Les Jambes De Belle Maman
Alors que ma femme Adeline ma toujours et me donne toujours envie delle, ce nétait pas le cas de sa maman Marilyne, je la voyais comme ma belle-mère, la mère de ma femme et la grand-mère de nos jumeaux. Pourtant, il y a dix ans ; javais 40 ans et belle maman 62 ; nous étions passés chez elle pour lemmener au restaurant un Dimanche de printemps. Veuve depuis cinq ans, vivant seule, elle appréciait ces sorties en famille, avec son fils ou sa fille. Cependant, elle préférait et encore aujourdhui la compagnie de sa fille avec son gendre et ses deux petits-s, que celle de son fils et sa belle-fille, qui, sans , préféraient des week-ends en amoureux.
Ce Dimanche de Mars
- Nous tattendons dans la voiture, vas vite chercher maman, nous ne sommes pas en avance..
Au pas de course, je traverse la petite cours et grimpe les escaliers, ouvre les vérandas et sonne à la porte.
- Entrez. Je ne suis pas prête, jen ai pour deux minutes. Mon Dieu ! cest vous Patrick, je suis en petite tenue, je me sauve ; jaurais préféré Adeline pour me conseiller une robe. Il fait comment dehors ?
Je nécoute plus Marilyne, je viens de la voir en culotte et soutien-gorge, passer en coup de vent dans le couloir
.Bigre, quelle est belle ! Que ses cuisses sont belles !
.
- Euh
.très doux
avec un léger vent...
Javais pourtant vu plus dune fois à la piscine ou à la plage les jambes et les cuisses de Marilyne
Mais... je ne sais pas. Ce jour-là...
- Bon je mets une robe légère ; mais avec ce petit vent, vous croyez que jaurai froid aux jambes Patrick ?
- Oh
Oui
mettez des collants, cest préférable
Javais lâché cette réplique sans hésitation, jadore les collants, jaime voir le haut de la cuisse, dune couleur plus sombre
voir la couture sur les fesses
.jaime toucher la matière, sentir chaque maille sous mes doigts quand je caresse les jambes gainées dans ce doux voile
Si Marilyne mavait demandé la couleur, jaurais là encore sans hésiter répondu : bruns
.
-Bien je vous écoute ! cria-t-elle du fond de sa chambre.
Comme javance dans le couloir, je mapproche de la chambre, la porte est entrouverte
Je penche un peu la tête
Quel beau spectacle, la silhouette de Marilyne dans le miroir de larmoire, elle enfile une paire de collants, ses mains ajuste le haut du collant sur les cuisses, tirent doucement la précieuse matière encore un peu plus haut. La robe beige remontée jusquà la taille, laisse voir le gousset foncé des collant bruns, des bruns comme je les aime ! Marilyne apparaît pour la première fois à mes yeux, comme une femme désirable.
-Patrick ! Vous pouvez venir une seconde ?
Je recule rapidement ma tête de la porte, et sans répondre, je pousse cette dernière pour entrer dans la chambre. Marilyne me tourne le dos, le buste en avant elle termine dajuster ses collants. Je regarde son fessier, qui tend maintenant le tissu clair de sa jupe
Comme jaimerais toucher
- Montez-moi ma fermeture, vous serez un ange, Patrick !
Tout en relevant ses cheveux sur le haut de sa nuque, elle recule vers moi et moffre la vue de sa robe dégrafée à moitié, et comme un film quon repasse à lenvers, je remonte délicatement, doucement la fermeture éclair vers la nuque dans laquelle, je ne peux mempêcher de déposer un petit baiser timide
Comme sa nuque sent bon
- Et bien Patrick
Vous êtes plus quun ange
quelle délicatesse
Je nen demandais pas tant.
- Je
Je
Termine toujours ainsi quand jaide Adeline.
- Elle en a de la chance, jadore les bisous dans la nuque
Elle laisse retomber ses cheveux quelle arrange rapidement, et se tourne rapidement vers moi, je nai pas bougé, nos têtes se font face et nos bouches à quelques centimètres. Jai envie de déposer un baiser sur ses lèvres, de glisser ma mangue entre et de la nouer à la sienne
.De boire sa salive
Nos regards se croisent, un arrêt sur image, voilà exactement ce qui se passe, un arrêt sur image.
- Euh
.Vite jenfile mes chaussures, allez devant jarrive.
Le film redémarre, qui avait-il dans son regard ? Si je lavais embrassée ? Ces questions et ces images me trottent dans la tête jusquau restaurant, distrait, puisquà maintes reprises, Adeline me fait remarquer que je ne roule pas assez vite, que je ne fais pas attention aux piétons
..Cest vrai que mes pensées sont ailleurs, mon regard se pose par intermittence sur les genoux de ma belle-mère qui a pris place devant. Comme ses jambes sont belles, mes mains qui se crispent sur le haut du volant, voudraient remonter sous la robe beige, découvrir les cuisses
-Attention ! Sécrie Adeline.
