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Ce qui mexcite le plus, ce ne sont pas les encouragements de Lili à son amant Jules. Ma fureur dêtre ravalé au rang de mari cocu, aurait surtout tendance à me faire baisser pavillon. Mon orgueil de mâle est atteint parce que je suis trompé et parce que je ne my attendais pas : ma verge est en berne. A lentendre Lili maime, Lili veut continuer à partager ma vie. La brèche de ladultère du vendredi après-midi ne la perturbe pas : ce sera une exception en faveur de mon meilleur ami. Si je comprends bien, pour Lili cela ne constitue pas un adultère ! Elle ne voit rien de choquant, cela se passe entre amis, presque en famille. La relation cependant doit rester secrète ! Cherchez l'erreur. Nest-ce pas le signe que sa conscience nest pas aussi tranquille quil y paraît ? Elle me garde une exclusivité relative durant le reste de la semaine. Cette annonce étouffe chez elle déventuels remords; comme est vertueux à ses yeux le choix de mon meilleur ami en qualité damant.
Ainsi Lili est-elle à laise au moment de se donner au mari de Suzon. Le traître exploite au mieux notre lien damitié ancienne et il se jette à lassaut du corps de ma femme, peu soucieux dêtre marié ou de trahir notre longue amitié. Puisque cette femme linvite à copuler, il la pénètre et cela sentend , il marche sur tous les principes sans vergogne, il saisit loccasion offerte bien que cette relation doive se limiter à un rapport sexuel par semaine. « Cest toujours ça de pris » estime-t-il.
Je conserve certes une exclusivité partielle du corps et du cur de sa femme, en dehors du rendez-vous hebdomadaire du vendredi, accordé par Lili à mon meilleur ami . Quoi ? Etre le préféré de ma femme, mais devoir partager sentiments et amour physique avec un homme marié sans respect pour ses liens damitié anciens, cela me répugne et me révolte. Il en serait de même pour nimporte quel autre dailleurs, cette trahison ne me convient pas du tout.
Dans ma chambre les amants sunissent, ladultère, après le 69, est consommé par pénétration. Intervenir un peu plutôt ou un peu plus tard na plus grande importance; désormais : il sera toujours trop tard. mes cornes sont plantées sur mon front à jamais. Lili a fait un choix, elle assumera, je naccepterai pas ses arguments. Garder le secret, aller jusquà faire lamour avec moi juste avant de recevoir Jules pour forniquer avec lui et taire à son amant quelle sort de mes bras couverte de mon sperme relève dun goût très fort pour une culture perverse du secret. Or quelle confiance lui accorder à lavenir quand on découvre soudain ce désordre mental?
A cet instant de désarroi, de colère et de désespoir, je suis nu en face de Suzon nue, si bellement nue. Je suis décidé à suivre ses recommandations, non que jespère regagner Lili, mais parce que Suzon minspire confiance, elle; aussi parce quelle a souhaité me donner de lamour. Nous nous aimions, il y a des années, nous nous étions livrés à des jeux dados, de découverte de nos corps en devenir, mais nous ne nous étions jamais retrouvés complètement nus en face à face. Il aura fallu linfidélité de nos conjoints pour connaître cette situation exceptionnelle. Tout ce contexte et sa façon gentille de me rappeler le passé ont vaincu ma retenue naturelle et mont mis en érection. Suzon, femme mûre, est belle, si désirable. Son corps nu mérite toute mon attention. Elle me regarde avec attendrissement admirer ses seins, la minceur de sa taille au-dessus du rebond des hanches ou encore la touffe qui abrite son sexe.
Elle sait que ce nest pas le moment de céder à la tentation de sétreindre et de sunir, à cette tentation violente qui fait dresser ma verge ou quelle a ressentie lorsquelle a quémandé, dans un élan damour, la promesse de nous aimer charnellement.
