La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°788)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°787)
Une fois allongée, lhomme fit en sorte de bouger le bout de la table qui était amovible, et je me retrouvais la tête penchée en arrière. Il me remit un bandeau sur les yeux et menleva le bâillon. Mes mains et mes chevilles furent attachées de manière à être écartelées. Des mains se mirent à me caresser les seins, à me pincer les tétons et les étirer. Dautres mains soccupèrent de ma chatte et de mon clitoris puis soudain toutes les mains se retirèrent dun coup. Mais je ne tardais pas à sentir du froid un peu partout. Un glaçon glissait sur chacun de mes tétons, un me gelait mon petit bouton de chair, un glissait sur mes lèvres intimes pour finir dans ma chatte. Plusieurs glaçons fondirent ainsi comme ça. Jétais partagé entre le froid de la glace et la chaleur de mon corps très excité. Bien loin de calmer mes ardeurs, la chaleur menvahissait de lintérieur.
- A partir de maintenant tu as le droit de te faire entendre, mais pas de parler ! Murmura une voix masculine à mon oreille.
Je relâchais donc la pression de mes dents sur mes joues, mais je me demandais ce qui mattendait pour quon mautorise à émettre des sons. Je commençais à gémir sous le pouvoir des glaçons qui ne pouvait être manipulés par une seule personne. Les derniers glaçons fondaient sur mes seins, tandis quon continuait à me remplir petit à petit la chatte. Et soudain je poussais un cri ! Quelque chose de chaud, de très chaud même, me semblait-il, tombait goutte à goutte sur mes seins et mes tétons. De la cire de bougie commençait à envahir mon corps par de chaudes gouttelettes. Le contraste avec le froid précédent me coupait le souffle, mais après les premiers moments de surprise et de sensations de brûlure, ce furent des gémissements de plaisir qui me prirent par des petits spasmes inévitablement divins ! Le rythme en dessous de la ceinture augmenta, on ne laissait plus le temps aux glaçons de fondre, on me fourrait littéralement la chatte de glaçons, autant que luf vibrant toujours éteint le permettait.
- Jouis chienne, cest un ordre, et autant que tu veux ! dit une sèche voix féminine.
Et je sentis luf se remettre à vibrer ! Je ne tardais pas à hurler de plaisir, je jouissais sans discontinuer ! Sous la puissance foudroyante de mes multiples orgasmes à répétition, mon corps était comme traverser de toute part de puissants spasmes telles de fulgurantes décharges électriques. Je sentis la cire de bougie sur mes lèvres intimes craquer, se fendre, et je sentis le fruit de mes puissants plaisirs jouissifs sécouler en même temps que leau des glaçons fondus le long de mes cuisses. Cela dura de très longues minutes où mes hurlements orgasmiques emplis la pièce. Malgré ma mouille, je me sentais massécher, je brûlais de lintérieur ! Jétais perdue entre lenvie que tout sarrête et la continuité du plaisir de jouir si intensément, car il me faut bien lavouer, je navais que rarement joui aussi fort et aussi longtemps sans interruption... Mais les Dominants décidèrent pour moi en arrêtant les vibrations de luf. Je restais perdue sur les vagues de plaisir plusieurs minutes après, ayant un souffre fort qui tarda à sapaiser, idem pour mes spasmes jouissifs, ils tardèrent à se calmer
Une fois mon corps et mon esprit ayant repris pied, Ils me détachèrent, et me laissèrent souffler un peu de nouveau.
