Mes Beaux Parents
Les beaux parents,
Ma petite femme est en stage à létranger pour trois semaines et mes beaux parents se sont proposés pour venir à la maison, garder les s, repas et linge ; cest super car ainsi les choses seront plus simples pour moi. Tous deux la cinquantaine (54 exactement) ils forment un beau couple, jeune desprit et de corps ; faisant beaucoup de footings, ils ont su conserver la forme, et non pas les formes ; lui 1.85 svelte et musclé, elle 1.70 pas plus de 55 kg, un joli minois et de jolies formes. Sils sont modernes, il nen reste pas moins que jamais nous navions évoqué le moindre sujet sexuel.
La surprise est venue en premier de la tenue de Jeanne, sur le matin ; un simple déshabillé, court, noué à la taille, mais sans aucun bouton, ce qui fait que régulièrement, et selon les mouvements, celui-ci baille ou sécarte, dévoilant tantôt un sein, tantôt une cuisse musclée ; difficile de rester de marbre, et pour moi, une seule solution, la fuite. Cest le premier samedi que le tableau sest corsé ; soirée film et le hasard a voulu quil soit question dadultère ; il sen ai suivi une discussion portant sur les rapports, et ils sont devenus de plus en plus curieux ; le problème est que tout en discutant , Paul avait posé sa main sur les cuisses de sa femme, repoussant progressivement sa jupe et que petit à petit, je pouvais découvrir le haut de ses cuisses, puis un peu plus tard le bord de son sous-vêtement ; jessayais de cacher la bosse en train de se former, mais les questions devenaient de plus en plus chaudes.
« Vous vous entendez bien sur le plan sexe ? » Un oui sort péniblement
« Avez-vous eu des aventures, toi ou Béa ? » comment dire à ses beaux parents que parfois nous faisons lamour avec un ami. ; Paul a passé son bras autour du cou de Jeanne et de moins en moins discrètement, il lui caresse le sein, allant même jusquà passer sa main dans léchancrure du corsage ; soudain Jeanne se lève, nous quitte en disant quelle va se changer ; Paul en profite pour être plus éloquent :
« Entre nous, nous avons découvert un DVD vous concernant » cest la catastrophe, car ce DVD est un souvenir de nos exploits avec notre ami ; devant ma mine consternée, il enchaîne :
« rassure toi, nous avons fait comme vous et nous aimons faire lamour à trois et même avec un autre couple ; je dois reconnaître quen vous voyant, cela nous a donné des envies et que cet après midi, nous avons baisé en vous regardant, et Jeanne a apprécié vos exploits ; elle était déchaînée ensuite ».
« Alors tu lui as dévoilé notre petit secret ; je dois reconnaître que tu nous as mis en appétit et que jai envié ma fille prise par ces deux étalons ; jai envie dêtre à sa place ». Il est vrai que notre ami est bien monté, une queue de longueur moyenne, mais dun bon diamètre , et que pour ma part, plus long que lui, mais aussi plus fin, je nai rien à lui envier et que nini apprécie de nous avoir en duo. Paul caresse franchement lentrejambe « cela te gène ? » « Non je suis surpris mais le tableau est charmant ». Jeanne sest infiltrée une main sous le string et se doigte allégrement ; devant le tableau, jai retrouvé ma raideur et elle sen aperçoit : « je vois que tu es en forme ; nous avons envie de faire lamour avec toi ; rassure toi, ma fille nen saura rien » ses cuisses sont de plus en plus ouvertes, et Paul, ayant investi la place lui fouille le sexe ; un gargouillis traduit lhumidité de la chatte ; « tu nas pas envie de moi, ou cela te déplaît ? » « Ni lun ni lautre, bien au contraire, mais je suis votre gendre ! » « et alors » je ne sais plus quoi répondre, car devant moi, Paul vient de la mettre à poil ; je dois reconnaître que les appâts sont copieux ; ses seins sont dressées, fermes, tout en rondeur, un bon 95, une grosse auréole cerne un téton épais et tendu ; son minou est épilé, avec juste une pointe au dessus du clito ; ses lèvres quelle écarte largement sont rosées, et brillantes de cyprine ; « viens me sucer, jai envie de ta langue dans ma chatte ; hypnotisé par ses charmes, je ne résiste plus et comme un fou, je me précipite entre ses cuisses ; sa chatte sent déjà le plaisir et quand mes lèvres se posent à lentrée du temple, elles rencontrent une chatte gluante ; ma langue la fouille, au plus loin possible, venant de temps en temps lui mordre le bourgeon ; jaime sucer la chatte dune femme et je me régale, lapant ses secrétions, nettoyant dune langue vigoureuse tous les replis de ses lèvres ; je dois bien my prendre car ses gémissements emplissent la pièce ; heureusement les s dorment ; lui remontant les jambes, je lécartèle le plus possible et deux doigts pénètrent entre les lèvres ; son con est tellement dilaté que bientôt, cest trois puis quatre doigts qui la fouille « enfonce ta main, branle moi profond » ; ce nest plus ma belle mère, mais une femelle en chaleur et sans réfléchir, je pousse ma main ; un oh de douleur ou de plaisir, je ne sais , mais elle est tout en entier en elle, ; mes doigts la fouillent au fond de sa cavité ; cest la première fois que je fiste ainsi, enfoncé jusquau poignet ;et soudain elle part, un long feulement, puis un long et puissant grognement traduisent sa jouissance ; ma main baigne dans son jus et quand je me retire, un flop se produit et sa jute coule entre ses cuisses ; à nouveau, je la bois, la nettoyant jusquà la dernière goutte.
