Katherine Et Kévin 2
Je montai dans le train, heureuse que cette journée de cours soit finie. On était vendredi en fin d'après midi, et après une longue semaine de boulot à la fac, le week end arrivait enfin. J'étais d'autant plus ravie, que ni mes parents, ni mon frère ne seraient là ce soir, étant partis en vacance, ce qui me laisserait tout le loisir de sortir quelque part et d'y ramener le mec de mon choix pour une nuit de folie. Au cas où j'aurais croisé un beau mec pendant la journée, j'avais déjà mis une tenue assez sexy : j'étais en débardeur bleu, au décolleté large et portais un jean moulant qui mettait bien en valeur mon fessier. Lorsque j'entrai dans le train je vis quelque chose qui changea instantanément mes plans pour la soirée : un beau garçon, grand et musclé, à la peau noire, était assis dans la wagon. Je le reconnus aussitôt, il s'agissait de Kévin. C'était un mec avec qui j'avais couché auparavant, et si on ne l'avait fait qu'une fois, je me souvenais parfaitement de l'incroyable baise que ça avait été
Et j'étais sûre qu'il s'en souvenait lui aussi.
Souriant, je me dirigeai vers lui. Comme il me tournait le dos, il ne me vit pas arriver. Je me mis à genoux sur les sièges derrière lui, et lentement, je me penchai sur sa tête. Mes cheveux chatouillèrent ses oreilles, mais il n'y prêta pas garde. Ce ne fut que lorsque mes lèvres effleurèrent son oreille, et que je lui murmurai : « salut beau black » qu'il s'aperçut de ma présence.
Il sursauta et se retourna. « Ah c'est toi ! » S'exclama-t-il. « T'es conne, tu m'as fait peur ! »
« Oooh désolée ! Je voulais pas t'effrayer, je sais que t'as les nerfs fragiles ! Susurrai je. »
« Fais attention à toi, je pourrais me fâcher si j'ai les nerfs fragiles
Répliqua-t-il. »
« Fâche toi si tu veux, ça me fait pas peur, la dernière fois j'ai bien vu que même en te fâchant tu restais un faible »
Je savais que le provoquer ainsi le rendrait vite fou.
« Toi il faut vraiment que je te remette à ta place un de ces jours. »
« Eh bien chez moi il n'y a personne si tu veux tenter ta chance à nouveau... »
« J'ai un rencard avec une rousse ce soir, elle est super bonne en plus, d'énormes seins et tout... »
« Oh la belle excuse, je crois surtout que tu as peur que je te fasse la même chose que la dernière fois
. Ricanai-je. »
« Je te démonterai une autre fois... »
« Non, on baise ce soir. Tu dis à ta poil de carotte que tu viendras pas, et tu ramènes tes fesses chez moi. Je suis grave en manque en plus, alors je te garantis que tu le regretteras pas
»
Je le vis hésiter : d'un côté il devait sans doute se dire que ça se faisait pas de laisser tomber son rencard de ce soir, et d'un autre, il savait pertinemment que je ne mentais pas, et qu'il ne le regretterait pas. De plus, l'envie de prendre sa revanche devait le travailler, j'avais été jusqu'à l'attacher à mon lit, pour le de façon délicieuse, avant de le sodomiser. On ne subissait pas ce genre de traitement sans vouloir sa revanche. Il finit donc par céder à son désir.
« Ok, je lui envoie un SMS pour lui dire que je la verrai une autre fois, et on va chez toi que je m'occupe de ton cas... »
Je souris, ravie de ce programme. Le trajet en train jusqu'à chez moi me parut durer une éternité. Je dévorais des yeux Kévin, anticipant avec délice le moment où je pourrais en faire mon jouet. Nous finîmes enfin par arriver à la gare, et après un court trajet à pied, nous fûmes devant chez moi. Kévin voulut se jeter sur moi immédiatement, mais je le repoussai : autant par jeux, que par envie de ne pas trop passer pour une « pute » aux yeux des voisins.
Sitôt la porte fermée, je me jetai sur Kévin, enroulant mes bras autour de son cou, et lui dévorant la bouche avec un soupçon d'agressivité. Il me rendit mon baiser avec virulence, me souleva et m'écrasa littéralement contre la porte, tout en m'embrassant avec furie. Il me tenait plaquée contre la porte, écrasait mes seins à travers mon débardeur d'une seule main, tout en m'embrassant sans cesse plus sauvagement. On venait à peine de commence le premier baisée, mais j'étais déjà folle de désir, brûlante de passion. Sentir sa force de « mâle » m'excitait au plus haut point, et j'avais hâte de m'essayer au domptage de ce mâle si puissant. En attendant, j'enroulai mes jambes autour de sa taille, pour profiter à fond de ce baiser volcanique. Décidée à le titiller un peu, je lui tirai les cheveux, ce à quoi il répondit en me plaquant plus fortement encore contre la porte, m'arrachant un cri de plaisir, de douleur, et d'excitation mêlées.
