Le Remplacement. (10x)
Les filles sen donnent à cur joie sous sa plume de Nadia.
Nadia vient de me faire découvrir que je suis femme fontaine mais la cyprine quelle a fait sortir de mon corps macule notre couche.
Je m'allonge à côté d'elle, en appui sur un coude, l'embrassant à nouveau.
Elle passe sa main derrière ma nuque, nos baisers sont gourmands, torrides, allant même jusquà la volupté.
Mon autre main parcourt son ventre, ses seins fermes, j'effleure ses pointes tendues de désirs.
Ses lèvres sont en satins, brûlants, sa langue si douce.
Quand elle investit ma bouche, je la suce comme jai appris à le faire avec un pénis, lui tirant des soupirs qui en disent long sur le plaisir que je commence à lui procurer. Longtemps, je caresse avec délicatesse son pubis totalement glabre.
Son bassin ondule imperceptiblement, son ventre se creuse sous les décharges électrisantes de mes attouchements.
Puis, je caresse ses lèvres avec les miennes, bouche ouverte.
Bientôt nos joues se trouvent maculées de salive.
Nous finissons par nous lécher mutuellement le visage en riant et gloussant de plaisir. Elle remonte ses pieds vers ses fesses, écartant les genoux.
Du coin de l'il, je regarde sa main fouiller son intimité, alors que l'autre agace son clitoris.
Le va et vient de ses doigts provoque un gargouillis délicieux entre ses cuisses.
Elle est vraiment craquante quand elle se caresse et soudain son visage se crispe sous l'orgasme.
Nadia atteint la jouissance suprême qui secoue tout son corps et que chaque femme souhaite atteindre sans y arriver chaque fois quelles font lamour avec lhomme quelles aiment.
En voyant lorgasme quelle me procure et celui qui ma fait défaillir tout à lheure je prends conscience que quand je fais lamour avec Vivian même si je jouis chaque fois à quelques exceptions près, jamais je nai atteint ce niveau de plaisir.
Elle me tend sa main que je lèche avec avidité.
Veux-tu me goûter mieux que ça, veux-tu me bouffer la chatte ?.
Sans nécessiter lui donner une réponse je me glisse prestement entre ses jambes et embrasse goulûment son puits d'amour.
Je me délecte de son plaisir qui inonde à mon tour ma bouche.
Sa liqueur est mi-salée, mi-sucrée.
Avec ma langue je fais d'amples mouvements de haut en bas, plongeant de temps à autre dans sa merveilleuse grotte.
Ses gémissements se transforment en râles, puis en cris de plus en plus forts, de plus en plus rauques.
Soudain, ses mains agrippent brutalement ma chevelure, plaquant ma figure dans ses replis intimes.
Tout son corps se tend comme un arc.
Un cri aigu sort de sa gorge, trois ou quatre jets de sa délicieuse cyprine viennent frapper mon palais.
Au bout de longue seconde, Nadia retombe sur le matelas, pantelante, essoufflée.
La pression de ses mains sur ma tête se relâche.
À genoux entre ses cuisses, je la contemple, elle ouvre les yeux et me sourit, se redresse et me serre contre elle.
Tu es merveilleuse.
Cest ce quelle me souffle à l'oreille, elle s'assoit à la tête du lit appuyé sur les oreillers, contre le mur.
Je lui saisis les pieds et commence à embrasser et à sucer ses orteils, je remonte le long de ses jambes, les baisant alternativement.
Sur son mont de Vénus perle encore la rosée que je venais de provoquer.
L'odeur de son plaisir mêlé au mien crée une ambiance de volupté envoûtante.
Nous jouons longtemps, bouche contre bouche, seins contre seins, bassin contre bassin, peau contre peau, à s'en faire mal, se délectant de nos senteurs corporelles malgré lheure avancée de la nuit.
Depuis que je remplace Nadine jai eu des soirées et même une nuit torride mais à ce point je suis sûr que quand jaurai repris ma place de femme aimant son mari celle-ci sera gravé en moi à jamais.
Nos corps se frottent l'un contre l'autre en de voluptueuses contorsions.
Après une multitude de caresses volcaniques et quelques orgasmes brûlant elle me lance.
Natacha je vais te faire découvrir ma position préférée avec une femme.
Laquelle ?
As-tu déjà entendu parler de tribadisme ?
Pas du tout, explique-moi ?
Cest une position qui nous permet de frotter nos chattes lune contre lautre. On va se mettre en ciseaux, face à face.
Allonge-toi sur le dos.
Une fois placée comme elle le désire, elle se met en face de moi, passe une de ses jambes en dessous dune des miennes et lautre sur ma seconde jambe.
Nous nous sommes rapprochés bassin contre bassin, chatte contre chatte, clito contre clito.
