La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°778)

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°776) - La réception des délégations étrangères au Château -

Ces deux derniers jours, j’ai bénéficié d’un attention toute particulière de la part des trois soignants : De longs massages journaliers non dénués de mains baladeuses et vicieuses sur mes parties intimes avec aussi un travail intensif de mon cul de lope avec des spéculums, des godes, des plugs de toutes tailles, ainsi que des boules de geisha insérées profondément dans mon rectum comme des perfusions scrotale étirant, distendant et assouplissant un peu plus encore mon sac. Ce matin encore couché, j’ai le ventre en feu. Un plug me pénètre et me dilate copieusement. Entre mes jambes, mes boules se noient dans une solution saline, mon sac est tellement imposant qu’il m’empêche de resserrer les cuisses… Je rêvasse tranquillement, attendant la suite du programme… Quel programme d’ailleurs ? Je n’en sais trop rien encore. Seule chose que je sache, le grand jour est arrivé… La porte de la chambre s’ouvre bruyamment. Le dévoué Majordome de Monsieur le Marquis entre en maugréant après soumise Laïs MDE, celle-ci ne semble pas marcher à quatre pattes suffisamment vite au goût de Monsieur Walter. Elle se fait fesser sans concession devant son frère et ses deux autres sœurs de soumission. En effet quelques esclaves du Cheptel MDE du Maître sont là, tenus en laisse et déambulant à quatre pattes. L’esclave Phryné MDE, soumises Cypris MDE et le chien Cyno MDE viennent de se prosterner devant le Majordome, croupes bien offertes, attendant sagement que la fessée administrée sur le cul de soumise Laïs MDE se termine. La tension est palpable ce matin. J’ai ce ressenti, Monsieur Walter semble sur des chardons ardents. Il ne laisse absolument rien passer. Les fesses de soumise Laïs MDE sont d’un rouge écarlate.

- Qu’attends-tu pour venir à mes pieds ! Me somme-t-il tout en continuant à claquer le cul de Laïs MDE.



Je descends prestement du lit, et me retrouve avec grand plaisir, en levrette, avec celui et celles qui font partie de mon entourage proche. Monsieur Walter cesse le douloureux traitement, puis nous regarde attentivement avant de prendre la parole.

- Je veux une obéissance parfaite, totale de vous cinq. Vous êtes ceux les plus asservis de tous les esclaves du Cheptel de Monsieur le Marquis. Votre soumission vous impose des devoirs et des obligations bien plus importants que tout autre esclave au service du Maître. Je serai intransigeant, vous serez exemplaires.

Les choses sont dites, nous laissant guère d’autres choix que de respecter strictement les ordres fixés.

- Vous le savez, vous n’êtes que des chiens et chiennes à disposition, vous n’êtes faits que pour obéir, servir et vous laisser posséder. Toute dérive, tout manquement de votre part sera très sévèrement puni. Je vous veux d’une exemplarité sans nom. Suis-je clair ?

Ensemble et d’une seule voix, nous répondons :

- Oui Monsieur le Majordome !

Une main me caresse le cul, glisse entre mes jambes, soupèse mon volumineux et lourd paquet.

- Toi Endymion MDE, plus que tous, tu vas devoir exprimer ta fierté d’appartenir. Tu vas devoir affronter cette compétition internationale voulue par Monsieur le Marquis. Tu as été choisi pour être le compétiteur de l’ensemble des épreuves, tu dois, tu entends bien, TU DOIS te surpasser, t’imposer, exceller car tu représentes en cela plusieurs choses : Tout d’abord, en tant que concurrent choisi aux épreuves, tu es le représentant de Monsieur le Marquis d’Evans, de Sa Noble Famille d’Evans et de Ses Armoiries. Ensuite dans ces J.O. de la Domination/soumission, tu représentes aussi la France, notre beau pays... et donc tu représentes également toute la communauté nationale de notre monde de la D/s… Les entrainements que nous t’avons donné au cours de ces trois derniers mois t’ont apporté une excellente forme physique et mentale, tu as été préparé correctement, en aucun cas, tu entends, en aucun cas, j’admettrai une quelconque faiblesse.


