La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°783)
Marion au Château (suite de l'épisode N°779)
Le temps dattente se passa à repenser à cette sublime matinée, où jétais passée du sentiment de princesse, bien que toujours aux pieds du Maitre, à certainement la place la plus basse et humiliante. Pourtant je vénérais toujours autant le Maître et ne souhaitais me trouver nulle part ailleurs quà cet endroit
Jétais si heureuse
Je me retrouvai donc solidement attachée sur le lit du Maître, écartelée, le cul et la chatte offerte, les yeux bandés. Je ne savais pas ce qui mattendait mais cela mexcitait par avance. Jétais dans la chambre du Maitre Vénéré, et jétais par là même sûre que quoi quil marrive, cela viendrait de Sa main, et non dun inconnu. Jétais donc dans un état fébrile dexcitation évidente, impatiente, déjà fort humide. Je narrivai à rien imaginer de ce qui pourrait arriver, le Maître pouvant être totalement imprévisible et inventif de par Sa grande expérience lorsquil sagissait de faire découvrir de nouvelles choses à ses soumis(es). La porte souvrit, sans que je puisse savoir qui avait pénétré dans la pièce. Quelquun me posa un casque sur les oreilles, des sons vinrent au bout de quelques secondes se répandre dans ma tête. Ce nétait pas de la musique, juste des sons continus, qui variaient dintensités et de tons. Cétait des sons binauraux, qui influencent le cerveau par lentraînement dondes cérébrales, et dont leffet dépendait de la fréquence de londe. Ce nétait pas puissant en terme de volume, ni assourdissant mais simplement des sons variant et très acceptables pour loreille humaine.
Les sons en question commençaient à provoquer en moi une détente profonde, à la limite de lendormissement. Je flottais sur un nuage. Des mains doucereuses et lentes, que je reconnus comme étant celles du Maître, commencèrent à me caresser, partant des pieds, remontant vers mes cuisses, mais ne touchant pas mon entrecuisse. Puis Elles passèrent délicatement sur mon ventre, efflorant juste ma peau et provoquant chez moi des frissons et lapparition de la chair de poule.
- Humm, jaime te voir ainsi, à Ma merci et si désirable, si chienne en chaleur, si douce sous la peau ! Je te trouve sublime dans cette position, ainsi bâillonnée. Obligée de me faire comprendre par ton seul regard ce que tu ressens. Ton regard est tellement empli de dévotion à Mon égard ! Susurra le Maître à mon oreille tout en passant le bout de sa langue sur ma nuque.
Comme à chaque fois que le Maître madressait un compliment, je rougissais et baissais encore plus la tête et le regard. Le Maître eut un sourire en coin.
- Te rappelles-tu quun jour je tai dit que jadorais faire rougir les joues, et quà défaut de pouvoir faire rougir les joues de ton cul, jaimais te faire rougir celles de ton visage ? Tu sais, comme je te lai souvent exprimé, que jadore voir des fesses rougies sous une volée de fessées ou sous ma maîtrise du fouet. Aujourdhui, je vais pouvoir toutes te les faire rougir ! Et à voir le sourire qui illumine ton visage, je suis sûr que tu nattends que ça !
Effectivement, je sentais un sourire me fendre le visage dune oreille à lautre. Oui, je me rappelais tout à fait le jour où le Maître mavait dit cela, et depuis ce jour, jespérais le rencontrer pour savoir ce que cela ferait ! En revanche, je me rappelais aussi, quIl mavait précisé aimer particulièrement faire rougir un cul en levrette et je nétais pas du tout dans cette position.
- Bon évident, tu nes pas dans la position que je préfère pour cela (répondant ainsi à mes pensées, ce qui me fit sourire encore plus), mais nous avons le temps, et je compte bien profiter de toi dans la position où tu te trouves.
Tout en disant cela, le Maître sétait dévêtu et était monté sur le lit. Il se hissa au-dessus de moi et senfonça sans préambule profondément dans ma chatte qui dégoulinait déjà. Il allait et venait sans ménagement en moi, virilement tel un cerf en rut, Ses couilles venant frapper à chaque fois contre mon cul. Le Maître se maîtrisait parfaitement. Parfois il sactivait avec fougue et parfois il prenait son temps, alternant avec savoir, la puissance et la douceur et ainsi il avait réussi très vite à faire monter mon plaisir. Javais de plus en plus envie de me laisser aller, mais je navais reçu aucune autorisation de jouir. Quand il décida de ne plus alterner avec les vas-et-viens lents pour accélérer le mouvement, donnant de vigoureux coups de rein, qui étaient en train de me faire perdre la tête...
