Donjons Et Dragons - 6
Depuis plusieurs jours, je suis me suis soumise sexuellement à une sorcière qui prend plaisir à me posséder sexuellement, me rendant plus soumise à chaque séance de domination grâce à ses puissants charmes magiques. Moi qui souhaitais seulement devenir une dame de la cour du château où jétais paysanne, je suis devenue son jouet sexuel
Ce soir-là, ma Maîtresse avait décidé dorganiser une soirée, un bal, pour me présenter à toute la cour du château. Sur le trajet, nous avions croisé mon meilleur ami denfance, qui navait pas hésité une seule seconde à me pénétrer et me souiller lorsquil eut compris que je nopposerais plus jamais aucune résistance. Il avait tout de suite saisi, en me voyant nue et attachée à une laisse, derrière ma Maitresse, que jétais devenue un jouet sexuel. Ma Maitresse est formidable, elle ma autorisé à le branler puis à faire lamour avec lui dans les couloirs du château, sous son regard bien entendu. Elle nhésite pas à me partager, pas jalouse. Cest une personne incroyable en qui jaccorde de plus en plus de confiance, autant que de crainte à vrai dire. Je suis si fière dêtre sa soumise.
Cétaient les seules pensées que jétais encore capable darticuler, tellement son pouvoir mental sur moi mempêchait demprunter des réflexions plus complexes. Jétais devenue bête, mais aussi plus heureuse. Javais un but dans la vie à présent, la satisfaire, et cest tout ce qui comptait à mes yeux. Ses maléfices me condamnant à ne plus jamais porter de vêtement de toute ma vie, et le fait que sa cyprine magique rendait mon corps toujours plus désirable et vulgaire à chaque lampée ne me semblaient plus que des cadeaux quelle me faisait pour prendre la bonne décision : accepter mon statut dobjet, de meuble, et me soumettre au désir des humains qui me possèdent, comme une bonne petite chienne.
Cest sur ces réflexions que les grandes portes de la salle de bal apparurent dans mon champ de vision.
Je remarquais alors quil restait un peu de sperme de mon meilleur ami sur mon corps, et voulant paraître présentable, je commençais à me nettoyer en me léchant.
- Non, tu peux rester ainsi, personne ne sera choqué, cest la fin de la journée, cest normal que tu sois déjà souillée. Cest même plutôt un signe que tu fais bien ton travail, me fit remarquer Maitresse, et jarrêtais sur le champ.
Nous entrâmes dans la salle de bal. Le décor était magnifique. De grands chandeliers illuminaient lendroit, et les lumières se reflétaient sur les nombreux miroirs et les dorures des fauteuils et des verres en or où coulaient lalcool. Il y avait des hommes, dans leurs costumes militaires, de grandes chemises, qui discutaient bruyamment au fond de la salle. Dautres semblaient être de riches marchands, et débâtaient de sujets commerciaux que je navais plus les capacités de comprendre. Jadmirais ces gens et leur élégance.
Et puis je vis les dames de la cour. Elles étaient debout en formant plusieurs cercles, et portaient dincroyables robes richement décorés. Elles possédaient des bijoux de la tête au pied, ça brillait. Je ne pouvais me retenir de laisser couler une larme en voyant ça ; il y a quelques semaines encore, cest à cette vie-là que jaspirais. Et pas être un objet sexuel dénué de volonté propre. Mais le destin en avait voulu autrement, et je le remerciais pour ça.
En me voyant arriver nue, en laisse par la sorcière Astradesy, ma Maîtresse, avec du foutre collant sur mon ventre et mes yeux candides, les discussions se turent rapidement. Maitresse savait faire ses entrées, et était devenue le centre dattention de la soirée, grâce à la surprise quelle apportait ce soir. Jétais la surprise.
Certains pouffaient, certains hommes séchangeaient des regards entendus, quand des femmes se moquaient avec méchanceté de ma condition. Mais lune des femmes sapprocha, me reluquant de la tête au pied sans aucune gêne, comme si il ne subsistait déjà plus dâme derrière mon corps de poupée gonflable. Mes seins imposants étaient là, mes fesses baisables étaient là, ma bouche de suceuse était là aussi, mais moi, je nétais pas là.
La femme, qui portait une robe verte somptueuse, me dominait dune tête. Elle sadressa à Maîtresse :
- Bonsoir, Astradesy. Cest donc la petite chienne dont on entend tant parler en ce moment. Vous avez tenu parole, elle est absolument vulgaire. Particulièrement la poitrine. Magnifique, décrit-elle me pinçant un téton comme si je nexistais pas. Vos pouvoirs sont stupéfiants.
