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De retour à lappartement, comme convenu avec Marianna, je pris mes courriels et me mis à consulter les pages de ces fameux groupes référés par lagence.
Le premier plairait sûrement à ma belle. On y voyait des photos dhommes bien foutus arborant une érection plus quhonorable. Ils portaient chacun un masque burlesque et posaient dans ce qui semblait être un club échangiste. Cest du moins lidée que je men faisais : canapés en cuir noir, murs rouges, barres de striptease, lumière feutrée. Le club, qui comptait 42 hommes testés régulièrement et triés sur le volet, se nommait « La Messaline ».
La section « À propos » affirmait que tout était mis en uvre afin de satisfaire lappétit insatiable des coquines voulant se prêter au jeu dune débauche romaine où tout était permis, sans obligation aucune. Le port du condom était facultatif si la « Messaline » était testée. Elle avait le choix du nombre de participants et de lendroit où ils devaient éjaculer. Une audition était requise pour toute nouvelle demoiselle qui désirait profiter de ce club peu orthodoxe. La nature de laudition demeurait un mystère.
Je bandais très fort jusquà ce que jarrive à la section « Règlements » qui stipulait que « les cocus étaient invités à rester chez eux ou à attendre dans la voiture ». Grosse déception. Une autre règle précisait que les femmes qui désiraient demeurer membres du club devaient se donner au minimum une fois par semaine et participer une fois par mois à des week-ends de baise dans une villa luxueuse. Un nombre limité de couples y étaient conviés. Le conjoint était bien entendu relégué au rôle de laquais tandis que les femmes devaient accepter de satisfaire tous les membres du club. Intéressant, notais-je.
Je cliquai sur le second lien, entrai le mot de passe et tombai sur la page du club « Le Loft ». Changement radical de décor. Les photos mettaient en lumière un appartement vaste et moderne où le blanc était à lhonneur.
Le modus operandi était assez particulier. Une application mobile permettait aux femmes membres de réserver des plages horaires au Loft dune ou plusieurs heures. Elles devaient préciser le nombre dhommes désirés et pouvaient à tout moment augmenter le nombre de participants (jusquà 87). Les premiers hommes à réserver leur place recevaient le code dentrée pour accéder au Loft. La participante qui désirait allonger sa séance après avoir réservé un bloc horaire pouvait le faire, mais uniquement si aucune autre femme ne le faisait avant elle. Je cherchai à savoir si les conjoints étaient les bienvenus, mais comme pour Le Messaline, ils nétaient pas autorisés à assister aux séances. Une audition était également prévue pour toute « nouvelle recrue » et la participation hebdomadaire minimum était fixée à deux.
Je me demandai si Esther nétait pas au Loft au moment de cliquer sur le troisième lien. Cette fois, il sagissait réellement dun club échangiste nommé « La Grivoise ». Lendroit, tenu par un couple dune quarantaine dannées, était spécialisé dans le gangbang. La femme, qui soccupait de tous les « abonnés » cherchait de laide pour soffrir quelques soirées de répit. Le club était en effet ouvert cinq soirs semaine, ce qui explique cela. Il était stipulé que les abonnés se chiffraient au nombre de 75 ! Jhallucine, la pauvre ! Des tests avaient été exigés lors de leur adhésion et ils étaient de plus testés à leur arrivée au club.
Je ne nourrissais pas trop despoir sur cette dernière option et décidai de cliquer sur le quatrième lien envoyé par Esther lorsque mon téléphone sonna. Cétait ma douce.
« Salut mon amour », répondis-je.
« Salut mon cur, je nai pas beaucoup de temps, je voulais juste te tenir au courant des derniers développements. Mon patron ma fait venir dans son bureau et ma offert une promotion. Je ne serai plus réceptionniste, mais son assistante privée. Jaurai même un bureau à moi, juste à côté du sien. Bien entendu, il la fait après mavoir prise dans son bureau. Jai eu droit à plusieurs orgasmes et mes deux trous sont bien défoncés. Jai aussi découvert que sous sa chemise se cachait un corps dathlète. Il avait lair en forme, mais à ce point-là
je suis sous le charme. Je lai supplié de venir dans ma chatte et il a gentiment accepté. Il ma fait comprendre quil avait des plans pour moi, que je laiderai notamment à conclure des contrats
Jimagine que je vais devoir baiser dautres mecs pour lui. Toi, ça va ? »
« Heu
oui, merci. » Elle venait de me balancer ça comme sil sagissait de sa liste dépicerie. « Cest super pour ta promotion, et pour ta baise... Tu rentres bientôt ? »
« Je pars à 17 h. Peut-être me reprendra-t-il avant
Par contre, jai fait comprendre à mes deux collègues que je nétais pas disponible aujourdhui.
