Baise-Moi Devant Mon Mari ! 2
Deux panneaux publicitaires lumineux accrochés devant et derrière le bâtiment faisait la publicité du club de remise en forme. La salle de sport où travaillait Romain T se situait au centre ville où elle abritait dans un immeuble moyen de trois étages le complexe sportif comprenant une salle de gym des plus classiques, une salle de massage, une salle daquagym. Romain y travaillait depuis deux ans comme coach sportif. Il aidait les clients à choisir parmi tous les appareils de sport meublant la salle les plus adaptés à leurs profils sportifs, à leurs objectifs physiques, il établissait des programmes individuels, encadrait souvent des cours collectifs. Le regard de Romain se posa sur la grande horloge qui affichait à ce moment-là dix heures trente minutes. Trois personnes sactivaient dans la salle : un couple de personnes âgées sur deux tapis de course et une femme dune quarantaine dannée sur le vélo elliptique. Romain se dirigea vers la porte. Au passage il sourit à Linda, une femme dune vingtaine année chargée de laccueil et du téléphone.
-Je men vais !
-Tas rendez-vous avec une conquête ?
-Non je vais à un rendez-vous disons
administratif.
-Cest ça ! Fous toi bien de ma gueule.
-Tes jalouse ?
-Les black ne sont pas mon style.
-Moi non plus !
On se trouvait au début du mois de Juin. Malgré lheure matinale soleil et chaleur se partageaient les rues. Romain marcha durant une trentaine de seconde dans le parking puis il atteignit sa voiture, une citadine des plus répandues dans la laquelle il sinstalla, laquelle il démarra. Une demi-douzaine de minute plus tard il la gara sur le parking dun établissement.
Linterphone du portail aussi défraichi que la peinture blanche de la barrière qui lencadrait grésilla sèchement.
-Oui !
-Bonjour !
-Bonjour !
-Je viens parce quon ma convoqué pour onze heures
-Oui !
-
Je suis le grand frère de Florian T
-Oui !
-
Je dois parler avec sa CPE.
-Passez par laccueil avant de monter !
Un bruit électrique retentit. Romain poussa le portail qui souvrit. Il se dirigea vers laccueil. Une dame ronde laccueillit assise au bureau. « On dirait un bulldog ! » pensa Romain. Elle lui tendit un grand cahier ainsi quun stylo en lui ordonnant : « marquez votre nom ! La date et lheure de votre arrivé ! Puis signez ! » Romain se saisit du stylo et du cahier. Il vit quil était déjà recouvert par les écritures des autres personnes qui étaient entrées avant lui dans létablissement les jours précédents. Il marqua son nom, la date et lheure de son arrivé, puis il signa. Romain déposa le cahier et le stylo sur le bureau de la grosse dame qui le regarda dune mine satisfaite.
« Le bureau de la C.P.E est par là
» à travers la porte de laccueil dun geste de la main elle lui indiquait les escaliers montants «
dès que vous arriverez en haut, tournez à droite, cest le bureau juste en face ».
-Merci Madame !
-De rien Monsieur.
Plus Romain montait les escaliers plus il se souvenait de manière à la fois vivace et flou lépoque où il vivait dans le corps dun collégien. Maigre alors, sans muscles, corps complexant, avec le temps il jugeait quil avait gagné en confiance en soi, quil sétait amélioré, mais que lépoque actuelle avait en quelque sorte suivi le trajet contraire, les gens sétaient abâtardissés à la fois physiquement et moralement, quen quelque sorte la chute du monde malgré sa volonté propre dy SURVIVRE avait aussi entrainé la sienne mais dans un degré qui lui restait inconnu. Ainsi quelque chose menaçait le collège où fréquentait son petit frère. À son époque collégiale la crainte était que les bandes hostiles saffrontent devant le collège, aujourdhui on craignait un attentat terroriste dans le collège, trop décarts en si peu dannées ! Il ne savait pas si les précautions de sécurité venaient de létat durgence qui avait cours en ce moment là dans tout le pays ou dune menace locale.
On y inscrivait ses s par défaut ; les quartiers que le politique correct désignent par quartiers sensibles entouraient ce collège ; il squattait les zones déducation prioritaire.
Soudain Romain saperçut selon des critères subjectifs quil sétait mal vêtu pour loccasion : il portait un jogging noir un peu moulant, des baskets blanches, et surtout, lélément de sa soudaine discorde, un débardeur noir qui laissait voir les muscles saignants de ses bras, les veines visibles de son corps au taux de graisse ridicule, ses pectoraux gonflés, son ventre très plat, tout cela, lui semblait-il, était inapproprié pour la circonstance de sa visite et pour le lieu surtout. La veille, chez lui, il sétait dit que le lendemain matin à la salle de gym il troquerait sa tenue de travail pour une plus présentable, mais au moment de se rendre au collège tout cela lui était complètement sorti de la tête, ses habits de rechange étaient restés aux vestiaires.