Au bout d'un moment, le baiser devint insupportable, et l'on préféra y mettre fin. Kévin me lâcha, et l'attrapant par la ceinture de son jean, je l'emmenai dans le salon. Là, je le jetai sur le canapé, et il s'y effondra sans plus de résistance. Un sourire gourmand aux lèvres, je lui retirai le jean, avant de me mettre à genoux devant lui, et de lui saisir son caleçon avec les dents. Je le retirai en le regardant bien droit dans les yeux. Je le sentis frémir d'excitation devant ma sauvagerie. On en arrivait à son moment préféré
et au mien. Je me sentais chaude comme la braise, j'avais hâte de passer à l'étape supérieure, mais j'adorais jouer avec le feu, quitte à me brûler. En lui retirant son caleçon je libérai son énorme sexe de 22 centimètres.
Je me levai et vins à califourchon sur lui. Profitant du fait qu'il était toujours sonné par ma fellation magistrale, je l'embrassai furieusement, tout en le plaquant contre le dossier du canapé. Je retirai promptement mon jean et mon shorty, gardant le haut, avant de m'empaler sur son énorme queue. Rien qu'en la faisant entrer en moi, je poussai déjà un grand cri de plaisir tant elle était grosse. Je me hâtai de chevaucher cet immense pieu dressé pour moi. Je me mis à aller d'avant en arrière très vite, culbutant férocement Kévin, l'envoyant cogner le canapé. Je saisis son menton et l'obligeai à me regarder droit dans les yeux pendant que je le baisais comme une furie. Kévin ne tarda pas à gémir de plus en plus fort, tandis que des frissons de plaisir me parcouraient l'échine. Plus le temps passait, et plus je me déchaînais. Le rythme de mes assauts s'intensifiaient, le plaisir montait en moi et me faisait tourner la tête, tandis que je baisais Kévin comme une folle, lui malmenant la bite qui cognait inlassablement le fond de mon intimité avec délice. Je lui arrachai sa chemise la déchirant presque, et lui griffai le torse, avant de le gifler. Vu son caractère, je m'attendais à une réaction de sa part, à une tentative de reprendre le dessus.
Sonnée et comblée, je me laissai tomber en arrière, hors d'haleine. Ce que je venais de vivre était tout simplement délicieux, j'adorais baiser de manière si sauvage. Et surtout, j'adorais dominer une baise si sauvage. Redressant légèrement la tête, j'observai Kévin, étendu à l'autre bout du canapé. Il semblait encore plus sonné que moi. Je décidai de retourner le couteau dans la plaie. Lui donnant un petit coup de pied, je lui dis :
« Je m'attendais à plus de résistance de ta part. Là j'ai eu l'impression de baiser un petit puceau. Enfin, pas grave, l'important, c'est que ta première fois se soit bien... »
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase. Kévin venait de se redresser d'un coup, et de me tirer par les jambes jusqu'à me ramener très près de lui. « Tu vas regretter de m'avoir dit ça », lança-t-il avec une menace dans la voix. Je n'en revenais pas. On venait juste d'avoir un terrible orgasme après une baise très sauvage, et déjà, il rebandait à fond. Sonnée et prise par surprise, je sentis que j'allais passer un sale quart d'heure
Je voulus me redresser pour entamer les hostilités, mais Kévin me saisit par le cou, et me plaqua contre le canapé, avant de me saisir les mains, et de me les tenir. J'étais en son pouvoir, pour l'instant du moins. Il se jeta sur moi, et m'embrassa avec une sauvagerie sans pareille. Je tâchai de lui rendre son baiser, mais c'était clairement lui qui donnait le ton. J'enroulai mes jambes autour de sa taille, et tentai de le renverser. Mais je ne parvins même pas à le faire bouger. Kévin me souleva légèrement, avant de me re-plaquer contre le canapé, histoire de bien me faire sentir qu'il était le chef. Après quoi, il me pénétra d'un coup sec, m'enfonçant avec un soupçon de brutalité ses 22 centimètres. Il se mit à me baiser très sauvagement, me tenant fermement pour que je ne puisse pas bouger, tandis qu'il me limait avec vigueur. Son énorme queue allait et venait à fond en moi percutant le fond de mon intimité avec vigueur, ses hanches s'activaient à un rythme infernal, et quant à moi, j'avais l'impression d'exploser de plaisir à chacun de ses coups. Je devenais complètement folle, et ne tardai pas à pousser des cris de plaisir qui tirèrent à Kévin un sourire satisfait. « Je te baise bien hein salope ? On fait plus la maligne là ? » Il saisit mon débardeur que je portais toujours, et me le retira d'un coup. Puis, il m'arracha mon soutif, et se mit à malaxer ses seins avec force. « Je te veux à poil ma salope », dit il avec un sourire gourmand. A ce stade, je voulus reprendre le dessus. Je saisis ses mains qui malaxaient mes seins, et voulus les lui tirer pour l'amener contre moi et le renverser. Mais lorsque je les lui saisis, il me saisit à son tour par les poignets, et m'immobilisa de force.
