Sur La Route
Je navais jamais fait la route entre ces deux villes, ou villages devrais-je dire, vu lendroit. Cette région me semblait déserte, rien à la ronde sur des dizaines de kilomètres. Cétait une belle journée de printemps, il faisait beau et doux. Cet après-midi-là, je conduisais sur la nationale, et comme il ny avait presque aucune circulation, je nallais pas hésiter à marrêter sur le bord de la route pour me reposer, mais aussi et surtout, pour me taper une queue. Ca faisait plusieurs jours que je navais pas fait la vidange, et jattendais cette occasion pour me faire plaisir.
Tout en conduisant, je montais un plan : vite fait, je marrête au prochain parking, je descends pisser (croyez-moi, il ne faut pas se branler la vessie pleine !), je remonte dans ma bagnole et je mastique le manche. Après, je repars les couilles vides, cest mieux pour la conduite ! Ca permet de rester concentré. Cest la prévention routière qui parle.
Là, le prochain parking est indiqué. Cest le moment où jamais. Je menfonce un peu sur cette aire qui est en fait une route abandonnée, pleine de trous et de bosses. Ce parking est en retrait, caché de la nationale par des arbres à gauche, et longeant un bois sur la droite. Cest parfait, il ny a personne. Enfin, pour linstant.
Comme prévu, je descends, je pisse tant bien que mal car lexcitation fait que je commence à bander, je range mon matos, je fume une clope et je remonte dans ma tire. Et là, le bonheur sannonce : jouvre la braguette de mon bermuda, je sors mon zob et mes couilles qui ne demandent que ça, et je commence à masser mes burnes épilées et bien remplies, et à faire des mouvements de va et vient sur ma bite qui commence à gonfler. Puis, comme je suis seul, jenlève le short et le calbute. Pour aller au bout des choses, je me retourne pour me caresser le cul, que jai tendu vers la vitre
Lextase à lavant de ma voiture ! Je sens que mon cul réclame, et je me masturbe en suçant mes doigts.
Tout à coup, et jignore comment ça sest passé, en me retournant, je vois un mec à côté de ma bagnole en train de mater
Gêné comme tout, je me rhabille, je me presse de tout remballer et je mapprête à redémarrer. Mais pendant ce temps, le mec sest approché et tape au carreau. Il a la petite quarantaine, pas très grand, un peu musclé. Il a des lunettes et les tempes dégarnies. En regardant autour, je comprends quil conduit la fourgonnette garée plus loin derrière. Pris dans mon trip en solo, je ne lavais même pas entendu arriver.
Manifestement, il est chaud, et il a compris que jétais chaud aussi. Du coup, pourquoi partir ? Autant rester, on ne sait jamais. Je baisse la vitre et il me demande si je veux un plan cul avec lui
Il est assez attirant, et jai bien envie de me faire baiser finalement, cest mieux que la branle alors oui, pourquoi pas. Mais petit bémol, il est actif passif. Et aujourdhui, comme par hasard, il est plutôt passif ! Ce nest pas grave, il me propose quand même de me branler et de me bouffer le cul. Je suis daccord bien sûr, surtout que lui et moi, on a fait des kilomètres. Ça serait dommage de ne pas profiter dun petit moment de détente, et davoir gaspillé de lessence pour rien ! On dirait presque un plan cul pour le bien de lenvironnement !
Je suis toujours dans la voiture, je baisse mon short à nouveau et je tends mon cul par la vitre. Il me caresse les fesses, la raie, me dit quil me sent mouiller et quil voudrait me bouffer le trou parce quil aime lécher les chattes humides dis donc, je croyais que tu étais passif aujourdhui ? Apparemment, mon cul le fait craquer. Cest super chaud, et il se met à luvre. Moi, le cul par la vitre de la bagnole, lui presque accroupi à hauteur de mon trou qui me lèche. Je sens sa langue qui me fouille le cul alors que ses mains me caressent. Jadore cette impression de nêtre quun derrière à bouffer pour lui, nêtre quune source de pur plaisir.
Après sêtre montré très bon lécheur, il minvite à monter dans son fourgon, pour continuer. Je le suis, le cul à lair, le bermuda sur les genoux. Il ouvre la porte coulissante, et je monte dans le fourgon, où les cartons sont bien rangés, et où il étend une couverture afin quon soit plus confortablement installés.
Je suis chaud comme la braise. Ce début ma surexcité. Je me mets sur le dos, les jambes en lair et il reprend la lèche de mon anus. Il en profite pour me lécher les couilles et me sucer la bite.