- Tu te rappelles ce que je tai dit ce matin ? me murmura-t-Il à loreille. Si javais de quoi être fier de toi, tu serais récompensée. Alors vas y ! Jouis, maintenant pour Moi, Je te lordonne, Ma chienne, Jouis, Je le veux !
Il eût à peine prononcé ces mots que je me cambrais dans un rugissement bestial, hurlant ma jouissance à corps et à cris, tandis que le Maître me regardait intensément, mais sans pour autant se laisser aller. Lorsque mon orgasme se fut calmé après de nombreux spasmes irradiant tout mon corps telle une décharge électrique me parcourant de la tête aux pieds, il se retira et senfonça comme dans du beurre au plus profond de mon cul et toujours sans prémices.
- Ma merveilleuse petite chienne, jouis autant que tu le voudras pour Moi, pour mon plaisir, je le veux ! Alors profite-en ! Car ce ne sera pas toujours le cas !
Et il se mit à me besogner le cul tellement fort quà chaque coup de reins, je remontais un peu plus, autant que mes entraves pouvaient le laisser faire, vers la tête du lit.
- Mon adorable petite chienne, Jai vu la vidéo de ce matin, tu as affronté cette épreuve magnifiquement. Je suis vraiment très fier de toi
Mais, dit-Il en se redressant légèrement et me regardant, tu pleures ? Pourquoi ? Parle sans crainte, tu peux tout me dire, tu y es autorisée !
- Cher Maître, je sais quune soumise na droit à aucune pudeur, ni aucune honte. Cependant, à travers la protection dun écran, il ma toujours été plutôt facile de Vous obéir sans poser de questions. Là je navais plus aucun moyen de me protéger, et aucun moyen de my soustraire, mis à part partir et Vous quitter pour toujours, ce qui mest devenu totalement impossible, je ne pourrai plus revenir en arrière et ne plus Vous avoir dans ma vie. Il sest passé quelque chose de bizarre, cest comme si mon âme avait quitté mon corps. Mon corps subissait, et mon âme était venue Vous retrouver, prosternée à Vos pieds.
- Ma belle chienne ! Tes mots me ravissent ! Effectivement la soumission na pas le même gout en réel quen virtuel ! Ce que tu ressens sans pouvoir te lexpliquer, c'est la plénitude de la soumise davoir le lâcher prise total envers Moi, et cela ca te procure un immense bonheur interne, un bien-être de te donner à fond pour le Maître sans te poser de questions, sans craintes, sans honte, sans pudeur. Tu te sens devenir un peu plus soumise. Tu ressens cette nécessité d'être ce que tu es au plus profond de toi, mais surtout de le vivre. Certaines des barrières qui te restaient sont tombées aujourdhui, et jen suis très heureux pour Moi, mais pour toi aussi, car tu vas pouvoir continuer à avancer sur le chemin de ta soumission salvatrice à Mes pieds.
- Maître, cela semble si simple, si évident, expliqué comme Vous venez de le faire.
Puis descendant du lit et me prosternant, je me suis permise de rajouter :
- Je Vous suis tellement reconnaissante Maître Vénéré de me servir de guide sur ce chemin ! Plus que jamais je men remets à Vous, mon corps, mon âme, Vous appartiennent, toutes mes pensées sont tournées vers Vous, Votre satisfaction et Votre plaisir ! Cest la première fois aujourdhui que je mautorise à Vous appeler Maître Vénéré. Je Vous ai toujours fait confiance, jai toujours eu un profond respect et une profonde admiration pour Vous, jai très vite éprouvé de lAdoration pour Vous. Mais avec cette matinée, cette récompense, mes sentiments envers Vous ont encore augmentés, ils atteignent un niveau que je naurai jamais cru possible, jamais je naurai pensé possible de me donner autant à quelquun. Mais je sais que Vous nêtes pas quelquun de quelconque, Vous êtes Le Maître. Oui cette fois-ci, jen suis sûre, je Vous suis entièrement soumise, dévouée, je nai plus aucune raison dexister dans ce monde si ce nest pour Vous, par Vous, sous Votre Dominance ! Oui je Vous vénère Maître !
