S Et Moi

moi c est tony, 45 ans, brun grisonant des plus banal, pendant de longues années j ai travailler avec s,une jolie femme, tres discrete, parfois trop meme, phisyquement elle un coté femme , menue taille moyenne petite poitrine environ 80a cheveux mi long, yeux noisette,jamais maquillée, pas besoins de superflus pour etre jolie et attirante. on a tres vite sympathisé, on parlait tout le temp, confidence etc, moi je fantasmais deja sur elle mais etant marié tout les deux chacun de notre coté rien ne c est passé, et elle etant hyper reservé il n y avait aucun risque de cocufiage. moi j ai quité l entreprise pour laquelle on travaillait ensemble. je suis meme parti en espérant lui manquer un peut...voir bcp, mais on s est plutot eloigner l un de l autre a mon grand regret, on restait en contacts (sms) mais de plus en plus espacé. de temps en temps je testais pour savoir si je lui manquait....mais elle est si reservée qu elle ne se confit pas directement. puis un jour...

Donc nous nous sommes eloigné l un de l autre au fil du temp, nous etions passés d amis et confidents a deux copins qui n aurais plus rien a partagé en dehors de la météo et des banalités habituelles... pour elle je sais pas mais pour moi c était difficile a vivre car on avais partager tant de confidences.
BREF NOUS en etions a pas plus de 10 textos par mois et encore. et le temp est passé comme ca. un jour en échangeant des banalités, une fois de plus, elle me demanda si j étais capable de faire de l electricité, je lui repondi que oui si cela restait a ma porté.Ce jour la nous avons échangé plus de sms que d habitude, et je ne put m empecher d etre frustré en me disant , tien elle est plus bavarde d un coup mais seulement par intérét.
nous sommes convenu d un rdv chez elle le mardi suivant. cela me fit un drole d effet de la revoir en chair et en os, on ne s etait plus vu depuis plus de 5 ans.lorsqu elle m a ouvert sa porte je l ai trouvée identique et a la fois differente.

Phisyquement c était la meme sauf ses cheveux avec des racines blanches...et je me dis que son tempérament a ce négligé au profit de son entourage n avait pas changé. En effet depuis que je la connaissait
j avais toujours rager( intérieurement) contre son mari, celui ci ne la poussait jamais a prendre soins d elle, de prendre du temp pour elle, du moment qu elle etait fidel, que le repas était pres lorsqu il rentrait, et qu elle soccupait de l education de ses s, pour lui tout allait bien, seulement elle s etait résignée a cette vie.
Elle me conduit au salon, et remarquait que meme ses vetements n avait pas changé de style...jean et tee shirt moulant.nous nous sommes assis face a face pour boire le café, j avais une sensation étrange, l impression d etre en compagnie d une personne connue et distante, un mélange pas tres agréable par rapport aux discutions et la complicité que l on avait eu des années plus tot.
Ensuite elle me parla du probleme electrique de sa table de nuit, son mari étant trop occuper par son boulot pour s en occupé.

Apres avoir reposé ma tasse, je la suivi vers sa chambre,si quelque année plus tot je l avait suivi dans cette piece intime, peut etre aurais je fait autre chose que de l electricité, en ayant cette pensé je ne put retenir un sourire.On entra dans sa chambre, cette chambre était a son image, soft et tres impersonelle, chez moi j en ferais meme pas une chambre d amis. pas une photos, peinture d un ton bleu pastel tres triste, et placard encastré a porte blanche,
un valet de nuit avec quelques vetement corectements déposé dessus, les siens a elle surement vu la taille.elle m indiqua son coté, celui ou la prise elec ne fonctionait plus.Elle me dit de faire ce que je pouvais, et elle s éclipsa en me disant qu elle allait couper le courant et continué son ménage.Une nouvelle fois j étais decu qu elle me laisse seul comme ca au lieu de me faire la conversation.

pour que cette satané prise( deja decus d avoir accepter, et d etre recu comme un étranger) soit accecible je devais retiré la table de nuit sans cassé la lampe posé dessus, et ensuite poussé le lit sur quelque centimetre.


je pousse le lit et la je vois un morceau de tissu posé sur le sol, pas tres gros , au premier coup d oeuil je pris ca pour un petit chiffon oublié par la fée de ce logis.Mais au moment ou je le ramasse je constate que ce n est pas un chiffon, mais une petite culotte,je suis d abord perdu, un peut bête, et puis un instint refouler de quelque année, m oblige a continuer l inspection de ce moceau de tissu blanc, tout en dentelle sur le devant, et en coton derriere tre échancré, aun tanga ou string.
Je fut troublé par cette decouverte et encore plus quand je découvri qu il avait été égaré avant de passé en machine.Le fond etait légérement souillé de ciprine, je senti une grande chaleur envahir mon corps, et d un réflexe incontrolé ou pas je me mis a sentir le fond du string, odeur enivrante de l intimité de s..je me mis a pensé a son sexe qui avait passer une journée, peut etre la veille, contre la dentelle, j etais comme dans un état second lorsque je sorti ma langue de ma bouche pour en posé la pointe sur le petit carré qui servait
de fond.Le gout salé de sa ciprine envahi mon cerveau totalement déconecté de la réalité.J étais en train de humé et lecher le fond du string, a son insus, d une femme que j avais autre fois désiré sans rien lui dire.....

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