La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°780)

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°778) - Orgie et service à table - 1/2 -

Le top départ vient d’être donné, Monsieur le Marquis exige :

- Baisez-vous, je le veux et l’exige, vous n’êtes que des salopes avec la seule raison d’être utilisés à Notre service, alors comportez-vous comme telles, une heure de temps, pour Notre plus grand plaisir !

Je reste hébété, comme sonné… ma queue est raide certes, mais je suis incapable de prendre la moindre initiative, tant je suis habitué à me laisser conduire. Je ne suis pas le seul d’ailleurs, beaucoup d’entre nous restons comme figés, empruntés, sidérés. Pourtant, quelques couples se sont déjà enlacés voluptueusement. Les mains parcours les corps et branlent ce qui s’offre à elles, un clito offert, un téton érigé, une queue trop en vue. Je jette un œil sur ma droite, deux soumises se donnent en spectacle, sans gêne ni pudeur, elles se masturbent debout au milieu de nous tous, avec une indécence démesurée. Très chaudes l’une et l’autre, elles se laissent admirer dans un ballet bien plus puissant que tout film porno, car naturel et d’une prodigieuse sensualité. Elles s’offrent par obligation mais aussi et surtout par plaisir. Mais un juste retour à la réalité, un coup de cravache me cingle l’épaule droite. Un garde est là, me rappelant à l’ordre :

- Qu’attends-tu pour satisfaire aux ordres de Monsieur le Marquis, grosse chienne !

Je n’ai pas d’autre choix que d’attr les jambes de cette jeune soumise asiatique, assise sur le sol près de moi. Je n’ai pas une grande attirance physique pour cette femelle aux seins menus et flasques, mais après quelques préliminaires de mes mains caressantes, lorsque je la pénètre, je la sens d’une réceptivité hors du commun par un vagin déjà fort humide. Elle est là pour prendre une queue, pour prendre du plaisir, pour jouir avec, en elle, la bite d’un mâle quel qu’il soit.

Je suis celui-là, je m’active, la pénètre, ayant la volonté de lui donner un maximum de plaisir tout en satisfaisant le mien. Je la prends en missionnaire, ma bite va et vient dans cette chatte déjà bien lubrifiée, alors qu’une paire de mains écarte mes lobes fessiers, qu’une langue se faufile et glisse sur mon trou plissé, stoppant quelque peu mes assauts effrénés. Près de moi, couchés à même le sol, des corps s’encastrent les uns dans les autres, des râles et des gémissements bruyants se font entendre… Une véritable orgie, partouse entre soumises et soumis s’instaure.

Moi aussi, je commence à gémir, cette langue cherchant à s’introduire en moi me fait frissonner de la tête aux pieds. Et puis c’est un doigt qui maintenant s’insère dans mon petit trou, qui accompagne mes mouvements tantôt lents, tantôt plus rapides. La jeune femelle m’étreint totalement, elle m’enserre les hanches de ces deux jambes tenues fermement avec ses pieds calés derrière mon dos. Soudainement, je ne sais pas par quel mystère, je me retrouve positionné sur le côté, toujours emprisonné entre ces cuisses musclées. Je reste ancré en elle, ma bite arrimée à je ne sais quoi. La femelle asiatique gémit et ruisselle de plus belle. Il me faut quelques secondes pour comprendre. Elle vient de se faire prendre par le cul, alors qu’elle tient toujours ma bite bien comprimée dans son vagin. Une double pénétration qui lui fait vite perdre pied. Deux verges tendues dans ses conduits brulant la font vibrer plus encore…

Elle se laisse ramoner, le regard perdu, tout en me dévorant la bouche. Belle et extraordinaire sensation pour moi qui lui masse son sexe tout en sentant cette autre queue la pilonner par derrière, à travers cette fine membrane entre le vagin et l’anus. Elle jouit d’un orgasme d’une incroyable puissance en hurlant son plaisir sans fin puis prestement et sans me regarder, elle se dégage de nos deux queues pour aller en chercher deux autres. Je souffle… Je souffle peu de temps ! Déjà une main a empoigné ma nouille raide et poisseuse. Celle qui me branle sauvagement, se fait prendre brutalement. Juste à côté de moi, en levrette, à chaque coup de reins, elle s’extasie dans une extraordinaire et mélodieuse complainte. Moi, impossible de geindre, je me retrouve très vite, la bouche pleine, une bite semi molle occupe ma cavité buccale, me faisant saliver outrageusement. Et lorsque cette queue a retrouvé toute sa forme et vigueur, elle me quitte pour aller s’encastrer dans un orifice grand ouvert et bien offert. La main vigoureuse n’a pas quitté ma bite, elle me branle dans une rapidité incroyable avec un dessein évident, me faire jouir au plus vite, me faire lâcher mon foutre de petit chien…

