La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°776)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode N°774) - 3 mois plus tard et 3 jours avant le début de louverture des Mondiaux -
Il y a deux jours, Monsieur Walter est venu me chercher dans le cachot numéro 2 que joccupe depuis que le Maître en a décidé ainsi, puis ma installé dans une vaste, luxueuse et lumineuse chambre au deuxième étage du Château. Des deux hautes fenêtres je peux voir limmense parc jusquà la lisière du grand bois, les deux grandes fontaines avec leurs jets deau puissants de chaque côté de lallée gravillonnée menant au Château, et beaucoup plus loin la maison des gardes près de lentrée de cette auguste Demeure, au-delà limmense portail de la propriété de Monsieur le Marquis avec le mur denceinte de trois mètres de haut
Depuis que je suis ici, collier arrimé autour du cou, cage de chasteté fixée sur ma nouille, une longue chaine attachée à lune de mes chevilles, me permettant toutefois de vaquer assez librement aux quatre coins de cette vaste pièce, je reste de longues heures, seul. Je dispose dun grand lit, de deux chaises, dune salle de bain avec lavabo, une douche à litalienne, des toilettes, bref le grand luxe pour le chien soumis que je suis. Depuis ces deux jours, Je nai vu que Madame Marie, la fidèle et perverse cuisinière du Maître. Elle vient, trois fois par jour mapporter ma gamelle. Elle assiste aussi à ma douche à la fin de la journée. Mais elle repart très vite, sans vraiment sintéresser à moi, me parlant très peu. Cet isolement me pèse et dois-je me lavouer, je me morfonds quelque peu, à faire les cents pas. Voilà qui me change de ces entrainements sportifs intensifs que jai vécus chaque jour depuis mon retour de Suisse. On a tout fait pour que je devienne endurant et performant physiquement.
Ce matin, venant tout juste de terminer le petit déjeuner, je me mets derrière lune des deux fenêtres car dehors, du bruit attire mon attention.
- Comment vas-tu Ma putain ?
- Très bien Maître, merci.
Le Maître approche la pointe de sa chaussure près de ma bouche, je comprends alors quil me faut lhonorer de ma langue. Je mapplique longuement jusquà temps quun nouvel ordre me soit donné.
- A genoux ma salope, mains sur la nuque.
Jadopte immédiatement la posture en baissant respectueusement la tête.
- Non regarde-moi ! mordonne Monsieur le Marquis.
Il mest toujours difficile de porter mon regard dans celui du Maître, jobtempère toutefois.
- Ce matin, Monsieur Florent, ici présent va te faire un long massage. Et il en sera ainsi demain et après-demain. Je te rappelle que dici trois jours débuteront les Mondiaux de la Domination/soumission ici au Château. Je te veux en pleine forme !
Je ne dis rien, écoute attentivement, essayant de garder mon regard dans ces yeux bleus naturellement Dominants.
- Florent sera ton kiné attitré pendant ces Mondiaux, toujours près de toi, comme dailleurs Madame Agnès que tu découvriras cette après-midi, une infirmière que je talloue également. Sajoutera à ce staff Monsieur Gabriel, médecin de profession. Tout ce petit monde sera là, entre autre, pour panser tes petits bobos, pour te remettre daplomb rapidement. Je veux que tu sois performant !
Jacquiesce par un seul mouvement de tête de bas en haut. La pression monte dun cran subitement, je comprends quil me faudra donner le meilleur de moi-même. Je sais que Monsieur le Marquis dEvans déteste la médiocrité. Il va falloir que jassure et combatte. Je me sens prêt pour cette compétition, même si je nen connais pas encore le contenu
Mon collier et ma cage de chasteté me sont ôtés, ma cheville est libérée de cette longue et lourde chaine.
- Suis-moi, esclave Endymion MDE ! mordonne Monsieur Florent.
A quatre pattes ? Debout ? Je ne sais comment faire. Le Maître me connaissant parfaitement bien et voyant mon désarroi intervient auprès de Monsieur Florent.