Sans aucune retenue, jouvre mon pantalon et ma queue, bandée, jaillit de son carcan ; il faut que je la prenne tellement je suis tendu ; je ne la laisse pas récupérer ; plaçant mon gland à lentrée, je la pénètre dune seule poussée ; elle est tellement dilatée par le fist que jai limpression de nager ; resserrant ses cuisses , elle menserre le sexe et ouvrant ma chemise, elle me pince les tétons « jai vu que tu aimais cela » le résultat est rapide ;une vague monte et la possédant , déchaîné, tel un fou, je lui ramone le conduit, écrasant ses seins ; mon bassin frappe ses fesses et le plaisir déferle ; je ne peux me retenir plus longtemps et mes jets lui remplissent la chatte ; je rugis, je griffe, enfoncé au plus profond ; je me vide, mais je continue à la pistonner un long moment, et ce nest que quand je débande que je la quitte.
Affalé sur le canapé, javais oublié Paul ; il est nu ,à coté de nous et la bite à la main, il se branle doucement ; dieu quil est bien monté ; une queue longue, au moins 25cm, large et épaisse ; cest la première fois que jen vois une si grosse ; les couilles lourdes pendent, encore pleine de sperme ; son gland décalotté est rouge sang ; la retournant, il la plante en levrette dune seule poussée, sans aucune retenue :
« Ben dis donc, il ta sacrément ouvert et rempli, ma queue glisse dans la jute quil ta donné » il la baratte sans retenue, excité, il continue à la questionner ; « tas aimé te faire baiser par ton gendre ? » la réponse tombe aussitôt « oui et jespère quil va remettre ça » ; comme un fou, il la défonce, poussant des cris rauques et puissants, puis à nouveau il linvective « tes comme ta fille : deux bonnes salopes qui aiment se faire défoncer par plusieurs bites » ces paroles devraient me choquer, or au contraire elles mexcitent et de nouveau je bande ; Jeanne sen aperçoit et magrippant , elle me lèche le gland avant de gober ma queue pratiquement en entier ; comme avec sa fille, cest une gorge profonde que je baise ;la chatte investie, la bouchée comblée par ma queue, ses yeux brillent ; elle prend son plaisir, sans retenue sans se poser de question ; peu importe qui la baise ;pour elle seul comptent les deux bites qui la remplissent.
« Le film, cétait la seule fois ? » Je dois reconnaître que non, « nous avons plusieurs fois organisé des soirées avec lui, (les s étant chez eux) et nini aime avoir deux hommes à sa disposition » il mest plus facile den parler maintenant
« Si jen crois les scènes, elle nest pas la seule à apprécier votre ami » je dois rougir, car il me prend la main et gentiment « rassure toi, tu nes pas le seul, moi aussi jaime le contact dune bite ». Je le regarde stupéfait « tu as fait lamour avec un mec, avec Jeanne ou seul ? » « les deux, le plus souvent devant elle, mais jai eu aussi des aventures , souvent par hasard, mais jai eu un amant pendant deux ans, » « Jeanne le savait-elle » « oui, cétait dailleurs loccasion de sacré baise à mon retour ».sa main nest pas inactive et il la promène sur ma cuisse, sarrêtant à chaque fois en bordure de ma queue « suce moi, fait moi bander, jai envie de toi, de te prendre, jai vu que tu y prenais du plaisir ; et toi as-tu envie ?. je nai pas besoin de répondre car contre sa main ma queue revit et me penchant sur lui, mes lèvres se promènent sur sa tige, parcourue de soubresauts ; elle a encore le goût de sa précédente baise ; je la parcours, alors que mes doigts jouent avec ses bourses ; me prenant la tête, il se plante entre mes lèvres et doucement se branle ; sa queue a pris du volume et brusquement je comprends que je vais déguster quand il va me sodomiser ; cette pensée mélectrise, car cest une de mes envies, avoir une grosse bite dans le fion et celle là est beaucoup plus conséquente que celle de mon ami, pourtant déjà bien membré ; je dois écarteler ma bouche pour lavaler et la totalité ne rentre pas ; mais peu importe pour lui car ce nest pas ce quil attend.
Je découvre alors que Jeanne est revenue dans le salon, et en la voyant les doigts se branlant, je comprends quelle a assisté à la scène. Elle se rapproche de nous, et se plante au dessus de moi « nettoie ma chatte et sadressant à son mari « je crois quil sera docile, à nous den profiter. Le piège venait de se refermer, et pendant le reste du séjour, ils ont fait de moi leur jouet, leur esclave devant satisfaire tous leurs caprices sexuels. Il me restais à régler un problème ; comment leur appartenir lorsque niai sera de retour, car je navais pas envie que cela cesse
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