La Folie Du Pleutre 10

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

La semaine qui suivit, j’ai trouvé Marion très attentionnée à mon égard. Nous avons fait l’amour pratiquement tous les soirs et même un matin juste avant qu’elle ne parte à son travail. C'était redevenu le grand amour. Je me suis aperçu cependant qu'elle était différente et que son implication dans l'accouplement était plus intense, plus libéré. Incontestablement son passage dans la boutique l'a transformée et je suis le seul à en profiter. C'est le bonheur ! J'oublie lentement le choc de ce samedi et je me reprends à l'aimer assez pour redevenir esclave de cet amour. Je désire plus que tout lui donner cet qui scellerait notre amour par un lien inextricable. Et là Monsieur David n'existera plus.
Enfin presque. Dans nos étreintes je ne pouvais empêcher certaines images de resurgir. Marion dans les bras de Monsieur David plaquée contre lui, face au miroir une main sur un sein et l'autre sur son pubis qui fouille la chatte de ma belle. J'entends encore les gargouillis, le clapotis des doigts battant la mouille dans le vagin de ma chérie. Ou encore sur ses lèvres le goût du baiser séché de l'autre. Mais vite la joie de l'avoir pour moi seul prend le dessus et nous jouissons tous les deux dans une même extase.
Marion est aujourd’hui assistante de direction dans une grande entreprise. Il lui arrive de faire le samedi des heures supplémentaires. Mais très rarement. Elle porte souvent avec plaisir les vêtements offerts, n’en finissant pas de louer ma gentillesse de lui avoir offert cette première robe. Plusieurs fois je la surprends se regardant dans le miroir de la chambre. Elle tourne sur elle-même comme pour apprécier ses formes. Encore une fois je ne la reconnais plus et je retrouve l'influence de Monsieur David.
Ce matin en partant, juste sur le pas de la porte, elle m’annonce qu’elle est sollicitée par son patron pour samedi prochain afin de finaliser un dossier très important.

Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle a claqué la porte. Au ton de sa voix je sens le mensonge. Son assurance e pour me l’annoncer prouve son trouble. Et ce départ rapide pour ne pas avoir à donner des explications qui pourraient être embarrassantes !
Alors je ne peux pas m'empêcher de repenser à ce dernier samedi de folie. Et soudain je repense au geste de Monsieur David au moment de notre départ de la boutique. J'ai parfaitement vu qu'il glissait ce que j'ai pris pour une carte de visite dans la poche de sa veste. Il est facile d'imaginer qu'il lui donnait son numéro de téléphone. Le doute s'installe d'un seul coup. La jalousie encadrée par une forte excitation m'envahit. Dire que je m'étais un instant senti indifférent, à la suite de son abandon si rapide dans les bras, de cet ignoble individu !
Je décide de ne rien faire paraître. Le vendredi alors en pleine réunion je reçois un SMS, qui cette fois encore ne m'était pas destiné. Il émane bien sûr du sieur David.
"Demain 18 heures à la boutique"
Je reçois un énorme coup de poing dans le ventre. Je dois être livide car mes collègues s'inquiètent. J'ai du mal à les rassurer et je quitte brutalement la salle de réunion. Le choc est si violent que je me précipite aux toilettes pour vomir.
L'évidence me saute aux yeux ! Ma petite femme, mon amour, ma vie est sur le point de me tromper. Je ne le crois pas. Cependant je me laisse aller à espérer, penser que leur proie demain est une autre que Marion. Possible, non ? Je ressorts des toilettes l'angoisse au ventre et je décide de m'en assurer. Je prends mon téléphone et envoie une réponse au SMS. Tant pis, si je lui dévoile l'erreur de destination abandonnant cet avantage.
"Mr David ? Vous voulez me voir demain ? "
La réponse met un certain temps à arriver signe qu'il vient de se rendre compte de sa bévue.
" Non, c'est bête. Une simple erreur."