Je bandais grave là.
Quatrième lien. Le GB Club MTL. Un groupe dhommes proposait des après-midis creampie gangbang, uniquement en semaine. Ils devaient être mariés, pensais-je. Seule une section F.A.Q. permettait den savoir plus.
Combien dhommes peut rassembler le Club ?
Jusquà 63. Le Club conseille cependant de commencer par sept ou huit hommes.
Les hommes sont-ils testés régulièrement ?
Oui. Et un membre du Club est un médecin urologue. Il passe lui-même les tests et ausculte chaque membre avant les gangbangs.
Quel âge ont les membres du Club ?
Entre 25 et 45 ans. En forme, bien membrés et capables de performer dans ce type daction.
Où les hommes jouissent-ils ?
Principalement dans les orifices (vagin, anus et bouche) à moins quil ne leur soit demandé déjaculer spécifiquement ailleurs.
Les conjoints sont-ils autorisés à participer ?
Non. Les membres du Club baisent fort et une fois quils ont joui, prennent congé à moins quil ne leur soit demandé de rester pour un deuxième round. Les cocus ne sont pas autorisés à participer avant que tous les hommes aient terminé. Ils peuvent cependant nettoyer leur femme et nos bites avec la bouche.
Où et quand ?
Les gangbangs se déroulent dans le sous-sol dune maison privée dans le West Island, du lundi au vendredi, de 6h à 20h.
Il ny avait pas dautres infos, mais cela me suffisait. Je ne désirais pas sucer de queues, mais je dois admettre que linterdiction de la baiser avant que tous les hommes soient passés dessus mexcitait grave. En outre, ce lieu de débauche secret était à moins dun kilomètre du lieu de travail de Marianna. Je limaginais déjà sy rendre tous les jours après le travail. Peut-être pourraient-elles y passer une semaine entière, me demandais-je ? Nous prendraient-ils en pension ? Mon érection semblait opter pour cette possibilité.
Le cinquième et dernier lien mamena sur la page dun groupe qui se nommait le « Va-et-vient ». Lillustration de la page daccueil me laissait présager que Marianna serait très emballée. On y voyait un homme à quatre pattes en train de lécher un vagin dégoulinant de sperme, la bite dans une cage de chasteté et le cul défoncé par une énorme bite. Jeus presque le goût de faire disparaitre le lien, mais jétais certain quEsther ne manquerait pas de nous demander ce que nous avions pensé du concept.
Ce coup-ci, le cocu était mis à contribution et seuls les couples étaient acceptés. Une trentaine de membres constituaient ce club privé spécialisé en « cocufiage à la chaine, en douce humiliation et en bisexualité imposée ». Chaque gangbang devait pouvoir mettre à contribution tous les membres du club. La cocufieuse pouvait choisir de répartir le rôle des hommes comme elle lentendait. Par exemple, 10 iraient dans sa chatte, 5 dans son cul, 5 dans sa bouche et 10 dans le cul du cocu. Chaque orifice sollicité prenait la décharge de sperme du membre queutard. Ces derniers se voyaient remettre en début de partie le rôle qui leur était assigné.
Jeus soudain une drôle denvie. Celle de me goder le cul avec un des jouets de Marianna. Sachant que ça exciterait ma douce, je mexécutai à la hâte et revins au salon le cul investi par un butt plug de taille moyenne. Je massis à nouveau devant mon ordinateur pour continuer mon étude de ces différents groupes spécialisés dans le gangbang. Chaque site avait une section vidéo quil me restait à découvrir.
Je commençai par les vidéos du dernier groupe. Cétait de circonstance vu ma récente initiative. Il y avait deux estrades. Leur installation était conçue de façon à ce que la femme se fasse remplir au-dessus du visage de son cocu. Par conséquent, la reine de la soirée trônait sur lestrade la plus haute tandis que le cocu occupait celle en contre-bas. Les participants étaient masqués et les hommes se divisaient en autant de groupes quil y avait dorifices sollicités.
Jondulais du bassin pour sentir le gode senfoncer davantage en moi et jappréciai de plus en plus ce traitement. Après 15 minutes de visionnement, où la femme et son mec se faisaient remplir à la chaine, jeus envie de passer à la vitesse supérieure. Lénorme gode que Marianna mavait à prendre lorsquelle avait reçu Kevin la première fois saurait sans doute calmer mes ardeurs. Cétait super excitant de visionner ce porno en sachant que ça pouvait être nous.