J’éjacule à cet instant ! Un jet puissant de foutre abondant, allant tomber sur une jambe nue d’une autre femelle, se faisant besogner copieusement. Le mâle qui la prend, ne fait pas attention, il continue de se vider à l’intérieur du corps de cette belle esclave noire ébène. Elle, étale ma semence sur toute la partie de sa jambe comme si elle voulait en être recouverte. La grosse bite juteuse, quitte son minou, elle, découvre sa chatte ruisselante, ses jambes toutes brillantes et inondées. Mais déjà me voila chaviré, renversé, le cul en l’air, les cuisses écartées. Au même moment, deux queues affamées cherchent à s’introduire entre mes fesses. Une vraie compétition, à celui qui pourra me la fourrer en premier. Je reconnais l’esclave de Karl qui s’acharne tel un étalon en rut. Il veut mon cul coute que coute. Il a besoin de m’enfiler et de me faire sien. Il a gain de cause… L’autre esclave abandonne, mon cul tout au moins ! Il vient m’embrasser puis m’enfonce sa lourde bite bien veineuse dans la bouche, juste au moment où je geins d’aise...

C’est lui qui dirige le mouvement, je le laisse faire ses vas et viens, il va de plus en plus profondément dans ma gorge. Jambes relevées et en appui sur les épaules de l’esclave de Karl, je me fais prendre par le cul avec vigueur, bestialement. J’aime ça, j’aime cette animalité, je me laisse aller à mes sensations, je me laisse démonter sauvagement, une bite dans la bouche, l’autre dans le cul, je ne suis plus que deux trous à plaisirs, à bourrer, à jouir. J’aime sentir ses couilles taper contre mes fesses et mon visage, j’aime cette sauvagerie, ses saillies animales et je veux ces membres tendus plus profondément. Je suis exhaussé, on me retourne, ma tête touche le sol froid, mes fesses sont tendues vers le ciel, une nouvelle bite me force et me pénètre, alors qu’une femelle s’allonge sous moi, happant avidement ma nouille surexcitée. Je me laisse buriner et pomper en ayant cette impression que tant de zones de mon corps dont je n’avais même pas conscience sont touchées, caressées, excitées. Je jouis encore et encore, alors que le mâle inonde mon trou de lope, je sens sa semence brulante glisser dans mes entrailles grandes ouvertes…

Je suis repu de sexe, de bites, de chattes à lécher, de spermes, d’enculades, de fellations produites, j’ai donné tout ce que je pouvais donner sans retenue, jusqu’à un quasi épuisement physique et une forte transpiration. Jamais de toute ma vie, je n’oublierai cette overdose de sexe, cette orgie hors norme entre mâles et femelles soumis. Mais au final, quel pied ! Quel bonheur que cet incroyable et si intense moment de luxure, de perversion, de soumission. Je peux affirmer que je me suis senti vraiment à ma place de chien soumis, à me faire besogner autant de fois ainsi… Se sentir, être, vivre, ce que l’on est, au plus profond de son âme par la réalité des faits me procure ainsi une sorte d’épanouissement totale, une sorte de parfaite plénitude de l’esprit. Et jamais je ne pourrai autant remercier Le Maître de me faire vivre tout cela. Je me sens Lui appartenir comme jamais je ne l’ai autant été… Je bénis Monsieur le Marquis d’Evans de m’avoir accepté sous Son Joug, d’avoir fait de moi, la plus salope des lopes… De m’avoir formaté à ce qu’il a bien voulu faire de moi, de m’avoir mené dans le chemin sinueux de la perversion... Plus qu’un privilège, c’est un honneur de Lui appartenir et j’en suis de plus en plus conscient …

Une cloche sonne, le temps de cette orgie imposée est terminé. Je m’assieds à même le sol, pantelant. Un mâle hurle son désespoir, il n’a pas eu le temps de se finir. Deux gardes le cravachent sévèrement en lui intimant de se taire… Monsieur le Marquis debout derrière le micro reprend alors la parole en nous regardant avec son charisme naturel :

- Chiennes et chiens, c’est à vous que je m’adresse, Nous voilà toutes et tous rassurés. Vous n’êtes bien que des putains et des catins, des bêtes de sexe et rien d’autre. Vous nous avez offert un beau spectacle et je tenais à vous en féliciter et remercier, ainsi qu’à Celles et Ceux qui vous soumettent, Ils ont fait un gros travail d’Initiation et de Dressage... Maintenant vous allez pouvoir prendre une douche, une bonne douche ! …

(A suivre …)