On ne peut pas plus gêné. Il est loin de m'avoir rassuré et même plutôt conforté que c'est Marion qui est invitée demain.
Je perds pied, incapable de savoir quoi faire. Sans volonté, je me laisse porter par les événements.
Une heure après un bref SMS me parvient
"Vient demain à 17h 45 précises. Boutique."
Je ne sais que penser. Il veut me faire participer à un spectacle comme avec Marion ? Je ne sais plus quoi penser de ce salaud. Et si c'était Marion ? Ce soir je veux savoir. Je vais piéger ma petite femme.
A peine rentrée, elle file dans la salle de bain pour se doucher. Je pense qu'une partie de baise est dans l'air. À table tout au long du repas elle ne fait que faire des allusions sur ce qui va se passer bientôt. C'est clair, elle veut que nous fassions l'amour. A ce moment là je ne peux me résoudre à l'accuser d'avoir le projet de rejoindre ce rustre demain. Alors je me lâche et à peine le désert avalé nous allons au lit pour une soirée de passion amoureuse. Nous n'abordons pas le sujet de la journée du samedi.
Le lendemain, elle se lève avant moi et je l'entends partir doucement pour ne pas me réveiller. Je l'entends qui revient vers midi, tout souriante.
- Tu ne devais pas aller au bureau aujourd'hui ?
- Oui mais après midi, vers 15 h. Je suis allée au marché. Il faut déjeuner vite.
Quand je la rejoins je remarque tout d suite qu'elle sent un parfum que je lui connais pas.
- Tu sens bon Marion.
- Tu trouves ?
- Oui, vraiment.
- Je suis allée voir l'esthéticienne pour mes soins du corps. Pour nous deux ce week-end.
Les bras m'en tombent. Coïncidence ? Je veux savoir
- Tu veux que je te dépose en voiture, je vais voir mes parents ?
- Non, mon chéri, je peux y aller seule. Tu es gentil !
Le doute fait de plus en plus place à la certitude. La garce, quel aplomb ! Elle est maintenant assise dans une assurance qui me déstabilise. Je fuis mais je serai fixé tout à l'heure.
Quand elle part, je la sens quand même nerveuse. Elle a mis cette jolie robe d'été très sexy et légère que je lui ai offerte.
Elle a encore passé par dessus la petite veste de lin. Comme elle s'enfuit plus qu'elle ne quitte la maison, je n'ai pas le temps de voir si elle a mis des dessous, j'arrive à apercevoir ses jambes allongées par des escarpins à talons.
Je rejoins la boutique et j'y arrive un peu avant l'heure. Elle est fermée. Seul un faible éclairage illuminé le fond, là où est la glace sans tain. Je frappe et Monsieur David apparaît, toujours aussi obséquieux et sûr de lui. A peine entré, il me prend par les épaules dans un élan qui se voudrait amical. Sa voix n'est même pas hésitante quand il me dit.
- Écoute mon vieux, j'attends Marion !
Un nouveau coup de poing au ventre manque de me faire tourner de l'œil.
- Tu as joué avec le feu. Il faut assumer. Ta Marion est trop belle et bonne pour ne pas en profiter. Elle est un don du ciel et tu en joues. J'ai compris que tu es au courant de mes travers dans la boutique. Samedi je l'ai montrée en vrai à des potes qui avaient eu un avant goût de ses charmes avec les photos que tu m'as envoyées. Tu aimes la montrer et la voir exciter les mâles. Je te propose un deal. On va t'aider à assouvir ton fantasme, contre ton silence pour la glace sans tain. Je ne veux pas de scandale dans le quartier. Et puis j'aime bien votre couple. Tu es d'accord ?
Je reste sans voix. Je finis par lâcher un timide ok. Angoissé, jaloux et excité. Il poursuit.
