Le Pensionnat
le pensionnat
Mon père vient dêtre promu en Guyane et ma mère la suivi pour préparer leur installation ; pour moi, à 4 mois du bac de français, pas dautre solution : pensionnaire jusquà lépreuve ; situation nouvelle car je navais jamais quitté mes parents si longtemps ; après tout, peut-être loccasion de se faire des copains. Létablissement est correct et nous disposons de chambre à trois lits ; la bouffe est très bonne et à priori les surveillants ne sont pas tatillons ; pas de bordel et on vous laisse tranquille, tel est leur consigne. Et il est fréquent par conséquence que les soirées se prolongent, soit pour le boulot, et oui y a le bac, soit pour le loisir, télé ou lecture ; donc pas le bagne.s
Cela fait quatre jours que je suis arrivé et ce vendredi soir, mes compagnons semblent faire des apartés et il se taise à mon arrivée ; pas grave, je prends mon bouquin et quand le sommeil me prend, je les oublie. Pas eux ; je suis soudain réveillé par la lumière dune torche et je suis maintenu solidement au lit « tais toi, ce soir nous allons concrétiser ton arrivée et comme le veut notre tradition, un bon bizutage tattend ; finalement il me bâillonne sommairement et découvrant mon lit, il me retire mon boxer et commence à me triturer les bourses et le sexe. Même sous la contrainte, rien de grave en réalité, je ne tarde pas à bander, et lun deux me branle énergiquement ; « tu as déjà baisé une nana ? » oui une fois ma cousine « raconte ! » rien ne sert de me taire, et plus vite ils seront satisfait, plus vite je serais tranquille ; essayant de me concentrer, car la branlette me remue les tripes, je leur donne quelques brides de ma petite expérience ; je constate que le maintien est moins ferme ; en effet deux des loustics ont sorti leurs bites et ils sastiquent le manche alors que le troisième me branle de plus en plus énergiquement ; le résultat arrive et ma jute se répand sur mon ventre, bientôt rejointe par celle de mes « tortionnaires » et quand il me quitte, je me retrouve le ventre souillé de sperme et il ne me reste plus quà aller me laver ; jai les jambes un peu molles et tout en me nettoyant, je réalise que je viens de jouir , branler par un mec, et que finalement, au lieu de me choquer cela me fait plaisir.
A peine arrivé, il attaque ses questions « que test il arrivé ? » la trouille me paralyse et rien ne sort ; « détend toi, je ne suis pas là pour sanctionner, mais je veux savoir pourquoi tu te laves le ventre à 1h du matin » ; assis sur une chaise, je nen mène par large, mais finalement je constate quil nest pas agressif et peu à peu je me détends ; il me rappelle à lordre « alors tu te décides ! Tu préfères que je réveille tes petits copains » ; cette fois cest un ordre et je ne peux que mexécuter.
« Jai eu droit à un bizutage, mais rien de grave »
« raconte
.. » cette fois je suis gêné
« Ils mont réveillé et lun deux ma masturbé. » « Cest tout, je veux la suite ! » Assis sur son lit, il me regarde de la tête au pied ; « jattends, on ne va pas y passer la nuit ». Je lui raconte alors les faits, rouge de confusion, surtout quand il me demande « et tu as jouis ? » je suis bien obligé de le reconnaître « tu as aimé te faire branler et recevoir leurs jutes ? » cette fois la question me surprend, dautant plus que je constate quune bosse sest formé sous son vêtement. Il mest impossible de répondre et cest lui à nouveau qui reprend « je nai pas besoin de ta réponse car à voir ton sexe sous ton boxer, je constate que cest oui » silence car en effet je bande ferme ; le souvenir des événements me revient et surtout le fait que jy ai pris du plaisir. » Et toi, tu les as touché ? » Un signe de négation de ma part ; « tu aurais aimé ? Tu en as envie ? » Je ne sais ou il veut en venir ou plutôt je pense quil veut savoir par curiosité ; je me trompe fortement, car se levant, il se rapproche et me mettant la main sur lépaule « répond honnêtement, tu aurais aimé ? » Un signe de tête lui donne ma réponse ; « tu veux en toucher une ? Rassure-toi, je ne toblige pas ! » Il est près de moi et je vois sa bosse tout près ; se tournant légèrement il se frotte discrètement contre mon bras.
