Ma Vie De Libertin/Les Filles Du Minitel Et Du Net/Diane/Ultime Rencontre

(juillet 2012)
Le texte a été écrit quelques semaines plus tard… J’ai tenté de raconter cette soirée comme elle s’est déroulée.




Après la soirée passée en club en compagnie de Diane et de Marie, j’avais encore une journée de congrès à passer… Je dois reconnaitre que mon esprit divaguait quelque peu en repensant aux ébats en trio auxquels nous nous étions livrés…
Le samedi matin, j’avais bouclé ma valise et je l’avais placée dans le coffre de ma voiture avant de gagner le lieu de ce congrès proche de l’hôtel.
Le soir, comme chaque fois que je viens voir Diane, j’ai garé ma voiture dans un parking situé non loin de chez elle dans le XVIIIème arrondissement puis j’ai fait à pieds la centaine de mètres qui me séparaient de son immeuble.
On aurait dit qu’elle attendait mon coup de sonnette… Immédiatement l’ouvre porte a fonctionné pendant que l’interphone grésillait :
- Monte vite… Nous t’attendons.
En moi-même je pensai immédiatement qu’il y avait un imprévu… Le copain de Diane serait-il revenu plus tôt que prévu… Mais cette coquine m’aurait laissé un message pour décommander notre rendez-vous ! Dès que je suis sorti de l’ascenseur, Diane a achevé d’ouvrir sa porte pour me laisser entrer.
La porte refermée, elle s’est lovée dans mes bras et aussitôt, j’ai senti mon corps s’enflammer au contact des seins opulents et du bassin qui se sont collés contre moi et nos langues ont entrepris cette sarabande humide et torride qui nous a laissés à bout de souffle au bout d’une minute… Soudain une voix féminine venant de la salle de séjour a retenti :
- Eh… Laissez-en un peu pour tout à l’heure !
C’était Marie… Elle m’attendait debout et elle s’est précipitée dans mes bras pour m’embrasser à son tour. Aussi grande que Diane, elle a toutefois des formes plus menues mais tout aussi agréables à contempler et à caresser. Toutes les deux étaient habillées de façon classique mais très sexy.

Marie portait un tailleur pantalon en lin de couleur beige, les cheveux relevés en chignon, elle avait un maquillage discret et son cou gracile était ceint d’un collier de perles. Diane de son côté portait un tailleur en fin lainage de couleur noire que je lui connaissais déjà… la jupe arrivait à mi cuisse et la veste largement échancrée laissait apercevoir le sillon mammaire dans lequel se perdait une longue chaîne dorée… Ses longs cheveux blonds dénoués s’étalaient sur les épaules. Toutes les deux étaient perchées sur des talons d’une hauteur vertigineuse ce qui fait qu’elles étaient aussi grandes que moi…
Je me tournai vers Marie en disant qu’elle ne perdait rien pour attendre… que j’allais l’embrasser elle aussi… et je l’ai prise dans mes bras. Aussitôt elle s’est collée à moi et ses lèvres ont cherché les miennes… Un long baiser lascif s’en est suivi et ma libido a achevé de s’enflammer… Je n’aurais jamais cru cela possible après notre séance en club… J’ai offert à Diane le bouquet que j’avais acheté à son intention et j’ajoutai :
- Désolé Marie, si j’avais su que tu serais là, j’aurais acheté un bouquet aussi pour toi !
- Ce n’est pas grave… Tu ne pouvais pas savoir… Cela s’est décidé dans l’après-midi…
- Ce n’est pas le tout mes chéris, nous t’attendions pour un petit diner coquin !
Effectivement sur la table basse il y avait un en-cas relativement copieux et une bouteille de champagne rafraîchissait dans un seau nappé de buée.
- C’est la fête ?
- Oui… Tu as payé le champagne hier soir, à mon tour maintenant… Tu sais que j’aime les bulles !
- Oh oui, je sais que tu aimes les bulles… je me souviens de ce vin d’Alsace que j’ai fait couler sur ton corps lors de notre séjour à Deauville et que j’ai dégusté à la source de ton plaisir ! Nous avions alors regretté notre choix…
Pendant que tu me demandes de remplir les coupes, Marie et toi vous vous affairez dans le coin cuisine pour achever les préparatifs…