- Cet esclave ne prend aucune initiative. Cest ainsi que je lai dressé. Il faut donc, que tu sois précis dans ton commandement. Tu dois luis dire, suis-moi à quatre pattes ou suis-moi debout et là il ne marquera aucune hésitation, ou sil en marque une, il sait quil sera puni, sévèrement et sur le champ !
- Jai bien compris Monsieur le Marquis, désolé, je nai pas encore votre habitude, lui répond le dit Florent.
Finalement, cest debout que jaccompagne Monsieur Florent, bite au vent, ma queue cest enflammée sitôt sortie de cette cage.
- Couche-toi sur le dos ! mordonne-t-il
Son regard ne quitte pas mon bas ventre, il faut dire que je maffiche queue raide, gland humide, violacé et bien décalotté, sans une once de pudeur, tel quon me la enseigné. Serait-il, lui, gêné ? Lui quitte le haut de son survêtement, dévoilant ainsi son torse nu et poilu. Ses pectoraux sont bien dessinés comme dailleurs ses abdominaux, de vraies tablettes de chocolat. Ses biceps sont imposants et ce qui me surprend le plus chez lui, ce sont ses mains, larges et longues ! De bons battoirs, me dis-je
Ma queue redouble dintensité à cette réflexion stupide que je viens davoir. Ah satané masochisme !
Je me vois déjà fesser par Lui et prendre du plaisir. Monsieur Florent vient de me glisser une serviette de bain roulée sous les genoux, se frotte les mains dhuiles essentielles, matt dune main la partie inférieure de mon tibia de lautre il se saisit de mon pied gauche. Tout en maintenant ma jambe, il me fait tourner le pied en lemmenant dans son amplitude maximale en dedans, en dehors, en haut et en bas en le fléchissant et en lemmenant en extension. Puis commence alors un massage de la plante du pied, comme ensuite la flexion et lextension de mes orteils. Cest un vrai moment de détente que moffre Monsieur Florent. Même ma queue est redevenue flasque. Ce nest que lorsquil entreprend de me masser les cuisses que je recommence à bander quelque peu. Mais lorsquil me demande de relever mes cuisses sur ma poitrine pour masser le périnée, alors ma queue sérige sérieusement. Ses doigts huilés glissent de mon anus à mes testicules, vont et viennent avec un malin plaisir pervers, parfois effleurent mon trou.
Maintenant couché sur le ventre, je me laisse manipuler tout en regardant lentrejambe de ce masseur. Sous son survêtement se dessine un membre tendu, orienté vers la gauche, dune taille à priori plus que respectable : Pas de doute, Monsieur Florent bande ostensiblement
Jai envie de cette queue, je la dévore des yeux et aimerai la dévorer tout court
Mais il nen sera rien.
- Tinquiète salope, un jour viendra où tu auras ma grosse pine dans ton cul de lope
Il sen va. Je reste sur ma faim, frustré ! Je me remets derrière lune des fenêtres et constate que le chantier à lextérieur a bien avancé, les gradins sont désormais installés. Monsieur Walter en Majordome accompli en fait le tour. Sans doute vérifie-t-il la bonne exécution des travaux. Derrière lui, en laisse et à quatre pattes, je reconnais soumise Cypris MDE accompagnée de soumis Cyno MDE le suivant comme deux bons chiens que lon sort pour une petite balade. Le temps ségrainent encore, doucement, lentement jusquau repas de midi, puis de nouveau je reste seul, désuvré une grande partie de laprès-midi. Ce nest quen fin daprès-midi que la porte de la chambre souvre. Un homme et une femme entrent et sapprochent de moi. Je ne les connais ni lun ni lautre, sans doute sont-ils le médecin et linfirmière dont le Maître ma parlé. Lhomme petit et râblais, les cheveux frisés, des mains potelées me saisit par le collier et me pousse sur le lit sans ménagement. La femme elle, grande, lair sévère, une lourde poitrine, des cheveux blonds tombant sur ses épaules, exige immédiatement.
- Montre-moi tes couilles, la pute !
Couché sur le dos, je relève les jambes et offre mon intimité
- Ecarte-toi plus encore ! Insiste-t-elle très sévèrement.
