Lingerie Fine, Lingerie Coquine 3 Je Suis Cocu
Lingerie fine, lingerie coquine 3 je suis cocu
Nous venons de faire lamour. Je retourne au travail avec la promesse de recommencer ce soir. Et cette fois, nous aurons tout notre temps. Lili ne ma pas accompagné à la voiture, nudité oblige. Elle ma lancé depuis la salle de bain :
- Je me demande si je ne vais pas demander à Lulu de revenir me donner un coup de peigne. Enfin jessaie de rattr le coup, avant de la déranger
Elle est restée nue dans la salle de bain devant le miroir. J e me sens un peu fautif, mais quand je suis en elle, je regarde surtout les yeux de ma femme et le désordre de ses cheveux ne pose pas question. Au contraire cest la preuve quon peut saimer sans attacher trop dimportance à des détails. De plus, jadore quand Lili se laisse aller pendant lacte au point de ne plus se soucier de mèches déplacées et assez pour se livrer entièrement à la folie de la pénétration et au partage des sensations. Arrivé à un certain degré je ne pense plus quà la faire jouir et jai éprouvé aujourdhui le sentiment que ma chérie se donnait avec ferveur pour me procurer et me rendre tout le plaisir reçu de moi. Le vrai bonheur partagé.
Lili a fait de gros efforts pendant la chevauchée sauvage en face à face, suant, soufflant, haletant avec une rage incroyable. Quand le rythme ralentissait, elle frappait le sol ou le canapé dun pied, sencourageait par des cris rageurs, serrait ma tête entre ses seins et relançait son élan avec une sorte de fureur de ne pas obtenir assez vite le résultat recherché. Javais passé avec succès le test de la lingerie fine et après le petit triomphe de sa démonstration, elle nadmettait pas de me décevoir et de me laisser sur ma faim. Elle a vraiment eu à coeur de hâter mon éjaculation libératrice, dans le temps le plus court . Elle a accompli un exploit malgré ma tendance à ne rien précipiter. A la fin elle sest collée à mon torse et a laissé à sa croupe seule le mouvement endiablé qui ma fait éjaculer en son sein.
Je suis sur un nuage en entrant dans ma voiture, en lançant le moteur. Au démarrage, je jette un oeil sur mon rétroviseur et je suis troublé. La fenêtre de notre chambre à coucher sest légèrement ouverte, le chiffon rouge a disparu. Quoi ? Lili semblait si préoccupée à reconstruire sa coiffure. Malgré tout, elle a quitté la salle de bain, sest précipitée à travers la chambre juste pour retirer, sans se montrer, donc sans vouloir laisser apercevoir sa nudité, ce chiffon insignifiant, sans valeur. Tout à coup, pour moi, pendant que je débouche sur la chaussée, linsignifiant chiffon gagne une signification. Et si cétait un signal destiné à avertir une tierce personne de ma présence. Lili attend-elle quelque un qui ne devrait pas me rencontrer ? Je ne me connais pas dennemi. Non, cette supposition inélégante est stupide.
Je roule, je marque un stop, un autre. Pourquoi voudrait-elle me cacher quelle reçoit une amie ou un ami ? Peut-être un amant . Cest idiot. Non, cest idiot ! Nous venons de faire lamour. Elle na pas simulé son plaisir
Je roule, je marque un stop, je marrête au feu tricolore passé au rouge
Voilà, ne passez pas, mais oui. ..Ce chiffon enlevé est léquivalent du feu vert ! Pourtant, il faut le reconnaître, à la réflexion, elle paraissait pressée de me voir quitter la maison. Jadditionne : le chiffon rouge, lair pressé de me renvoyer au travail, le souci de rester peignée, la peur de garder intacte sa tenue neuve, son acharnement à conclure notre accouplement quitte à leffort et à la transpiration et à gémir, une sorte de nervosité dominée pour éventuellement faire appel à Lulu sa coiffeuse : tous ces éléments réunis méritent une vérification. Tiens me voici au rond point.
La solution pour chasser les hypothèses désagréables et pour me débarrasser des doutes soudains, mapparaît clairement. Il me suffit de réaliser un tour complet du rond point,de passer chez moi en prétendant avoir oublié mon permis de conduire quelque part, avant de le dénicher au fond de ma poche et de voler un dernier baiser à ma femme, je saurai alors que mes divagations nont pas de fondement et Lili sera lavée de tout soupçon.