- Elle a commencé par me dire toute gênée, qu'elle désirait acheter une autre robe et qu'elle viendra sans toi, car elle veut t'en faire la surprise. J'ai fait celui pas trop intéressé, pour la tester. Elle a insisté et a même finit par me dire qu'elle avait découvert des choses nouvelles samedi dernier. Ecoute, je ne veux pas faire capoter ton couple mais vraiment ta femme me bote et pas qu'à moi. Samedi ils étaient trois de mes copains à la mater derrière la glace sans tain. Ils ont pris un pied fou. Et je te soupçonne d'avoir aimé la voir se conduire comme une pute sous mes caresses.

J'écoute, complètement hébété, incapable de répondre. "Comme une pute". Il continue.
- Bon. Je suis désolé de le dire mais c'est elle qui m'a appelé pour venir demain ! Je lui avais glissé une carte avec mon tel portable. J'avais bien senti qu'elle avait aimé la séance d'essayage. Tu ne dois pas la faire reluire souvent ta beauté raille-t-il. D'ailleurs, ta mignonne avait sa chatte bien humide sous mes doigts et je t'ai bien vu te branler en cachette.
La honte me submerge. Je suis humilié j'ai envie de mourir. Il ajoute, toujours avec ce ton dominateur et condescendant.
Tu sais la sexualité des femmes passe par des étapes très distinctes. Adolescentes, elles rêvent du prince charmant. Puis redescendues sur terre elles cherchent le mari parfait. Ensuite elles veulent se libérer du poids de leur éducation. Et là elles sont capables de tout pour s'abandonner à jouir. Cette étape dure assez peu de temps avant qu'elles soient rattrapées par la période de couveuse. Elles veulent fonder une famille et le gentil mari reprend son rôle et son importance. Je pense que tu as deviné l'étape que vit Marion en ce moment. Allez vient, je vais te montrer ton poste d'observation. Et surtout je ne veux aucune manifestation de ta part.
Le salaud, quel mépris pour la gent féminine ! Et pour ma Marion ! Ce type ne respecte rien ni personne et je lui ai livré ma femme.
Je suis seul derrière la glace sans tain, dans le noir, assis dans un fauteuil. Sur une table basse devant moi, des bouteilles de bon vin, du whisky et des verres. J’imagine que ce déploiement de luxe est destiné aux spectateurs des défilés de mode spéciaux organisés par Monsieur David pour ses amis.
A 18h précises, elle arrive toute timide et rougissante. J'ai une vue parfaite de la scène. Comme elle est belle et désirable perchée sur les talons qui allongent sa silhouette. Pas de culotte, c’est net ! Semblant de courtoisie, il lui ôte sa veste.
Il la fait tourner en la tenant d'une main en l'air, comme une poupée automate. Je vois son regard se poser sur sa croupe, et confirmer qu'elle est cul nu. Elle est femme objet, sans âme, sans volonté et qui pour moi a perdu toute dignité. Et tout ça pour le sexe. Elle est sur la pente de la débauche. Mais comment puis-je oser la juger, moi qui l'ai emmenée ici. Elle sourit maintenant, toute timidité disparue. La jalousie me submerge car elle semble éprise sentimentalement, amoureuse de ce monstre.
Il la prend dans ses bras, elle a les yeux fermés le visage levé ver lui. Doucement il lui prend les lèvres qu'elle tend comme offrande. Il a glissé une main entre leurs deux corps et remonte le devant de la robe pour atteindre le sexe qui réclame les caresses. J'ai déjà sorti ma bite et doucement je me branle. Il se met de profil pour que je puisse bien voir qu'elle l'embrasse maintenant pleine bouche. J'entends aussi distinctement ses gémissements.