Le temps a passé… Après quelques bavardages qui dérivent rapidement vers des choses légères et coquines, Marie se lève, lance une musique douce sur son MP.
3 et entreprend un striptease des plus érotiques… ôtant la veste de son tailleur puis venant se trémousser sous mes yeux pour me faire admirer sa jolie poitrine. Ensuite, elle défait son pantalon en nous tournant le dos pour bien montrer ses fesses emprisonnées dans un string de fine dentelle. Puis c’est au tour du chemisier, déboutonné lentement, de voler sur une des fauteuils… Lorsqu’elle ne porte plus que ses sous-vêtements, elle commence une sorte de danse orientale en faisant onduler sa poitrine et ses hanches à moins d’un mètre de mes yeux… Puis les derniers remparts tombent…
Diane ne perd pas de temps non plus… Elle a dégrafé la fermeture de sa veste et j’aperçois ses globes emprisonnés dans un soutien gorge de dentelle noire… Sa main droite caresse mon entre jambes pendant un long moment pour sentir monter mon érection… puis cette main inquisitrice s’insinue dans mon pantalon et mon boxer et déniche mon sexe qui depuis quelques temps est bandé à mort… Je ne peux m’empêcher de m’exclamer :
- Dites donc les filles, vous commencez fort ce soir ! Comme hier !
Diane ajoute alors :
- Ce n’est que le début… Je pense que tu as retrouvé des forces depuis hier !
- Tu as bien vu que mon sexe bandait… Tu as fait ce qu’il fallait et le spectacle de Marie est très excitant…
- Tu ne m’as pas baisée hier soir… Maintenant c’est mon tour…
Et Marie s’approche de moi, s’agenouille sur le tapis et embouche mon sexe pour une fellation savante. Diane m’aide à me déshabiller et, relevant Marie, elle la fait mettre en amazone au-dessus de mon bassin en disant :
- Laisse toi aller… Avec lui, pas besoin de préservatif !
- Alors c’est parti pour la cavalcade !
Dès que Marie est bien ancrée sur mon sexe, elle commence des mouvements de bas en haut évitant que mon vit sorte dans sa chatte avant de se laisser tomber à nouveau et de s’empaler au plus profond de sa chair douce et chaude… Je lève alors mes mains qui enserraient sa taille et je fais rouler ses tétons entre mes doigts.
Ses seins sont nettement plus petits que ceux de Diane mais ils sont d’une fermeté incroyable. C’est très agréable de jouer avec ces deux coquins qui ayant la forme d’un demi pomelos, semblent me narguer… Je sens ses muscles intimes malaxer mon gland… Que c’est bon… Mais notre jouissance monte, monte et finalement Marie jouit dans un feulement rauque qui déclenche mon orgasme instantanément…
Diane m’interroge :
- Alors qu’en penses-tu ? N’est t’elle pas bonne ma copine ?
- Oh oui… Mais je suis surpris de la rapidité avec laquelle je me suis libéré.
- Coquin, je me doutais qu’après hier soir, tu aurais besoin d’être stimulé. J’ai mis un aphrodisiaque dans ton verre. Je compte bien en profiter à mon tour.
- Alors sois tranquille… Tu vas voir comment je vais te démonter !
Marie qui se remet doucement dit alors :
- Dis donc Diane… tu m’en avais parlé… mais ce coquin m’a fait grimper comme rarement cela m’est arrivé ! A son âge, quel amant !
- Merci Marie… j’en ai autant à ton service… tu es une jolie coquine… aussi avide de jouir que Diane peut l’être !
Là-dessus, elle se désarçonne et je peux voir ses lèvres sexuelles ornées des festons blanchâtres de nos sécrétions mélangées. Aussitôt elle se penche sur ma bite et avec Diane qui est encore habillée, elle entreprend de nettoyer mon sexe… Tantôt l’une absorbe mon gland pendant que l’autre lèche la tige qui est encore à moitié bandée. J’apprécie :
- Les filles, vous me comblez… Mais laissez-moi récupérer un peu…
- Diane, tu sais que j’ai un engagement en seconde partie de la soirée pour un enterrement de vie de garçon… Je passe à la douche et je vous laisse… Je vais être particulièrement en forme pour le spectacle après cette bonne partie de baise…
- Oh oui, telle que je te connais, ça va être chaud !