Puis, il me souleva, et me jeta de face contre le fauteuil. Je m'y étalai avec force, j'eus même peur de faire basculeur le fauteuil. Il vint derrière moi, et me tira les cheveux pour m'obliger à le regarder. Puis, avec un sourire satisfait, il me pénétra à nouveau avec vigueur. Il se mit à me démonter littéralement en levrette. Avec une bite aussi énorme, cette position devenait insupportable de plaisir. A chaque coup, il me défonçait complètement, et m'arrachait des hurlements de plaisir. Et il allait à un rythme extrêmement rapide, comme si son but était de me faire oublier jusqu'à mon prénom à force de plaisir. On en était pas loin : à chacun de ses allers retours tout mon corps explosait d'extase, ma vue se brouillait complètement et je criais à fond. Kévin me tirait les cheveux, et m'enfonçait la tête dans le dossier du fauteuil, ou au contraire me tirait la tête en arrière pour pouvoir contempler mon visage en proie à l'extase. Il me claquait les fesses, m'écrasait les seins avec ses grandes mains, bref disposait totalement de mon corps, et en profitait comme un jouet. Il se mit à encore accélérer le rythme, et j'eus la nette impression qu'il allait me . Le plaisir était trop fort, trop intense, mon esprit était en ébullition, et j'avais l'impression d'avoir de la lave en fusion dans les veines. Je finis par avoir un énorme orgasme, aussi intense que le premier qui me vida totalement de mon énergie. Le pire, fut que Kévin n'avait pas encore joui lui, si bien qu'il continua à me baiser, prolongeant cet orgasme encore et encore, jusqu'à ce que je perde presque connaissance. Lorsque enfin il jouit à son tour, il cessa de me baiser, et je pus m'effondrer sur mon fauteuil, haletante et la tête qui tournait. Je mis un bon moment avant de retrouver mes esprits.
Kévin était assis sur mon canapé, l'air très fier de lui. « Eh bien, ma petite chienne, je t'ai bien dressée, pas vrai ? »
Le visage rougi par le plaisir, le souffle court, le corps encore palpitant, je répondis « bof, j'ai pas ressenti grand-chose en fait ».
Une telle mauvaise foi fit bondir Kévin. Il était bien décidé à me donner une sacré leçon. En riant, je courus jusqu'à ma chambre, escaladant mon escalier quatre à quatre, Kévin sur mes talons. Il me rattrapa lorsque j'arrivai dans ma chambre. Il me saisit par les hanches, et me colla à lui. Vive comme l'éclaire, je me retournai, enroulai mes bras autour de son cou, et l'embrassait avec fureur. Il me rendit mon baiser, cherchant à donner le ton, en vain. Je le collai contre moi, l'embrassai toujours plus vigoureusement, et je sentais que je prenais le contrôle dans le baiser
Jusqu'à ce que soudain, Kévin me saisisse, me retourne, et me jette sur le lit. Je ne m'étais pas méfiée, j'étais vraiment stupide. Je sus que j'allais payer mon inattention très cher
Je ne me trompais pas. Kévin vint derrière moi sur le lit, et me saisit par la nuque. Je voulus me dégager, mais il me tenait bien. Il me fit me mettre à quatre pattes, et lentement, m'embrassa le dos, puis le bas du dos, puis les fesses. Puis d'une voix à la fois douce et menaçante, il dit : « tu te souviens de ce que tu m'as fait la dernière fois ? » Lorsqu'il mit son engin devant l'entrée de mon cul, je compris de quoi il parlait, et me raidis. J'allais vraiment passer un sale quart d'heure, mais ça m'excitait au plus haut point.
Progressivement, Kévin inséra son énorme queue dans mon petit trou. Même pour moi qui y était habituée, c'était horriblement douloureux. Ce ne fut que lorsqu'il eut enfoncé ses 22 centimètres, et démarré ses va-et-vient que le plaisir remplaça la douleur. Et quel plaisir ! A chacun de ses coups de reins, mon cul était totalement défoncé par son énorme queue, et j'en éprouvais un plaisir terrible. Il me baisait à un rythme extrêmement élevé, si bien que j'avais l'impression d'exploser de plaisir à chaque seconde. Tout mon être était en feu, des pieds à la tête je vibrais sous l'extase. Tout en me donnant de gros coups de reins, Kévin me tirait les cheveux pour m'obliger à le regarder, ou pour simplement me secouer la tête, histoire que je sente bien qu'il était le maître. De temps en temps, il ralentissait le rythme pour me donner des coups de reins plus secs, plus secs, qui allaient plus profondément, et m'arrachaient à chaque fois des petits cris aigus. « C'est ça ! Couine salope ! », lança Kévin satisfait de ce qu'il me faisait. Il se remit à accélérer ses coups de reins, allant à un rythme infernal. La douleur était bien là, mais noyée dans un océan de plaisir brut qui ne faisait qu'augmenter encore et encore. Tout mon corps tremblait, mon cerveau était en ébullition, j'étais ballottée par ses puissants coups de reins, et je me sentais presque sur le point de m'évanouir. Je gémissais en continu, et me mis à crier : « stooop stoop j'en peux plus arrête, je vais mourir ! ».
