Madame Besson

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Chapitre 1
Le piège
Mme Besson est assise à son bureau et corrige les devoirs d’élèves de terminale et en cette fin de semaine elle n’est pas pressée de rentrer chez elle. Elle est mariée depuis 14 ans à Gabriel, un militaire de carrière qui est souvent absent pour de longues périodes et cette fin de semaine, en mission, il ne sera pas là pour plusieurs semaines.
Son statut lui permet de disposer de beaucoup de temps libre et sans , Mme Besson se retrouve fréquemment seule le week-end.
Mme Besson est vraiment une jeune femme charmante, sensuelle et magnétique, avec des cheveux blonds, des yeux scintillants, quelques taches de rousseurs discrètes, une jolie bouche, de jolis seins fermes, une taille fine qui met en met valeur ses jolies fesses, souvent moulées dans une jupe élégante. Même si elle s’en défend, Mme Besson sous ses airs bourgeois, est bon chic bon genre.
Elle porte ce jour-là, un décolleté qui laisse deviner le sillon de la naissance de ses seins, sur une jupe ample et des chaussures à petits talons. À 35 ans elle entretient son corps avec régularité. Elle est fière de ses 45 kg pour 1 m 68, mince, avec une superbe poitrine (95 C) qui attirait les regards, même si elle ne faisait rien pour cela. Ses jambes longues sont bien galbées et lorsqu'elle marche, ses hanches harmonieuses roulent déplaçant la croupe charnue en un balancement rythmique. Mme Besson sortit de ses pensées en entendant un coup à la porte. Elle vit entrer Léa Fournier, l'une de ses élèves de classes terminales. À 19 ans Léa est une élève intellectuellement brillante, un beau brin de fille gratifié d’un très joli corps. Mais en raison d’une attitude souvent arrogante, elle est souvent seule.
— Rentre Léa, mais je n’ai pas encore fini la correction de vos devoirs.
— Ce n’est pas ce pour quoi je suis là Mme Besson. Il y a quelque chose que je voudrais vous montrer.


— Bien sûr Léa, qu’est-ce ?
— J’ai fait du rangement dans les archives en vrac du collège et regardez ce que j’ai trouvé...
Léa chercha dans son sac et tendit un vieux magazine à sa prof. Mme Besson fut suffoqué, elle avait reconnu le journal un peu vulgaire... C’était un journal de nus de la fin des années 90 et Mme Besson avait toujours pensé que les traces de ce mauvais souvenir avaient disparu.
Léa ouvrit le magazine à la page central, on y voyait Mme Besson dévoilant complètement ses charmes, sans pudeur. Mme Besson avait posé nue, il y avait des années dans le collège, dans cette même classe pour des photos plus qu’érotiques. Elle avait alors de gros besoins d’argent et avait espéré que personne ne le saurait. Mme Besson essaya de se calmer et avala sa salive.
— C’est bien vieux Léa et je ne suis pas fière de ce que j’ai fait, mais j’avais besoin d’argent pour terminer mes études, laissons cela, laissons le passé où il est. Léa reprit le magazine.
— Je ne pense pas comme vous Mme Besson. Il faut que nous parlions.
— Allez fermer la porte Mme Besson, c’est un ordre ! dit-elle sèchement.
Un peu agacée par le ton de son élève, Mme Besson se leva et alla fermer la porte le plus calmement possible.
— À clef Mme Besson, je ne veux pas être dérangée !
Dit Léa d’une voix forte en s’asseyant sur la chaise de sa prof derrière le bureau.
Dès la porte close Mme Besson se retourna et vit Léa à sa place. Elle alla donc s’asseoir au premier rang des élèves.
Ce qu’elle voyait sur le visage de Léa ne semblait pas encourageant.
— Allez devant le tableau Mme Besson.
— Je peux m’asseoir ici Léa.
— J’ai dit devant le tableau Mme Besson ! Dit-elle d’un ton ferme.
En prise aux doutes, Mme Besson se dirigea sur l’estrade, fit face à son élève, assise dans le fauteuil de l’enseignante… ce n’était pas une position confortable pour une prof... les rôles était inversés.
— Aimez-vous enseigner ici Mme Besson ?
— Oui Léa, j’aime enseigner ici.

— Vous comprenez ce qui arriverait si ces photos étaient connues de tous ?
— C’est très improbable quand même,
— Voulez-vous que votre mari les voit ? Demanda Léa en montrant les photos.
— Non, dit Mme Besson prenant conscience de sa situation extrêmement vulnérable.
— Bien Mme Besson, voilà, écoutez bien ce que je vais vous dire,
— Désormais vous ferez tout et je dis bien TOUT ce que je vous ordonnerai. Si vous refusez ou si n’obéissez pas parfaitement à mes ordres, demandez-vous ce qu’il peut se passer ?
Plus de travail,
Un couple difficile à maintenir,
— Que voulez-vous Léa ? Dit Mme Besson blafarde et d’une voix tremblante.
