La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°787)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°786)
Monsieur le Marquis dEvans me passa un bandeau sur les yeux, quIl sortit de sa poche, et mappliqua un bâillon-boule sur la bouche, tout en murmurant avec une certaine douceur rassurante dans sa voix à mon oreille :
- Aie confiance en Moi, montre-Moi ta totale dévotion et je serai encore plus fier de toi !
Et je lentendis ouvrir la porte
Avant de me faire avancer, le Maître mit en marche luf placé bien au chaud dans ma chatte encore fort excitée. Les vibrations, ainsi que le fait dignorer ce qui mattendait me faisait abondamment mouillée. Jespérais avoir de nombreuses fois lautorisation de jouir lors de cette soirée qui devait être déterminante pour moi. Monsieur le Marquis donna un petit coup sur la laisse pour me faire avancer. Je me fiais entièrement à la tension dans celle-ci pour morienter dans la pièce. Je ne percevais aucun son, jétais bien incapable de savoir où nous nous trouvions, si nous étions seuls ou non, mais je le supposais. Nous fîmes ce qui me sembla être plusieurs mètres dans la salle, avant de nous arrêter. Jentendis la laisse retomber à terre, puis plus rien. Je nétais même pas capable de savoir si le Maître était toujours à mes côtés
Au bout de longues minutes dattente interminable qui me semblaient durer une éternité, la laisse fut ramasser, on me tira vers le haut jusquà ce que je fusse debout, et on me fit tourner plusieurs fois sur moi-même, me bousculant par moment, me faisant ainsi perdre tout sens de lorientation tel le jeu du colin-maillard. Mon bandeau fut retirer, mais je gardais les yeux fermés, encore un peu étourdie. Je fus surprise dentendre une voix féminine et autoritaire :
- Ouvre les yeux, ne baisse pas la tête et regarde autour de toi. Quand tu auras fini, et seulement à ce moment-là, tu pourras rebaisser la tête. Estime-toi heureuse de pouvoir observer avant de subir !
Ces mots me glacèrent le sang.
- Mets-toi à quatre pattes, chienne ! Tu nas pas à connaître nos noms. Si jamais tu es autorisée à parler, ce qui nest pas sûr, tu nous appelleras Madame ou Monsieur. Pour le moment, tu nas aucune autorisation de parler, aucune autorisation de laisser sortir le moindre son de ta petite gueule de chienne en chaleur !
Un des hommes me mit des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles, après que je me sois exécutée.
Lhomme me contourna, mattrapa les cheveux pour me forcer à me relever. Je serrais les fesses autant que possible, pour ne laisser échapper ni le plug, ni rien dautre qui pourrait avoir envie de séchapper de mon cul. Il étira mes bras vers le haut et attacha mes poignets à un anneau. Puis il saisit une barre décartements qui était appuyée contre le mur et que je navais pas vu jusquici, et my attacha les chevilles ainsi largement écartées. A cause de langle du mur, la barre décartement mobligeait à me retrouver penchée en arrière, légèrement en diagonale par rapport au sol. Je gardais la tête et les yeux baissés attendant la suite avec appréhension. Lhomme alla chercher la bassine pour la poser au sol sous mes fesses, puis il me massa le ventre partant du côté droit en bas de mon ventre remontant en suivant le colon jusquau bas côté gauche.
- Tu ne pourras pas résister longtemps, chienne ! Alors autant te détendre maintenant !
Jessayais de me retenir encore, mais javais des crampes douloureuses, alors en larmes de honte, je relâchais mon sphincter et je me laissais aller. Jentendis alors le bruit du liquide qui giclait dans la bassine, rajoutant à mon humiliation. Lorsque je me fus vidée entièrement, lhomme ramassa la cuvette, me la montrant au passage, ce qui fit que je me sentis un peu plus mal encore, puis me détacha, me refaisant positionner en quadrupède. Il me laissa là et séloigna. Une femme sapprocha alors, attrapa ma laisse et mentraîna vers lespèce de banc. Il était recouvert de cuir et possédait plusieurs sangles à différents endroits. Devant était létrange « portant » en bois vernis. La femme me fit monter sur ce banc. Les jambes reposant sur une planche, le buste sur le banc, la femme me positionna la tête sur le portant ainsi que les poignets, quelle enferma avec une pièce qui se positionnait au-dessus et quelle verrouilla. Au niveau de la taille, des cuisses, sous les genoux et sur les chevilles, elle me sangla, les jambes écartées.