Infatigable et impitoyable, Kévin poursuivit sur sa lancée, bien décidée à me maintenir dans cet état de totale soumission. Quant à moi, je savais que je devais me révolter, si je ne voulais pas finir à ses pieds. Je me mis à lentement donner moi aussi des coups de reins par derrière, participant d'abord faiblement, puis de plus en plus activement à la baise. Je secouais mon cul d'avant en arrière, de gauche à droite, secouant la bite de Kévin toujours fichée en moi. Mon bel étalon poursuivait ses coups de reins bien sûr, mais il n'était plus le seul à être actif. Lorsque je me mis à soudainement accélérer le rythme de mes assauts, Kévin poussa un gémissement, et je sus que je tenais le bon bout. Je me mis à genoux, et me mis à aller et venir d'avant en arrière, paralysant littéralement Kévin sous le plaisir. C'était aussi terrible pour moi, question plaisir et un peu douleur, mais je reprenais le contrôle, et c'est tout ce qui comptait. Mais Kévin ne l'entendait pas de cette oreille. Il me saisit par la nuque, et me poussa vers l'avant, m'écrasant contre le matelas. J'étais allongée sur le ventre, Kévin sur mon dos, sa bite toujours dans mon cul. Ca s'annonçait mal pour le reprise en main
« Cette fois, tu restes soumise ma pute, tu t'en sortiras pas comme la dernière fois. » Et sur ce, il se remit à me limer le cul avec force tout en me tenant par la nuque, me maintenant plaquée contre le matelas. J'étais sa prisonnière, tout ce que je pouvais faire, c'était gémir et gémir encore, et prendre mon pied dans cette incroyable baise.
Mais tous les mecs qui ont baisé avec moi régulièrement le savent : je ne suis jamais complètement dominée. Même prise ainsi, je continuais de guetter la moindre faille qui me permettrait de reprendre le dessus. Je finis par trouver une solution : j'enroulai mes jambes autour des siennes le gênant dans ses mouvements, et le déséquilibrant légèrement. Avant qu'il n'aie réagi, je me mis à me secouer par en dessous, malmenant sa bite avec mon cul. Il se mit à gémir, et lorsque la pression qu'il me mettait diminua à cause du plaisir qu'il éprouvait, je pus me libérer. Je le fis tomber sur le côté, et retirai sa bite de mon cul. Finie la sodomie, place à l'andromaque.
Je m'empalai sur sa queue en poussant un gémissement. « Je vais te faire payer ce qu'il vient de se passer ! » Lui lançai-je en défi. Puis, j'entamai de furieux va-et-vient, le baisant avec violence, comme si je pouvais effacer à force de sauvagerie ce qu'il venait de me faire. J'allais d'avant en arrière à un rythme très élevé, gémissant à chaque coup à cause de sa bite qui me démontait à chaque fois. Lui pendant ce temps me tenait par les hanches, et cherchait à contrôler le rythme de la baise. Mais après avoir été si fortement dominée, j'étais en mode trop sauvage pour lui, j'allais trop vite et trop fort pour qu'il puisse chercher à dicter son rythme. « Tu peux rien faire, abandonne toi à ta maîtresse » lui dis-je en lui prenant les mains. La réaction ne se fit pas attendre. Kévin me tira d'un coup, et me renversa, s'installant sur moi. Il se mit à me baiser en missionnaire comme un sauvage, rebondissant sur le matelas, et m'enfonçant dedans. Sa queue me limait avec violence, c'était tellement bon !! Je me remis à gémir à pleine voix, tandis que Kévin me prit le menton pour m'obliger à le regarder droit dans les yeux « c'est qui le maître salope ? ». Je répondis en lui mordant la main qui me tenait le menton. Surpris il me lâcha, et je me jetai alors sur lui, toutes griffes dehors. Je le saisis par la nuque, et le renversai. Je repris ma chevauchée, en le toisant d'un air supérieur. J'avais bien l'intention de gagner cette bataille. Mais Kévin n'avait pas dit son dernier mot. Il me renversa à nouveau, et se remit à me baise en missionnaire comme un sauvage. Il ne se passa pas longtemps avant que je ne le renverse à mon tour.
