La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°786)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°785)
Le Maître, toujours silencieusement, savança vers moi et me saisit le menton, me forçant à relever la tête et les yeux vers ce visage Dominant si cher à mon cur de soumise, et à croiser ce regard bleu si intense que je ne pus le soutenir longtemps et qui me fit baiser le mien rapidement. Dun geste doux, mais qui nadmettait pas de résistance, il continua à exercer une force vers le haut, me faisant comprendre que je devais me mettre debout. Je gardais la tête et les yeux baissés, les mains jointes dans le dos. Monsieur le Marquis dEvans séloigna un peu, et attrapa une cravache. Du plat de cet instrument, par des petits coups qui, sans douleur, commençait à me faire monter de la chaleur dans le bas-ventre, Il me fit comprendre décarter largement les cuisses, ainsi que les bras de manière à ce quils forment une ligne horizontale. Il me scruta, passant le plat de sa cravache ou sa main, sur toute la surface de mon corps, tournant autour de moi comme un vautour autour de sa proie, dans une inspection attentive des soins qui mavaient été apporté. Régulièrement, un coup de cravache tombait, sur mes fesses rebondies, sur mes seins aux tétons dressés, sur ma chatte fortement mouillée. Cela faisait monter grandement lexcitation entre mes cuisses, et je savais que jétais largement humidifiée !
- Humm je suis très fier du travail de Mes chiennes ! Tu es magnifique ! Ma queue a largement gonflée ! Il va falloir vous débrouiller pour que je sois à nouveau à laise dans mon pantalon, Mes belles petites chiennes !
Je me retenais de justesse de relever la tête, mais je devinais aisément que mon regard devait être horrifié ! « Il va falloir VOUS débrouiller » ? Monsieur le Marquis voulait-Il réellement que nous nous occupions à deux, ensemble, de Sa noble queue ? Non cela ne pouvait être possible ! Je nai jamais pratiqué une fellation à deux langues et la faire avec une autre me fit ressurgir, sur le moment et à tort, mes sentiments de jalousie
- Allez, venez Mes chiennes, dépêchez-vous !
La soumise qui mavait ramené aux pieds du Maître vint se mettre à genoux à Sa gauche, et me fit un regard discret pour minciter à limiter.
- A vous ! Mais sans les mains que je veux que vous gardiez dans votre dos.
La soumise, dont je ne connaissais toujours pas le nom, sapprocha de la fermeture éclair et la baissa à moitié, me faisant comprendre dun mouvement de tête de finir. Je mapprochais donc, sans relever la tête vers le Maître. Je saisis le bout de la fermeture avec les dents et finis de la descendre, mon nez frottant la bosse que formait le sexe déjà en semi-érection de Monsieur le Marquis, et menivrant de Son odeur de mâle. Je me reculais un peu tandis que lautre soumise se rapprochait, et me regardant, attrapait le coté du pantalon. Je limitais et nous descendîmes ensemble le pantalon sur les chevilles du Maître, lentement, laissant apparaître peu à peu les jambes nues, de Celui qui nous adorions tout autant lune que lautre. Puis nous recommencions avec le boxer, devant forcer un peu au début pour libérer enfin le Noble sexe de Monsieur le Marquis, se dressant fièrement vers le plafond
La partie que jappréhendais le plus allait commencer. Comment se partager la tâche, sans que lune ou lautre ne soit lésée, en étant sûre dapporter tout le plaisir au Maître possible ? La soumise dut me voir hésiter, avec un petit sourire et un léger mouvement de tête, elle sortit la langue et commença à lécher une bourse, pleine et gonflée. Je fis de même sur lautre. Parfois le bout de nos nez se touchait, tandis que nous léchions consciencieusement. Puis elle commença à remonter le long de la hampe, faisant comme des dessins avec sa langue, et jessayais de faire de même. Jarrivais sur le bout du gland en premier, et là, chose que jamais, au grand jamais, je naurai imaginé, la soumise me rejoignit et en même temps que nous léchions le gland turgescent et violacé de Monsieur le Marquis, nos langues seffleuraient, nos salives se mêlaient légèrement. Dabord mal à laise, même si de plus en plus excitée, je redescendais vers les couilles.
La soumise suivit le même chemin, à la différence prêt, quelle avait pris la superbe queue, encore plus gonflée me semblait-il, dans sa bouche. Et lorsquelle remonta, je donnais également des coups de langue vers le haut. La Noble verge quitta sa bouche au moment où je la rejoignais, repartant à coup de langue, me laissant alors le soin de la sucer à mon tour
Sans quun mot ne fut échanger entre nous, nous trouvions un rythme, alternant chacune coup de langue ou coup de bouche, sur la verge ou sur les couilles, accélérant le rythme et faisant monter chez le Maître de plus en plus de râles, de « Humm cest bon !... » « Continuez Mes chiennes
»
quand dun coup, Il se recula un peu. Ne comprenant pas, je lançais un regard vers ma sur de soumission, qui se déplaçait pour se mettre bien face à Lui, bouche ouverte, langue sortie. Je pris donc la même position à ses côtés, et Monsieur le Marquis nous abreuva toutes les deux de Sa précieuse semence, nous arrosant au passage le reste du visage et les seins.
- Humm ce fut un moment délicieux, Mes adorables chiennes ! Maintenant venez me nettoyer et après vous vous nettoierez mutuellement !