Et comme je narrive jamais à me retenir, je gémis : « Putain, cest bon ! Vas-y, bouffe moi le cul, suce ma queue, tu fais ça bien! »
Et là, lui qui navait pas complétement fermé la porte sarrête de me bouffer le trou. Il a entendu un bruit de pas sapprochant. Par crainte que ça ne soit les hommes en uniformes - je dis crainte, mais en fait non
-, il regarde dehors et me dit : « Ouf, cest juste un routier en train de pisser ».
On reprend donc nos affaires, je continue de gémir, et le routier arrive, passe la tête par la porte et nous mate discrètement. Jadore ça, me faire mater pendant que je prends mon pied, imaginer que le routier bande en regardant ce spectacle porno en live. Je suis sur le dos, jambes écartées, la tête de lautre dans le cul en train de me lécher.
Et je fais signe au routier de rentrer. Cest ma bonne action du jour, autant quil en profite aussi. Il ouvre la porte, il entre, referme la porte mais pas complétement. En deux secondes, cet homme assez trapu, denviron 30 ans, avait déjà sorti sa queue : pas très longue, mais assez large. Enfin, je vais avoir ce que mon cul veut depuis tout à lheure.
Je me retourne, à quatre pattes. Je me cambre, je tends le fion pour lui montrer que mon anus a chaud et réclame une bite pour le calmer. Le premier mec se met sous moi pour me sucer, le routier enfile une capote et commence à me caresser le cul avec son chibre.
« Vas-y, fourre ta bite dans ce petit trou et baise-moi le cul profond ».
Ce quil fait. Il enfonce son calibre dans mon trou que lautre avait déjà bien lubrifié avec sa langue. Je sens son sexe qui me remplit. Sa tige autour de laquelle se contracte ma rondelle me fait du bien. A peine quelques coups de queues et je jouis comme une femelle. Normal. Un mec qui me suce, le routier qui me ramone, quel plaisir ! Je sens les grosses couilles pleines du routier qui tapent contre ma raie humide, je sens la langue de lautre sur mon gland qui voudrait aspirer mon jus. Je me sens posséder, je sens que je suis juste un vide-couilles pour lun et une bite à pomper pour lautre. Deux hommes virils et moi, objet sexuel.
Je ne résiste pas, jadore le langage vulgaire dans ces moments torrides: « Vas-y, ramone-moi le trou ! Montre-moi que tes un homme et que tu as besoin de te purger les couilles ! Donne-moi du sperme, jai le cul qui réclame du jus ! Fais-toi du bien à la queue et fais-moi du bien aussi ! » A force de coup de butoir, je sens que je vais gicler mon sperme dans la bouche du premier mec ! Lui tête si bien, il a lair de vouloir du foutre. Je le préviens, je ne voudrais pas lui jouir dans la bouche sil naime pas, mais visiblement, il sen moque complétement! Je décharge ma semence, et il lavale. Il continue même à masser mon gland avec sa langue.
Le routier continue de me défoncer, et je sens quil va jouir aussi
Son calibre et ses couilles, juste sortis de son boxer, me semblent de plus en plus durs. Je narrête pas de remuer le cul parce que mon orifice brûlant me dit que je vais bientôt prendre la sauce. Pour laider, jécarte bien les fesses avec les mains, et mon anus humide et dilaté prend des coups de queues encore plus rapides et efficaces. Son zob est comme avalé par mon trou et entre au plus profond de moi. Je ne men lasse pas. « Allez, défonce ce cul et donne-lui du bon jus bien frais ! Jouis sur mon cul, lâche cette crème sur ma raie humide et chaude !! » Le routier est très endurant, il accélère le mouvement parce quil sent bien que jai besoin de sperme frais pour me finir.
Et le routier se retire, enlève sa capote, gémit avec virilité, et en se branlant rapidement, il me gicle une bonne dose de sperme bien épais et chaud sur ma raie
Je laisse ce nectar blanc dégouliner jusquà mon trou, et je glisse un majeur dans mon cul. Je retire mon doigt et je le suce avec plaisir : goût de mon trou défoncé et du sperme fraîchement déchargé de ce mâle en rut.
Le routier range son chibre et ses burnes pendantes dans son boxer, enfile son jean et repart, sans rien dire : ce qui me va très bien, jadore me faire baiser comme une salope et quon mignore après, passer pour le dernier des vide-couilles. Et après une courte conversation avec le premier mec, japprends que ce parking est un lieu de drague gay ! Cest toujours bon à savoir !
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