Je viens de donner un coup de volant pour éviter un chien qui traversait. Dans la manuvre, les jambes de Marilyne ont bougé, se sont écartées et je peux voir la naissance de lintérieur de sa cuisse droite
.
Nous arrivons au restaurant, je me gare et Adeline en profite pour me signifier quau retour, elle conduira, vu mon attention sur la route aujourdhui. Alors que les s descendent et se précipitent vers la salle, jouvre la portière à ma femme et avant quelle ne descende, Marilyne sexclame :
-Moi aussi on viendra maider à descendre prince charmant ?
-Bien sûr, ne soyez pas jalouse jarrive.
Jouvre la portière à ma belle-mère et linvite à descendre, elle sexécute et lance la jambe droite en dehors du véhicule, tandis que la gauche reste à lintérieur, bien ancrée sur le plancher. Cette fois lintérieur des cuisses sont dans mon champ e vision et la robe qui remonte laisse découverte la cuisse droite. A ma grande surprise, Marilyne reste un moment dans cette position et me tend la main :
-Aidez-moi mon prince
A descendre du carrosse, je vous prie.
Je prends alors sa main dans la mienne et la tire vers moi, pendant que Marilyne, sort la deuxième jambe, non sans me faire voir cette fois la deuxième cuisse
.Mon Dieu que cest beau ! A peine debout devant moi, alors que je referme la portière :
-Jespère que vous navez pas vu ma culotte Patrick ?
-Oh, je ne regardais pas
Marilyne esquisse un petit sourire et emboîte le pas à sa fille.
-Dépêche-toi Patrick, tu traînes, les jumeaux sont déjà à lintérieur.
-Oui, oui, jarrive.
Nous prenons place, je suis à côté de ma femme, les s face à nous et Marilyne en bout de table à ma gauche. En prenant place, mon genoux se colle contre celui de belle maman et je décide de ne plus le bouger. Marilyne ne bouge pas et scrute la carte que le serveur vient de lui tendre. Ma femme en fait de même pendant que la carte des vins est ouverte devant moi, tout en lisant, je glisse mon pied contre celui de Marilyne, en calant ainsi encore plus fort mon genou. Marilyne lève la tête et madresse un regard par-dessus ses lunettes
.Quelle est belle avec ses lunettes ! Un regard rieur, coquin, comme pour me dire « je vois bien ou vous voulez en venir ».
-Et bien moi, ce sera le menu du jour : poulet au gingembre et champignons avec les petits légumes ; sexclame Marilyne.
-Même chose pour moi et toi Adeline ?
-Pour moi, pas de gingembre, je préfère la truite aux amendes et pommes de terre, et pour vous les s ?
-Pas de gingembre ma fille ? Tu as peur davoir chaud aux joues ? Cest vrai que tu naimes pas la cuisine épicée
.
-Des frites avec un steak interrompent les jumeaux.
-Vous Patrick, le gingembre ; attention
Vous connaissez les effets secondaires ?
-Non, non, quels sont ces effets ? Dis-je avec un ton ironique.
-Ne fais pas lidiot, Patrick maman sait bien que tu nes pas bête.
Je déplie ma serviette sur mes genoux en souriant, et dun geste machinal, je la lisse sur mes cuisses, mais, maladroit, ma main balaye du revers le tissus et la serviette tombe comme une feuille morte sous la table. Aussitôt tout en reculant ma chaise, les deux bras sous la table, je bascule mon tronc en avant et mes yeux sabreuvent des images quils envoient à mon cerveau : Marilyne, déchaussée sest emparé de ma serviette avec ses pieds qui, comme le godet dune grue, balances létoffe devant mon nez.
-Alors, on aime ? Elle te plaît Marilyne ?
Comme une réponse à cette question, je libère mon pied droit de sa chaussure et le lâche à lattaque des pieds et des jambes de ma belle-mère. Je caresse le dessus de ses pieds, remonte vers le haut des mollets, redescend, remonte plus haut, je sens maintenant la chaleur de la cuisse sous la plante de mon pied. La position inconfortable de cet assaut a pour effet de minfliger une crampe aigue et de laisser échapper un cri bref mais audible même pour les clients des tables voisines.
-Qui y at-il ? Sexclame étonnée ma femme ?
-Vous nous faite peur Patrick, enchaîne Marilyne quant à elle faussement étonnée.
-Jai une crampe à la cuisse
.Prenez ma commande, je vais marcher un peu.