- Cela fait un peu plus dun mois que la petite chienne sest soumise à moi, Lady Adrianna, répondit Maitresse avec sa voix lente et enchanteresse, mais cette fois avec un respect que je ne lui connaissais pas. Mais elle est déjà mûre. Elle avait un grand potentiel pour obéir, même dans sa vie passée.
Je navais jamais été aussi humiliée de toute ma vie. Lady Adrianna continuait de me triturer mon téton. Javais mal. Javais toutes les peines du monde à croire que jétais capable de dire encore quelque chose, tant jétais sous lemprise mentale de ma Maitresse. Il me semblait que je ne pouvais plus que pousser de petits gémissements. Cest donc ce que je fis. Je gémis. Mais de ma bouche sortit un gémissement de plaisir, un gémissement sexuel. Pas du tout celui que je pensais faire ! Cela se confirmait : je perdais lusage de la parole.
- Tu aimes ça, hein, obéir ? Continua Lady Adrianna. Atradesy, très chère, pourquoi ne feriez-vous pas une démonstration de vos pouvoirs ?
Toute la salle était scotchée sur moi, à présent. Maitresse sourit. Elle se dirigea lentement vers un fauteuil confortable, en prenant son temps.
Je compris ce que lon attendait de moi. Alors comme dhabitude depuis plusieurs semaines, je me suis mise à quatre pattes, avançant en direction de ma Maitresse comme la petite chienne que jétais. Jentendis un « elle est trop mignonne » derrière moi. Cest presque si je rougissais.
A la hauteur de ses cuisses, je mavançais doucement, les fesses bien levées, pour poser ma bouche sur son mont de Vénus. Comme par magie, je me retrouvais de nouveau à ne penser plus quà elle, et son désir. Je commençais à lécher son bourgeon. Elle me congratula en me caressant légèrement les cheveux.
Je me rendis compte alors que sa cyprine avait un gout particulier, encore plus fort que dhabitude ; plus magique, en fait. Je léchais, triturant son clitoris avec le bout de ma langue, tout en comprenant que jallais subir de nouveau des transformations irréversibles. Et pourtant, je ne pouvais pas marrêter, cétait ma destinée de continuer ! Plus rien ne pourrait me stopper, jallais la faire jouir, comme tous les jours, cétait mon rôle dans lunivers ! Je suis une soumise, je ne suis bonne quà obéir et servir de sextoy. Alors voilà, je léchais, sans me fatiguer, en avançant vers mon triste sort.
Je sentis une paire de main caresser sans grande délicatesse ma paire de fesses. Je sentais ces mains parcourir le bas de mon dos, descendre entre mes fesses, caresser mes lèvres vaginales, passer un doigt à lintérieur de ma cavité. Je remontais encore plus mon bassin : ces caresses imprévues, si elles nétaient pas des plus douces, entraient parfaitement dans ma folie sexuelle de soumission. Je gémis. Je ne savais plus faire que ça après tout, autant en faire profiter les autres. Je gémis encore, plus fort, quand je sentis quune bite sapprochait de mon cul. Jallais être mangée en sandwich.
Le pénis brûlant, dun homme de lassistance probablement, vint écarter mes deux rondelles.
Il rentra progressivement, et cest là que je commençais à ressentir du plaisir. Je ne le cachais pas, remuant du cul, gémissant de plus belle. Jimaginais que la moitié de la salle devait me regarder sucer ma maitresse et être sodomisée par un inconnu en mouillant énormément. Peut-être que certaines femmes avaient passé leur main dans leur robe. Peut-être que certains hommes avaient sorti leur bite pour se branler en public, profitant du chantier que nous faisons, ma Maitresse et moi, pour assouvir un fantasme dexhibition à leur tour.
Cest à ce moment-là que je sentis de nouveau la magie de ma Maitresse entrer en moi à nouveau. Je savais quil se passait quelque chose de diabolique dans mon corps, une nouvelle manifestation de son emprise sur moi, et lobéissance que je lui devrai pour léternité et inconditionnellement. Un parfum de désir se répandait dans mes narines, une fragrance très féminine mobstruait les narines. Je sentais que cette odeur devait venir de moi. Maitresse commençait à avoir le souffle court. Est-ce que je transpirais ? Il mavait semblé que parmi les transformations que javais subit, je ne pouvais plus transpirer, et mes poils ne poussaient plus. Mais non, ce nétait pas de la transpiration : cétait ma nouvelle odeur naturelle !
Les yeux écarquillés, à moitié sous la robe de ma maitresse, je voyais quelle avait compris que javais saisi ce quil se passait. Ellle arborait un sourire démoniaque, mais était au bord de lexplosion. Jentendais lassistance sagiter, il y avait du bruit derrière moi. De plus en plus de bruit. Je continuais de lécher, mon visage était complétement recouvert de ses fluides ensorcelés. Maitresse gémissait dune voix roque. Toute puissance, elle se déchaîna dans un orgasme bruyant, entrainant larrivée dénormément de fluides sur mon visage. Toujours entre ses cuisses, ses liquides dégoulinèrent sur mon cou, puis ma poitrine, avant de tomber au sol en formant une flaque.
