Ma Belle-Mère Nous Aide A Démenager 2

DEUXIEME JOUR.
Le lendemain matin, je me réveille vers 08h30, personne dans l’appartement, juste un mot sur la table, laissé par mon épouse. « Je suis au travail, je descends ma mère en ville, elle doit faire quelques courses, elle te rejoint ici à midi, le temps que tu fasses tes papiers, à ce soir, travaillez bien, bisous ».
Vers 11h45, je suis affairé à remplir de la paperasse, quand ma belle-mère arrive tout sourire. Elle est vêtue d’une petite robe d’été très décolleté qu’elle vient d’acheter et porte quelques paquets à la main. Elle s’approche de moi et se penche pour me fourrer sa langue dans la bouche. Je remarque qu’elle ne porte pas de soutient gorge et je lui fais remarquer.
« - Alors on se ballade les seins à l’air ? - Tu as remarqué, je n’avais jamais osé mais j’adore ça, c’est pour toi et c’est pas tout regarde ».
Joingnant le geste à la parole elle lève sa robe. Et surprise !! Elle ne porte pas non plus de culotte, sa chatte est toute lisse, elle se retourne me montrant ses fesses ou sa raie est aussi lisse que sa chate. Mon sexe se met immédiatement au garde à vous sous mon peignoir.
« -Je vois que ça te fait de l’effet, je sors de chez l’esthéticienne. Ta belle-mère te plait comme ça ? Enlève ton peignoir, belle-maman va te sucer la queue comme une salope qui a envie de se faire baiser. - Oh oui vielle pétasse que je vais te baiser, regarde ma queue, suce la salope. - J’adore que tu m’insulte, je mouille comme une cochonne qui a envie de se faire défoncer et de jouir ».
Je suis nu, debout devant elle, elle fait glisser sa robe et se retrouve nue elle aussi ne gardant que ses talons.

Elle me roule une pelle magistrale me branlant de sa main droite tandis que mes doigts écartent les lèvres trempées de sa chate toute lisse. Sans un mot elle s’accroupit et commence à lecher mon gland du bout de sa langue, puis tout le long de ma verge descendant sur mes couilles qu’elle aspire délicatement, elle remonte sur le bout de mon sexe est se met à me sucer avidement. On entend plus que des humm et des bruits de succion sortant de sa bouche gourmande. Je sens ses gros seins contre mes genoux, sa main droite caresse mes couilles et sa main gauche mes fesses en passant de temps en temps ses doigts dans ma raie. Je suis sur le bord d’exploser, je la repousse, me mets à genoux sur le canapé, les fesses face à elle.
« - Tu vas me lecher le cul Monique, je veux sentir ta langue sur mon anus, aller salope bouffe moi le cul ».
Accroupi derriere moi elle m’écarte les fesses et commence à lecher la raie de mon cul a grand coup de langue, puis fait tourner sa langue autour de mon trou de balle. C’est divin ma belle -mère a sa langue dans mon anus et sa main droite branle énergiquement ma queue. Soudain n’y tenant plus, je me retourne et lui envoie plusieurs giclées de sperme sur le visage. Elle en a partout, le rassemble de ses doigts pour le mettre dans sa bouche et l’avale semblant se régaler en me regardant.
« - Quelle salope tu fais Monique, on dirait que tu as fait que ça toute ta vie. – Je t’assure que non, mais l’envie me donne des ailes, je ne me lasse pas de te sucer, j’avais jamais avaler de sperme, oui je suis devenu en deux jour une salope, ta salope. J’ai envi tu me bouffe le minou stp, lèche moi ».
Le temps de le dire elle est assise sur le canapé les jambes écartées. J’embrasse l’interieur de ses cuisses, elle frémit et n’y tenant plus plaque ma tete entre ses jambes. Ma bouche est sur sa vulve trempée de liqueur. Ma langue lèche ses lèvres entrouvertes puis rentre et sort de son vagin lui arrachant de petits cris.
Ma langue trouve son clito que je suce et mordille tandis que je lui enfile deux doigts dans sa chatte béante qui dégouline de cIprine. Elle ne gémit plus mais hurle tellement fort que j’ai peur que des voisins l’entendent.
« - C’est trop bon, je vais jouir, j’ai envie de ta queue maintenant, viens baise ta belle-mere, viens défonce ta salope ».
Je la soulève et la retourne, elle est maintenant à quatre pattes sur le canapé, j’aperçois sa chate lisse et trempée. Mon sexe entre sans effort tellement le passage est lubrifié. Monique ondule immédiatement son bassin en laissant échapper quelques mots et râles que je ne comprends pas. Je pilonne sa chate de plus en plus vite lui pinçant en même temps ses tetons durcis. Sa chate dégouline et m’inonde les cuisses. Ma pénétration est profonde, elle hurle à chaque coup de boutoirs. Je profite d’un de ses mouvements pour lui glisser un doigt dans le cul, il entre assez facilement avec toute la mouille qui se trouve autour de son trou. Je rentre un deuxieme et lui masturbe le cul.
« - Ah !!! Va doucement, mais c’est bon ce que tu me fais là, trop bon même coquin, je vais jouir, ouiiiii !!!! ».
Je sors alors ma bite de sa chate et place mon gland sur son trou du cul légèrement ouvert. Je pousse doucement jusque mon gland entre dans son boyau. Puis d’une forte poussée je l’encule bien à fond. Monique hurle de douleur.
« - Tiens salope je te la mets bien dans ton cul serré ».
Sur ces paroles je commence à la limer doucement et ensuite de plus en plus vite. Je sens des flots et des flots de mouille couler sur mes cuisses. Elle passe sa main entre ses jambes et je la sens se branler la chatte en cadence. Elle hurle encore mais maintenant de bonheur.
« - Salaud, cochon tu m’encule bien à fond, humm oui baise moi le cul, défonce l’anus de ta salope de belle -mere, de ta chienne. Vas-y jute dans mon cul, vide tes couilles dedans, oui jouis dans ta salope, ah c’est trop bon je pars aussi, vient ».