Monsieur le Majordome me met une terrible pression sur mes humbles épaules. Saurai-je relever le défi ? Etre à la hauteur des attentes que l’on m’assigné ? Saurai-je faire honneur tout d’abord au Vénéré Maître ? Et représenter avec brio, mon pays et son monde national si particulier de la Domination/soumission française ?... L’esclave Phryné subitement se met à gémir, Je ne comprends pas vraiment pourquoi, seule chose que j’arrive à cerner, ces plaintes expriment du plaisir. Je lève un peu la tête et les yeux et les rebaissent aussitôt. Monsieur le Marquis est là parmi nous. Je ne l’ai pas entendu arriver. Ces doigts fouillent la chatte de celle qui s’offre

- Allons ma belle Phryné MDE, un peu de retenue, contente-toi de mouiller sans bruit ! Intime-t-Il

Celle-ci se tait immédiatement. Seul son corps trahit son plaisir. Elle frémit, sursaute, s’écarte pour mieux laisser à disposition cette partie de son corps.

- Je sais qu’Endymion MDE ne me décevra pas. Je le sais partant gagnant. Mais ne perdons pas de temps, le grand jour est arrivé. Nous devons tous nous préparer. Dans deux heures seulement, Mes convives et leurs compétiteurs arriveront du monde entier, reprend le Maître tout en faisant glisser ces doigts dans le vagin de celle prise de terribles soubresauts !

Monsieur Walter nous ordonne de tous nous redresser et de nous tenir à genoux, seule Phryné MDE reste prosternée en levrette. Le Maître me regarde et m’interpelle.

- Viens près de moi Endymion MDE, à quatre pattes, vient poser ta langue sur cette vulve dégoulinante, viens boire ce jus intime et vitaminé, il te fera grand bien…

Pendant de longues minutes, ma langue pénètre les fragiles lèvres intimes tenues écartées par le Maître, et lorsque je la fait pénétrer dans ce conduit chaud et plus qu’humide, Phryné MDE subitement s’extasie.

- Oh Vénéré Maître, je vais…
- Tu vas ?
- Je vais jouir Maître, par pitié.
.. s’il vous plait autorisez-moi l’orgasme.

Pour toute réponse, Monsieur le Marquis, sous mes yeux, presse, pince et branle le clitoris de Sa femelle MDE docile. Sans retenue celle-ci se déhanche, son corps désespéré cherche à retenir cet incontrôlable plaisir jouissif

- Vas-y ma belle, lâche-toi et abreuve ton frère assoiffé…

Dans la seconde qui suit, telle une débâcle, l’esclave Phryné MDE, à bout de souffle, prise de terribles tremblements incontrôlables, rugissant de plaisir, en femme fontaine, se libère en expulsant tel un geyser vivant une quantité impressionnante de liquide incolore et inodore, m’inondant bouche mais aussi visage et chevelure. Son plaisir vient de s’exprimer avec une force terrible, contrariant les idées préconçues de l’homme pénétrant et jaillissant et de la femme, intérieure et mystérieuse… Un moment après, nous nous dirigeons vers l’extérieur. Que de monde déjà ici installé. En effet, tenu en laisse, à quatre pattes et tenu fermement par le Maître, j’avance encore de quelques pas sur le vaste et large perron du Château. Je n’en même pas large. Monsieur le Marquis, en costume léger, gris clair, se fige droit et imposant, exprimant tout son charisme naturel, il en impose par sa Noble présence ! Il reste là, jette un regard altier sur l’environnement proche. A droite, le regard dominant de Monsieur Walter immobile, il est dans sa tenue impeccable de Majordome et regarde ci et là, si rien ne cloche. La tête haute, se tient à ses côtés, Madame Marie. Jupe ample et rose fuchsia, un chemisier blanc, mange courte, campée sur des escarpins à talon haut, elle porte un regard attendrissant sur Celui qu’elle admire depuis toujours ou presque. Près d’elle encore, David l’amant de Monsieur le Marquis, très élégamment vêtu se dandine légèrement. Sur la gauche, sont installés parfaitement alignés, l’ensemble des gardes de l’ancestrale Demeure. Tous vêtus d’une tenue identique, chemise bleue claire cintrée, pantalon moulant bleu marine, des rangers aux pieds et pourvu d’une cravache pendant le long de leur jambes droites, attachée à leur ceinturon, ils restent stoïques et impassibles.
A leurs pieds, tout le Cheptel MDE : D’abord l’esclave Phryné MDE, les soumises Laïs et Cypris MDE et le chien mâle Cyno MDE, se tiennent à genoux, fessiers posés sur leur talon, paumes de mains, tournées vers le ciel et posées sur leurs cuisses largement ouvertes . Une paire de pinces japonaises leur mord les tétons. Les trois femelles MDE portent un plug ancré dans leur vagin, le mâle Cyno MDE, lui, en tient un dans son cul. En contrebas et sur les côtés de chacune des marches conduisant sur l’allée, une longue haie d’honneur formée par des esclaves mâles et femelles. Ils se tiennent bien alignés en levrette, culs encombrés de plugs aux Armoiries de Monsieur le Marquis d’Evans. Ils forment ainsi une haie d’honneur de toute beauté !