Ah ! Une voiture bleue a pris ma place dans ma cour. Je me gare à deux pas de là. Lili a de la visite. Il ny a pas nécessairement un lien avec le chiffon. Cela ne prouve pas une complicité entre Lili et son visiteur. Ce peut-être une visite fortuite. Jouvre la porte du garage, je risque de me sentir très bête dans une minute. Mais oui, je reconnais cette voiture bleue, cest celle de Jules et de Suzon, nos amis. Jules cest mon copain depuis le cours préparatoire, sa femme Suzon a fait partie de notre groupe dados. Mon imagination me joue des mauvais tours. Suis-je un bourrin !
Normalement nous avons prévu dorganiser chez nous, demain soir, une partie de tarot. Cest devenu un rite. Tantôt chez eux, tantôt chez nous, nous passons une nuit à battre les cartes, à faire une collation vers minuit, parfois à danser sur la musique dun cd avant de rejouer jusquau petit déjeuner. Peut-être Jules ou Suzon ne pourront-ils pas se libérer. Peut-être Suzon est-elle venue proposer un report de date. Voyons.
Autant le dire, il y a bien longtemps Suzon a été mon premier flirt. Jai appris à embrasser une fille avec elle. La première, elle ma laissé découvrir la douceur dun sein et à ne pas confondre un tétin et une aréole. Son abricot, pour moi, a été le premier sexe de fille touché du doigt dabord sur sa culotte, puis dedans, puis le premier sexe féminin nu observé. Nous étions destinés lun à lautre, si nétait pas apparue dans notre petite bande de copains et de copines une fille éblouissante nommée Lili.
Quand la superbe Lili ma attiré dans un endroit isolé et sest déclarée folle de moi, ma parlé de coup de foudre, sest jetée sur ma bouche lèvres tendues, sest lovée dans mes bras, jai été surpris, flatté et je suis tombé dingue delle.
Qui a boudé qui ? Allez savoir. Chacun ou chacune veillait désormais au grain et se méfiait de la personnalité forte, capable de détourner une personnalité plus faible de sa moitié. Avec le temps, copains et copines ont jugé peu raisonnable la longue bouderie. Les liens se sont renoués.
Je ne vais pas attendre ce soir pour apprendre le motif de cette visite. Qui est venu ? Est-ce elle, est-ce lui ? Jemprunte la porte discrète du garage dont jai toujours la clé sur moi. Jarrive sans mannoncer et sans bruit dans le vestibule,au pied de lescalier doù un peu plutôt javais contemplé la danse et les contorsions de Lili en petite tenue. Jentends sa voix :
- Jules en mattendant, sers toi à boire. Tu connais le bar, choisis toi une boisson. Je suis désolée, je ne suis pas montrable pour linstant. Patiente sil te plaît.
- Cest bien toi qui mas fixé un rendez-vous. Mavais-tu oublié ? Ton chiffon rouge flottait. Ton mari a été bien long à sen aller. Ne connais-tu pas ses horaires de travail. Cest notre premier rendez-vous à deux. Tout va mal. Il commence avec une demi-heure de retard. Et encore, tu tes enfermée dans ta salle de bain, tu nes pas prête. Je mattendais à meilleur accueil.
-Oh ! Le pauvre malheureux qui doit attendre sa belle. Es-tu content ou vas-tu continuer à te plaindre ? Me voici, ouvre les yeux et cesse de geindre. Alors, tu dis quoi ?
- Formidable ! Tu es magnifique, superbe. Ça valait la peine dattendre. Cest mon cadeau ? Il te va à merveille. Tu sais, cest fait pour être enlevé. Enfin te voir presque nue pour la première fois et bientôt toute nue, je lespère, ça me comble de bonheur.
Merci. Viens que je tembrasse. Bien sûr, nous allons nous aimer
Me revoici au spectacle comme à midi. Mais ma femme en string et soutien gorge blanc ne joue plus pour moi. Elle se blottit contre mon meilleur copain, se frotte à lui, lembrasse comme sil était moi, goulue, bouche ouverte. De la main gauche à hauteur de la fourche des jambes masculines elle vérifie leffet produit par son apparition sur le mâle qui létreint, debout en haut de lescalier. Je dois me mettre en retrait pour ne pas être vu;
Mon instinct ne ma pas trompé. Malgré toutes ses marques daffection, Lili attendait un coquin. La menteuse ! Comme elle dit bien « Je taime » à deux hommes en si peu de temps. Elle essaie de faire pardonner lattente de Jules.