— Vous, répliqua calmement Léa.
-— Je veux que vous m’apparteniez, je veux que vous soyez mon jouet sexuel, ma soumise, ma chose, je veux que vous m’obéissiez, que vous fassiez tout ce que je vous ordonne sans poser de questions ! Désormais vous êtes mon animal de compagnie. Vous serez la femelle que je dresse pour mon plaisir, la petite chienne que je peux caresser quand il me plaît, car je vais vous dresser Mme Besson. Vous allez connaître le fouet, la trique, je vais vous fesser, vous exhiber, vous domestiquer et puis je réfléchirai à ce que je ferai de vous lorsque vous serez éduquée, une fois formée en belle salope… j'aurais toute autorité sur vous et votre joli corps, vos orifices, votre bouche, votre anus et votre sexe !
Si vous refusez ou si vous obéissez mal, ce magazine sera rendu public et diffusé dans l’établissement, à vos amis, vos parents, votre mari et à ses supérieurs. Représentez-vous leur tête à la vue de ces photos… Mais si vous acceptez, cela restera notre secret.
Mme Besson sentit ses genoux fléchir, elle ne pouvait permettre que ces photos soient rendues publiques, elle ne voulait pas voir ce journal apparaître au grand jour. Ses pensées étaient en vrac dans sa tête ne sachant comment s’en sortir, il lui faudrait obéir… pour le moment se dit-elle.
..
La voix de Mlle Fournier était douce et autoritaire en même temps, elle marquait son territoire. Mme Besson comprenait qu'elle allait devenir la soumise de Léa.
— Besson vient ici, approche ton cul !
Mme Besson voulait protester, mais les protestations restèrent dans sa tête. Elle s’est approchée de son élève… le corps, lui, était déjà soumis. Mlle Fournier a soulevé la jupe, descendu le collant et le slip, glissant à l'intérieur des doigts inquisiteurs. Mme Besson écarte docilement les cuisses pour sentir la main et l'index chercher et pénétrer son sexe.
C'était la première fois que Mme Besson se faisait caresser par une femme. Mlle Fournier la tenait excitée, proche de l'orgasme, mais sans qu’elle l'atteigne. La fouille a duré... Le doigt glisse avec facilité dans son intimité, cajole le clito. Mme Besson pantèle… Léa maîtrisait les signes annonciateurs du plaisir de Mme Besson.
— Besson, tu dois te maintenir ouverte, ouverte en permanence, ton sexe toujours à ma disposition pour être travaillé, fouillé, trifouillé, comme ton cul et ta bouche… Tu dois être à la disposition de ceux qui veulent te toucher...
dit Léa la main enveloppant toujours le sexe de Mme Besson.
— Ai-je été assez clair Besson ?
— Je ne comprends pas, dis une Mme Besson déroutée. Je suis ton prof, tu ne peux pas agir comme cela.
— Écoute Besson, je me fous de ce que tu penses, c’est très simple, si tu ne m’obéis pas, tu ne seras plus la prof de personne, ni une épouse. Tu comprends ?
— Combien de temps cela durera-t-il ? demande Mme Besson effondrée, anéantie,
— Aussi longtemps que je le voudrais Besson… le temps de mon plaisir, le temps de ton éducation, le temps de te discipliner.
— Bien ma jolie salope, commençons, entre nous, les rôles sont dorénavant inversés, désormais tu devras toujours m’appeler Mlle Fournier et me vouvoyer et je te tutoie. Sommes-nous d’accord ?
— Oui Mlle Fournier, je comprends.
Ne voulant surtout pas contrarier sa jeune élève, Mme Besson, le plaisir en suspens, acquiesça.
Léa se leva, alla vers prof qui tremblait et commença à lui tourner autour.
— Tu comprends bien que si tu me désobéis, tu es perdue ? Dit Léa en regardant sa prof dans les yeux… des yeux en pleurs.
— Oui Léa, dit Mme Besson, perdue, prise au piège de son passé. La jeune prof allait devenir une femme docile soumise et craintive.
Léa retourna derrière le bureau.
— Ouvre ton chemisier et déshabille-toi, je veux voir comment tu es foutue ! Je veux te voir à poil !
Mme Besson hésita.
— S’il vous plaît Léa, non, pas cela,
Sautant de son siège, Léa gifla violemment sa prof d’un aller et retour,
— C’est cela, ou je fais des dizaines de photocopies et tes photos seront largement diffusées ! Dépêche-toi salope !
— Besson, tu es une putain. Tu fais ce que je dis et tu le fais maintenant !
Mme Besson se sentait comme gelée, par la situation, par les mots utilisés, elle était tétanisée.
— C’est bien, dès lundi les photos seront distribuées.
Léa se dirigea vers la porte.
— Attends Léa !
Léa s’arrêta, se tourna devant sa prof tremblante.
— Oui ?
— S’il te plaît , Léa tu ne peux pas faire cela, je te donnerai de l’argent, s’il te plaît Léa, larmoya la prof en larmes.