Juste avant l’arrivée de la première voiture annoncée, Monsieur le Marquis d’un claquement de doigts, exige et ordonne. Un garde se précipite, tenant en main un petit dau au couleur de la France. Je ne comprends pas immédiatement que ce dau m’est destiné… Fixé en équerre à quatre-vingt-dix degrés sur un plug épais, l’objet m’est carré dans le cul sans préambule. La poussée est autant brutale que jouissive. Je crains un instant jouir, juste par cette pénétration outrageuse… Ma queue libérée de toute entrave s’est redressée spontanément et perle abondamment. Le souffle court, je ne contrôle pas un petit cri d’extase. Mais très vite, la laisse tenue par le Maître se tend autoritairement. Je me ressaisis rapidement juste avant qu’une luxueuse et longue berline noire aux vitres teintées, immatriculée en Allemagne stoppe devant les marches conduisant au perron. Le chauffeur parfaitement vêtu descend et se précipite vers la portière arrière gauche du véhicule en ôtant sa casquette pour ouvrir cette porte. Je reconnais immédiatement Monsieur Karl, ce Jeune et fougueux Dominant connu en Suisse qui en descend. A pas lents et solennels, le buste droit, il monte les marches tel un acteur qui monterait les marches du festival de Cannes, pour rejoindre le perron, puis salue cordialement Monsieur le Marquis d’une chaleureuse poignée de mains. Pendant ce temps, Son esclave est extirpé du coffre du véhicule. Lui aussi, tient entre ses fesses un gode sur lequel est arrimé le Dau de l’Allemagne. Un petit échange courtois entre les deux Dominants s’engage jusqu’au moment où Walter intervient poliment.

- Si Monsieur Karl, veut bien me suivre.

Une franche et longue poignée de mains entre Karl et le Maître est de nouveau effectuée pour une photo prise par le soumis Jérome MDE qui est photographe de métier et qui a été désigné pour couvrir entièrement l’évènement par ses excellentes qualités professionnelles.

- A toute à l’heure, nous nous retrouvons d’ici peu, mon cher ami, lui dit respectueusement le Maître avant que Monsieur Karl ne suive le Majordome.

