, elle franchit l'obstacle. Monsieur le Marquis était satisfait du comportement de sa soumise… soumise Emile était essoufflée mais souriante et si heureuse d’avoir donné satisfaction au Maître. Celui-ci pour la récompenser, lui prodigua de tendres caresses et lui masturba son clitoris, puis il s’insinua entre les lèvres intimes et la pénétra de Ses nobles doigts. Soumise Emile du se retenir pour ne pas jouir et ne pas gémir son plaisir … Au bout d’un moment, le Maître retira ses doigts et la soumise se prosterna à Ses pieds et lui embrassa les orteils pour le remercier de cette masturbation, même s’il ne lui a pas autorisé à jouir …

Quant à Olivier le lendemain et avant la nouvelle rencontre avec le Maître, il attendait depuis maintenant plus d’une heure, il entendait la musique provenant de la pièce situé à cotée, sa culture musicale lui avait fait reconnaître une sonate de Mozart, il en connaissait la durée par déduction et il savait que bientôt quelqu’un allait le retrouver. Ce moment attendu a été pour le moins difficile à mettre en place, Olivier était pour le moins quelqu’un de compliquer, les différents échanges qu’il avait eu avec Monsieur le Marquis furent intenses mais parfois aussi décourageants, la faute en incombait à Olivier. Mais ce soir, son souhait avait été finalement exaucé, il allait de nouveau rencontrer Monsieur le Marquis d’Evans. En effet, il était déjà depuis quelques heures dans le Château appartenant à Monsieur le Marquis, un domestique du nom de Walter s’était occupé de lui plus tôt dans la matinée, les instructions avaient été clairs : Il devait être à la disposition de Monsieur le Marquis pour la soirée, la position qu’il devait adopté était résumé sur une feuille de papier que lui avait remis Walter en entrant dans la pièce ou la nouvelle rencontre avec Monsieur le Marquis devait se produire.
Le document commençait ainsi :

- Par Ma volonté tu es à ma disposition totale, ton obéissance sera le gage de Mon plaisir à ME satisfaire. Je veux que tu sois nu, agenouillé tête baissé, bras ouvert, jambes écartées, tu devras attendre mon arrivée avec patience. Ensuite tu devras m’obéir en tout point, ce qui est une évidence par ta présence ici.

Olivier docilement s’était exécuté, il était dans la position exigée par le Maître. Le moment tant attendu allait arriver (comme à chaque fois), ce n’était maintenant qu’une question de minutes car les dernières mesures de la sonate se faisaient entendre. Olivier inclina encore plus sa tête, il souhaitait être digne du Maitre qui n’allait pas tarder à passer la porte de séparation entre les deux pièces. Olivier entendait maintenant des pas, la porte s’ouvrait laissant passer Monsieur le Marquis d’Evans, dans un instant Olivier allait de nouveau se donner à un Maitre reconnu par son expérience dans le monde de la Domination. Olivier était nu, offert au regard de ce Noble Seigneur qui pris place dans un siège face à lui. Monsieur le Marquis prenait la parole :

- Tu es de nouveau là, tu en as fait toute une histoire pour venir à Mes pieds, mais sache que j’obtiens toujours ce que je veux. Maintenant tu es à ma disposition, montre toi obéissant.

Le Maître avait devant lui ce soumis rétif qu’il avait appelé chien fuyant dans leurs correspondances, le premier contact avait eu lieu il y a plus d’un an et à chaque fois Olivier était revenu vers Monsieur le Marquis comme un aimant attire un morceau de fer. Aujourd’hui le Châtelain comptait profiter de la présence de ce soumis et lui faire comprendre qui était le Maître. Le Noble se levait et s’approchait du soumis, il faisait le tour de celui-ci, Olivier sentait le poids du regard de Monsieur le Marquis sur lui, un réflexe de soumission lui fit baisser encore plus la tête ce qui occasionna une sourire au Maître, ce chien fuyant était vraiment un chien obéissant qui n’attendait qu’à être traité comme il se doit.
Le Maître repris sa place dans le fauteuil, il avait tout le temps. Olivier ne pouvait s’empêcher de frissonner, l’attente, le regard de Monsieur le Marquis, la haute voix de celui-ci, tout contribuait à le mettre sous tension à exprimer son désir d’être ainsi, soumis. Son sexe pris de l’importance et Le Maître le remarqua aussi quand il reprit la parole :

- Je vois que Ma présence te fait de l’effet, Ma chienne en chaleur …

A ses mots, le sexe d’Olivier tressauta, le corps du soumis répondait positivement aux sollicitations du Maître, tout cela était très positif. Monsieur le Marquis commençait à reprendre l’historique de leurs conversations, il exprimait son mécontentement mais aussi sa satisfaction de voir que finalement un chien revient toujours aux pieds de son Maître. Le Noble dit alors :

- Chien, approche toi viens à Mes pieds

Olivier s’exécuta à genou, tête baissée il s’approcha du Maître.

Quand il fut à porte de main, Monsieur le Marquis lui indiqua qu’un bon chien se doit de faire la fête à son Maître.

- Lèche-moi les pieds, le chien.

Olivier s’approcha alors des chaussures de Monsieur le Marquis, sa langue se posa sur le cuir et il marqua ainsi son obéissance au premier ordre du Châtelain.

- C’est bien mon chien, lèche bien.

Olivier s’appliqua à satisfaire Monsieur le Marquis.

Au bout d’un moment il reprit la parole :

- Bien chien, montre-moi maintenant que tu es vraiment obéissant et un chien se doit d’avoir un collier. J’ai pensé à ce modèle...

A ces mots, Monsieur le Marquis se leva et récupéra le collier situé sur une commode, dans un instant Olivier serait bien un chien appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans, le collier portait les initiales et les Armoiries du Noble. Olivier sentit alors les mains puissantes du Maître autour de son coup, il sentait ce collier se serrer sur lui, il était un vrai chien maintenant.
Le Châtelain repris sa place sur le fauteuil, de nouveau il portait son regard vers ce chien. Olivier baissa la tête attendant la suite. Monsieur le Marquis reprenait la parole :

- Tu es maintenant un vrai chien soumis et tu m’appartiens et comme tu es à ma disposition je veux que tu te montres bien obéissant, sache qu’un Maître se doit de profiter en tout de son soumis. Ta bouche et ton anus m’appartienne maintenant et tu devras me faire honneur tu as compris, réponds moi Mon chien

Olivier savait que la réponse devait être précise :

- Oui Maitre, je suis totalement à vous, dit-il provoquant ainsi le sourire de Monsieur le Marquis d’Evans...

(A suivre…)

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