Le Roi De Sparte 3 : Voyage En Crête
Pour faire des armes il faut du cuivre. Pour faire les meilleures armes il faut le meilleur cuivre. Si on est comme moi le roi il faut en plus que les armes soient étincelantes au combat. Et le seul cuivre qui permet de se détacher d'une armée entière est celui de crête.
Donc naturellement je vais seul sur cette île divisée entre plusieurs tribus, Il s'agit juste de commerce, il faut juste une bourse bien remplie, pas la peine d'avoir une arme. A mon arrivée à Kyrenia on me dit qu'il n'y a plus de cuivre et que je dois me rendre à une mine pour avoir directement du minerai. Soit.
Donc je m'enfonce seul le soir dans les forets de crête, en baissant ma garde. Et je reçois une pierre en pleine tempe qui m'assomme pour me réveiller nu, les mains liées à un poteaux, en pleine nuit....Et pire que tout ce sont des FEMMES qui me retiennent !
-Regarde Théa, on dirait qu'il est réveillé notre petit idiot.
-Ah la la. Traverser la crête en pleine nuit....On ne t'a pas prévenue que notre tribu la tenait sous sa coupe ?
-En tous cas ça nous fait une bourse bien remplie et une belle cape rouge.
Mon sang ne fit qu'un tour, je suis un spartiate, personne et surement pas une femme ne peut me garder ainsi prisonnier !
-Détachez moi femmes ! Je vais vous faire passer l'envie de me retenir !
-Mais c'est qu'il s'énerve. Calliope tu crois qu'il se rend compte de sa situation ?
-Non. Il ne doit pas connaitre les amazones.
-Un ramassis de trainées dont aucun homme ne voudrait !
Les amazones.....Des femmes fortes, avec de l'esprit. Mais contrairement aux femmes spartiates elles ne savent pas tenir un foyer, élever des s forts pour la cité et tenir le domaine quand le mari part à la guerre. Adoratrices des dieux d'avant le grand cataclysme et les âges sombres....Elles sont l'incarnation d'un monde oublié et imposant...et je suis dans leurs rets...Grrr à peine je serais libéré que je les materai un bon coup !
-Aucun homme ne voudrait de nous ? Tu le crois Théa ?
-Non, il ne nous a pas encore vu.
Et pour cause, elle se tenait à la limite de la lumière que le feu projetait, je ne pouvais même pas voir leurs silhouettes.
-Allons y alors !
Elles apparurent chacune d'un coté du feu. Celle que venait de parler, Calliope, était blonde et portait une peau de biche blanche qui laissait apparaitre ses jambes nues et sculptées. L'autre amazone, Théa, était rousse et portait un peau de fauve qui lui dévoilait un sein superbement rond.
-Tu crois qu'il ne veut toujours plus de nous ? Calliope appuya sa pique par un sourire mutin tout en s'avançant vers moi en se déhanchant lascivement. Répond donc.
Je gardais les dents serrées, bien décidé à ne pas leur donner de quoi se réjouir. Hélas mon corps me trahit à la vue de ces deux beautés et elles eurent un immense sourire en voyant mon sexe se dresser lentement.
-Hi hi. Regarde Théa. Il a une belle verge tu ne trouve pas ?
-J'aurais presque envie de m'amuser avec....
-Presque ?
-Oui. Je préfère m'amuser avec toi devant lui.
Sur ces mots Théa saisit sa consur blonde et l'embrassa à pleine bouche. En quelques instants les deux femmes étaient nues, debout à quelques centimètres de moi et faisaient l'amour en prenant bien soin de m'exciter au plus au point.
Comment ne pas les désirer ? Elles étaient fines et musclées, leur peau était halé, brulée par le soleil de la crête. Je n'en pouvais plus de les voir se lécher, de les voir se mordiller les tétons et d'entendre leurs gémissements.
Alors que mon sexe était tendu au point de me faire souffrir je profitais du fait que leur attention était ailleurs pour me libérer de mes liens. Ma harpiste m'avait appris à me servir de mes doigts et pas seulement pour jouer de la musique. Mais je ne pouvais pas détacher mon regard de ces deux belles. La blonde Calliope était allongée, les bras écartés et gémissait tandis que Théa la léchait avec entrain tout en lui malaxant les seins, les côtes et les cuisses.
Je forçais pour me libérer de mes liens et appréciait quelques instant cette liberté retrouvé, juste avant ma vengeance. Avec un sourire carnassier je m'approchais de Théa et je la saisis par les hanches pour l'embrocher sur mon sexe qui n'attendait que ça depuis un temps interminable.
-Enfin ! On va voir ce que tu vaux spartiate ! J'aurais dû être étonné, avoir un moment d'hésitation, mais le désir l'emportait sur cela et je ne pensais qu'à pilonner cette amazone qui m'avait humilié.
Je la plaquais au sol et je l'écrasais de mon corps. Elle hurlait de plaisir à s'en casser la voix et tentait comme elle pouvait de donner des coups de bassins mais peine perdue. Je lui prit les fesses de mes deux mains et me mit à la limer profondément aussi vite que je pouvais.