-Bonjour !
-Bonjour !
Sur le banc du couloir près de la quarantenaire quil venait de saluer Romain sassit. Il pensa quelle passera surement avant lui. Il voulait en être certain.
-Excusez-moi.
-Oui ?
-Vous avez rendez-vous à quel heure ?
-À onze heures.
-Jespère que se ne sera pas trop long.
-Moi aussi.
On les avait donné rendez-vous à la même heure, un classique des cabinets médicaux quon utilisait maintenant en milieu scolaire. Une dizaine de minute plus tard le bureau de la C.P.E souvrit. Un homme en sortit qui souriait. Ce fut au tour de la dame. Romain attendit une quinzaine de minutes puis arriva son tour de disparaitre derrière la porte.
-Bonjour !
-Bonjour !
« Je vous ai convoqué par rapport à Florian. Il se comporte mal, je crois que vous êtes au courant. Cest pratiquement la fin de lannée scolaire
. » Romain écoutait avec très peu dintérêt les paroles de la C.P.E. Il sefforçait de la regarder dans les yeux.
-Je suis avec vous !
-Moi aussi je suis avec vous !
Ils échangèrent un éclat de rire.
-Vous allez faire du sport après ?
-Oui.
Cette fois ils échangèrent des sourires. « Je suis coach sportif. Si un jour vous voulez faire du sport je peux vous accueillir gratuitement durant une semaine dans la salle où je travaille ». Il sortit de sa sacoche une carte de visite quil tendit à la C.P.E.
-Merci cest gentil !
-Bon
il va falloir que
-Oui
Ils se leva le premier. Elle limita. Ils se serrèrent la main.
-Au revoir !
-Au revoir !
-Passez une bonne journée.
-Vous aussi.
Elle laccompagna jusquà la porte. Lorsquil disparut derrière langle du couloir, elle regarda la carte de visite, une carte noire sur laquelle était photographié un immeuble blanc de trois étages, marqué en jaune olive le nom de la salle de sport, ladresse, et le numéro de téléphone.
Leau chuta du ciel puis sécoula en traits raides sur les corps des deux époux complètement nus. Il yavait assez de place dans la cabine de la douche pour deux, assez despace dans la cage de chasteté de Sylvain pour que leau y pénètre, même si au fils des paroles de son épouse qui le maintenait chaste, lespace se faisait de plus en plus rare dans sa cage-bite à cause de son érection grandissante. « Cest un grand black. Un beau black. Il est tout en muscles. Il a une grosse bite ! Je sais quil a une grosse bite parce que jai aperçu la grosseur de sa bite sous son jogging moulant. Dès quon finira de diner on ira dans une chambre dhôtel. Il enfoncera sa grosse bite noire dans ma chatte blanche. Rien quen y pensant ça me fait mouiller. Lèche-moi ! » Sylvain sagenouilla sous laverse ininterrompue. Ses genoux sappuyaient sur le carrelage dure et humide. Il déposa la tête au milieu des cuisses de sa femme puis entreprit de lécher sa vulve, de sucer son clitoris, dexplorer par la langue le canal vaginal étroit. Des dix doigts aux manucures rouges elle le saisit aux cheveux puis serra la tête lécheuse contre son vagin pour amplifier le plaisir oral quil lui offrait. Sylvain sappliqua encore plus dans le but de la faire jouir. Il portait un amour inconditionnel à Élisa. Il faut beaucoup damour pour partager sa femme avec dautres hommes mieux membrés que soi. Lorsquelle jouit sous les caresses de sa langue et de ses lèvres, la cyprine et leau remplirent sa bouche.
Sylvain sétait relevé. Il appliquait du shampoing sur les cheveux blondis dÉlisa. Déjà, une épaisse mousse au parfum agréable englobait la chevelure de son épouse. Il savonna tout le corps féminin avec du gel douche puis il le frotta entièrement à laide dun gant ensuite il le rinça enfin il soccupa de son propre corps. Avec une serviette blanche il essuya sa femme puis ils rejoignirent leur chambre conjugale. Élisa se laissa tomber sur le lit. « Masse-moi ! Jai besoin dêtre en forme pour mon rendez-vous avec Romain ». Elle se trouvait allongée sur le ventre. Complètement nu comme elle il sassit sur le postérieur rond de son épouse puis débuta le massage. Ses doigts parcoururent larrière du cou, les épaules, le dos, les fesses charnues dÉlisa quils se mirent à malaxer. Elle se retourna. Il massa ses épaules, ses bras, ses gros seins, son ventre, ses cuisses. Il la fit jouir avec les doigts la cage-bite près de lexplosion.
