La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°781)

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°780) - Orgie et service à table - 2/2 -

L’ensemble des Dominants quittent les balcons, alors que les gardes nous conduisent dans une grande salle de douches collectives. Nous passons sous cette eau autorisée chaude et bienfaitrice, puis chacun notre tour, nous nous faisons savonner par deux gardes vicieux et sans aucun doute en manque… Ils s’acharnent particulièrement sur nos intimités, nous tripotant, retroussant nos sexes, doigtant nos culs. Une fois secs, nous regagnons ce qui sera notre réfectoire le temps de ces Mondiaux. Une pièce sobre ressemblant en tout point à une immense cafétéria. En lieu et place des plateaux, des gamelles en inox que nous devons présentés aux deux gardes chargés de nous servir. Madame Marie, la cuisinière du Château supervise l’ensemble. Lorsque j’arrive à sa hauteur, comme ceux et celles qui m’ont précédé, je m’incline ostensiblement devant Elle pour lui signifier mon grand respect. Elle m’interpelle alors :

- Toi la salope… tu manges en vitesse, je vais avoir besoin de toi, tu t’installes ici, à quatre pattes, avec celles et ceux que j’ai sélectionnés.

Je retrouve trois femelles et deux autres mâles, déjà le nez dans leur gamelle. Je me presse et avale rapidement mon repas. Sitôt terminé, Madame Marie de plus en plus pressante, nous ordonne de nous relever. Un garde, près d’elle, tient en main de larges ceintures de cuir sur lesquelles sont rivetées des bracelets en cuir eux aussi. Chacun notre tour, nous sommes équipés de cette ceinture serrant notre abdomen, puis nos poignets sont emprisonnés aux bracelets fixés au niveau de nos hanches. Evidemment, nos mouvements de mains sont terriblement contraints. Une fois affublé de ces accessoires, Madame Marie se charge de fixer sur nos tétons, de petites pinces autant mordantes et douloureuses que jouissives. Puis elle se charge de contrôler nos sexes, en soulevant et tirant lèvres et prépuces, puis nos rectums en y glissant deux de ses doigts que nous devons lécher juste après.



- Parfait, vous êtes propres, suivez-moi, debout et rapidement.

Nous regagnons donc prestement le Château et plus spécialement la grande salle de réception, où l’ensemble des Dominants prennent leur déjeuner, celui-ci servi par mes sœurs et frères de soumission MDE. Sur l’un des murs de cette somptueuse salle à manger, est projeté en continue un diaporama, des photos de nous pendant cette incroyable orgie imposée. Je sursaute lorsque je me vois en très gros plan baisant avec cette jeune esclave asiatique, ou encore me faisant prendre par tous les trous… Soudainement, je suis saisi par mon collier, un garde me tire à lui en me regardant droit dans les yeux. Il me susurre à l’oreille :

- Tu as joui grosse salope, je t’ai vu tout à l’heure prendre ton pied, n’est-ce pas ?
- Oui Monsieur
- Tu n’es qu’une catin,
- Oui Monsieur je suis une catin, une catin appartenant à Monsieur le Marquis.
- Et tu sais ce que font les catins lorsque les Dominants déjeunent ?

Là, je ne sais que répondre. Je reçois une paire de gifles sur les joues d’une volée fulgurante. Le garde tire sur mes pinces. Je grimace, mais me mets à bander illico…

- Les putains comme toi passent sous la table, et vont honorer, stimuler et exciter Celles et Ceux qui en ont besoin ou envie. Tu as intérêt esclave Endymion MDE de bien faire ta pute…

