Pirates Et Captives - 7
République de Salé - Anno1667
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Lécher Murphy, c'était... ça m'a laissé un sale goût en bouche, au propre comme au figuré!
J'ai commencé à apprécier avec Foxy... et puis à beaucoup aimer avec Souad.
J'aime son sexe lisse et mouillé, son odeur, son goût et je la fais jouir en la lapant comme une chienne... Elle geint, se tortille, et moi qui n'ai aucun pouvoir ici, je me rends compte que ma langue en a... un peu.
Elle reste la maîtresse des lieux et je me doute qu'elle est loin d'être facile!
Après avoir joui, elle mordonne: "Descends du lit!"
Je me mets vite à genoux.
Elle passe une djellaba légère en voile diaphane, puis prend son fouet.
Qu'est-ce que j'ai fait??? Elle voit que j'ai peur.
Elle dit: "Tu lèches bien, tu obéis encore mieux et tu as peur devant le fouet... Tu es une vraie petite chienne, c'est ça??"
Je hoche vigoureusement la tête! Je ne sais pas si je dois parler ou aboyer...
"Fais la belle!"
Je me mets dans la position avant-bras repliés. Elle me donne sa main à lécher, puis elle me caresse l'oreille. Je gémis de plaisir.
Faire le chien et lécher sa longue main brune, j'ai connu pire comme humiliation!!
Elle me donne une de ses vieilles chemises. Très courte et pas lavée, je reconnais avec plaisir son odeur.
"Tout à l'heure, on te transformera en Princesse... mais avant ça, tu es ma chienne."
Elle me met un gros collier en cuir et y attache une corde...
"Pour que tu ne te perdes pas" dit-elle en riant.
On va dans la taverne, il y a déjà quelques clients. Ils mangent et boivent...
Ils ont l'air contents de voir Souad.
"Alors, elle est où est ta Princesse?"
"Au bout de la laisse. Pour le moment, c'est ma petite chienne!"
Ça les fait rire.
Elle me redonne des ordres pour leur montrer: "Assise!!" "Fais la belle!!" "Aboie!"
Oh, pas de problème, du moment que ça ne fait pas mal.
Le chien de la taverne a l'air surpris de me voir faire la belle et aboyer.
Il vient me renifler les fesses!
"Une femelle pour toi, Pero!" rigole un des hommes...
Il a l'air plus gentil que les hommes, Pero.
"On peut la voir nue, Souad?" demande un de ces types.
"En fin d'après-midi, on la transformera en Princesse et vous pourrez la faire se déshabiller et vous sucer... On attend aussi des Françaises, une maman et ses deux filles."
Ayant assez de jouer avec moi, elle enlève la corde de mon collier et me dit: "Va aider les filles à servir."
Une des servantes m'explique comment saluer respectueusement les clients, toujours dire Monsieur, Madame ou Mademoiselle... Sourire, obéir à tout ce qu'ils demandent...
Les hommes m'appellent, me demandent du thé, du vin.
Je leur apporte, ils me caressent sous la chemise...
Souad ordonne à une servante: "Va donner à boire aux filles qui sont dehors et montre à la Princesse comme faire."
"Oui, Maîtresse."
Ce sont les filles avec qui j'ai dormi qui sont à lextérieur, dans un enclos.
On leur apporte du pain, quelques fruits, de l'eau...
Elles mangent et boivent goulûment.
Elles ont des chemises courtes, comme moi, mais nettement moins propres.
Elles ont aussi toutes des colliers en fer et des anneaux aux poignets et aux chevilles.
Le Noir les surveille, armé d'un grand fouet.
Quand elles ont fini, la servante me dit: "Je vais te montrer ce qu'il faut faire."
Elle va chercher deux colliers avec des pointes de fer au bout desquels il y a une clochette. "Cest pour les deux filles qui ont essayé de s'enfuir, elles seront attachées la nuit. Avec les clochettes, on sait toujours où elles sont."
Ça doit être pénible! De plus, il est impossible de vraiment sallonger pour se reposer un peu...
Elle place ces colliers aux filles qui se mettent aussitôt à tinter!
Et il y a pire, elle prend trois armatures de fer, des sortes de cages, qu'elle place sur la tête de trois autres filles.
Ces armatures sont dotées d'une grosse tige qui rentre dans la bouche! Plus moyen de parler! Ça doit être très désagréable. Les filles font la grimace!
