La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°785)
Marion au Château (suite de l'épisode N°783)
Jobéis instantanément, me demandant ce qui pouvait bien mattendre pour cette dernière soirée au Château, avant que je ne reparte vers ma vie vanille après ce merveilleux et premier week-end D/s
- Cest bien Ma chienne ! Je suis ravi de voir que tu nas pas joui, car effectivement tu nen avais pas lautorisation. Pour les épreuves de ce soir, je te veux brûlante, en manque, excitée. Viens me nettoyer la queue, et après je te laisserai entre les mains de Mes fidèles soumises vivant au Château, pour te préparer pour cette soirée, qui te restera, jen suis sûr, inoubliable !
Jobéis instantanément, me demandant ce qui pouvait bien mattendre pour cette dernière soirée au Château, avant que je ne reparte vers ma vie vanille après ce sublime week-end
Je pris un immense plaisir à mexécuter ! La Noble queue du Maître est certainement la plus exquise des friandises qui existent ! Je pris mon temps pour la nettoyer et ne laisser plus aucune trace de la si précieuse semence de Celui à qui javais décidé de confier ma vie chocolat. Je my appliquais tellement quElle commençait à reprendre de la vigueur, je la sentais gonfler dans ma bouche, et je me sentais heureuse en pensant au délicieux nectar que jespérai pouvoir déguster rapidement de nouveau. Mais je poussais un petit cri de surprise lorsque je sentis le Maître me tirer en arrière prestement en mattrapant une poignée de cheveux.
- Je tai exigé de me nettoyer, non de me faire bander, la chienne en chaleur ! dit-il dune voix sèche ! Tu es attendue, jai des choses à faire et tu vas me mettre en retard, je ne supporte pas ça ! Va te mettre à genoux dans le coin là-bas, les mains sur la tête, et avec ce bâillon ! Tu attendras que Mes fidèles soumises viennent te chercher. En attendant strictement interdit de te reposer les muscles des cuisses en posant tes fesses sur tes talons. Tu devras donc attendre agenouillée mais le buste droit face contre langle du mur.
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Monsieur le Marquis me passa un bâillon-boule dans la bouche et tendit son doigt vers le coin de la pièce, lieu de ma petite punition. Jétais tellement déçue de moi-même ! Je navais cherché quà faire plaisir au Maître, je ne pensais pas commettre une faute. Mais je dois avouer que javais également pensé à mon propre plaisir, chose que je navais pas à faire. Je rejoignais donc le coin de la chambre à quatre pattes évidement, tête basse pour me positionner à genoux face à langle mural, buste droit.
Le Maître ouvrit la porte et fit rentrer une soumise que je ne connaissais pas.
- Viens-là Ma chienne, vides-moi cette queue, que cette pénitente vient de me faire gonfler alors que je navais pas de temps à perdre.
Je baissais un peu plus ma tête, à genoux dans mon coin, tandis que la femelle soccupait du Maître. Jentendais les râles de plaisirs de Monsieur le Marquis ainsi que les bruits de succions de la soumise et je me trouvais mortifiée. Je savais que le Maître avait plusieurs soumises et soumis, mais je navais jamais envisagé de devoir assister, même de dos, aux différents moments que le Maître pouvait passer avec eux. Au gémissement guttural quIl laissa échapper rapidement lors de sa jouissance, je devinais que le Maître sétait vidé dans la bouche de la soumise à Ses pieds, qui nétait malheureusement pas moi.
- Hummm sublime, Ma belle chienne obéissante ! Jai beaucoup apprécié ta bouche si humide, si chaude et si douce ! Maintenant, tu vas rester ici. Pour te récompenser de ta sublime fellation, je tautorise à rester assise dans mon fauteuil et tu vas attendre 60 minutes en surveillant de près cette chienne en chaleur. Tu veilleras quelle ne repose pas ses fesses sur ses talons. Elle doit endurer à rester une heure ainsi positionnée, agenouillée le buste droit. Si par malheur elle reposait ses fesses, vous serez toutes les deux punies et sévèrement (le Maître dit cela fort afin que jentende bien son propos)
Ensuite, tu amèneras cette nouvelle chienne à tes surs dans la salle de soin, et préparez-là pour ce soir, que je sois fier de vous !
Et
Hummm oui, je te redis encore une fois, Ma belle chienne que ta bouche est vraiment exquise
Je me sentais encore plus humiliée ! Cest comme si le Maître avait fait exprès de complimenter la soumise que je ne voyais toujours pas, pour me faire sentir encore plus mon, finalement, inexpérience ! Et pour bien me faire comprendre que, non, je ne suis pas la seule, et quil faudrait que je prenne lhabitude de le partager.
- Je Vous prie de me pardonner Maître de Vous avoir fait perdre du temps, tout à lheure.