Doucement, je me lève et je me dirige vers la porte dentrée, non sans avoir jeté un regard complice à Marilyne. Jai juste le temps dentendre dire ma belle-mère :
-Tu devrais le masser, le pauvre, cela lui ferait du bien.
Et ma femme de répondre :
-Oh non, jai horreur des massages, vas-y toi.
Arrivé sur le parking, je masse ma cuisse de façon à réchauffer le muscle, derrière, dans les graviers, des pas légers se dirigent vers moi.
-Voilà ce qui arrive aux petits coquins qui jouent sous les tables. Lance en riant Marilyne, qui ajoute :
-Allez-vous asseoir dans la voiture, je vais vous masser, ça vous dit ? Je suis certaine que oui, si jen crois votre hardiesse que jignorais jusquà aujourdhui. Le voyeur de larmoire à glace, le distributeur de bise dans la nuque, le voyeur de la voiture, le mateur et caresseur des dessous de tables
Vous cachez votre jeu Patrick.
Jai pris place sur la place avant de ma voiture, tout en écoutant Marilyne qui à chaque parole me fait presque oublier ma douleur ; elle est ma complice, je sens que nous allons nous rapprocher encore et encore.
-Etendez votre jambe, et posez votre pied sur ma cuisse.
Marilyne est maintenant accroupie devant moi, elle a pris ma jambe après avoir retiré ma chaussure et pose délicatement mon pied sur sa cuisse, tout en remontant volontairement sa robe, je sens la chaleur de sa chair à travers le collant, pour garder léquilibre, Marilyne a écarter les cuisses, sa culotte est visible, sous la couture de son collant, elle masse maintenant ma cuisse dun geste rapide qui devient de plus lent et sans dire un mot, ses yeux fixés sur le haut de mon pantalon qui est maintenant déformé par une érection que je ne peux et ne cherche pas à dissimuler. Sa main caresse mon entrejambe et sy attarde en prodiguant des mouvements circulaires ; son autre main place mon pied entre ses jambes, je ne rêve pas, ma belle-mère me caresse lentre-jambes et se branle sur mon pied ! Je nen peux plus, si on continue, je ne saurai me retenir, un véhicule arrive dans a cours ; ouf ! Sauvé par le gong, encore dix secondes et jinondais mon caleçon. Marilyne sest redressée dun bon, réajuste sa jupe, sans dire un mot retourne dans le restaurant en disant :
-Moi jai faim, il faut que je me sustente
.
Alors que je chausse mon mocassin, jentends que Marilyne a traîné sur la syllabe « sus ». Je la rejoints très vite et arrivé à sa hauteur, elle me glisse à loreille :
-Pendant les repas jai toujours froid aux pieds et aux cuisses !
-Ca y est maman, tu as sauvé le soldat Ryan ? Et le petit soldat est guéri par sa petite belle maman ?
-Moque toi, tu sais ce nest pas amusant une crampe ; tu es sans pitié pour ton pauvre Patrick.
-Merci de prendre ma défense et merci pour le massage Marilyne.
Nous avons maintenant repris nos places, le serveur amène les assiettes des jumeaux et celle dAdeline.
-Nattendez pas sur nous, commencez, ça va être froid, je crois que le poulet nest pas encore tué
Sur ce ton amusé, Marilyne me saisit le bras pour lentrainer sous la table. Elle guide ma main sur le haut de sa cuisse, sa jupe est déjà relevée jusquau-dessus, elle écarte ses jambes et mes doigts jouent déjà à courir dans cette vallée chaude, mon pouce glisse le long de la couture du collant et senfile entre la chaise et le fessier
..Comme je suis bien, je nentends plus le bruit environnant, ni même ma femme qui devise avec sa mère, elle-même qui se bascule comme pour faciliter le passage de mon pouce. Quel moment divin ! Tés vite, trop vite, nous avons maintenant nos assiettes, je dégage à mon grand regret le refuge improvisé pour ma main qui est chaude pour saisir le manche du couteau froid. Ma belle-mère après chaque bouchée, sassure que sa fille ou ses petits s ne regardent pas dans notre direction et se lèche les lèvres dune façon érotique, sa langue traîne sur cette bouche en haut de droite à gauche, en bas de gauche à droite, elle termine en sessuyant dans sa serviette en me lançant un clin dil. Mais bon sang ! Quelle journée, quel repas ! A de nombreuses reprises, mes mains quittent la table pour aller se défouler sur les jambes de Marilyne, son entre-jambes, ses genoux, ses pieds qui de temps en temps remontent le long de ma jambe
Il ne me tarde quune chose : Ce soir à lheure où après avoir déposé les s et Adeline, je raccompagnerai mon excitante belle maman. Jusquoù irons-nous ? Et si elle en restait là ?
(
..à suivre..)
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