L’esclave de Karl est approché et positionné près du Cheptel MDE, il reste à quatre pattes, dau arrimé dans son cul et patiente sagement… Suivra un incessant cortège de véhicules qui défilent alors dans la cour gravillonnée. A chaque fois, le même rituel, à ceci près, que lorsqu’une Domina descend du véhicule, le Maître, et par la force des choses je l’accompagne, descend avec une élégante politesse, les marches du perron pour accueillir Celle qui arrive au bas des escaliers. Embrassade ou poli baise main, selon si Celle présente, est bien connue ou un peu moins par le Maître. Moi, sans distinction, je dois poser un baiser sur chacune de leurs chaussures. Pendant plus d’une heure, les véhicules se succèdent à moins de trois minutes d’intervalle. Je suis déjà éreinté… Pauvre de nous… à quoi ressemblons nous tous attifés de nos plugs sur lesquels sont fixés les daux de chacun de nos pays d’origine. Des photos de « famille » sont faites par soumis Jérome MDE, de face, de profils, par derrière, des gros plans, des contre plongés… Voilà qui annonce de bien humiliants rendez-vous. Je ne pense pas si bien dire. Alors que l’ensemble des Dominants sont arrivés, nous les esclaves compétiteurs sommes emmenés, toujours à quatre pattes dans la grande grange (qui a été préalablement nettoyée de fond en combles) à proximité des communs. Encadrés par les Gardes du Château, nous pénétrons dans cette enceinte donc et aussi entièrement refaite à neuf et sommes parqués au centre du bâtiment, dans une pièce éclairée par des velux. Il y fait chaud, très chaud ! En levant les yeux, je constate qu’un balcon surplombant le vaste local, formant une mezzanine, a été solidement fabriqué en s’adossant aux quatre murs de la grange.

- Présentez vos culs, les putains ! hurle subitement un garde.

Nous nous positionnons tous en levrette, mains écartant nos fesses. Alors qu’on nous enlève les objets ancrés profondément en nous, les Maîtresses et Maîtres internationaux s’installent sur les balcons. Toujours dans la même posture, cul libéré de cet engin dévastateur, j’entends des enceintes qui grésillent, une voix dans un micro répétant sans cesse : un, deux ! Un infernal brouhaha s’est installé ici. Soudainement le calme revient. Monsieur le Marquis, debout face au micro interpelle son auditoire avec une prestance hors norme, une voix claire et solennelle :

- Mesdames, Messieurs, Chers Dominantes ou Dominants, Chers Maîtresses ou Maîtres venus du monde entier, soyez les bienvenues dans ma Noble Demeure, soyez les bienvenus en France ! Vous ne pouvez pas savoir comme je suis fier et heureux de vous accueillir ici, aujourd’hui, dans ce doux et merveilleux Beaujolais. Vous ne pouvez pas me rendre plus honoré de votre présence. Permettez-moi aussi de saluer ces chiennes et chiens ici bas, prosternés, je leur souhaite à eux aussi la bienvenue. Ils vont concourir pour notre plus grand plaisir, ils vont être amenés à se surpasser, à se donner à combattre dans un esprit serein et apaisé de saine sportivité. Ils vont être conduits à l’outrage et à de bien perverses situations. Je les encourage toutes et tous à vivre intensément ce que nous allons exiger d’eux, je les encourage à nous montrer leur détermination, leur volonté, leur désir de satisfaire aux exigences de ceux les Dominants et que les meilleurs gagnent ! Bonne chance à tous !

Monsieur le Marquis est obligé de s’interrompre par les nombreux et sonores applaudissements.

- Le premier effort que nous avons exigé d’eux a été cette frustration sexuelle que nous leur avons imposés à toutes et tous depuis notre dernière rencontre préparatoire, en Suisse chez notre ami Armand. Aucune de ces chiennes, aucun de ces chiens n’a joui depuis notre rencontre. Nous les avons contraint à la parfaite abstinence. Alors, pour les encourager et peut-être même les remercier de leurs efforts, en marque de bienvenue, et comme nous nous en sommes tous convenus nous allons les autoriser à prendre du plaisir entre eux, à copuler ensemble et à jouir autant qu’ils le voudront, pendant une heure de temps. Pour notre bien-être, pour notre plaisir, nous allons tous les regarder partouzer et s’afficher sans pudeur ni honte en se fourrant et se baisant copieusement. Les règles du jeu sont simples, les pratiques hétérosexuelles et homosexuelles sont autorisées, l’outrage vivement conseillé...

Monsieur le Marquis reçoit une véritable ovation… des hourras retentissent de partout.

- Juste une dernière chose encore, Mes gardes resteront près de ces chiennes et chiens et seront autorisés à punir sévèrement, celles ou ceux ne baisant pas suffisamment...

(A suivre…)

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