Nous partîmes ainsi dans une furieuse bataille, chacun d'entre nous renversant l'autre tour à tour. Tantôt je le chevauchais comme une folle, me déhanchant sur lui à fond, tantôt c'était lui qui me baisait, de toute la violence dont il était capable. Le plaisir que nous éprouvions était énorme, nous gémissions de façon quasi ininterrompue nous étions essoufflés et la sueur coulait de nos corps de rêve. Pendant cet affrontement, nous eûmes de nombreux orgasmes. Son énorme bite me faisaient un bien fou, et j'eus trois orgasmes en quelques dizaines de minutes. A chaque fois ça arrivait alors que j'étais au dessus de lui, et à chaque fois, il en profitait pour me renverser. Lui en eut deux, une fois au dessus de moi, une fois en dessous, grâce à ma sauvagerie qui le rendait fou. Fidèle à son incroyable endurance, il tint bon, et poursuivit la lutte. Nous luttions depuis une demi-heure, dans un lit mis sans dessus dessous, et Kévin me baisait en position de l'enclume. Il venait de me renverser une fois de plus, et avait mis mes jambes sur ses épaules, et me démontait comme un sauvage. A chacun de ses coups de rein, j'avais l'impression qu'il allait me transpercer le nombril, tant son énorme bite allait profondément en moi. Je gémissais à fond, et sentais l'orgasme approcher. Kévin me regardait droit dans les yeux en souriant. Il me tenait les mains, me baisait avec force, et l'on sentait tous les deux qu'on arrivait au bout de notre endurance. Nous savions tous les deux qu'il était entrain de gagner, que si je ne reprenais pas le dessus maintenant, il allait triompher. Il accéléra d'ailleurs le rythme de ses coups de reins, probablement pour conclure en beauté cette bataille qu'il allait remporter. Seulement, je voulais encore me battre. Faisant appel à mes dernières forces, je le tirai vers moi avec mes jambes enroulées autour de sa nuque. Kévin résista à la pression avec un sourire moqueur. « Tu peux plus rien faire ma chienne, t'as perdu ». Il me donna des coups de reins plus secs et profonds que les précédents, comme pour illustrer ses propos. J'en frissonnai de plaisir, tout en ayant un gros doute : est ce que pour la première fois de ma vie j'allais être mâtée par un homme ? Je m'y refusai. J'enroulai alors mes jambes autour de sa taille pour limiter ses coups de butoir. Cela fonctionna parfaitement, Kévin fut incapable de me baiser à fond. Frustré, il me lâcha les mains, et me saisit les jambes, pour m'obliger à le lâcher. Il venait de faire un grosse erreur, comme l'espérais. Il avait libéré mes mains. Je le saisis par les cheveux, et le tirai vers moi. Il poussa un cri de douleur, tandis que je le renversai, une fois de plus. Je me retrouvai au dessus de lui, position d'andromaque. Je me mis à le baiser comme une folle, allant à fond d'avant en arrière, de haut en bas, de gauche à droite. Mes hanches s'activaient si vite que c'en était douloureux, son énorme bite me défonçait littéralement, mais j'adorais ça ! Kévin tenta aussitôt de me renverser, en vain. Je le baisais trop vite et trop fort, et il était trop épuisé pour faire quoique ce soit. Il me saisit les hanches, pour tenter de diminuer le rythme de mes assauts, mais sa tentative était si faiblarde que je pus aisément accélérer encore le rythme de ma baise. Kévin se mit à gémir à pleine voix, et satisfaite je criai « c'est ça gémis mon petit soumis, crie comme une fille, je vais te montrer qui est la patronne ici ! » Piqué au vif, il tenta une ultime fois de reprendre le dessus, mais je le refoulai d'une gifle bien placée qui l'envoya étalé sur le lit. Je lui souris d'un air moqueur : j'étais essoufflée, en sueur, le visage rougi par l'effort et le plaisir, mais j'étais en train de gagner, de faire de Kévin mon jouet. Je sentais l'orgasme venir, immense et dévastateur, aussi je me mis à bondir sur sa queue, le secouant dans tous les sens, l'enfonçant dans le matelas. Le plaisir explosa en moi en un monstrueux orgasme, que je prolongeai encore et encore, jusqu'à ce que Kévin jouisse à son tour.
Epuisée et comblée, je m'effondrai sur le lit à côté de lui. Le sentiment de victoire m'envahissait, et me rendait fière de moi : ça avait été une rude bataille, mais j'avais su l'emporter ! Toutefois, j'avais encore envie de lui, et surtout, je voulais pousser les choses plus loin, afin de le dominer plus durement encore. Je voulais le mâter cet étalon.
« Je vais me doucher, et quand je reviens, ça va être ta fête, je te préviens. »
Une fois sous la douche, j'entrepris de me décrasser. Après une baise si intense, me débarrasser de toute la sueur n'était pas un luxe. Toutefois, comme je l'avais prévu, la douche fut de courte durée : Kévin vint me rejoindre au bout d'une dizaine de minutes seulement. La douche était étroite, et l'on n'y tenait à peine à deux, et obligatoirement debout. Dans ces conditions, il était facile au mec de dominer la fille : elle ne pouvait pas faire grand-chose. De toutes les pièces de la maison, ma salle de bain, et surtout la douche, étaient les endroits où je m'étais fait le plus souvent dominer. La dernière fois d'ailleurs, Kévin m'y avait joliment démontée. Il entra donc dans la douche en confiance, et se colla à moi avec un sourire conquérant. Seulement, je ne voulais pas me laisser faire. Je lui saisis les boules à pleine main, et les pressait avec un soupçon de force. Son visage se crispa aussitôt, et il comprit qu'il était en mon pouvoir. « A genoux, lui dis je, ou alors je te fais mal. » Je dus accen un tout petit peu la pression pour qu'il obéisse. Il se mit à genoux, et je le saisis par les cheveux, avant d'étendre ma jambe sur son épaule, et de lui ordonner : « bouffe moi la chatte ». Il s'exécuta aussitôt, activant sa langue avec vigueur, la faisant tournoyer telle une tornade, me faisant gémir de plaisir. C'est moi qui dirigeais tout, je dictais mon rythme en le menant par les cheveux, régulièrement, je lui tirais la tête en arrière pour qu'il me regarde droit dans les yeux, et subisse mon regard moqueur et dominateur. Je fis durer ce cuni pendant de longues et délicieuses minutes, jusqu'à ce que je décide avoir pris suffisamment de plaisir. Je me moquais de lui en disant des trucs comme « c'est bien, c'est un gentil garçon », « continue de lécher ta maîtresse, soumis ». Kévin tenta bien à deux ou trois reprises de se rebeller, mais alors je tirais plus fort ses cheveux, tout en lui collant la tête contre la paroi, et là, il ne pouvait plus bouger. Une fois rassasiée, je fis sortir Kévin de la douche, et sortis avec lui.