Le mouvement gracieux des jambes et des fesses qui dansent devant moi, les gémissements amoureux des deux autres sur mon lit, me font perdre la tête. J'arrive à mi escalier, un mouvement réflexe, incontrôlable, porte ma main entre les cuisses de mon alliée, sur la vulve de Suzon et bloque notre progression. Ce mouvement devrait la surprendre, pourrait lui arracher un cri. Suzon pose son pied, se tourne vers moi, me montre un visage radieux. Je parierais quelle attendait ou espérait mon égarement. Un index barre ses lèvres, des étoiles traversent son regard heureux. Elle me fait « gare, gare » de lindex et attend que son calme et son autorité affichée délivre son sexe de lemprise de ma main folle. Jai compris, je retire mon majeur des chairs humides où il sétait introduit. De la tête elle me fait signe de continuer à monter. La croupe devant moi reprend son merveilleux manège. Ma verge est douloureuse.
Entre la dernière marche et la porte de la chambre la surface sur le palier peut difficilement accueillir deux personnes. Suzon sarrête, je la rejoins si bien que mes côtes se collent à ses omoplates, mon nombril rencontre sa colonne vertébrale et ma verge dure se plaque dans la raie entre les fesses provocatrices. Mes mains saccrochent aux deux seins. Mais ce nest pas complètement pour assurer mon équilibre, je me tiens et je caresse. Suzon maîtrise ses frissons, tourne la tête, me sourit canaille et me vole un rapide baiser.
Nous voilà tout près des amants. Lili halète de plus en plus vite. Jules est à leffort, le sommier bat la cadence et ne ma jamais semblé aussi indiscret. Suzon se penche lentement afin dévaluer lavancement du rapport sexuel. Sa tête avance, sa croupe recule. Je pourrais redescendre dune marche.
- Elle sur le dos, Jules , missionnaire, lime vite, ce sera bientôt fini. Cest du morse !
Jai du mal à entendre ses paroles car la passion qui unit les amants devient bruyante. Aux grognements de lhomme répondent les gémissements plaintifs qui accompagnent lorgasme de ma femme. Le silence succède à lemballement final. Les respirations sapaisent et Jules joue classique :
- Alors, heureuse ?
Plus éprouvée par la charge, Lili tarde à répondre:
- Cétait fameux. Je ne me suis pas trompée, tu es un bon coup. Je tembrasse.
- Merci. Alors jai réussi mon examen de passage ?
- Oui, je tembaucherai vraisemblablement en contrat à durée indéterminée, à condition que tu restes performant. Reviens tous les vendredis, ne te mêle pas de trouver le pourquoi de lhonneur que je te fais si tu veux garder lemploi.
- Quel bonheur. Mon rêve saccomplit.
- Cest un bon début. Passe-moi la serviette qui est sur la chaise, ou plutôt, essuie le sperme qui sort, fuit mon vagin et qui coule dans ma raie. A lavenir il faudra penser à amener des préservatifs. Je ne tiens pas à me retrouver en cloque aussitôt après un accouchement.
- Daccord, je pensais en emprunter à Jean. Je nen ai pas trouvé dans le tiroir de sa table de nuit. Il nen met pas ou il se retire à chaque fois? Ce doit être frustrant pour lui et principalement pour toi de pratiquer le coït interrompu. En se retirant avant déjaculer pour éviter un petit, il peut ne pas te faire jouir certaines fois. Hein ?
- Tu as limagination féconde. Tu aurais dû imaginer que tu aurais besoin dune protection. Jaurais apprécié la précaution. Mais une fois encore, baise et ne réfléchis pas trop ou tu ne dureras pas.
Suzon me murmure :
- Lili na rien à craindre, Jules nest pas impuissant, il est stérile: il assure avec ses muscles, fait illusion, mais cela fait sept ans quil me fait jouir et reste incapable de me faire un . Il est surtout fort en gueule et il paiera sa dette un jour. Toi au moins tu as fait ta fille.
- Je le croyais jusquà ce jour. Je suis moins sûr aujourdhui dêtre son père. Qui me prouvera que jassiste actuellement au premier écart de ma salope ? Combien dautres ont pu coucher avec elle.