J'avais oublié son amie Calliope qui se rappela à moi en se collant contre mon dos. Elle se frottait et les caresses de sa poitrine étaient tout simplement exquises. Alors que Théa gémissait face contre terre la belle blonde se pencha mon oreille.
-Allez spartiate, vas y plus fort. Pense à ton honneur entaché par ta capture, pense à toutes ces caresses qu'elle m'a donné. Pense à sa bouche qui m'a fait jouir pendant que ton sexe se dressait en attendant qu'une langue vienne courir dessus.
Mon sang de spartiate surchauffé brûla littéralement. Poussant un hurlement de rage et de plaisir mêlé je me dépensais comme un fou. Incapable de résister à mes assauts furieux cette rousse qui m'avait tant fait attendre jouit en hurlant, son cri étouffé par les herbes.
Je jouis à mon tour, envoyant des jets de semences plus forts les uns que les autres, hurlant moi aussi avant de me retirer de son âtre et de m'allonger en arrière, droit dans les bras de la blonde.
-Aaaah....aaah...Apis m'en soit témoin c'était la perfection.
-Je dois reconnaitre....han....moi aussi....je suis vidé..
-J'espère que cela ne sera pas pour longtemps, je veux en profiter moi aussi.
Je souris et me retournais pour faire face à Calliope que j'embrassais. je ne pouvais pas encore la pénétrer mais je pouvais la faire attendre avec des caresses et en jouant avec toute sa poitrine de ma langue. Rapidement je fus à nouveaux prêt et je pris Calliope en cuillère, d'une main je lui caressais le corps et de l'autre je caressais son âtre tout en la pénétrant avec vigueur.
-Aaaah oui....continue....c'est bon...
Avec une sourire j'accélérais la cadence, la blonde se à gémir et je sentais sa cyprine couler au fur et à mesure qu'elle approchait de l'orgasme. Quand elle jouit je continuais mes mouvements de longs moments, faisant durer son orgasme, et elle se détendit complètement dans mes bras.
Profitant qu'elle n'étais plus en état de faire quoi que ce soit pour le moment je me dégageais d'elle et l'allongea sur le ventre.
-Attend ! Tu fais quoi ?
-Tu ne croyais t'en sortir comme ça ?
-Tu vas me faire quoi ?
-Te montrer ce qu'est un vrai homme, amazone.
Et sur ces mots je la sodomisais un grand coup. Son hurlement de douleur et de plaisir mêlé fut un véritable délice à mes oreilles. Bien décidé à la mater je fis des vas et vient le plus vite possible, profitant à fond des sensations merveilleuses que je ressentais.
Allongé de tout mon poids sur elle Calliope ne pouvait rien faire. Ses mains agrippaient la terre pour ne pas défaillir, peine perdue. Oh que c'était bon ! Ses fesses étaient si douces, chaque fois que je m'enfonçais au plus profond d'elle elles touchaient mon bassin. Je voulais les saisir à pleine mains, les caresser et les malaxer pendant que je m'y enfonçais mais je n'étais sur de pouvoir continuer à la dominer.
Finalement c'est Théa qui m'aida, elle voulait sans doute se venger. Elle saisit les mains de Calliope et les maintins, me permettant de me redresser, de saisir ses fesses et de la limer encore plus sans retenue. Les hurlements de la blonde devinrent démentiel et je m'approchais de plus en plus de l'orgasme.
Je serrais les dents et continuais à la limer, Le feu à coté de nous réchauffait mon corps en sueur et participais à me rendre quasiment fou, au bord de l'orgasme sans vraiment l'atteindre, cette sensation de non-retour s'éternisait et c'est finalement avec un plaisir démesuré que je jouis dans son cul. J'envoyais plusieurs jets au fond de ces entrailles avant de me retirer et d'expulser à nouveau mon sperme brulant sur son dos et ses fesses.
Ivre de plaisir je m'écroulais au sol et attirais les deux amazones contre moi. Repus de sexe et mon orgueil vengé je m'endormis rapidement dans le merveilleux lit de leurs corps
Au matin alors que le soleil se levai je fus réveillé par une sensation que je connaissais bien, celle du désir matinal. Alors que je me demandais laquelle allais satisfaire mon désir deux mains empoignèrent ma verge commencèrent à me masturber avec délicatesse, c'étaient celles de Calliope, visiblement elle ne m'en voulait pas pour hier.
jallais réveiller Théa mais elle l'était déjà. J'allais lui dire d'aider Calliope quand elle me prit en bouche et inonda mon sexe de salive. Inutile de préciser à quel point c'était divin, la blonde me caressait avec entrain et malaxait souvent mes testicules.
Souvent elle cessait ses mouvements de main pour que je puisse admirer sa consur rousse me sucer avec vigueur. Théa aimait bien durant ces moments la me lécher et me titiller de manière à ce que je vois sa langue jouer avec mon gland gonflé par le désir. Je ne pus pas résister à un tel traitement et les deux jeunes filles furent récompensé de leurs efforts par de beau jets de semence qui leurs maculèrent les mains et les lèvres.
Puis je repartis ensuite avec un sac de cuivre, une bourse pleine et l'autre vidée. Mais tandis que je retournais vers ma cité de Sparte je ne me doutais que j'aurais bientôt avoir à me battre pour mon trône.
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