Sylvain avait fini de vêtir Élisa. Le couple sétait assis sur le tapis de leur chambre. Sylvain ne portait pour unique vêtement que sa cage de chasteté. Élisa décrocha la clé qui ouvrait la cage-bite de son mari, cette derrière était accrochée au collier de son cou qui la faisait pendre au milieu de ses gros seins. Des doigts à la manucure rouge elle saisit la cage de chasteté quelle ouvrit. Le pénis de Sylvain se retrouva libre mais entièrement marqué par les empreintes que la pression de la cage portée durant des mois avait forgé sur sa verge quasi en érection. En masturbant son pénis et son gland dune main aguicheuse elle lui demanda : « tu veux me baiser ? » Il souffla un oui dexcitation. Mais elle répondit « non ! Il nya que les hommes bien montés qui ont le droit de me toucher ! Ta petite bite ne mérite que la cage ». Sylvain serra fortement ses paupières closes, sefforçant de retenir léjaculation non autorisée qui pouvait faire en sorte quÉlisa prolonge sa chasteté dun mois supplémentaire.
-Sil te plait tu peux arrêter ?
-Tas peur de cracher ?
-Oui.
-Tu sais ce qui tattend si tu éjacules sans mon ordre ?
-Oui. Cest pour cela que je voudrais que tarrêtes sinon
Élisa rigola. Elle arrêta de le masturber.
-Débande ! Je te remets ta cage.
Elle sortit de la chambre. Elle revint quelque instant plus tard avec un sachet de glace quelle appliqua sur sa verge. Le froid arracha des frissons à Sylvain qui sentit son pénis ramollir. Elle enferma de nouveau sa verge dans la cage de chasteté, puis elle sortit rejoindre son amant.
Sylvain dormit très peu cette nuit là. Il la passa à bander encagé sur le matelas marital. Limage mental de sa femme couchant avec son nouveau amant noir dans un hôtel pendant quil subissait des érections chastes sur le lit conjugal le rendait fou dexcitation ! Elle était allée rejoindre un homme plus viril que lui et navait laissé derrière elle que les effluves de son parfum chimique qui lui rappelait à chaque nouvelle inspiration quil était cocu.
Le lendemain matin Sylvain après avoir acheté des croissants se rendit dans la chambre dhôtel où lattendait Élisa. Quand il entra dans la chambre il la trouva totalement nue. Ils échangèrent un baiser.
-Comment ça été ?
-Merveilleux ! Tu mas apportée à manger ?
-Oui jai pensé que taurais besoin de reprendre des force.
-Merci cest gentil !
-Fais voir ta cage. Tu ne las pas ouverte au moins ?
-Non. Je ne lai pas ouverte.
Il baissa son froc puis son boxer pour prouver à son épouse quil avait été sage.
« Cest bien ! » dit-elle lair soulagée lorsquelle aperçut la cage de chasteté fixée sur sa verge. « Sa bite était tellement longue et grosse ! On a baisé toute la nuit. Il ma baisée comme un sauvage ! » Élisa saisit dans une main la cage-bite et saperçut quelle serrait très fortement la verge en érection.
-Elle est vraiment serrée. Tes très excité on dirait.
-Oui. Jai envie de
Tu peux me libérer sil te plait ?
-Lèche-moi dabord !
Elle sallongea sur le lit puis elle ouvrit les cuisses. Il la rejoignit avec pour une unique habit sa cage de chasteté. Il déposa sa bouche sur le vagin de sa femme pendant quelle parlait mi-murmure mi-confession : « il a rempli ma chatte avec son sperme. Il a éjaculé une dizaine de fois en moi
Sa bite était tellement grosse
Jai joui comme une salope
lèche ma chatte !
» Elle déposa une main sur ses courts cheveux bruns quelle caressa dans un mouvement de va et bien comme pour lencourager à la lèche. « Jai avalé deux fois son sperme
il a joui une fois sur mes seins
Viens membrasser ! » Sylvain abandonna lentrecuisse dÉlisa pour ses lèvres. Il embrassait la bouche dans laquelle un autre homme avait éjaculé quelque heure auparavant.
Elle décrocha la clé sur son collier puis ouvrit la cage de chasteté. Elle masturba la verge qui banda aussitôt. « Pénètre moi ! Je veux ta bite dans ma chatte ! Je veux que tu ressentes la différence, comment sa grosse bite noire a élargi ma chatte, la chatte de ta femme
» Sylvain monta sur son épouse quil laboura. Pendant que son braquemart explorait le canal vaginal de sa femme elle continuait de lui causer de son amant. « il ma traité comme une pute et jai aimé ça
il ma dabord embrassé, puis il a enfoncé deux doigts dans ma chatte, ensuite il a introduit sa grosse bite noire dans mon vagin
» Sylvain éjacula bruyamment. En une fraction de seconde il venait de se délivrer de six mois dabstinence sexuelle.
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