Jobtempère immédiatement. Elle soulève mes burnes. Lhomme intervient :
- Je vais lui ôter sa cage pour faire ce que nous avons à lui faire. Agnès prépare le matériel, Monsieur le Marquis ne tardera pas.
Ma nouille est libérée, mes burnes empoignées et malaxées. Bien que ce traitement soit quelque peu douloureux, je me mets à bander.
- Une belle bite ! constate linfirmière, tout en mettant des gants en latex.
Le Médecin fait rouler entre ses doigts, la peau fine de mes bourses. Avec une lampe de poche, il regarde attentivement et par transparence les tissus fibromusculaires.
- Bien, dit-il en se redressant, aucun problème, pas de petits vaisseaux à cet endroit précis. Tu le piqueras là ?
Piquer ? Ai-je bien entendu. Aucun doute possible, je vois Madame Agnès préparer des instruments stériles dont un cathéter. Je blêmis et me mords les lèvres. Mes couilles sont lavées, nettoyées, désinfectées et aseptisées soigneusement.
- Combien lui injecte-t-on ? Demande Agnès
- Commençons par 250 cc, nous verrons ce quen dit Monsieur le Marquis.
Je nen mène pas large. Madame Agnès prépare le flacon, le perfuseur et laiguille. Elle décapsule le flacon, puis désinfecte la membrane qui va recevoir le perfuseur, quelle met en place peu après. Dun geste sûr et rapide elle purge le tuyau en ouvrant la molette afin de chasser les bulles dair.
- Ne bouge pas chien, je pique ! Me dit Madame Agnès.
Je nai quasiment rien senti
Le geste a été sûr, rapide, professionnel. Mon sac se remplit doucement. Tout au plus, jai une impression de fraicheur liée à la température du liquide injecté. Me voilà soulagé et maintenant la situation mexcite de nouveau. Ma queue se tend, mon scrotum se distend
Je suis là, sur ce lit, cuisses écartées, jambes relevées sur ma poitrine, sous le regard attentif des deux professionnels de santé. Au bout dun quart dheure, je suis débranché, Monsieur Gabriel me fait me relever. Je me regarde avec cette grosse paire de couilles bien encombrantes :
- A quatre pattes, le chien ! mordonne-t-il
Etrange sensation, mon sac gonflé tel un ballon de baudruche, ballotte entre mes cuisses A peine suis-je installé dans la posture ordonnée que le Maître entre dans la chambre.
- Alors, vous avez terminé ?
- Voilà votre chien, Monsieur le Marquis, avec de bien belles et grosses burnes ! Quen pensez-vous ?
Le Maître saccroupit derrière moi et att mon paquet. La sensation est particulière, mes couilles protégées par le liquide injecté ne sont plus sensibles du tout
- Cest pas mal, déjà un beau volume
combien lui avez-vous injecté ? Interroge le Maître
- Seulement 250 cc
Lui répond Madame Agnès.
- Nous voulions débuter doucement ! Reprend le Médecin.
- Je pense que pour le jour de louverture des Mondiaux lors de la présentation des esclaves, nous pourrons lui injecter un peu plus, je veux le voir bien couillu Mon slave !
Le Maître tâte encore, puis soudainement un de ses doigts effleurent mon anus. Je frissonne de plaisir.
- Je suppose que vous navez pas eu le temps encore de vous occuper de cette rondelle.
- Non pas encore, Monsieur le Marquis.
- Le trou de cette catin est habituellement souple et tonic, mais sachant que depuis trois mois, il a été soumis à un strict sevrage, Il me semble opportun, dès aujourdhui, de le reprendre en main par un entrainement intensif et approprié afin de le dilater et bien le façonner. Le cul de cette salope sera très régulièrement sollicité pendant ces Mondiaux, il faut donc bien le préparer. Je compte donc sur vous deux !
- Vous pouvez, Monsieur le Marquis, nous allons nous y employer, lui réponds le Médecin.
Sans autre recommandation le Maître quitte la chambre à grand pas, me laissant là avec ces deux inconnus mécartant déjà les fesses et sintéressant de très près à ma boutonnière fripée
Hummm ! Jen bande un maximum ! ...
(A suivre
)
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