Des hommes et des femmes viennent chercher des filles. Ils les louent à la journée, pour des travaux divers ou pour des tavernes moins importantes. Ils ont tous les droits sur ces malheureuses, sauf celui de les abîmer. Les fouetter oui, bien sûr, mais sans causer des blessures. Normal, c'est comme si on louait un cheval ou une mule, il faut aussi les rendre en bon état.
Quand toutes les filles ont été réservées, on retourne dans la taverne.
Je prends la ferme résolution de ne pas m'enfuir. Les clochettes, non merci!
Je continue à servir les clients.
Souad attend les Françaises.
J'ai entendu le capitaine et Wilson en parler hier. Il s'agit d'aristocrates qui reviennent des Caraïbes où leur famille a des plantations de canne à sucre. Le capitaine les a achetées pour la taverne. Une Princesse et des aristocrates, la taverne va devenir l'endroit le plus classe de la petite république... d'après Souad.
En fin de matinée, on voit arriver des hommes avec ces trois femmes. Elles sont reliées entre elles par une chaîne qui va d'un collier en fer à l'autre.
Elles ont de belles robes, mais déchirées et sales. Ces trois prisonnières se ressemblent fort, surtout les deux surs. Elles peuvent avoir 18, 20 ans. La mère est sans doute proche de la quarantaine. Elle a dû les avoir jeune.
Je me souviens de l'état dans lequel j'étais, au début de ma captivité, donc je comprends leurs larmes et leur désarroi.
Une des surs se blottit contre sa mère, l'autre reste un peu en retrait.
Un des hommes dit quelque chose d'incompréhensible, pour moi, mais en tout cas, ça fait rire les autres.
Ici, ils parlent différentes langues, dont la "lingua franca", mélange d'espagnol, d'arabe, de français.
"Détachez-les" ordonne Souad.
Quand on leur enlève leur collier de fer, elles ont une belle marque rouge sur le cou. Je suis contente de n'avoir qu'un collier de cuir.
Souad leur jette: "Déshabillez-vous!"
Elles hésitent. Souad saisit le fouet qui pend à sa ceinture...
Là, elles n'hésitent plus. Elles enlèvent leurs belles robes enfin, disons quelles ont été belles et les trois jupons qui se trouvaient en dessous.
Donc elles se retrouvent en chemise... comme moi.
Souad tend son fouet... elles l'enlèvent aussi.
Les hommes poussent des cris de joie.
Bien sûr, les servantes sont peu vêtues et on peut leur ordonner de se déshabiller, mais voir ces aristocrates ôter leurs derniers précieux dessous, pour se retrouver complètement nues au milieu d'eux, telles des esclaves... ça leur plaît beaucoup.
Les femmes prennent la position de la vénus pudica, un bras replié sur les seins, une main sur le sexe.
Le fouet de Souad claque, elles reçoivent un bon coup de fouet sur les fesses, on les entend crier...
"Mains derrière la nuque!!" s'énerve Souad.
Elles le font immédiatement, les yeux pleins de larmes.
Elles sont franchement belles... La mère et ses filles ont les cheveux châtains et leurs yeux rouges ne les empêchent absolument pas dêtre très séduisantes.
La maman a des seins lourds mais fermes, ses filles des petits seins qui regardent vers le ciel... Elles ont des jambes fines et leur pubis n'est pas épilé, bien que la mode des sexes lisses se répande en France, dans la haute société.
"Belles recrues" dit un homme. "Elles et la Princesse, ce seront bientôt les putains les plus célèbres de la région!"
Comme ça, elles sont fixées sur leur sort: prostituées au service de pirates.
Avant d'être vendues.
Souad me dit: "Déshabille-toi et montre-toi"
"Oui, Maîtresse."
Après avoir enlevé ma chemise, je croise les mains derrière ma nuque pour faire saillir mes seins.
Impatiente, Souad me jette: "Tourne-toi!"
Je me mets tout de suite de dos, jambes écartées, puis je me penche en avant pour que chacun puisse voir que... je suis une fille. Ensuite, je reprends la pose, de face. C'est Foxy qui m'a appris à faire ça.
"Voilà comme il faut se montrer!" dit Souad. "Allez-y!"
Je pense qu'elles ne vont pas le faire. Malgré tout ce qu'elles ont subi ces derniers jours, elles ne sont pas aussi bien dressées que moi.
Aaah, si elles obéissent!
Et Souad se met à jouer avec elles... Elle est belle comme une chatte au soleil qui s'amuse avec les trois souris qu'elle vient de coincer...
À suivre.
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que mes fesses deviennent plates (oh, non, pas ça!)
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