- Comme je sais que tu es novice, sache que tu es sur un banc de fessées, et que ta tête et tes poignets reposent dans un carcan ! Cest tout ce que tu as à savoir pour le moment.
Je commençais à avoir la gorge en feu à porter mon bâillon depuis un bon moment, et je fus prise dune quinte de toux qui sortait difficilement ! Lhomme qui mavait fait le lavement précédemment sapprocha de moi, menleva le bâillon et porta à mes lèvres une bouteille deau.
- Bois chienne ! Monsieur Le Marquis napprécierait pas que lon abîme un de Ses jouets ! dit-il avant de retirer la bouteille et de me remettre la boule en bouche.
Je nétais pas au bout de mes surprises. En parlant de boule, jen sentis une qui poussait sur mon anus. Cétait froid ! Une fois le crochet-boule entré assez profondément je sentis le métal se coller entre mes fesses et remonter au milieu de dos. Une personne attacha une grosse chaîne au bout de la barre du crochet et fut reliée à un des maillons de mon collier. Elle était tendue, le moindre mouvement qui était pourtant restreint, me tirait ainsi sur lanus. La seconde femme tourna autour de moi et japerçus dans sa main une cravache denviron 25 cm se terminant par une mèche en forme de cur, dun coté en cuir, de lautre côté recouvert dune fausse fourrure. Elle commença par me caresser avec le coté doux, me faisant frissonner. Petit à petit, je me détendais et mabandonnais aux sensations qui naissaient en moi. Puis elle finit par me donner des coups, de plus en plus fort, sur les fesses, sur lanus me faisant sentir un peu plus le crochet, sur le dos, la chatte, les cuisses
elle alternait la force, la vitesse, le côté cuir, le côté fourrure
je me perdais dans mes sensations, la douleur était de plus en plus atténuée et remplacée par le plaisir, ma chatte dégoulinait de nouveau
Je me mordais les joues tellement fort que je sentais le gout métallique sur ma langue. Je navais pas le droit démettre un son, je navais pas reçu lautorisation non plus de jouir. Mais cela commençait réellement à devenir difficile de retenir une jouissance que réclamait fortement mon corps !
- Humm, jai limpression que cette chienne en chaleur a besoin de se rafraichir !
Etant sur le ventre en position horizontale pour la partie supérieure de mon corps, je sentis alors le froid glacial de glaçons couler sur mes fesses rougies, et sur mon dos. La femme les déposait dans le creux de mes reins un à un et les laissait entièrement fondre avant den prendre un nouveau. Je sursautais, au point de bien sentir le crochet dans mon cul, lorsquelle y fit pénétrer deux glaçons, lun juste après les portes de ma rosette, lautre profondément enfoncé dans ma chatte au côté de luf. Leffet de surprise, et le contraste chaud froid eut le bénéfice de calmer un peu mes ardeurs. Je sentais leau sécouler de mes deux orifices sur mes cuisses. Lorsque plus aucune goutte deau fut visible, la femme me libéra. Instantanément je me prosternais, attendant la suite, maintenant avec impatience. Pour moi le plus dur était ment passé avec lépreuve du lavement anal
Plusieurs minutes passèrent, ne pas savoir ce qui mattendait recommençait à mexciter. Un des hommes vint jusquà moi, et memmena cette fois-ci devant la table.
- Grimpe là-dessus chienne, et reprend ta position ! (puis passant sa main entre mes cuisses) Mais cest quelle mouille toujours cette chienne en chaleur ! Quelques glaçons ne tont donc pas suffit à te refroidir ! On va remédier à cela alors ! Mets-toi sur le dos, chienne !
(A suivre
)
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