Jules joue à lexpert :
- En baise, tu es comme un diesel, je viens de le constater. Tu démarres lentement, tu montes en régime, tu ronronnes longtemps avant de finir en puissance. Cest la raison de ma présence, nest-ce pas ? Monsieur ne veut pas tengrosser, se retire trop tôt et te laisse sur ta faim. Tu as joui si fort avec moi. Cest autre chose, qualité garantie. Tu tes rattrapée aujourdhui, hein ma cochonne. Ça te manquait daller jusquau bout. Compte sur moi, tu seras heureuse !
- Merci, mais essuie-moi. Ma relation avec Jean est du domaine de lintime. Ne sois pas indiscret, ne cherche pas à en savoir davantage, tu me fâcherais. Mon mari et moi nous entendons. Mais, pour toi, pas de capote égalera pas de baise, tu comprends ?
- Ne ten fais pas, dans une semaine jaurai des capotes et je te donnerai tout le plaisir que tu mérites. Tu reconnaîtras que je suis le meilleur. Jean est en péril.
- Pourquoi comparer sans cesse. Cest une manie à perdre. Prends ce que je te donne. Hé ! Tu es bon, mais jespère que ce nest pas terminé pour cet après-midi. Nous avons encore du temps avant le retour de Jean. Tu es fort, tu sais ty prendre, es-tu assez endurant pour répondre à la demande ? Cela reste à prouver. Tiens, jai acheté une boîte de préservatifs, des moyens, ils doivent correspondre à ta pointure. Viens, je ten enfile un.
- Une taille moyenne, est-ce suffisant ?
- Quel prétentieux ! Tu es normal, mon ami. Pour une fois tu as tort de te prendre pour un éléphant et, puisque tu aimes les comparaisons, sache que Jean est légèrement mieux membré que toi. Ne te désole pas, limportant est de savoir se servir de son outil.
- Ah ! Tu admets mon adresse. Jean est donc maladroit.
- Jean est très habile également. Assez ergoté ! Présente ton instrument
.Bien , tu vois tu as dans le tube toute la place nécessaire à un développement. Couche-toi sur le dos et laisse-moi mener la course. Jai acquis avec mon mari de quoi te requinquer. Tiens-toi droit. Prêt ?
Joccupe dans lesprit de Lili une place importante, je sers de référence. Mais ce nest pas ce qui la retient. Elle connaît certaines de mes qualités, cest insuffisant pour arrêter ladultère, cest donc inutile. De même lamitié de Jules pour moi est sans conséquence sur son comportement actuel :
Oui, prêt. Cest là, plus en arrière. Va
laisse-toi descendre, je plie mais ne romps pas. C'est délicieux, vachement bon.
Suzon reprend la position dobservatrice penchée en avant et samuse à frotter son arrière train sur mon zizi. Quelle continue comme ça et je vais plier les genoux, me placer au bon niveau et lui accorder immédiatement la faveur quelle réclamait, la pénétrer et la limer. A la première tentative, elle envoie une main vers ses arrières et dune tape méloigne de son intimité. Elle murmure:
- Lili regarde vers le chevet du lit. Attendons. Je veux faire une entrée remarquée. Lili mène un train denfer. Elle est douée. Vous devez passer du bon temps. Jules tire sur les fesses. Ta femme a un anus profond au bout dun cratère large. Vous pratiquez la sodomie ? Tu aimes ça ?
- Je ne peux pas dire, Lili la refuse.
- Tiens, comme cest étrange. Les apparences sont trompeuses alors. A voir son anus et les contours jaurais cru à une déviance assez répandue aux dires de Jules. Avec Jules elle devra se débattre pour garder sa virginité anale.. Moi je déteste me faire enculer. Jeune marié Jules a essayé une ou deux fois, ça ma fait trop mal, sans compter que jai attrapé une diarrhée carabinée ces jours là. Jules râle depuis que je le rembarre quand il tente daborder mon cul. Je suis intraitable sur le chapitre.
Tiens, dans sa précipitation,Lili a fait un bond trop grand et elle a perdu la queue de mon époux. Enfin, elle pivote, effectue un 180 degrés. Elle appuie ses mains sur les chevilles de Jules, lève son popotin au-dessus du mât et conseille
- Jules, vise bien ma fente.