Le salaud ne se gêne pas, il la retourne face au miroir et fait tomber la robe. Il me la montre, nue, comme l’autre jour à ses complices. Elle a l’air si fragile ! Une main englobe un sein tandis que l'autre se pose sur son sexe. Je contemple ahuri le doigt qui pénètre le sexe de ma bien aimée. Comme l'autre jour, il prend possession de son intimité, de NOTRE intimité. Intimité qu'elle laisse violer par le doigt de cet inconnu. Je ressens comme un profond dégoût en cet instant. Ma femme ne m'appartient plus. En la pénétrant simplement d'un doigt il me prend, me vole son âme, son cœur. Je me mets à pleurer. Je perds tout, mais je continue à mater, voyeur pervers.
Elle lève son bras et passe sa main derrière la nuque de son amant et l'attire à elle. Tournant la tête elle recherche sa bouche pour un nouveau baiser. Le doigt qui la viole ressort chargé de mouille et à nouveau ce bruit, ce gargouillis qui me rend fou…
Sa respiration s'accélère au rythme de sa poitrine que se lève offrant ses seins blancs à ma vue. Ma femme s'abandonne. C'est elle maintenant qui glisse une main entre les deux corps et qui caresse la bosse visible sur le pantalon. La semaine dernière elle avait refusé de le toucher, aujourd'hui c'est elle qui va au devant de ce contact. Toujours collée à sa bouche elle passe sa seconde main entre eux deux, dégrafe la ceinture et abaisse le pantalon de Monsieur David qui, impassible se laisse faire. Le salaud ne porte pas de slip et sa bite toute droite m'apparaît, comme un diable jaillissant de sa boite, alors qu'elle vient frapper la peau douce des fesses de Marion. A ce contact, elle sursaute. La queue est énorme et semble dure comme un bâton de bois. Marion est ment surprise ne connaissant que la mienne qui est bien plus modeste en taille.
Il lui parle doucement à l'oreille, la maintenant fermement dans ses bras. Je n'entends pas vraiment ce qu'il lui dit, mais cela lui soutire un sourire de béatitude. Elle l'aime, j'en suie sûr !
Le couple toujours de profil, il la laisse se détacher de lui et je la vois lentement se mettre à genoux pour faire face à l'organe dressé devant elle. Timidement elle s'empare d'abord de ses couilles qu'elle caresse amoureusement. Elles semblent gonflées de foutre. Ses doigts passent dessous, autour, les font danser. L'homme sait apprécier cette caresse que jusqu'à aujourd'hui n'était réservées qu'à moi, qu'à mon sexe. Marion adore sucer, me sucer !
Maintenant, petit à petit, elle prend de l'assurance dans sa caresse. Elle approche ses lèvres du gland qui sécrète déjà son liquide séminal. Elle y dépose timidement un baiser qui se voudrait chaste s'il n'était pas déposé sur la bite de son amant. Puis de la pointe de sa langue elle lape le liquide. Aucun signe de répulsion, au contraire elle semble aimer. Elle entrouvre ses lèvres et lentement, amoureusement, les yeux dans les yeux de Monsieur David elle engouffre la bite malgré sa grosseur. Elle se l'enfonce jusqu'à la garde comme jamais elle ne me l'a fait. Puis elle commence un lent va et vient accompagné d'une douce branlette du sexe. Elle s'applique comme une bonne élève qui veut faire plaisir à son maître. Son regard semble lui demander si elle fait bien. Je suis de plus en plus meurtri par ce spectacle et ces détails qui me brulent les yeux. Ma douce est en train de tailler une pipe. Ce salaud à plusieurs reprises, dégage ses cheveux qui lui couvrent le visage pour bien me montrer la bouche de ma Marion en train de lui sucer la queue. Je n'en peux plus, balancé encore excitation et jalousie. Cette fois l'intensité des images a gagné plusieurs degrés. Elle s'abandonne dans le stupre et la fornication. Ma douce femme !