Et cest positionnée ainsi que je fus caressée, baisée, léchée sur toutes les parcelles de ma peau, excitant tous les nerfs que mon corps devait contenir. Quand je poussais un nouveau cri de surprise. Des sortes de dents étaient en train de parcourir mon corps. On menleva le bandeau des yeux et je vis tout en gardant la tête et les yeux baissés, que les femmes tenaient des espèces de roulettes couvertes de pics. Elles appuyaient plus ou moins fort, mais népargnaient aucune parcelle de peau, même les plus intimes ! Je recommençais à haleter, cétaient des sensations que je navais jamais expérimentées. Sensations qui furent renes, lorsque deux des hommes me pénétrèrent avec des godes, un par la chatte, lautre par le cul. A chaque fois que lun sortait de son orifice, lautre rentrait. Ils commencèrent doucement, mais accéléraient de plus en plus, et je ne tardais pas à jouir à nouveau ! Mais jétais tellement épuisée par mes précédents orgasmes, je ne maîtrisais plus mes émotions, et je me mis très vite à sangloter violement tout en enchaînant de puissants cris de jouissance. Jeus limpression dêtre ainsi torturée pendant des heures ! Mais une divine et sublime orgasmique
Quand soudain, tout sarrêta de nouveau, on me détacha encore pour cette fois me placer assise sur le siège de gynécologie. Je sentis quon mattacha les pieds aux étriers ainsi que mes poignets sur les accoudoirs. Quand je fis de grand yeux car face à moi je vis une perceuse montée à lhorizontal sur un haut socle mobile. Mais une perceuse spéciale car à la place dune mèche perforante, il y avait un volumineux gode, au gland arrondi fort imposant, dune vingtaine de centimètres de long adapté sur le mandrin de loutil.
Ainsi il navait pas besoin de se baisser pour commencer le sulfureux léchage de langue quil entreprit dans mon sexe bien trempé et si sollicité. Il sattarda longuement sur son clito, le fit sortir de son capuchon, enfonça sa langue dans les parois de mes lèvres intimes puis du vagin. Ecartant de ses doigts mes lèvres qui prenaient de nouveau du volume. Mes spasmes redoublèrent encore. Lhomme était un expert en la matière et les gestes buccaux et manuels étaient précis. Pendant quil sactivait, il entreprit de me doigter lanus afin de le dilater encore un peu plus pour la suite et cest dans des gémissements de plus en plus accentués que je multipliais encore des orgasmes qui se succédèrent à un rythme effréné
Jétais épuisée par les nombreux orgasmes précédents mais je jouissais encore et encore ! Alors je ne retins aucun cri et laissa exploser ma jouissance en de puissants râles et cris de bonheur.
- Plus fort Monsieur, oui encore, cest bon
Lhomme frappa et frappa encore longtemps quand il stoppa les coups et abaissa à la hauteur désirée le siège. Puis il me remit le bandeau sur mes yeux. Un moment se passa où jentendis quon se déplaçait dans la pièce. Lhomme revint, du moins je suppose que cest encore lui et sans prévenir, je lentendis défaire sa ceinture de pantalon et sortir son volumineux sexe dressé et il me pénétra dun coup en de forts coups de reins. Il redoublait ses assauts, jétais possédée très profondément et de mémoire je navais encore jamais ressentie de telles sensations. Il me doigta de nouveau lanus tout en me baisant comme une chienne en chaleur que jétais devenue. Je criais de plus belle mon bonheur dêtre ainsi pénétrée, sauvagement, puissamment, avachie dans cette balancelle. Quand lhomme décida de changer dorifice, il me sodomisa quasi bestialement. Je ne pus retenir un cri de douleur, le sexe énorme dans mon fondement certes dilaté mais pas suffisamment pour accueillir ainsi une volumineuse verge regorgeant de raideur. Mais les premiers cris de douleurs se changèrent vite en cris de jouissance tant mon excitation était à son zénith. Au bout de plusieurs minutes de ses vaillants assauts lhomme se mit à éjaculer en de longs râles dans mon cul, il ne se retira pas et resta immobile en un coït profond. Je hurlais mon orgasme mais un orgasme différent des autres, cétait un orgasme anal celui-ci, dune puissance telle que je ne serais pas prête de loublier
Au bout dun moment, il se retira et me laissa ainsi afin de me laisser reprendre mes esprits mais toujours avec mes yeux bandés
Pendant toute cette soirée, pourtant, je navais pensé quau Maître ! Jétais déçue de ne pas avoir passé ses moment si forts en Sa compagnie, mais Il avait été mon moteur pour réussir à me laisser aller, à lâcher prise avec ces inconnus. Jespérais avoir été digne de Lui, et Lavoir rendu fier ! Ce que je ne savais pas, cest que le Maître navait pas quitté la pièce, Il était derrière un paravent que je navais pas vu, et en fait pendant tous les moments où javais eu les yeux bandés, Il était intervenu plus dune fois. Mais ça je ne le sus que plus tard que ce fut aussi Lui, le Maître en personne, qui me sodomisa sur ce siège de gynécologie !
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!