- Ma nouvelle petite chienne, tu es ici pour continuer ton dressage et ton éducation. Tes erreurs seront sanctionnées mais te seront profitables. Maintenant suis ta sur de soumission. Une des règles du Château est le silence entre soumis(es). Ne loublie pas ! Je connais ta curiosité, mais je serais ment au courant, même si tu ne jugeais pas bon de me lavouer par toi-même. Je te rappelle quune faute qui me serait rapportée par une tierce personne, et non par toi, serait sanctionnée plus durement ! Maintenant allez-y toutes les deux Mes belles petites chiennes ! Toi, ma nouvelle petite chienne, tu suis ta sur de soumission prénommée esclave Phryné MDE, et tu la suis à quatre pattes, pour que tu comprennes bien ce que tu es !
Je me positionnais donc à quatre pattes et je suivais lesclave Phryné MDE qui avait saisi ma laisse et commençait à avancer. Après avoir traversé quelques luxueux couloirs, elle me fit entrer dans une pièce où lhumidité tiède qui y régnait me saisit en entrant le temps que je mhabitue. Dans cette pièce attendaient, toutes debout mais tête baissée, trois autres soumises, sur le côté de ce qui ressemblait à une piscine creusée
Là commença une nouvelle épreuve pour moi. Aucune femme ne mavait jamais touchée, en dehors de ma mère lorsque jétais petite fille, pour me laver. Dailleurs en y réfléchissant bien, aucun homme non plus ! Javais déjà pris des douches ou même des bains avec un homme, mais on sétait toujours lavé chacun de son coté, avant de se laisser aller à des caresses mutuelles plus intimes. Alors quand lesclave Phryné MDE me fit entrer dans le bassin, et que je vis les trois autres rentrer elles aussi dans leau, sapprocher de moi, lune commençant à me mouiller les cheveux, une autre attrapant un gant de crin pour me laver, une autre encore, prenant un savon liquide intime, jeus un mouvement de recul et un regard horrifié ! Je savais que je navais pas le droit de parler, mais je navais quune envie, cétait de les supplier de me laisser seule pour me laver comme je lentendais.
Je maperçus avec stupeur, quen fait, loin de me repousser, ces caresses, ces soins, commençaient donc à mexciter sérieusement, et finalement, je me serais bien laisser aller à leurs caresses expertes. Et cest au moment où je me relâchais complètement, où je me laissais aller, proche de me laisser aller à gémir, que toutes ces mains féminines quittèrent mon corps, et que lesclave Phryné MDE me fit comprendre en tirant ma laisse que je devais sortir du bassin
. Là commencèrent différents soins. Lune soccupa de ma chevelure, lune de métaler sur tout le corps une crème légèrement parfumé me laissant un léger reflet doré sur la peau, une autre de faire un léger maquillage, et enfin la dernière de parfaire mon épilation, sassurant que jétais parfaitement lisse sur chaque parcelle de ma peau. Lorsque je descendis de la table où mes surs de soumission mavaient fait monter pour soccuper de moi, je me retrouvais face à un miroir. Jamais je ne métais vue comme cela. Jamais je ne me suis vraiment appréciée physiquement, jai pas mal de cicatrices qui me rappellent différents moments de ma vie pas ment toujours heureux. Mais là, javais limpression de me retrouver devant un miroir magique, pour une fois je voulais bien croire Monsieur le Marquis quand il me disait que jétais belle. Je regardais tour à tour chaque soumise qui mentourait, en essayant de leur faire passer dans mon regard toute ma gratitude. La plupart de mes cicatrices étaient bien atténuées, me faisant leffet que les plaies intérieures quelles cachaient sestompaient également
.
Ce nest pas lesclave Phryné MDE qui me fit sortir de cette salle deau, mais une autre, et comme lorsque jétais arrivée, je la suivais en quadrupédie. Elle ne memmena pas dans la chambre du Maître, jen étais sûre, car à laller je navais monté aucun escalier, et que là jen avais descendu deux. Elle me fit pénétrer dans un petit salon feutré, entièrement décoré dans les tons bleus. Sur un fauteuil, Monsieur le Marquis était assis, et lisait tranquillement. Il ne leva pas la tête à notre arrivée. Avec la soumise qui me tenait en laisse, nous nous installâmes à genoux chacune dun côté du fauteuil, les fesses ne touchant pas les talons, la tête et les yeux baissés
Au bout de ce qui me sembla être une éternité, le Maître se leva de son fauteuil, fit je ne sais quoi, que je ne pouvais voir, dans la pièce. Et revint se poster debout devant nous. Aucune de nous deux nosait bouger un cil, attendant patiemment, et certainement toutes les deux aussi excitées lune que lautre, que Monsieur le Marquis dEvans daigne nous accorder lhonneur dun peu dattention
(A suivre
)
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