Nous nous embrassâmes avec passion, tout en sortant de la salle de bains, et en retraversant le couloir et en retournant dans ma chambre. J'étais littéralement déchaînée et lui dévorais presque la bouche, tandis que lui me rendait mon baiser avec un je ne sais quoi de désespéré, comme il sentait bien que le vent avait tourné, et que j'étais entrain de complètement l'emporter sur lui. Je prenais l'ascendant psychologique.
Arrivés dans ma chambre, je n'eus aucun mal à le pousser sur le lit. Je me jetai sur lui, mais il me renversa, et chercha à me plaquer contre le matelas. J'enroulai mes jambes autour de sa taille, et le renversai sur le dos. Rapidement, je m'empalai sur sa queue, et démarrai de terribles va-et-vient. J'allais et venais d'avant en arrière comme une folle, secouant Kévin dans toutes les directions, faisant même s'agiter le lit qui tanguait sous la violence de mes assauts. Kévin se mit bien vite à gémir, et je ne tardai pas à le rejoindre tant il était bon de baiser si sauvagement une queue aussi énorme. Je prenais mon pied comme jamais, mais j'en voulais toujours plus, et plantant mes griffes dans son torse de mâle, je me mis à accélérer encore et encore jusqu'à me trouver hors d'haleine. La baise devenait très sauvage, et Kévin était si malmené qu'on aurait presque pu croire que je le violais à me voir le sauter ainsi. Mon bel étalon me saisit les hanches, et tenta de diminuer la violence de mes coups de reins. D'un air moqueur je lui saisis les poignets et les lui écartai. «il n'y a qu'une seule maîtresse à bord », parvins je à lancer entre deux gémissements. Kévin me tira vers lui, et m'attrapa les cheveux, collant mon visage au sien pour me défier du regard. J'eus un sourire moqueur : il ne se laissait pas faire, ne voulait pas encore capituler : tant mieux ! Il se mit à me donner des coups de reins par en dessous, cherchant à reprendre le contrôle du va-et-vient. Très bien, si il voulait jouer à ça
je me mis secouer mes fesses comme une folle de gauche à droite, malmenant la bite de Kévin, gardant le contrôle du va-et-vient. Kévin me tenait toujours par les cheveux à quelques centimètres de son visage, si bien que je pus le voir se décomposer littéralement sous mes déhanchements, et que lui, put admirer la lueur narquoise qui passa dans mes yeux et dans mon sourire. Sans aucun effort, je me dégageai de sa prise sur mes cheveux, et me redressai. Je repris ma baise plus sauvagement que jamais. « Je te l'ai dit, c'est moi la patronne ici, sois sage sinon... » je finis ma phrase en lui donnant une gifle, suivie d'une seconde sur l'autre joue. Il fallait bien que je marque mon autorité. Kévin voulut se redresser, furieux, mais je lui administrai une troisième gifle, suivie d'une accélération brutale de mes coups de reins. Tout cela, le fit se tenir tranquille, pour l'instant. Je luis lançai : « tu vois ? si tu te comportes pas bien, je te punis
mon petit esclave sexuel. »
Comme il fut incapable de réagir à cette provocation, je pus continuer tranquillement ma baise. J'allais à un rythme très élevé, profitant à fond de son énorme queue, palpant sous toutes les coutures son corps de rêve, me délectant de le voir, en sueur et étendu sur mon lit entrain de gémir sous mes assauts. Je savourais l'effet que me faisait son énorme queue tandis que je la malmenais encore et encore. Lorsque je m'essoufflais, et que le plaisir devenait trop intense, je ralentissais le rythme, et toisais Kévin d'un air supérieur. Je lui saisissais le menton et l'obligeais à me regarder dans les yeux, lui passais mes ongles sur tout le corps, pour le faire frissonner, l'obligeai à me sucer les doigts. Je prenais totalement possession de lui, il m'appartenait, devenait ma chose, mon jouet. Une ou deux fois, il tenta de reprendre le dessus. Mais j'étais trop sauvage, trop indomptable pour être matée. A chaque fois qu'il tenta, il prit une sévère correction, gifles, griffures, morsures étaient au programme. Après, j'accélérais comme une folle, lui faisant à nouveau perdre la tête, et comprendre qu'il ne pouvait rien faire.