- Ma sublime soumise ! Je suis très touché par ta déclaration, mais je te conseille dattendre la fin de cette soirée pour que tu sois sûre de ce que tu viens de me dire, car ce soir, je vais encore exiger beaucoup de toi ! Il te faudra encore faire tomber des barrières, et ce ne sera pas ment facile ! La soumission nest pas toujours un univers aisé dans ses actes, mais la plénitude et le bonheur de servir le Maître est une grande récompense, tu le découvriras ! Et si tu passes avec brio cette soirée, la récompense que je te réserve devrait te faire oublier les difficultés qui te sembleront parfois peut-être insurmontables, mais noublie pas que sous Mon Joug, rien de mal ne peut tarriver, et jamais il ne sera fait atteinte à ta santé, je ne te mettrai jamais en danger
- Maître Vénéré, je Vous fais entièrement confiance, et jaffronterai les épreuves de ce soir avec tout le courage possible.
- Bien, relève-toi à présent. Tu es descendue du lit sans autorisation, mais je ne ten tiendrais pas rigueur pour cette fois, cependant Ma noble queue est toujours souillée, et elle a besoin dun bon nettoyage ! Remonte sur le lit et mets-toi à quatre pattes au-dessus delle.
Je me relevais avec empressement et joie pour mexécuter. Je grimpais au niveau du pied du lit, et remontais en rampant vers la queue du Maître. Là je me redressais en prenant la position exigée, et plongeais ma tête en avant, langue tirée, et je commençais à lécher le noble membre toujours dressée, avant de le prendre le plus profondément possible en bouche. Je le nettoyais avec application, et je le sentais gonfler de plus en plus sous mes caresses buccales reprenant toute sa vigueur.
- Humm bonne chienne ! Ta bouche est vraiment accueillante ! Mais je te rappelle que je voulais te prendre dune autre manière, nest-ce pas ?
Je me retournais donc et me mettais en levrette, Lui présentant volontiers mon cul et la rondeur de ses fesses.
- Je suis sûr que Ma petite chienne doit avoir soif, dit le Maître en installant devant ma tête, un carré de nappe imperméable et une gamelle pleine deau. Il ne sagirait pas de tremper Mon lit, alors fais attention en lapant ! Toute goutte deau renversée sera sanctionnée !
Tandis que je commençais à boire mon eau en levrette, je sentis le Maître se placer derrière moi, présentant Sa queue devant ma petite porte secrète qui souvrit volontiers lorsquIl voulut voir ce qui se passait de lautre côté. Les coups de reins du Maître furent de suite puissant même sIl commença par un rythme relativement lent, senfonçant toujours jusquà la garde. Je ne pus rester longtemps sans renverser un peu deau, et à chaque fois une claque venait sabattre sur lune ou lautre de mes fesses. Plus le Maître augmentait la cadence, plus leau versait, plus mon cul chauffait. Je ne me contentais pas de laper leau de la gamelle, je nettoyais aussi la nappe imperméable, pour être sûre que leau ne puisse mouiller les draps de soie du lit. Cela dit, ils risquaient fort de finir par shumidifier dune autre manière car ma chatte coulait tout ce quelle pouvait et je sentais la cyprine qui sécoulait le long de mes cuisses. Nayant reçu aucune nouvelle autorisation, je ne mautorisais pas à jouir, mais je serrais les dents et me mordais les joues au sang, car le plaisir me brulait le bas-ventre, autant que mes fesses qui devaient être rouges cramoisies. Les coups de boutoir du Maître se faisaient plus intenses, et Il ne tarda pas à simmobiliser dans de longs râles pour vider une nouvelle fois Sa noble semence au fond de mes entrailles en des jets saccadés ponctués par des ultimes coups de reins profonds ...
- Cest bien Ma chienne ! Je suis ravi de voir que tu nas pas joui, car effectivement tu nen avais pas lautorisation. Pour les épreuves de ce soir, je te veux brûlante, en manque, excitée. Viens me nettoyer la queue, et après je te laisserai entre les mains de Mes fidèles soumises vivant au Château, pour te préparer pour cette soirée, qui te restera, jen suis sûr, inoubliable !
Jobéis instantanément, me demandant ce qui pouvait bien mattendre pour cette dernière soirée au Château, avant que je ne reparte vers ma vie vanille après ce merveilleux week-end
(A suivre
)
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