Il la prend sous les bras et la fait se relever. Il la tourne vers le miroir; vers moi, la saisit aux avant- bras et la force à se pencher en avant tout en lui faisant écarter les jambes. Ainsi cambrée, elle lui offre son cul à contempler. Devant moi, ses seins pendent légèrement. Il va la prendre. Le visage de Marion est tout rouge dans l'attente de la saillie. Je devine qu'elle doit être toute mouillée et qu'il n'aura aucune difficulté à s'introduire en elle, dans son ventre, berceau de sa fécondité. Elle est prête, elle accepte l'accouplement sans hésitation. Il donne un coup de rein, elle se mord les lèvres, ses narines dilatées cherchent de l'air. Elle va jouir, je la connais. Soudain je me rends compte qu'elle est en pleine période de fécondation ! On veut un . Elle va le lui dire, j'en suis sûr. Alors qu'il la maintient par les bras, il la pilonne de plus en plus vite. J'entends ses gémissements comme des hurlements dans mes oreilles. Jamais elle n'a crié aussi fort avec moi. Jamais je ne l'ai vue aussi excitée. Une vraie furie. Comment en si peu de temps a-t-elle pu se transformer et devenir cette enragée ? Suis-je donc aussi mauvais que je ne l'ai jamais fait jouir ? Inutile de me morfondre, je l'ai mise sur la pente, elle glisse seule maintenant. Pourrais-je encore l'aimer. Pourrais-encore m'aimer ? Nous aimer ? Et cet ? Cet aboutissement de notre amour. Y pense-t-elle seulement ? Et moi ?
Pendant que je me morfonds bien tard égoïstement sur ma propre condition, Marion prend son pied avec un homme que je considère comme un ignoble individu. Je le vois qui maintenant accélère ses coups dedans le ventre de ma bien aimée, annonçant l'éjaculation proche. Elle s'en rend compte car elle se retourne vers lui et lui dit
- S'il vous plait, retirez-vous pour jouir. Je peux avoir un !
Mais il ne l'entend pas et redouble de furie. Il va exploser en elle c'est sûr car seul son plaisir compte en cet instant. Et sans doutes que l'idée de l'engrosser accroît son désir de la posséder. Ma femme aussi semble prendre encore plus de plaisir et perdre toute mesure de l'enjeu. Et je la vois se résigner à recevoir la semence en elle. A moins que ce soit de sa propre volonté ! Et brusquement dans un feulement de fauve, il se libère dans le ventre fécond et jouit dedans planté au fond du vagin, tout contre le col de l'utérus. Marion jouit également de concert. Il éjacule plusieurs salves de foutre avant de s'immobiliser, planté bien au fond, pour laisser le sperme faire son office et engrosser la femelle qu'il vient de profaner devant son mari… et avec son consentement.
C'est fini ! Je sais qu'il vient de nous assassiner. Moi, elle et notre . Je suis abattu, impuissant à la moindre réaction, j'ai même éjaculé sans même m'en rendre compte en même temps que les deux amants. J'en ai sassez vu, je veux fuir, partir, mourir. Mais je suis en prison, obligé de souffrir et de jouir du spectacle.
Après avoir déposé un baiser tendre dans le cou, il prend Marion dans ses bras et lui caresse tendrement la joue. Elle est en pleurs. Vient-elle de réaliser l'ampleur de son abandon et ses conséquences probables ? Il la console en lui murmurant des mots doux. Je vois clairement les soubresauts de ses sanglots. La voir nue dans ses bras ne me tourmente plus. Ce que je viens de voir est tellement plus accablant.
Mais vite je me rends compte que mon calvaire n'est pas fini !
Monsieur David est un criminel. Il m'adresse un sourire par dessus les épaules de Marion, signe qu'elle ne perçoit pas. Comme avec ses complices samedi dernier. Il a l'air de me dire :" elle est bonne hein ? Tu t'es régalé."
Avec toujours le même sourire, je le vois faire un clin d'œil en direction du fond de la boutique. Apparaît un homme, un black, qui lentement, avec le même sourire aux lèvres, s'approche doucement dans le dos de Marion qui ne le voit pas venir.
(à suivre)

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