Au bout d'un moment, il était tellement sonné, et mâté, que je pus changer de position sans craindre de rébellion de sa part. Je me retournai, et me remis à le chevaucher, mais cette fois ci en lui tournant le dos. Je me déhanchai de gauche à droite comme une danseuse orientale, secouant mon, postérieur à fond, lui offrant un spectacle incomparable. Le plaisir était toujours aussi intense, d'autant que je retrouvai bien vite un rythme soutenu. De plus, j'adorais cette position, qui procurait le même plaisir psychologique que la levrette : celui de baiser sans voir son partenaire. Sauf que contrairement à la levrette, c'est moi qui menais la danse. De temps à autre, je me retournai pour voir ce que faisait Kévin, et j'étais rassurée : il gémissait, se tordait de plaisir, bref était incapable de faire quoique ce soit. Je sentais le plaisir monter et monter encore.
Le grand final approchait. Je voulais voir son visage quand il jouirait pour la dernière fois sous mes assauts. Je voulais voir passer la lueur de défaite dans ses yeux, quand il réaliserait qu'il venait de finir cette journée de baise sous moi, à la merci de mes coups de reins dévastateurs. Je me retournai donc, et le défiant du regard, j'entamai le sprint final. Je me mis à bondir sur sa queue de haut en bas, poussant des gémissements à chaque fois, auxquels répondaient ceux de Kévin. Le plaisir montait et montait, ma vue se brouillait, mon corps s'embrasait plus que jamais, mon souffle se raccourcissait. L'orgasme était imminent. Je voulais avoir une victoire totale, aussi je criais « dis moi que je suis ta reine, ta maîtresse et que tu es mon soumis, dis le ! dis le ! dis le » à chaque « dis le ! », je lui administrai une gifle, mais Kévin refusa de parler. Alors, au moment où il pensait avoir son orgasme, j'arrêtais tout. La frustration fut telle, qu'il dut presque en avoir mal, je la ressentis aussi, presque comme une souffrance, mais je voulais absolument qu'il admette oralement sa défaite. Sous l'effet de la frustration, il se redressa d'un coup, mais une gifle fut tout ce qu'il obtint. Il ne pouvait plus rien faire, mais je voulais qu'il l'admette. Je me mis à me déhancher tout doucement, entretenant sa frustration sans lui apporter la délivrance. Il se tortillait sous l'effet de la frustration, mais je restais implacable. Alors il capitula : « tu es ma reine, ma maîtresse, et je suis ton soumis ». Alors qu'il avait dit ça, je l'avais regardé dans les yeux, et la petite lueur de soumission que je vis passer suffit presque à m'apporter l'orgasme final. Ravie d'avoir entendu sa capitulation, je repris mes va-et-vient d'avant en arrière comme une folle, relançant aussitôt la vague de plaisir, qui nous submergea tous les deux, nous délivrant enfin de la frustration, et nous faisant exploser dans une extase indescriptible.
Dans un cri de joie, je m'effondrai sur le lit. Kévin et moi étions essoufflés, mais j'étais ravie de ma nouvelle victoire. J'observai un peu mon amant du jour : il semblait complètement sonné. Je me doutai que ça devait être très dur pour lui : il devait traiter toutes ses amantes comme des chiennes soumises, sans jamais rencontrer de résistance efficace. Mais moi, je le soumettais de plus de façon particulièrement violente. Pour un macho dans son genre, ça devait être dur à avaler. Observer son air hébété me donna une idée, particulièrement salace. Je voulais pousser encore plus loin cette soumission que j'avais démarrée.
« Allez mon étalon, on repart pour un tour, lui lançai-je. »
« T'es folle ? Cria-t-il presque. J'ai eu 6 orgasmes cet après midi, je peux plus rien faire. »
« Je m'en fous, je suis pas rassasiée. »
« T'as eu 7 orgasmes toi
Et t'as toujours faim ? »
« Oui
Je veux que tu sentes à fond que je suis ta maîtresse. »
« Eh va te faire foutre, moi je peux plus rien faire. »
« Ta bite peut plus rien
Mais y a d'autres parties de ton corps que je pensais utiliser... »
« Non ? Tu vas pas encore ? »
Kévin avait l'air terrifié. J'éclatai de rire.