— Eh bien au revoir Mme Besson, dit Léa calmement en allant vers la porte.
— S’il te plaît, Léa... Mlle Fournier, je vais le faire, ne partez pas, cria la prof terrifiée.
Léa s’arrêta, se retourna devant son enseignante qui s’inclinait.
— Eh bien ?
Les mains de Mme Besson se dirigèrent vers les boutons de son chemisier. Elle commença à les défaire tous et se tint droite devant son élève, le visage en feu, rouge de honte, rouge de cette humiliation,
— Enlève-le, dit Mlle Fournier en retournant au bureau.
Mme Besson enleva son chemisier et le posa sur le bureau. Elle se tenait devant son élève, se demandant jusqu’où cela irait.
— Maintenant le soutien-gorge Besson !…
Mme Besson enleva les agrafes et le soutien-gorge, dévoilant une poitrine généreuse avec de jolis seins fermes et opulents.
— Allez la prof, tu mets ton soutien-gorge dans la poubelle, cela fera plaisir à l’homme de ménage, c'est bon pour ses fantasmes !
Nue jusqu’à la ceinture, Mme Besson se tenait, les bras le long du corps devant sa jeune élève. Elle se sentait horriblement dérangée, comment avait-elle pu se retrouver dans une telle situation... pourquoi avait-elle accepté de poser pour ces photos et dans ce collège ?
— Maintenant, Besson, je veux que tu poses ta jupe sur le bureau.
Sans plus réfléchir, Mme Besson ouvrit sa jupe, la laissa glisser sur le sol puis la posa sur le bureau.
— Bien Besson, bien, maintenant enlève immédiatement ces saloperies, collants, culotte et hop poubelle !
Mme Besson enleva ses collants et sa culotte et se tenait maintenant, debout, nue, devant son élève de 18 ans... Elle cherchait, mais ne voyait pas comment se sortir de ce piège et… quelle serait la suite ?
— Met tes mains dans le dos, tiens-toi droite pour mettre tes seins en valeur !
Léa sortit son téléphone !
Photo !
Léa se leva et fit le tour de sa prof pétrifiée par cette déchéance et lui pinça un téton.
— Ils sont en érection, tu aimes donc cela Besson ?
Mme Besson garda le silence, elle se sentait très excitée mais ne voulait pas l’admettre. Léa pinça plus fort la pointe des seins jusqu’à ce que Mme Besson gémisse.
— Réponds-moi, Besson,
— Non, je n’aime pas cela, répondit-elle.
Bien qu’elle dise ne pas aimer cela, elle se sentait inexplicablement excitée par ce traitement et elle sentait son sexe s’humidifier. Léa relâcha les seins de Mme Besson.
Photo !
— Je pense que tu me mens Besson et tu seras battue pour cela. Tu ne dois jamais me mentir. Sans ton mari, j’ai tout le temps pour commencer ta formation ce weekend.
Mme Besson fut terrifiée parce qu’elle entendait.
— Maintenant allonge toi, le dos sur le bureau mon animal et ouvre en grand les cuisses,
— Ne voulant pas provoquer la colère de Mlle Fournier, immédiatement, rouge de cette dégradation, Mme Besson nue s’allonge sur le dos en écartant largement ses cuisses qu’elle tenait de ses mains pour les maintenir bien relevées… dévoilant ainsi son sexe accueillant, la pointe de ses seins est dure et tendue.
Je vais t’apprendre à obéir aux règles que tu devras observer, devant moi ou les autres Maîtres, Maîtresses que tu rencontreras, à chaque fois que l'on s’approche de toi, tu dois te mettre à genoux, la tête baissée, les mains sur la nuque, tes cuisses largement ouvertes pour montrer que l’ensemble de ton corps est accessible au plaisir,
— Depuis longtemps je veux te voir jouir… alors je vais mettre dans ta chatte de salope une belle bite vibrante…
Léa sort de son sac un vibro le graissa avec du gel, qu’elle emboita sur un long manche, elle étira sa main pour mettre le vibrateur en marche avant de le pousser pour bien l’enfourner sans façon dans le sexe de Mme Besson déjà luisant, Léa regarde Mme Besson se trémousser en proie à cet orgasme , elle explose de jouissance, sa mouille dégouline sur ses cuisses agitées de soubresauts… Couverte de sueur, abattue, elle a joui et regarde terrifiée Mlle Fournier,
— C’est bien, tu es un bon animal, c'est une jolie performance, tu promets. Bon, maintenant tu remets ton chemisier, ta jupe et tes chaussures, tu laisses deux boutons ouverts de ton chemisier et tu me suis.
Habillée ainsi, Mme Besson se sentait encore plus vulnérable. Nue sous son chemisier elle sentait ses tétons en érection danser sous le tissu et cela la blessait. Le courant d’air qui caressait ses cuisses et son sexe nu sous sa jupe la déroutait...
Les deux femmes se dirigèrent vers la sortie…
Elles allaient commencer une nouvelle aventure...

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