Jallai chercher le mastodonte, retirai sans mal le premier intrus, lubrifiai à nouveau ma pastille maintenant dilatée et tentai de faire passer cet énorme plug jusquau bout. Je dus my reprendre à trois fois avant que mon rectum naccueille cette masse volumineuse de silicone. Le plaisir avait fait place à la douleur, mais je décidai de maccrocher. Cette fois, la position assise était beaucoup moins confortable et je dus abdiquer. Je pris plutôt le plus gros pénis réaliste que Marianna avait dans sa collection et je tentai de menculer avec force, comme pour me prouver que je pouvais encaisser comme le pauvre cocu dans la vidéo. On aurait dit que les mecs voulaient lui faire mal. Ils le baisaient avec force et rage, sans la touche sensuelle réservée à la cocufieuse, qui elle, était plutôt traitée comme une reine que comme un sac à foutre.
Je parvenais maintenant à faire entrer la totalité des 24 centimètres de cette bite en silicone dans mon fondement ce qui était une première et enchainai les coups le plus fort que je le pouvais. Jétais excité, et je me sentais apte à subir pareil traitement sans leur offrir la satisfaction de me faire souffrir. Si jétais disposé à prendre aussi gros, il ne pourrait moffrir que du plaisir.
Le bruit de clés dans la serrure de la porte dentrée me fit sursauter. Il était déjà 17h30 !
Marianna franchit le pas de la porte et sarrêta net en me voyant à luvre.
« Ben alors, mon coquin! Tu tamuses sans moi ? »
Confus, je restais comme un con la main sur les couilles du dildo planté dans mon cul.
« Je
je faisais mes recherches », balbutiais-je.
« Tu tappliques bien on dirait. Cest mon plus gros gode que tas dans le cul. Tu me montres le résultat ? »
Ne sachant pas quoi faire dautre, je me tournai et lui dévoilai ma croupe investie. Elle se mit à me branler et sempara du dildo pour enchainer les vas et vient.
« Que visionnes-tu là, coquin ? Ça semble sympa. Cest un des groupes qui va me baiser ? »
« Nous baiser, dis-je. Ils baisent les couples ensemble. »
« Le cocu nettoie et se fait défoncer et remplir le cul
Cest excitant ça », dit-elle en activant plus intensément ses mouvements.
Je me laissais enculer avec délectation lorsquelle mintima lordre de me retourner. Une fois sur le dos, elle enfonça le gode en totalité dans mon cul et se releva. Elle enleva sa petite culotte et me la mit dans la bouche après mavoir dévoilé des souillures nacrées sur le tissu noir.
« Elle est bonne ma culotte pleine de foutre », me demanda-t-elle ?
« Délicieuse », tentais-je de répondre.
« Bien, maintenant, tu vas me nettoyer la chatte. Il doit en rester tout plein à lintérieur. M. Bastien et son ami viennent tout juste de me remplir dans le stationnement sous-terrain au coin de la rue. »
Avant que je puisse la questionnais sur cette récente aventure, elle enjamba ma tête, lempoigna et vint écraser son fruit juteux sur ma bouche. Elle poussait pour en extraire le jus de ses amants et commença à me raconter sa journée de salope insatiable. Son patron lavait bien baisée en matinée et les deux collègues quelle avait sucés la veille dans les toilettes ont désiré réitérer lexpérience. Après son refus, ils lui montrèrent des photos quils avaient prises delle en train de les sucer.
« Je serai plus prudente à lavenir, souligna ma douce catin. Ces deux cons me font chanter. Ils menacent de tenvoyer ces photos, ce qui nest pas un problème en soit vu que tu es au courant. Par contre, ils comptent également les envoyer à mon patron si je ne fais pas ce quils veulent, ce qui me contrarie davantage. Jai donc dû suivre ces deux nases dans les toilettes en espérant pouvoir men tirer avec la bouche. Mais évidemment, cette fois-ci, ils en voulaient plus. Ils mont baisé la chatte à tour de rôle avant de menfesser avec force. Jai les capotes pleines, précisa-t-elle. Je me demande bien ce que je vais en faire
»
Elle continuait de faire aller le dildo au fond de mon rectum à mesure quelle me relatait ses exploits. Le fameux ami de son patron, à peine plus âgé que lui, était un homme daffaires élégant.
« Dans le stationnement, M. Bastien ma demandé denlever ma jupe et de sortir de sa voiture pour rejoindre un homme dans une Audi grise garée en face de nous. Lhomme ma invitée à métendre sur la banquette arrière et à retirer mon string. Il ma bouffé la chatte et ma doigté un moment avant de sortir sa queue tendue. Il ma retournée et ma enculée direct, sans capote. M. Bastien nous avait rejoints et observait la scène. »
« Tu as aimé », demandais-je ?