« Non ! Je vais pas encore t'enculer ma pauvre petite pucelle. Je parlais de ta langue. Tu vas l'agiter sur ma chatte jusqu'à ce que je sois rassasiée c'est clair ? »
Je ne lui laissai pas le temps de répondre. Je sautais sur son visage, et lui intimai d'une voix terrible : « lèche ! » Il n'osa pas désobéir. Il activa aussitôt sa langue, me dévorant l'intimité comme un mort de faim. Je me déhanchais sur lui, lui baisant la bouche. Je prenais mon pied et gémissais, c'était si bon de faire son éducation de soumis ! Je finis par m'activer à fond, comme si je baisais sa bite et non sa bouche, secouant mes fesses à fond. J'étais trop excitée pour tenir longtemps, et eus ainsi un nouvel orgasme magnifique. Je m'étalai sur le lit, hors d'haleine. Pourtant, appelez ça du sadisme ou de la nymphomanie, mais je lançai :
« Encore ! »
« Quoi ?! Cria-t-il en réponse. Non !! »
Il voulut s'en aller, mais je le saisis par le cou avec les jambes, et le fis se retourner. Puis, je lui maintins la tête entre mes cuisses, et criai : « lèche ! » Docilement, il s'exécuta, et au fond de moi, je m'émerveillai de voir cet homme si macho s'enfoncer si profondément dans les abysses de la soumission. J'étais étendue sur le côté, tenant Kévin entre mes cuisses qui me léchait à fond. Là encore, je ne boudais pas mon plaisir, et ne tardai pas à crier sous ses coups de langue. Je donnais des coups de reins, afin de lui baiser la bouche, et ne le laissai même pas respirer : si il voulait respirer, il fallait me faire jouir. Il ne tarda pas en effet à m'apporter un énième orgasme qui me laissa pantelante et étendue sur le lit. D'une voix moqueuse, je lançai : « ça c'est un bon garçon. »
« Ouais bah maintenant je me barre. »
Il se leva, et commença à se rhabiller. Je fis de même, et remis mon haut. Puis d'un air faussement inquiet je lançai :
« Tu es pas content ? Tu n'as pas aimé. »
Il s'abstint de répondre, gardant un air sombre et obstiné. D'une voix moqueuse, je lançai :
« Oh mais non, tu es simplement entrain de bouder parce que tu as perdu
Tu sais ce que je crois ? »
« Quoi ? »
« Je crois qu'en fait tu es furieux parce que tu as plus pris ton pied en une après midi de soumission avec moi qu'en une vie sexuelle de domination. »
« N'importe quoi ! Répliqua-t-il, mais d'un ton qui me prouvait que j'avais vu juste. »
« Regarde moi et ose me dire le contraire. »
Il me jeta un coup d'oeil fugitif, et ne répondit pas. Il avait fini de se rhabiller, et était arrivé à la porte de ma chambre, quand, d'une voix très autoritaire, je lançai :
« Stop. »
Kévin s'arrêta immédiatement, et se retourna. Intérieurement, je souris : je l'avais complètement mâté pour qu'il obéisse ainsi.
« C'est une façon de quitter sa maîtresse ? Sans un au revoir, sans un merci ? »
« Tu voudrais que je fasse quoi ? Grogna-t-il. »
Je notai qu'il ne contestait pas le fait que je sois sa maîtresse. Oui vraiment, je l'avais bien soumis celui là.
« Tu sais que j'ai eu neuf orgasmes aujourd'hui ? »
« Ouais et alors ? »
« Ca serait dommage de s'arrêter si près d'un chiffre rond, non ? »
Kévin écarquilla les yeux, l'air de pas en revenir.
« Tu veux dire
Putain mais t'es malade ! »
Je me rapprochai du bord du lit, et écartai les jambes.
« Discute pas et obéis. A genoux et lèche. »
« Et si je refuse ? »
« Je sais pas. »
« Tu sais pas ? »
« Non. Parce que ça arrivera pas. Tu vas te mettre à genoux et m'apporter mon plaisir. Aussi sûr que tout à l'heure le soleil va se coucher. C'est mécanique, t'es mon soumis donc tu obéis pour m'apporter du plaisir. »
Il ne s'en rendait peut être pas compte, mais on en était à l'épreuve de force finale : si il s'agenouillait maintenant (au sens propre et figuré), il franchirait le point de non retour, et deviendrait mon soumis à vie. Si il résistait ne serait ce qu'un tout petit peu, il garderait une chance infime de peut être éventuellement me dompter un jour.
Je savais ça parfaitement, si bien que lorsque je le vis s'agenouiller et s'approcher de moi, un puissant sentiment de victoire m'envahit. Il se mit à me dévorer l'intimité. Je refermai mes jambes autour de son cou, l'emprisonnant, et le tirant par les cheveux, je me mis à donner le ton dans ce dernier cuni. Je dois dire que pour son premier cuni en tant qu'esclave sexuel, il se débrouilla à merveille, tournoyant sa langue comme un fou, secouant mon clito comme jamais. Je frémis d'aise, tout en dirigeant le tout par ses cheveux. Lorsque je sentis le dernier orgasme de la journée approcher, je l'interrompis un temps, pour lui tirer les cheveux en arrière et lui lancer un dernier regard dominateur. Puis je le remis au travail, lui baisant la bouche sauvagement, jusqu'à exploser dans un ultime et délicieux orgasme auquel s'ajoutait le sentiment brûlant de la victoire.
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