Simultanément, lhomme qui me pilonnait arrivait aussi à sa jouissance, et je sentais dans ses coups accélérés quil allait lâcher. Je fermais les yeux, réalisant mon abandon total au plaisir et à mon obéissance, et je sentis sa purée se déverser dans mon cul, alors quil senfonçait jusquà la garde, me dominant de ses mains puissantes de part et dautre de ma taille. Par la même occasion, je recevais du liquide chaud sur mon dos. Souillée et humiliée jusquau bout, je me dégageais de lentrecuisse de Maitresse pour reprendre ma respiration.
En levant les yeux vers le reste de la salle, alors que ma Maîtresse semblait sêtre évanouie devant tant defforts et de plaisir, je contemplais le tableau apocalyptique de dizaines dhommes se masturbant dans ma direction. Quelques à deux mains sur leur hampe, dautres se malaxaient les couilles. Tous avaient leur sexe pointés dans ma direction, prêts à éjaculer par litres sur mon corps. Je me retournais subitement, le dos au sol, terrifiée par ce quil était en train darriver : mon parfum nouvellement acquis semblait agir comme une émanation aux pouvoirs hypnotiques. Je réalisais à peine ce que je voyais : autour de moi, énormément de femmes sétaient assises, avaient relevés leur robe, et se frottaient frénétiquement le sexe. Il semblait impossible de les arrêter. Certaines se léchaient les seins, sortis de leurs corsets. Et jétais au centre de ce cercle refermé sur moi, prête à recevoir des décharges de semence sur le corps. Je ne savais pas comment réagir. Maitresse ne mavait pas préparé à ça. Je nétais pas mentalement taillée pour ça. Pas encore. Cétait trop tôt. Elle était allée trop vite dans mon avilissement. Jétais terrifiée.
Lady Adrianna aussi se massait avec application son bouton damour. Elle me regardait avec un regard dément, et lorsque nos yeux se croisèrent, il y eu comme un déclic pour elle. Elle sapprocha de moi, en déchirant sa robe, se retrouvant nue elle aussi devant tous ces gens importants. Son mari, le seigneur Leaves, ne décrochait pas le regard de mon anatomie était sa main continuait inlassablement ses va-et-vient sur sa hampe. Lady Adrianna, à présent totalement dévêtue, tomba au sol à quatre pattes, et se plaça au-dessus de moi, la poitrine dirigée vers elle. Elle me protégait ? Non ! Elle en voulait plus ! Je le compris quand elle passa deux doigts pour me pénétrer. Je cria avec force sous le choc et lémotion. Nos yeux étaient dirigés lune vers lautre. Je percevais un charme magique dans son regard, elle nétait pas en possession delle-même. Elle DEVAIT me baiser.
Je restais clouée là, tétanisée par la situation, essayant de me soulever tant bien que mal alors que Lady Adrianna était positionnée au-dessus de moi. Les doigts pleins de ma mouille, elle me saisit le visage, relevant mon buste à sa hauteur, en ayant toujours les flots de cyprine de Maitresse sur mon visage et mon cou. Je ne savais plus comment réagir. Cette situation extrême avait réduit considérablement lemprise quavait Maitresse sur moi. Ou peut-être était-ce parce quelle était inconsciente.
Lady Adrianna membrassa alors. Elle passa sa langue entre mes lèvres. Je lui rendis son baiser, ayant perdue totalement la notion de limites. Je lui saisis les hanches, la serrant contre moi, et nous nous embrassâmes. Nos lèvres restèrent collées lorsque plusieurs giclées de foutre atterrirent sur son dos et mes jambes. Sa langue continua de rencontrer la mienne alors que du sperme venait souiller mes cheveux. Nous étions toutes les deux hypnotisées par cette bulle de réconfort et de chaleur, dans cette scène apocalyptique où tous les autres individus semblaient zombifiés.
- NON !!!! Hurla maitresse en se redressant.
Soudain le charme prit fin. Les hommes se regardèrent, leur bite à lair, avec un sentiment de honte et de gêne. Les femmes remirent prestement leur robe daplomb.
Maitresse nous fixait toutes les deux, Lady Adrianna et moi. Nous nous lâchèrent. Rien ni personne ne pouvait prétendre ne pas avoir vécu ce quil sétait passé. Maitresse était tétanisée. Puis soudain, Adrianna, reprenant ses esprits, écarquilla les yeux elle aussi : elle venait, par lintermédiaire de notre baiser, de goûter à la cyprine envoutée de ma Maitresse. Qui sait ce qui allait se produire ?
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