« Oui, mon coquin. Sa queue était très dure et de bonne taille. Jai aimé faire la pute pour mon patron. Je voulais quil soit fier de moi, concéda-t-elle. Ensuite, lhomme a demandé où il devait se vider et mon patron lui a dit de le faire dans ma chatte, mais de passer par ma bouche avant. Lhomme a quitté mon cul et ma tirée par les cheveux pour me présenter sa bite à sucer. Il semblait sur le point déjaculer et je ne savais pas sil parviendrait à remplir sa mission, qui était de me remplir le con. Il ma repoussée sur la banquette, a agrippé mes jambes et ma tirée vers lui avant de me planter sa queue dans la chatte. Il est venu direct et jai senti une grosse quantité de sperme me remplir. »
« Ton patron ta baisée pleine de foutre ? »
« Lhomme a cédé sa place à M. Bastien qui ma enculée direct. Après 15 minutes de ce traitement, il est passé par ma bouche et a planté son énorme pieu dans ma chatte pour se vider. Doù la quantité impressionnante de foutre que je tai rapportée. »
Je sentais mon trou ouvert comme jamais. Quant à ma bouche, elle avait en effet reçu une quantité considérable de nectar de couilles que je mappliquais à avaler. Une fois sa chatte polie par mes soins, elle me demanda de me retourner et retira le gode de mon trou béant. Elle sortit les capotes de son sac à main, les dénoua et vida leurs contenus dans mon cul. Elle prit ensuite une photo de moi ainsi et me complimenta sur ma croupe de salope.
« Bien, maintenant, tu es prêt à me recevoir », dit-elle.
Elle commença à insérer deux, puis trois et enfin quatre doigts. Je savais ce qui mattendait et décidai de me détendre afin de ne pas la décevoir. Elle poussa de toutes ses forces et fit ainsi passer sa main, ce qui marracha un cri de douleur. Elle resta ainsi, immobile dans mon cul pendant une bonne minute avant de pousser plus en avant sa main dans mon tréfonds.
Son poignet était étroit, ce qui facilitait les choses, mais elle désirait mélargir et vint placer sa main à lentrée de mon cul afin décarter mon anus autant que possible.
« Comme il est beau ton cul plein de foutre, tout ouvert », soupira-t-elle.
Elle se remit à me masturber en accentuant ses vas et vient dans mon cul. Je ne tins pas longtemps et lavertis que jétais sur le point de jouir. Elle garda sa main entière dans mon trou, cessa de me masturber et vit placer sa main sous mon gland afin de recueillir le jus qui sortait en saccades.
« Bonne récolte, mon chéri. Tu as rempli ma main, ça déborde, tu vas devoir nettoyer le sofa, mais avant, je vais remplir ton cul avec ton sperme de cocu. »
Elle sortit sa main de mon rectum, admira la scène de ce trou élargi à son maximum et vint vider le contenu de sa main avant de la faire pénétrer à nouveau. Elle la retira et la replongea à de nombreuses reprises. Maintenant, elle me fistait pour de bon. Ses doigts nétaient plus tendus, permettant une intromission plus délicate. Ils étaient repliés. Elle ne formait pas encore un poing, mais disons que je la sentais passer. Elle samusa à alterner ses mains jusquà ce quelle tente de faire pénétrer les deux en même temps. Je ne tenais plus et je mécroulai sur le côté mettant fin à ce traitement extrême et pourtant délicieux.
« Tu as progressé, mon salaud. Ton cul est plus ouvert que le mien. Noublie de faire tes exercices de renforcement, sinon aucun homme ne prendra de plaisir à tenculer maintenant. »
« À qui la faute », demandais-je ?
« Bon, alors ces groupes, demanda ma tendre moitié ? Il y en a qui pourraient nous intéresser ? »
Je lui fis découvrir chacun des cinq clubs proposés par lagence. Elle sétait allongée sur le canapé et se masturbait, les jambes écartées. Elle ne fit aucune remarque. Une fois mon exposé terminé, je la questionnais sur ses impressions, quelque peu interdit par son mutisme.
« Je les veux tous, se contenta-t-elle de me dire. Je suis consciente que tu napprouves pas les clubs qui refusent ta présence, mais tu feras avec. Personnellement, je serais tentée de devenir membre de tous les clubs de lagence, mais je respecterai ton souhait que ce soit uniquement avec des groupes qui font du sans capote. Donc, je vais me rendre à leurs auditions. Avec lequel je commence », demanda-t-elle, enthousiaste ?
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