Ce premier contact est divin.
Nous commençons doucement à onduler du bassin en tournant inversement.
Lexcitation est au rendez-vous et ne cesse de monter crescendo.
Nos mouvements prennent du rythme pendant que nos chattes shumidifient facilitant nos frottements.
Les onomatopées de nos plaisirs sont de plus en plus fréquentes et bruyantes.
Depuis que nous sommes entrés dans notre chambre je fais attention à éviter de déranger les couples voisins par mes cris qui comme nous doivent se vautrer dans la luxure.
Luxure, ce mot colle bien à mes nouvelles tendances sexuelles hors mon mariage du moins après le motif de linvitation moyennant monnaie dans le château libertin de Joyce par mon client.
Luxure dans ce château de Joyce que jai pu constater sur la plaque en cuivre à la grille dentrée.
Nous nous masturbions comme des folles en nous regardant tendrement.
Elle se redresse pour se mettre en appui sur ses bras, soulevant son bassin mobligeant à en faire autant ce qui accentue la pression que nos sexes exercent lun sur lautre.
Je sens nos précieux liquides se mélanger et couler sous nos fesses.
Je sens lorgasme monter en moi.
Cest trop bon Nadia, je crois que je vais jouir.
Stop !
Ralenti et respire, attend que je démarre aussi !
Quelques grosses respirations font retomber la tension dans ma chatte, nous reprenons nos mouvements.
Mon clitoris gonfle ainsi que le sien en se frottant au mien.
Son corps fait un pont entre ses bras et ses jambes ce qui moblige à adopter la même position.
Entre les clapotis de nos vulves dégoulinantes et les sons plus ou moins masqués que nous émettons ininterrompu, le plaisir monte en nous.
Nadia de coup-ci, je pars.
Jy suis presque moi aussi !
On jouit ensemble.
Nous donnons un coup daccélération à nos mouvements ce qui nous propulse au sommet de notre plaisir.
Nous sommes proches de notre libération, un dernier effort cérébral et dans un même cri nos orgasmes nous anéantissent.
Pour la seconde fois de la soirée mon vagin se vide et cette fois en même temps que Nadia.
Elle est, comme elle me la dit, femme fontaine, dans la position où nous sommes je sens des jets de cyprine jaillir de nos chattes unies, éclabousser nos poitrines, nos corps finissant par en être couverts.
Nous nous écroulons au centre du King-Size, épuisées, à bout de souffle, échevelées, ruisselantes de sueur.
Pour autant Nadia semble avoir encore envie de moi autant que je veux tout d'elle. Cette fois je prends linitiative en me dégageant de cette posture pour venir me placer en soixante-neuf.
Je voulais goûter et menivrer de son précieux nectar.
Je ferme les yeux, je suis au paradis, cest pour moi, une succession de caresses brûlantes, provoqués par lincroyable habileté et précision de sa langue.
Jai abandonné ma position dominante pour mallonger à son côté.
Nous sommes les yeux dans les yeux sans un mot, savourant cette douce quiétude qui suit des moments aussi intenses que ceux que nous venons de connaître.
Si tu savais, Nadia, comme je suis heureuse de tavoir rencontré.
Tu mas donné de fabuleux orgasme, tu mas fait découvrir que jétais une femme fontaine.
Je ne sais comment te remercier, je ten serais éternellement reconnaissante.
Jen ai autant à ton sujet, il y a très longtemps quune femme ne mavait apporté une jouissance aussi intense.
Tu es une amante exceptionnelle.
Tu mas fait changer davis sur les relations entre femmes, avec mes deux clientes jai passé de bons moments mais avec toi jai découvert le vrai plaisir que des femmes peuvent sapporter mutuellement.
Auras-tu dautres amantes ?
Soit en certaine et si je mécoutais je recommencerais tout de suite.
Pas tout de suite car il faut que jaille me soulager la vessie.
Moi aussi !
Tels des polichinelles bondissant de leur boîte nous sautons ensemble du lit pour courir vers la salle de bains.
Moi la première !
Non moi !
Situation inextricable.
Ensemble ?
Comment ça ?
Dans la douche.
Étroitement enlacées nous franchissons la cloison de verre fermant la douche à lItalienne.
Instinctivement nous sommes collées lune à lautre, une jambe entre celles de lautre, pubis contre pubis, nos bouches sunissent de nouveau.
Cest dans cette position que lune comme lautre nous soulageons nos vessies en grandes cochonnes que nous aimons être.
Lendroit étant prévu pour cela nous prenons une douche, encore une occasion dans cet endroit étroit à de tendres attouchements, quand elle me passe le savon et que nos mains viennent létaler sur tous nos corps et surtout entre nos fourches
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