Je m’agrippe à ses grosses mamelles, m’enfonce bien au fond de son cul bien serré et envoie plusieurs giclées de sperme au fond de son fondement en criant ma jouissance. Je reste un moment sans bouger puis me retire de son cul admirant son anus tout ouvert tout dilaté. Monique se retourne et s’assoie sur le canapé. Elle me regarde en souriant l’air satisfaite mais son visage et défait et ruisselant de sueur.
« - Je n’avais jamais jouis comme ça, me voilà dépucelé du cul, mon dieu que c’était bon, mon trou du cul est à toi maintenant, tu pourras me sodomiser quand tu veux. - Mais ce n’est pas finit grosse cochonne, suce-moi encore, lave bien ma bite avec ta bouche vieille salope ».
Monique ne se fait pas prier et enfourne ma queue en faisant de grand bruit de succion. Terminé, elle se passe la langue sur les lèvres en me regardant droit dans les yeux, signe qu’elle se régale. Elle se lève me roule une grosse pelle et s’en va à la salle de bain prenant au passage un paquet avec lequel elle était rentée tout à l’heure.
Je reste sur le canapé, un peu repus, et n’en revenant pas d’avoir enfin enculé ma belle-mère, elle qui était si pudique.
Monique sort de la salle de bain après avoir pris sa douche, elle porte un string noir transparent devant avec une chainette dorée dans les fesses et un soutient gorge noire redresse seins qui laisse ses tetons découverts. Elle est magnifique me sourit m’embrasse goulument, sa langue bien au fond de ma bouche.
« - Allé dépêche-toi d’aller prendre ta douche, j’enfile une robe et nous allons quand même aller travailler, ça ne va pas se faire tout seul là-bas au nouvel appartement ».
Nous avons encore baisé ce jour-là sur la moquette du nouvel appartement à la demande de belle maman qui était inassouvissable. Mais la semaine n’était pas terminée.

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