- Sache pourquoi tu as dû attendre dehors et pourquoi mon mari sest attardé. Jai voulu tester sur lui leffet de ton cadeau. Le test a parfaitement fonctionné. Même trop bien, mieux que prévu. Comme toi il a bandé et après
- Ne me dis pas que
- Si, il a voulu me baiser. Cest compréhensible de la part dun mari excité.
- Cest dégoûtant. Tu tes laissé faire ? Moi je poireautait dehors, je surveillais le chiffon rouge et vous, pendant ce temps là, vous faisiez lamour au lit ! Je pars.
- Ne sois pas ridicule ! Jean et moi sommes mariés, nous nous aimons, cest naturel. Tu découvres ça aujourdhui ?
- Faites ce que vous voulez . Mais aujourdhui, malgré notre rendez-vous, cest déplacé.
- Ne dramatise pas. Jai eu tort de procéder à ce test, je le reconnais. Jai tout tenté pour le repousser, jai soulevé un tas dobjections pour le renvoyer à ce soir, jai menti sur lorigine de cette lingerie magique,
Vous vous êtes roulés dans votre lit - Non, tu fais erreur. Pour toi javais mis des draps frais, je lai entraîné au salon, dans son fauteuil. Jai compris quil ne partirait pas si je ne cédais pas. Jai rusé, je lui ai fait une fellation insensée. Mais il a lhabitude de moi, et chaque fois quil était prêt à cracher, il résistait, se retirait, attendait le temps de se calmer puis en redemandait. Je lai fait éjaculer sur ma figure et sur mes seins. Hélas il ma balancé de sa liqueur dans les cheveux. Cest pourquoi jai dû passer tout ce temps dans la salle de bain à réparer les dégâts et à faire disparaître les traces. Enfin, il a expédié son repas.
Quelle menteuse ! Quel repas ? Jai le ventre aussi vide que les couilles. Elle était tellement pressée quelle en a oublié de me servir à manger. Elle dissimule la relation sexuelle qui déplairait à son matou. Elle ma menti et Jules a droit au même sort.
- Ah ! Bon. Une fellation longue avant le repas ! Quel apéritif, ma chère !Quoique une fellation de ta merveilleuse bouche ne serait pas pour me déplaire. Moi jai déjà mangé. Nous pourrons ensuite passer aux choses sérieuses. Encore un baiser, ma chérie ?
- Ça va ? Tu nas pas vidé ton verre. Jen boirais bien un moi aussi avant daller au lit. Sers-moi, mon chéri. Mais non, ne métouffe pas, verse moi un verre, sers moi un verre, du verbe servir!.
- Tu as besoin de boire pour des remords ?
- Non, mais pour me rincer le gosier et faire descendre le sperme. Je me suis lavé les dents, mais je ne voudrais pas tincommoder avec des relents de la séance précédente.
- Alors, buvons ! A notre santé et à nos amours.
Que faire ? Intervenir, me montrer, me battre, chasser lintrus à coups de pioche ou de pelle, humilier linfidèle qui na pas encore consommé mais si bien embrassée déjà, et encore, lintention vaut laction désormais. Salope ! Les
et finir ma vie en prison ? Je suis abasourdi, tellement assommé par la scène que jhésite. Qui sait si cet amour sera durable, ce nest peut-être quun feu de paille. Je pourrais patienter. Dans le fond, je suis cocu, cependant je ne suis pas le seul ! Suzon lest autant que moi. Nous sommes deux cocus, deux victimes de ladultère en cours que Lili et Jules baptisent à lalcool.
Suzon est vendeuse en boulangerie, chez une amie, à deux pas dici, près du rond point. Elle me voit entrer, comprend que son mari a eu un accident, appelle Nénette la patronne, me suit et saute dans ma voiture. Jai à peine le temps de lui apprendre que son mari et ma femme nous trompent. Une fois de plus nous débouchons dans le vestibule de ma maison et mes propos sont immédiatement confirmés
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