Je suis poussé brutalement sous la table, trébuche et m’affale de tout mon long, sans pouvoir fatalement me retenir. Une chaussure se pose immédiatement sur mon visage, un talon aiguille creuse ma joue. La nappe se soulève, une main s’agrippe à ma chevelure. Tant bien que mal je me redresse, me voilà entre deux cuisses, deux cuisses fuselées, musclées et ambrées. Le tissu de la robe se soulève, me dévoilant une belle intimité de femme au sexe épilé et parfumé. Une main appuie sur ma nuque, je me mets à l’ouvrage. Celle que je lèche ne bouge pas, ne frémit pas. Elle semble insensible à mes caresses, pourtant je mets du cœur à l’ouvrage.
Je pénètre ces lèvres tièdes sans la moindre trace d’humidité, je caresse du bout de ma langue ce clitoris quelque peu tendu… Mais rien n’y fait… je m’inquiète et me demande si je fais bien mon travail. A moins qu’il ne s’agisse d’une Dominante frigide ? Ma langue s’introduit encore, à la recherche de quelques gouttes de cyprine. Rien, toujours rien, ce vagin est sec, la source semble tarie… Quand tout d’un coup, tout se précipite, je suis sorti de dessous de la table, tiré par les cheveux et avance difficilement à genoux. Je suis entrainé au centre de la grande salle de réception sans ménagement. La Dominante me laisse là, part et revient avec une cravache en main. J’ai un mouvement de recul. Elle sourit avec perversité dans son regard à ma réaction :

- Je te fais vraiment peur on dirait !

Dans un souffle court, je lui réponds

- Oui Madame…
- C’est bien, un esclave craintif est un esclave créatif.

Sans préavis, elle me donne un coup de cravache, pas très fort mais je ne peux m’empêcher de gémir. Elle se met franchement à rire et commence à m’asticoter de coups de cravache, me frappant ou pas au dernier moment. Mes mouvements de recul semblent beaucoup l’amuser. Enfin elle s’arrête et me regarde avec un air étrange. Je n’arrive pas à déterminer ce que je vois dans son regard… De l’intérêt ? Du sadisme ? De la tendresse ? Peut-être un peu tout mais c’est indéfinissable. Elle entreprend alors de me donner des ordres.

- A debout… A genoux… Présente-moi ton cul… ouvre la bouche… Lève une jambe… A genoux… Plus vite !

Chaque ordre laconique cingle et s’il n’est pas immédiatement exécuté, il est puni d’un coup de cravache qui n’a plus rien de modéré, me tirant parfois des plaintes. Je termine au bout d’une dizaine de minutes tout essoufflé, le corps zébré de marques rouges. Mais cette situation m’excite au plus haut point et je ne peux cacher mon érection avec ma bite droite regardant le zénith.
Ma verge est gorgée de sang, veineuse et raide avec mon gland violacé qui est aussi gonflé à son maximum. Les Dominantes et Dominants se sont arrêtés de manger, tous me regardent, ils semblent se divertir et s’en amuser. D’ailleurs l’un d’eux lance une idée.

- Et si nous faisions un petit jeu avec ce dévoué bâtard ?

Des ‘oui’ fusent… Un peu de distraction. On me détache les mains, on me bande les yeux, on me fait lever et tourner rapidement sur moi-même 4 ou 5 tours tel le colin-maillard. Je ne sais plus où je suis, il n’y a plus de bruit dans la pièce. J’entends jeter quelque chose par terre qui roule, dans la vaste pièce. Puis celui qui a lancé l’idée du jeu me dit :

- On va voir si tu es une bonne chienne de chasse et si tu sais rapporter au Maître. Il y a trois baballes par terre, trouve-les et rapporte-les à Monsieur le Marquis d’Evans. Peut-être, si tu y réussi, que tu auras droit à un susucre !

Aveuglé, je pars à quatre pattes en ayant perdu tous mes repères, cherchant désespérément mes repères. Mais je bute contre un mur, puis contre des jambes. Ce sont celles d’une Domina. Elle exige que je me tienne à genoux. Sitôt dans la posture imposée, elle me triture les tétons, toujours pincés, puis m’att par les cheveux, me met en travers de ses genoux et me donne une vigoureuse fessée, une bonne dizaine de claques avant qu’elle me relâche, le cul rouge. Elle me relâche, je bande encore… terriblement !

- Allez cherches le chien, cherche encore…

Je trouve enfin une balle de tennis… On applaudit ! Et j’entends des rires …

- Aller, rapportes la baballe….

Je reconnais la voix de Monsieur le Marquis, je reste à quatre patte et avance le plus droit possible… Je trouve la main du Maître. Il me caresse le crâne :

- C’est bien Mon chien, tu es un bon toutou… Encore deux balles à trouver ! Allez cherches Ma bonne pute…

(A suivre…)

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