« Vas te coucher maintenant, on se reverra et pas un mot » jai beaucoup de mal à trouver le sommeil ; ma queue à nouveau tendue, je repense aux événements ; mon plaisir a été grand, mais je perçois un manque ; je comprends soudain que jaurais aimé aller plus loin ; je viens de comprendre que jaime les hommes, la suite va le confirmer. Le lendemain, mon voisin de chambre a un petit sourire « tu es revenu bien tard
rassure toi, il mest arrivé la même chose » je dois avoir piqué mon fard ; « tu as aimé ? Dis-moi ce quil ta fait
.. » Heureusement lheure du déjeuner mévite de répondre. Au retour, nous avons le temps libre, cest le week-end et ne reste que les isolés de leur famille ; il en ai de même pour marc mon voisin de lit ; et bien entendu, il revient sur ma soirée, mais cette fois en parlant de lui « après mon bizutage, il ma fait venir dans sa chambre et jai eu des relations avec lui ; pour moi ce nétait pas nouveau, jai déjà eu une aventure avec un autre garçon ; jai donc aimé, et je vais parfois le rejoindre dans sa chambre ; à toi maintenant » je suis toujours gêné, mais ses aveux ont réveillé mes envies et je commence à être à létroit dans mon pantalon ; allongé sur son lit, Marc a sorti sa queue et il se caresse « vas-y raconte, tu vois moi je ne me gène pas » finalement je lui raconte ma soirée et sous ses questions précises, je reconnais mon plaisir ; « viens me sucer, jaime les hommes et je vois que toi aussi » cela me tenaillait depuis un petit moment et cest sur une belle queue que ma bouche se pose encore maladroitement ; ma langue senroule sur le gland, lèche le méat ; et ma main lui caresse les couilles ; puis lentement je la gobe, menfonçant progressivement ; bientôt je viens buter contre mon palais ; je viens de lavaler en entier et un gémissement traduit son plaisir ; en bougeant son bassin, cest lui qui donne le rythme ; il me pénètre la bouche, je prends un plaisir immense à le sucer ; ma langue lui lèche le méat et je recueille la goutte qui perle ; se retirant, il enlève mon pantalon et je suis bientôt à poil ; il ma plaqué à plat ventre sur le lit et ses mains parcourent mon sillon ; ses doigts me caressent le sillon et un doigts triture mon anneau ; un jet de salive atterrit sur mon cul et il sen sert pour me pénétrer un peu plus lanneau qui peu à peu se dilate ; me remontant le bassin , sa langue se plaque sur mon sillon et il me lèche, salivant sur mon illet, essayant de sintroduire ; soudain cest son gland qui se frotte puis se positionne sur le trou accueillant ; « cest la première fois ? » Un oui timide puis lenvie me submerge » vas-y prend moi, encule moi, jai envie de ta queue ! » une violente douleur me coupe la parole ; il sest enfoncé et à perforer lanneau ; je viens de perdre mon pucelage ; jai le cul en feu, mais bizarrement je bande comme un fou ; jai une bite dans le fion et mon plaisir monte de plus en plus ; la douleur se mélange au plaisir et bientôt pour la première fois je jouis pénétré par un mec ; je suis en train de me faire sodomiser et jaime ça ; après un moment , enfoncé jusquaux couilles, il se met en mouvement et de plus en plus puissamment et de plus en plus vite , il me défonce ; ses couilles tapent contre mes fesses ; il a emprisonné ma bite et il le branle ; il ne me faut pas longtemps pour éjaculer et ma semence se repend sur le lit ; délaissant ma queue, il memprisonne les hanches et il me percute le cul comme un forcené ; cest bientôt à son tour de jouir et ses jets me remplissent les entrailles ; je dois me retenir pour ne pas crier de bonheur ; sa queue diminue et bientôt il se retire, satisfait, et se recouchant, il sendort.
En effet la suite de mon séjour le confirme ; je suis devenu sa chose, le rejoignant dans sa chambre à chaque fois quil était de permanence et le retrouvant, à lextérieur ; pendant 4 mois, je lai sucé, il ma sodomisé à volonté, me livrant même un vendredi soir à un ami. Les deux hommes mont possédés à tour de rôle et ce tout un week-end ; inutile de compter le nombre de fois où ils mont possédés.
Le temps a passé ; aujourdhui je suis marié père de trois s ; mon épouse est au courant de ces excès de jeunesse et lors de soirée à trois, elle me livre parfois à son amant.
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