Jeus un nouveau mouvement de recul. Nettoyer le Maître, cela allait ressembler à ce que nous venions de faire, donc je ne men faisais plus à ce niveau-là ! Mais la soumise allait me lécher et jallais devoir faire la même chose pour elle ! Je pensais que le Maître mavait dit que jallais devoir faire tomber dautres barrières ce soir. La soirée nétait pas encore commencée et pourtant Monsieur le Marquis malmenait déjà bien mes barrières, qui pour le coup avaient du mal à céder
Nous nous mîmes donc à nettoyer le sexe du Maître que nous vénérions toutes les deux. Quand Il se recula, signe quIl se trouvait satisfait et quIl se rhabilla, la soumise sapprocha et avec un sourire compatissant commença à me lécher le visage.
Je compris à ce moment-là, que je navais plus aucune raison dêtre jalouse et donc ainsi pourquoi tout sentiment de jalousie avait, tantôt, disparu ! Entre frères et surs de soumission, nous étions là, tous considérés au même niveau par le Maître, et tous dans un même but, satisfaire de tout notre possible Monsieur le Marquis dEvans, Le Maître aux pieds duquel nous étions tous. Et autant que possible, nous devions nous entraider, nous soutenir, nous devenions par la force des choses complices pour toujours plus de plaisir pour Celui qui nous Dominait et pour qui nous donnions tout ce que nous avions. Nous devions être unies pour aller tous vers le même but, être au service du Maître à qui nous avions fait don de nos corps, de nos âmes, et autant que possible de nos vies !
La soumise vient me nettoyer très sensuellement. Je ne me serais retenue, jaurais même gémi sous ses caresses buccales. Mais jappréhendais mon tour. Cétait une chose que je navais jamais faîte, mais au lieu du mouvement de recul, ce qui minquiétait maintenant, cétait de ne pas être à la hauteur, de navoir absolument rien de sensuel, de décevoir Monsieur le Marquis ! Lorsque je me mis en devoir de nettoyer la belle soumise que javais en face de moi, je me rendais compte que ma volonté à satisfaire avant tout le Maître, continuait à me changer, et me rendait capable daller toujours plus loin pour Lui ! Je mis énormément dapplication à ma tâche, et je fus récompenser par un très léger gémissement de celle que je léchais !
- Bien cela suffit maintenant ! Ma chienne Cypris MDE, va voir Walter, mon Majordome, afin quil tassigne une nouvelle tâche !
soumise Cypris MDE (jappris ainsi son nom) se mit à quatre pattes et quitta la pièce avec une grâce féline en se déplaçant en jouant de son fessier arrondi, grâce féline en quadrupédie que jespérais vivement pouvoir atteindre un jour ! Monsieur le Marquis sapprocha de moi, caressant mes cheveux, puis mes épaules, me les serrant légèrement et me faisant me relever.
- Vas-y laisse couler tes larmes. Aucune larme ne coule inutilement ! Je sais que tu viens de vivre des choses que tu navais jamais expérimentées, mais mon rôle est de te faire avancer. Tu nes là que pour peu de temps, le week-end tirant sur sa fin, et je voulais te faire vivre un maximum de choses, que je te pensais capable de faire. Je sais que quelques barrières viennent encore de tomber, et je tiens à te dire que je suis très fier de toi ! Jai vu à quel moment ta dévotion pour Moi a pris le pas sur ton appréhension. Et je suis heureux que tu ais réussi une nouvelle fois à te dépasser. Ce soir de nouvelles épreuves tattendent, comme tu le sais déjà. Avant de quitter cette pièce, je te retirerai ton collier. Ce nest pas une punition, mais je te rappelle que tu nes pas encore une soumise officiellement MDE. Tu auras juste une chaîne pour montrer que tu nes pas libre, que tu es une soumise. Maintenant pour être sûr que tu sois dans létat que je désire ce soir, je vais tappareiller un peu. Mets-toi ventre sur cette table.
Je mexécutais. Monsieur le Marquis glissa dans mon cul un lubrifiant tout en massant mes parois anales, ce qui mexcita fortement puis sans préambule il inséra un plug assez long et épais pour que je ne puisse pas oublier sa présence et un uf vibrant pour linstant éteint dans ma chatte excitée, ce qui facilité lintroduction de cet objet. Dune pression, il me fit me redresser et remettre à genoux. Il enleva mon collier et me passa une chaine à maillons moyens. Je ressentais un grand vide. Javais limpression que les épreuves de ce soir allaient être déterminantes pour mon avenir de soumise aux pieds du Maître. Il passa une laisse sur ma chaîne et tira un petit coup sec, me faisant comprendre de Le suivre en quadrupédie. Nous sortîmes de la pièce, avancions dans des couloirs feutrés, pour nous arrêter devant une grande porte massive à double battant. Javais le cur battant à tout rompre, me demandant ce qui allait marriver de lautre côté de cette porte. Le Maître tira un peu la laisse en lair me faisant mettre à genoux. Il me passa un bandeau sur les yeux, quIl sortit de sa poche, et mappliqua un bâillon-boule sur la bouche, tout en murmurant à mon oreille :
- Aie confiance en Moi, montre-Moi ta dévotion et je serai encore plus fier de toi !
Et je lentendis ouvrir la porte
(A suivre
)
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