Tout à coup ma femme proteste :
-Pas mon cul, Jules. Non, pas mon cul. Tu ne fais pas la différence entre une vulve et un anus ? Cest quoi ça ?
- Mon petit doigt, ne me raconte pas quil te fait mal, je lai sucé avant de le placer sur ta pastille. Il sonde ton joli cul, cherche à établir sil est accueillant.
- Ton ongle mécorche la peau. Tu tiens vraiment à me mettre un doigt ? Jure-moi que tu arrêteras de lenfoncer si je le demande. Ça glissera mieux avec une goutte de cyprine. Jai peur
- Je jure de ne pas insister en cas de douleur. Fais-moi plaisir. Mais quest-ce que vous avez toutes ? Qui vous a mis dans la tête que la sodomie est contre nature ? Tu es comme Suzon. Je te croyais plus libérée que ma paysanne. Jean ne te prend jamais par derrière ? Ce nest pas croyable ce que vous êtes arriérés.
- Exceptionnellement je veux bien tenter laventure. Parce que cest toi. Oh ! Comme cest drôle.
- Oui, mais ça passe. Tu ne dis rien, tu supportes bien, bravo? Pourtant tu as deux doigts maintenant. Alors rends-toi à lévidence, ton sphincter est souple, tu es prédisposée à devenir la grande prêtresse de la sodomie. Ah ! Quel cul !
- Ce nest pas possible. Cest moins pénible que prévu. Cest permis ?
- Pas par ton curé. Mais cest recommandé pour cimenter les couples. Ce nest pas douloureux quand on na pas de prévention. Veux-tu essayer avec ma pine ? Je garde le préservatif chargé de ton jus quoique tu ne coures aucun risque de grossesse. Ma tige va passer comme une lettre à la poste dans ton intestin.
- Tu me fais faire nimporte quoi. grand fou. Essayons. Voilà, tu auras un avantage sur Jean, celui de mavoir persuadée que javais des dispositions naturelles pour admettre des sexes masculins dans mon derrière.
- Des ? Ho, combien ? Ce sera ma concession, à la rigueur jadmettrai que Jean y fasse parfois une incursion lorsque tu le souhaiteras.
Jules parle en maître.
- Descends tes fesses. Tout droit. Tu me sens ouvrir ta petite porte ? Doucement, laisse ton poids te porter vers le bas, cool.
- Oh ! Aïe. Va doucement. Pas douloureux as-tu dit. Hum... Cest gênant.
- La première fois cest parfois difficile, mais pas insurmontable. Tu arrives au bout, mon engin a disparu dans ton trou. Ne bouge pas, habitue-toi à sa présence. Dans deux minutes tu te mettras mécaniquement en mouvement, tu monteras et descendras le long de ma colonne et le plaisir te terrassera.
- Pourvu que tu dises vrai. Merci, tu as su me rassurer. Ce soir je ferai plaisir à Jean, il sera étonné de me sentir membrocher sur lui. Pousse mes fesses vers le haut, aide-moi à décoller. On recommence. Tu me soulèves puis je retombe. Cest moyennement bon.
- Ce sera meilleur après plusieurs séances. Fais le mouvement sans mon aide, lève bien ton joli cul. Pour accélérer léclosion du plaisir, je te frotte le clitoris.
- Pas trop fort ou je vais jouir trop vite. Cest ça, jouir du cul ?
- Tu as connu le vocabulaire avant la pratique. Garde ton souffle, avance au trot. Oui, encore, au trot
au trot
au galop.
Suzon me regarde pâlir de rage, hoche la tête et commente :
- Il la ensorcelée. Il te suffira désormais de vouloir et tout te sera permis. Il y a du bon dans cette expérience. A toi de savoir en cueillir les fruits. Il est temps de me montrer. Courage, observe attentivement la suite. Sois patient je tappellerai quand je jugerai le moment venu. Rince-toi lil, cest gratuit; mais ne te montre pas trop vite, tu ferais échouer mon stratagème.
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