Dès que nous sommes seuls, Diane m’interroge :
- Je t’avais déjà parlé de mon amie Marie il y a quelques temps… Si tu te souviens je t’avais raconté comment lors d’un départ pour la Guyane nous avions fait des folies avec un de ses amants…
- Oui… d’ailleurs ce souvenir m’avait bien excité ! Marie est une « bonne » mais elle ne t’arrive pas à la cheville… Depuis notre première fois, je ne me lasse pas de faire l’amour avec toi… et je t’avouerai qu’il m’arrive de me masturber en regardant la séquence vidéo dans laquelle tu joues avec Maxo… ce gode immense…
- C’est vrai que lors de cette séquence, je me suis envoyée en l’air comme jamais… D’ailleurs tu as pu voir l’abondance de ma fontaine !
- Oui… on entend même ce jaillissement atteindre le clavier de ton ordinateur…
- Sacré coquin, tu remarques tout !
Pendant ce bavardage, j’ai achevé de dénuder le buste de Diane et je caresse doucement ces deux beaux fruits murs qui balancent doucement sous mes yeux… Embrassant tantôt un téton pendant que je fais rouler l’autre entre mes doigts, je sens sa respiration s’accélérer… Puis Diane fait glisser sa jupe et son string pour apparaître dans la splendeur de sa nudité de femme mature… Je ne me lasse pas de la regarder et je savoure la chance d’avoir une amante aussi belle que coquine.

Toujours à moitié allongé sur l’immense divan je vois Diane s’approcher de moi et emboucher mon sexe qui est encore à moitié turgescent… Waouh… Quelle suceuse… elle agace mon gland du bout de sa langue puis elle plonge mon sexe au fond de sa bouche pour le ressortir enduit de salive pour la prendre en main et le masturber… puis de nouveau quelques va-et-vient dans sa bouche et elle se place de façon à ce que ses seins viennent emprisonner mon sexe entre eux.
- Tu vas voir… je vais te faire une cravate de notaire… Je sais que cela te tente depuis longtemps !
- Oh oui… Tu peux en être sûre !
Nous n’achevons pas cette caresse… Diane se dégage et se met à genoux sur le divan, les bras en appui sur le dossier :
- Viens… Tu es à point ! Fais de moi ce que tu veux !
- D’accord… Je me couvre et je vais commencer par ton « ptit trou » charmant !
- Tu peux y aller sans protection… j’ai fait ce qu’il fallait !
Je reconnais bien là cette fieffée coquine… elle s’est préparée à une éventuelle sodomie… Je sais qu’elle aime et qu’elle accepte des intromissions de gros calibre… Si mon sexe est plutôt court, il est aussi assez trapu mais il entrera sans difficultés.
Je caresse les fesses et la taille de mon amie et je retrouve ces deux fossettes au creux des reins et ce joli petit tatouage qui orne son côté gauche… Je m’approche et lentement je m’introduis dans « l’antre interdit » qui m’accueille généreusement.
Ma jouissance est un peu longue à revenir mais mon sexe est bandé à mort grâce à ce que Diane m’a fait prendre à mon insu… Celle-ci caresse sa chatte d’une main… je sais ce qu’elle cherche et je lui dis alors :
- Laisse ta chatte tranquille… je vais m’occuper d’elle…
Et je change d’entrée… Le sexe de Diane est humide et chaud… Je fais claquer mon ventre de plus en plus fort contre ses fesses et brusquement, au moment où je ne m’y attendais pas, ma jouissance éclate comme un barrage qui se rompt et je déverse d’abondants jets de sperme dans cette chatte si accueillante, ce qui déclenche aussitôt la jouissance de Diane et le jaillissement de sa fontaine :
- Coquin, tu m’as encore envoyée en l’air !
- Je te l’avais dit que ce soir je te démonterais !
- Oui mais pas si vite ! Mais c’est tellement bon !
- Oui, te faire l’amour, je ne m’en lasserai jamais !
- Assez pour ce soir… on va se coucher, il fera jour demain !
Nous passons rapidement sous la douche où je lutine encore Diane mais nous n’allons pas plus loin que quelques caresses furtives… Le lit nous accueille et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, Diane lovée contre mon corps, ses fesses emboîtées devant mon bas ventre pendant que j’e prends un de ses seins dans ma main…
Après une nuit paisible, nous nous réveillons assez tardivement le lendemain. Diane me dit alors :
- Reste au lit, je prépare une bon petit déj’ et je te rejoins…
- OK ! çà marche !

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